Chapitre 9: Respecter les décrets « Partie 2 »

POV Sasuke

Elle se tourna vivement vers moi, en me scrutant quelques peu, avant de me sourire doucement et de m'indiquer tout droit un magasin de prêt-à-porter. J'hocha la tête en signe de compréhension, en me levant pour la rejoindre. C'est ainsi que nous nous rendîmes à l'intérieur du magasin nommé « Style Yumix »

Vendeuse- Qu'est.. qu'est ce que vous faites la ? Dit elle en me pointant du doigt

J'haussa les épaules, l'évitant au passage, tout en parcourant le magasin qui n'était pas trop mal dans son genre. Je préférais de loin laisser Sakura régler ça, sachant que parler ne servirait à rien avec eux. « Eux » qui n'essayait pas de comprendre.

Sakura-Non, ne vous inquiété pas. Tout va bien il est avec moi..

La vendeuse était très réticente, et son regard était assez perplexe. Son téléphone en main, elle était d'aplombs pour appeler la police, et les avertir à tout instant qu'un détenus en liberté sévissait dans son magasin, en pleine journée qui plus est.

Nous fîmes abstraction de la stupidité de la vendeuse, ou plutôt J'EN fis abstraction, puisque je comptais bien poursuivre ma journée sur de bonnes bases, et que Sakura était déjà passée à autres choses en allant regarder des articles.

Après quelques minutes de recherches qui me parut une éternité, je trouva enfin l'objet que je « convoitée »! Ou presque. Je dirais plutôt que j'avais sélectionnés quelques articles et que j'avais appelé Sakura par la suite.

Moi- Vient j'ai choisis. Dis je simplement

La rose arriva aussi vite que possible pour récupérer l'ensemble que je lui avais indiqué, qui se composait d'un simple jogging et d'un t-shirt à manche courte. Sakura m'ouvrît une cabine d'essayage, et me laissa m'y engouffrer.

C'est au bout de 5 minutes qu'elle finit par entrer dans la cabine en comprenant bien, le « pourquoi » je ne sortais toujours pas. Elle fit une nouvelle fois mine de réfléchir, en posant le pour et le contre de la situation pour avoir le meilleur résultat possible.

Sakura- Bon... Fit elle en hésitant

La jeune fille se décida à me retirer mon haut, n'ayant pas d'âtres solutions pour que je puisse sortir. Mon t-shirt au sol, Sakura commença à regarder avec intention les marques qui hornaient mon corps. Je ne fis pas attention à celles ci que je connaissais que trop bien, préférant soutenir le regard de la jeune fille, qui continuait son exploration.

J'avais des plais et des cicatrices un peu partout sur le corps, dû à mes très nombreuses missions, qui parfois ne s'avéraient pas être de tout repos. Et finissaient même par être des missions dangereuse, au risque d'y laisser la vie. Je ne dirais pas que c'était plaisant de savoir qu'à tout moment je pouvais mourir. Oh là non.

Je n'étais pas aussi masochiste que ça. Mais j'avoue que le plaisir du risque m'animait chaques fois que j'excutais une mission que je savais d'avance difficile, ou alors quand je tuais sans répits. Le temps passés en prison, les bagarres.. plusieurs facteurs compensaient mes blessures, que ce soit physique et morale.

Comme je l'avais imaginé, à être trop curieuse, le son de Sakura s'était perdu, en passant partout, inspectant mon corps de toute part. Descendants même par mégarde vers mon bas ventre. Quand elle s'en aperçut enfin, elle se redressa aussi rapidement qu'elle s'était accroupis et cacha son visage rougis avec ses mains.

Je laissa échapper un petit rire en la regardant dans cette état. Je la trouvais si...sainte nitchoute ? Ah, je ne trouvais pas le mot adéquoi pour décrire cette excès de pudeur qu'elle avait. Fille trop pudique, toujours à rougir de tout, encore vierge je suppose .

Moi-Oh ne faite pas comme si vous ne vous y intéressiez pas .Dis je en lui souriant

Je me rapprocha un peu plus de la jeune fille, qui ne pouvait reculer alors que la cabine d'essayage ne pouvait pas nous fournir plus d'espace.

Nous nous regardâmes longuement alors qu'elle baissait sa tête frénétiquement pour ne pas me regarder. Ce qui me donnait encore plus envie de la châtier et de l'embêter.

Malheureusement il fallait bien qu'à un moment ou à un autre nous nous décidâmes à sortir de cette endroit, qui commençait à paraître suspect, au vu du temps que l'on pensait à l'intérieur.

Moi- Ce n'est pas que vous voir dans cette état me déplait, au loin de là. Mais il faut bien que je me changes.

La rose ne dit rien, me faisant simplement un signe de tête pour affirmer qu'elle avait compris. De mon côté, je répartis à ma place initial, pour ne pas dire de l'autre côté du miroir. Afin que Sakura puisse enfin me retirer ce qui me dérangeait tant.

Elle compris rapidement ce qui nous bloquait au bout de quelques minutes, ce qui aidait plus ou moins â nous faire sortir enfin de cette endroit. Sakura me regardait en cherchant un quelconque réconfort dans mes yeux, que je ne parviens pas à lui donner.

Lassé par la situation, je finis par lui dire ;

Moi-Si tu veux que je me changes il faudrait m'enlever les menottes.dis je en lui tendant mes bras

Sakura me regarda un instant avant de redescendre son regards en direction de mes mains , je voyais dans ses yeux le doute. Elle ne savait pas s'il fallait me les enlever, ou "gâcher" cette journée qu'elle avait pris tant de temps à préparer.

Elle avait les cartes en mains, soient me détacher et me montrer enfin à quel point elle pourrait m'être dévoué. Où alors rester devant moi comme un piqué à réfléchir.

Moi-Enlève moi les menottes.

La rose leva les yeux instantanément, je dirais presque apeurées face à la tonalité de ma voix . Tout ce qu'il fallait c'était la poussée, la poussée à bout. La pousser à me libérer de mes chaines !

Il n'en fallut pas longtemps pour qu'elle sorte de la cabine pour chercher dans son sac la chose que je désirais depuis le début de cette sortie. Elle passa devant moi, regardant mon sourire narquois, ses yeux brillaient de milles feux, à croire que me ôter ses chaînes la détruirait .

Je croyais même qu'on faisant ça, elle allait fondre en larmes. Tellement ses mains étaient tremblantes . Finalement elle se décida à prendre le trousseau de clés, et à s'approcher de mes mains qui étaient tendus à l'extrême. Elle cherchait inlassablement la bonne clé, parmis toutes celles qu'il y avait. Si elle avait été plus rigoureuse elle n'aurait pas eu ce problème et ne m'aurait pas fait attendre si longtemps. Mais enfin,quand elle trouva la bonne clé et qu'elle pût enfin activer le mécanisme, les menottes se serraient automatiquement, et c'est dans l'espoir de retirer ses chaînes plus rapidement, que dans un mouvement brusque elles tombèrent violemment au sol dans un bruit sourd. Ce qui fit reculer la jeune femme qui se trouvait alors devant moi.

Je m'imposais de toute part devant elle. La surplombant de mon corps, en lui jetant un regard avide de reproches Et de sous-entendus, qui je suis sûre pouvait elle bien  percevoir de là où elle était.

J'avançais lentement vers elle, les bras baland, alors que la rose avait la main sur sa poche. Je m'arrêta aussitôt à quelques centimètres de la jeune fille, reportant quelques peu mon regard sur ma cheville encore enchaînés.

Après les efforts que j'avais fait pour en arriver jusqu'à là, et encore pire avec ses menottes que j'avais dû endurer pendant toute la durée de la sottie je voulant pas alarmer. Fallait-il vraiment qu'elle on vient à sortir ça ? Je la reluqua de toute part, en croisant les bras et en disant fermement :

Moi- Tu me prends vraiment pour un con c'est ça ? Tu crois que j'avais pas remarquer la télécommande dans ta poche ?

Elle sembla surprise par ma remarque qui à première vu semblait déplacer hors que non, c'était tout simplement la vérité. J'avais bien traversé toute la prison menotter, aux bras et aux jambes sans rien dire. J'aurais même pu porter un baillon, . Et encore une fois je n'avais pas daigné répondre.

Mais alors là, elle pointait volontairement son arme sur moi. Parce que oui c'était belle et bien une arme, qu'ELLE pointait sur moi. On croirait rêvé. Comment pouvait elle pointé ça sur moi ? Comment osait elle ? Avait t'elle perdue la raison ? Avait t'elle oubliée ce que je pouvais lui faire ? Peu importe l'endroit de son erreur, mais cette fois je n'allais pas laissez passer ça.

Moi-Je te le dis et je te le répète pour la dernière fois. Si j'avais voulu te tuer, ne serais ce qu'une seule fois. Tu serais déjà morte à l'heure qu'il est.

Mes yeux étaient froncés et mes dents serrées. Je n'avais pas l'intention de laissez passer cette fois ci, déjà qu'elle avait "ma vie" entres ses mains et qu'à chaque instant elle pouvait avancer leurs de mon exécution. Je ne comptais pas rester les bras croisés à attendr, oh que non. J'allais lui pourrir la vie jusqu'à ce que la mienne se termine.

Moi- N'essaye même pas. dis je en la retenant par le bras

Sakura- Lâche moi tu me fais mal.dit elle en se debatant

Moi- Moi je te fais mal ? Et toi quand tu pointait la télécommande  vers moi , est ce sur t'as pensée un seul instant que tu pourrais me faire du mal ?

Je la lâcha rapidement en la dévisageant. Mais garçons de la jeune fille pour pouvoir enfin sortir de cette espace confiné qui nous bloque. Je tira le rideau assez violemment, laissant place à la jeune femme qui nous avait servis.

Vendeuse- Tout vas bien ?demande t'elle inquiète

Je soutenais le regard de la jeune fille en attendant sa réponse. Je savais qu'elle n'allait rien faire contre moi, et d'une autre façon je n'avais rien fait contre.

Sakura- Oui..ça va.répondit elle calmement

La voix de la Rose était cassé signe qu'elle allait pleurer, la vendeuse en face de nous nous regarder perplexe en tournant enfin son regard vers moi, ou plutôt sur mes mains qui était enfin libéré de leurs chaînes

Vendeuse- Il....n'a plus ses menottes ?

J'esquissa un petit sourire entendant la voix tremblante de la jeune femme, qui cherchait du réconfort dans le regard de Sakura, qui par ailleurs n'avait toujours pas pipé mot.

Sakura- Ne vous inquiétez pas c'est normal..

La jeune vendeuse eu un regard gêné destiné à la rose, alors que nous nous avancions vers la caisse, bien décidé à payer nos quelques petites courses. Je récupéra au passage les vêtements que j'avais choisi, et m'avança au comptoir pour les déposer sur le tapis roulant.

Vendeuse- Vous avez fait votre choix monsieur ?Emit elle en baissant la tête

J'ignora son tons que je savais  ironique et attendis que la jeune fille paie ma tenue. Aussitôt dit, aussitôt fait nous finîmes par sortir du magasin, moi les mains dans les poches et Sakura derrière moi.

Nous sortîmes de ce magasin qui n'avait fait que raviver la haine que j'avais accumulé à la longue,pour nous rendre vers une place publique. Qui dit place publique dit aussi beaucoup de monde, ce qui avait encore plus tendance à m'irriter.

Je n'avais plus de menottes aux poignées, et les vêtements que j'avais acheté, ou plutôt que Sakura m'avait acheté m'aidait grandement à me fondre dans la foule. Comme une personne lambda, sans entecedant criminel à premiere vu,bien que ma cheville soit toujours enprisonner, même après mes multiples tentatives pour la cacher. Je m'étais résigné à ce qu'elle soit toujours aussi visible aux yeux de tous.

Nous traversâmes une petite air de jeu, et je pus apercevoir la rose qui se tenait toujours éloigné de moi comme je l'avais voulu ne profiter pas de ce qu'elle aurait pus appeler "divertissement" . Voir des enfants au bas âges s'amuser, et se divertir ainsi avec d'innombrables jeux, et des conditions optimales. Que demander de plus ? C'était tout simplement parfait pour eux et amer pour moi. En fouillant dans mes souvenirs, parce que je devais fouiller et fouiller pour ne pas oublier et ne pas me faire embarquer par ça. 

Je n'aimais pas les enfants, leurs soit disante innocence, qui était enfaite de la naïveté vis à vis du monde. Leurs façon de rire de tout et pour tout, alors qu'enfaite la chose en elle même était bien visé. Et qu'en plus de ça, elle la visait bien. Il n'y avait rien de plus fragile qu'un enfant, parce que personne ne les avaient jamais préparés à la vie. À cette course effrénée vers une destination sans réel fin, ni but précis.

Juste oublier...

Fin POV Sasuke

POV Sakura

A la fin de la journée. Après avoir errer assez longtemps dans le parks. J'avais demandée au brun s'il voulait voir quelques choses d'autres avant de rentrer. Comme à son habitude il ne me répondit pas, préférant me dévisager et reporter son attention sur quelques choses d'autres. Juste pour m'ignorais royalement alors que je lui parlais.

C'est alors que je me mise sur le bord du trottoir, attendant qu'un taxi passe pour l'arrêter. Toujours en inspectant si Sasuke était bien derrière moi. La course d'ici jusqu'à Hozuki n'était pas très longue alors je ne comprenais pas pourquoi les conducteurs refusaient systématiquement de nous prendre.

Peut-être que le fait de voir un homme assez baraqué derrière moi avec le visage froncé et des tatouages sur le corps l'est m'étais mal à l'aise ? Il fallait tout de même avouer que en voyant Sasuke, on pourrait Facilement imaginer que c'était le genre d'homme à avoir commis plusieurs crime dans sa vie et encore aujourd'hui d'avoir voulu tuer quelqu'un. Donc, loin d'être le genre de personne sociable et des plus sympathique que l'on pourrait croiser dans sa vie. Alors je pouvais bien comprendre ça, mais bon il fallait bien qu'on rentre .

C'est dans les alentours de 18 heures que je regarda ma montre après avoir arrêté un taxi pour la énième fois. Ce qui changea la donne cette fois si, Je suis la question posée par le conducteur, Une question assez pertinente qui valait la peine d'être posée : « Qu'est ce que vous faites avec cette homme ? » « Vous allée bien mademoiselle ? »C'est en bonne éduforme que je lui répondis qu'il n'y avait rien, étant avant tout psychologue je remarquait assez facilement que la question J'ai plusieurs sous-entendu.

Cela ne me dérangeait pas plus que ça comprenant bien qu'étant un homme au volant, sûrement ayant une famille il ne pouvait pas se permettre de prendre n'importe qui dans son véhicule, et surtout de se mettre en danger lui et ses autres passagers.

C'est pourquoi en premier lieu la question aurait très bien pu paraître excessive ou plutôt curieuse, mais elle n'était rien de tout ça.

Conducteur- Et l'homme qui à l'air d'avoir tué un chat là, lui aussi il monte ? Dit il en fronçant les sourcils

Je me retourna pour voir de quoi parlait le conducteur, jusqu'à ce que mon regarde croise celui du brun. Son visage était plus sombre que d'ordinaire, et l'haura qu'il dégageait ne présageait rien de bon . Je ne fis pas attendre le conducteur et le laissa repartir à la tête de son taxi.

Il avait beau avoir posé les bonnes questions, écoutant une réponse des plus satisfaisante ,il n'en fut rien. Et il préféra continuer sa course sans moi et Sasuke, c'est à ce moment-là que je regrette vivement de m'être disputé avec lui, voyant bien qui ne me pardonnerai pas de suite.

Pour ce qui était questions du retour de Sasuke et moi, il fallait qu'on trouve un autre moyen beaucoup plus ra te rappeler pour de rejoindre l'appeler prison au plus vite.

Finalement, nous fûmes pris par un taxi qui nous ramèna directement à la prison d'Hozuki, ou plutôt qui nous laissa près de la prison et qui après continuerait tranquillement sa route.

Il ne fallut pas longtemps pour les gardes de venir nous ouvrir et ainsi nous raccompagné jusqu'à la cellule du brun. Le trajet en lui même se fit dans l'un des silences les plus au pressant de ma vie. Ce qui était d'autant plus désagréable.

Moi- Bon à demain Sasuke.dis je en lui
faisant un signe de la main

Il me fixa quelques secondes avant de rentrer dans sa cellule la tête baissé vers le sol. Je resta plantée là quelques minutes, avant qu'un des gardes qui avait escorté Sasuke dans sa cellule, vienne me raccompagner jusqu'au portail.

Je marcha à côté de cette homme, qui je savais s'évertuait chaque jour à faire souffrir Sasuke. Des pires atrocités que j'ai pu voir sur son corps et encore, les blessures psychologiques pour lesquelles j'étais demandée de part et d'autres dans le monde pour les régler.

C'est à cause de ce genre d'individus que les prisonniers attendaient patiemment la mort. Ils ne manquaient pas une occasion pour eu. De faire souffrir les détenus et en les rabaissant. Je trouvais ça ignoble de les traiter comme ça. Quelqu'en soit la gravité de leurs crimes, le fait d'être en prison était elle même une punition. Alors de devoirs les pousser et les pousser jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus était de la .

À cette instant précis je pensais au brun, qui avait sûrement dû repartir à sa vie monotone au moment même où il avait franchi une nouvelle fois les portes de cette prison.

J'essayais de me mettre à sa place, puisque les mots qu'il m'avait craché il y a quelques heures m'avaient tout de suite semblait fade, pas sans importance mais fade. Lorsqu'il avait prononcé ses mots je n'en avais pas tout de suite saisis l'importance mais maintenant en y repensant je comprenais.

« Je te le dis et je te le répète pour la dernière fois. Si j'avais voulu te tuer, ne serais ce qu'une seule fois. Tu serais déjà morte à l'heure qu'il est. »

Ses mots....

Je repensais aussi à la manière dont nous avions marché. Au beau milieu de la ville, marcher à côté d'un prisonnier, attirait bien sûr tout les regatds. Étant donné qu'il n'y avait aucun garde à côté de nous, lui dans sa tenue orange, son regard froid et ses menottes. Et moi dans mon jean et chemisier traversant les trottoirs et passant devant les magasins.

À plusieurs reprises aujourd'hui j'avais vu notre reflet dans les vitrines, ou encore même quand je voyais la stupeur dans les yeux des gens, au loin. En me voyant approcher au côté de Sasuke, je me sentais tellement spécial à cette instant. Comme si plus rien ne comptait à part nous, de même pour les autres qui avaient le regard braqués sur nous. Il était tellement imposant, s'en était presque impressionnant d'avoir à fréquenté cette être si fort.

Il avait été fasciné dans les roches les plus durs mais qui, plus étaient les plus rares.J'avais été  bel et bien la seul à le voir,à le comprendre. Dans tout les sens du terme, il n'y avait que moi qui me souciait de lui, qui cherchait à le protéger envers et contre tous. Il n'y avait que moi qui comprenait à quel point il avait souffert et j'essayais à chaques instant d'apaiser sa douleur, du mieux que je pouvais.

Lui même le voyait d'ailleurs, il le savait très bien même. Et il s'en contre fichait royalement, mais je ne lui en voulait pas. Je l'aimais et c'est tout ce qui comptait. Qu'importe si c'était un amour à sens unique, au fond je ne savais pas ce qu'il pensait exactement de moi. Tant qu'il y avait un de nous deux qui était là pour l'autre, cela me suffisait amplement.

Mais le pire dans tout ça, c'était qu'il était parti fâché, fâché contre moi, contre mon geste..

Fin POV Sakura

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