OS8 - Une jeune fille du nom de Delphi...

Comme toute les jours, le bruit d'une mattraque qu'on frappé sur des barreaux l'a réveilla en sursaut. Même si elle entendait ce bruit à son réveil depuis le plus loin qu'elle s'en souvienne, elle n'arrivait pas à ce faire à ce son brutale et intrusif.

- Delphini, réveille toi tout de suite ! Ton sommeil a assez duré ! Ta tante vient nous rendre visite dans moins d'une heure.

Dephini ce redressa. La voix sévère et sans sentiments à travers la vieille porte du lieu où elle dormait n'était d'autre que celle d'Euphemia Rowle, sa tutrice. Cette femme ne l'aimait guère, elle était hargneuse et distante à son égard. Elle lui disait toujours qu'elle finirait mal, qu'elle était différente des autres en mauvais point, et qu'il ne fallait mieux pas l'approcher de trop près. Car elle n'était pas la seule ici, dans cette grande maison sombre et triste, d'autre enfant été gardé par Mrs Rowle, des orphelins, comme elle l'était elle même. Elle détestait cette endroit, elle détestait les autres... elle ce sentait différente c'est vrai, pas seulement par les seuls dire de Mrs Rowle mais par quelque chose de vrai en elle qui l'a rendait différente et qu'elle ne pouvait pas dissocier d'elle même. La seul personne qui lui donné un peu d'amour était sa tante, une fois par mois. C'était aussi celle ci qui payé Mrs Rowle pour l'a gardé, puisque cette femme mauvaise ne faisait cela que pour l'or, même seulement âgé de sept ans Delphini l'avait bien deviné.

La petite fille sortit de son lit dur aux draps inconfortable et râpeux. Elle ce leva sur ses petits pieds, gardant dans ses bras une des seules choses qui lui restait de sa mère biologique et duquel elle ne ce séparait jamais. Un bout de tissu informe dans les mains elle entreprit de s'habiller, enfermé dans cette petite pièce rectangulaire qu'était sa "chambre" si elle pouvait l'appeler ainsi. Rien qu'avec ses pensées et ses petites mains d'enfant elle apporta vers elle une des robes grises que contenait l'armoire restreinte à côté de son lit. Oui Delphini savait faire ça, mais elle ce gardait bien de le dire à quiconque, elle savait que les autres enfant sorcier comme elle n'arriva pas aux mêmes prouesse, et ses autres dons n'appartenait qu'à elle. Elle l'enfila alors qu'elle entendait les pas nerveux de Mrs Rowle dans le couloir.

- Delphini dépêche toi, si tu me fais attendre tu sais ce qu'il va t'arriver ! s'écria inévitablement la voix de sa tutrice.

- Oui Mrs Rowle, répondit-elle derrière la porte.

Elle entendit ses pas s'en aller et soupira. Qu'est-ce qu'elle aurait voulu ce trouver autre part... plusieurs fois elle avait voulu fuguer, mais jamais pour l'instant elle n'en avait eut le courage. Pourtant son amie imaginaire aurait pu l'a pousser à le faire... elle avait tellement peu d'amie que l'a retrouver été un plaisir. Mais elle commençait à grandir et son imaginaire amie s'éloignait peu à peu... Par ce matin, au lieu de ce dépêcher, Delphini ce mit à penser à son amie. Elle avait un prénom adorable qui finissait par un A comme le plupart des prénoms qu'elle trouvait joli, moins agressif qu'un I trouvait-elle. Elle lui ressemblait presque en tout point. Elles avaient les mêmes pouvoirs, les mêmes passions, les mêmes opinions. Elle ne ce retrouvait qu'en rêve mais c'était suffisant pour lui faire tenir la journée toute seule. Sans elle...

- Delphini ! cria la voix hargneuse de sa tutrice.

La brune s'assit précipitamment sur la chaise devant son bureau où était posé une glace. Elle rentra le long collier qu'elle portait toujours avec la bague de sa mère sous sa robe. Elle enfila un gilet et n'essaya pas de dompter ses long cheveux épais et ondulé, d'un noir de jais. Son teint était très pâle et elle ce disait que Mrs Rowle ne se dérangeait pas pour lui faire une remarque sur ça. Mais elle n'avait pas le temps de changer son apparence.

Delphini ce leva, enfila ses chaussures qui l'attendait près de la porte qu'elle ouvrit de sa taille d'enfant. Le couloir était vide, elle en profita pour sautiller légèrement pour ce rendre vers l'escalier. La joie de voir sa tante prenait le dessus. Elle descendit avec attention en essayant de ce concentre pour ne pas trébucher, comme il lui arrivait souvent... à ce sujet Mrs Rowle répétait sans cesse "cette vilaine enfant à beaucoup trop d'énergie, c'est un plaie". Alors elle essayait de ce contrôler le plus possible... disons pour éviter de ce sentir coupable de tout casser.

Descendu elle ce dirigea sautillante vers la salle des invités. Elle ce stoppa soudain quand elle vit le chignon d'un blond cendré de Mrs Rowle qui contrastait fortement avec le blond clair et scintillant de la femme qui était assise en face d'elle. C'est cette femme précisément qui l'a vit dans l'entrebâillement de la porte qui séparait le couloir froid du salon grisonnant. Delphini vit un sourire ce former sur les lèvres de cette magnifique blonde, elle sourit elle même avant de voir la silhouette de sa tutrice ce dressait devant le portrait de sa tante. Elle ce ratatina derrière la porte et toqua... sans que ce soit vraiment nécessaire en faite.

- Delphini, te voilà enfin ! Ce n'est pas trop tôt ! gronda-t-elle en ouvrant la porte. Quand je vous dit que cette fillette aurait besoin d'un peu de discipline et d'une correction...

- Laissez donc Euphemia, s'interposa aussitôt la douce voix de sa tante. Elle n'est tout simplement pas matinal et je pense qu'une correction ne serait pas la bonne façon de l'a changer mais allez plutôt installer un réveil dans sa chambre.

Delphini vit le visage de sa tutrice ce crisper puis redevenir docile pour ce tourner vers sa tante :

- Bien sûr, répondit-elle avec un ton faussement gentille.

- Bien, maintenant je voudrais m'entretenir seul avec elle.

- Tout à fait, répondit Euphemia du même ton avant de s'en aller en passant à côté de Delphini.

La petite brune admirait considérablement sa tante : Narcissa Malefoy. Elle savait qu'elle était la petite soeur de sa mère, venant d'une grande famille de sorcier de "sang-pur" comme disait Mrs Rowle, mais elle ne lui apprenait guère plus. Delphini ignorait totalement qui pouvait bien être son père et cela formait un vide dans sa poitrine qui n'avait jamais été rempli depuis sa plus tendre enfance. Elle ne connaissait de sa mère que ce que sa tante lui avait vaguement raconté : c'était une grande sorcière, très doué, et à qui elle ressemblait beaucoup physiquement. Mais à part ça... elle ne savait rien. Elle gardait la précieuse petite photo du portrait de sa mère dans son armoire entre deux pulls en laine qui grattait, donné par sa tante.

- Viens donc me voir ma jolie petite Delphi, sourit Narcissa.

Delphini, ou Delphi comme l'a surnommé Narcissa, s'avança en courant puis ce rappelant qu'elle devait faire bonne figure et ce stoppa soudain devant elle.

- Bonjour chère tante, dit-elle d'un ton solennel, ce tenant les mains dans le dos.

- Assis toi mon enfant, lui dit-elle en tapotant le fauteuil de velours noir.

Delphi s'assit en gardant ses yeux fixé sur sa tante, habillé d'une longue robe cintré noire à col brodé, ayant un sac posé sur les genoux qu'elle tenait avec ses mains posé et le dos droit. Elle dégageait une distinction qui provoquait un respect et une aura décense ultime.

- Te souviens-tu du jour précis dont nous sommes aujourd'hui ? demanda sa tante avec un sourire bienveillant.

Les yeux de Delphini s'agrandirent : comment avait-elle peu oublier...

- Mon anniversaire ! s'exclama-t-elle. Le temps passe si vite dans cette... maison... , dit-elle en retenant ses mots profonds.

- Hé oui nous sommes déjà le 29 mars 1998, dit-elle.

- J'ai huit ans alors, sourit la petite brune aux dents inégale.

- Oui, joyeuse anniversaire Delphi.

- Merci. Dites ma tante, commença-t-elle avec une idée dans la tête, en cette occasion ne pourrais-je pas... disons... quitter cette maison ?

Narcissa sursauta et reprit son calme la seconde d'après.

- Non ce n'est pas une chose possible.

- Mais pourquoi ne pourrais-je pas venir vivre avec vous ?

Narcissa était torturé entre lui dire la vérité ou lui faire avaler un nouveau mensonge.

- Je... si je pouvais je le ferais, mais cela est impossible.

- Pourquoi ? Ici c'est l'enfer et personne ne m'aime alors que vous si...

- Delphini Lestrange ! s'exclama-t-elle soudain le visage sévère.

Delphi ce redressa d'un coup et ce tut.

- Il est peut-être vrai que je te porte dans mon coeur, mais il m'est réellement impossible de t'héberger dans notre Manoir.

Delphi baissa la tête, le visage triste... ses cheveux montrèrent à sa tante sa tristesse.

- Delphi, écoute moi, je te promet d'être toujours là pour toi, mais tu dois me promettre d'être sage, d'accord ?

Delphi ne répondit pas et serra la mâchoire.

- Delphi ? S'il te plaît ?

Elle s'était décidé à bouder et à ne rien lui promettre, alors elle le ferait jusqu'au bout.

- Delphi, oh tu as bien hérité du caractère de ta mère.

- Vous parler toujours de ma mère en disant que je lui ressemble mais je ne sais presque rien d'elle ! Et mon père... vous n'en dites jamais rien ? Je veux savoir, j'en ai assez de ne rien connaître sur moi que ces dons étrange qui semble repousser tout le monde !!

Narcissa ferma les paupières et les rouvrit, semblant réfléchir en reprenant de la distance.

- Le temps n'est pas venu que le poids pèse sur tes épaules, mais tu sauras tout un jour... 


//Hey ! 

Un nouvelle OS, comme dab sa connection avec mon RB est normal ! Donc si vous l'avez déjà lu no problem !

Est-ce que ça vous plaît des OS sur Delphi ? Parce que personellement j'en ai plein en réserve, dans ma tête !! Dites moi ?! 

Sinon quel genre d'OS pourrez vous intéresser ? 

Bisouille 

~ Paula ~   

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