∴ Chapitre XIII - SDD

Versé II – Rencontre Moi

J'avais enfin réussie à m'enfuir de la prison ou Sébastien me tenait et chez mes parents, entouré de mes principal affaires, de mes Lapins et de mon précieux Chat je continuait à parler à Sylvain en toute tranquillité, éspérent le voir au plus vite.... Et, je ne connaissait pas la patience.

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Je lui demanda donc de venir me voir... mais la question était la même comme toujours, "Ou?" ou allions nous dormir, manger... je n'osais pas présenter à ma mère un nouveau garçon alors que je venait de quitter mon fiancé même si elle se doutait fortement des choses, je ne cessait de la harceler avec des photos de lui, des chansons qu'il avais créer et jouait à la Guitare...

Ma mère n'avais jamais aimer le style "Gothique" et j'essayais malgrè moi de lui faire comprendre que Sylvain ne s'habillait pas comme cela mais avait une tournure royale, pas de pîque sur ces vêtement, juste des chemise à jabo, des gilet en velours, de long manteau noir, des coiffure ravissante sur ces cheveux blond qui s'étalait avec délicatesse sur ces épaules... mais elle restaitsecptique, elle n'en démordais pas. - Il fallait donc trouver une autre solution.

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Nous parlions donc avec Sylvain du trajet d'environ 800 klm qui nous séparait à travers la France, nous cherchions un point de rendez-vous, des ami(e)s pour nous héberger mais nous n'avons rien trouver jusqu'au moment ou Sylvain pris la décision de venir non pas se rapprocher de moi mais de venir m'attendre dans la ville d'à coté, Courtenay. Il inspira lui seul à l'idée de prendre un Hôtel pour une nuit et ce geste me flâtta énormement en vus de ces basses revenus... je lui promis donc de lui rendre l'argent quand j'aurais reçus ce qui m'était dûs chaque mois. - Enfin, nous allions nous rencontrer et je sentait le stress monter.... ce bonheur attendus depuis des mois, des mois de lutte, d'acharnement, des mois de cris, de douleurs, de larmes... enfin, ... enfin... Et aujourd'hui encore ce stress si agréable met encore parlpable.

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Notre rendez-vous était prévus dans deux jours exactement mais je ne voulait en aucun cas faire souffrir Sébastien, je ne voulait pas qu'il sache que je fréquentait un autre garçon, malgré tous ce qu'il m'avais fait, non, je ne le souhaitait pas et je ne voulait pour rien au monde que le bruit de ma rencontre avec Sylvain à Courtenay soit divulguer... Il était bien trop tôt pour lui dire, bien trop tôt. C'est alors que je n'informa pas mon père de mon départs pour Courtenay dans deux jours, j'en informa simplement ma Mère et ma Soeur qui gentillement me preta sa jupe noir, soit un vêtement qui me manquait pour aller avec la tenue que j'avais choisie délicatement de porter et les chaussures que je venait d'acheter pour le voir. Elles me promis toutes les deux de garder le plus grand des Silence. - Après tout, ce n'était qu'une journée et qu'une nuit...

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Ma mère me demanda ou je devait rejoindre Sylvain et je lui indiqua donc le nom de la Ville qui se situait a une trentaire de klm seulement du domicile de mes parents ou j'était héberger. Celle-ci fut étonner car le Grand Amour de sa vie habitait justement cette ville, elle sourit, je sourit.. et je lui répétat encore cette phrase que je ne cesserais jamais de répéter "L'accumulation met fin à l'impression de Hasard" (c) Freud.

Elle me répéta ensuite tout ce qu'une mère normal dirait "Attention Sandra, tu vas quand même rester avec un inconnus plus agé que toi toute seul" mais ma mère savais que je savais me défendre, elle en était persuadé et je n'avais pas peur, aucunement. Ma mère et ma soeur était contente pour moi et nous commenssions à regarder le trajet que je devait faire en Bus pour rejoindre la Ville de Courtenay...

Mon tendre aimé, lui, avait un trajet bien spécifique a faire... prendre un co-voiturage jusqu'à Lyon ou il passerais peut être voir son amie "Lolo" et ensuite faire du "Stop" pour monter jusqu"à Courtenay... - Je vous avouerais que je n'y croyais pas, je n'imaginais pas qu'il puis-ce venir jusqu'ici en Stop mais étonnament, il réussie et n'en fini jamais de me surprendre...

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Le jour J arriva enfin, je n'en pouvais dormir de la nuit et j'avais fait un sac de Voyage énorme, je ne sais pour quel raisons. Pour moi c'était comme un départ, un nouveau départ et j'en avais presceque oublier que cela ne durerait qu'une Nuit avant qu'il ne reparte loin de moi, mais, cette idée était coincée dans les lymbes de mon esprit, je n'y pensait pas, j'était en plein rêve... totalement en plein rêve, enfin, j'allait sentir pour la première fois, enfin j'allait pouvoir toucher et plonger mes yeux dans ceux de mon bien aimé.

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Je m'était habiller avec précautions, les cheveux, le maquillages, les vêtements, tout, absolument tout devait être parfait! Mais je me rendis compte avec gêne qu'il me restait peut de temps pour courir avec mes talons à dentelles noir, ma jupe et mon lourd sac jusqu'à l'arrêt de Bus qui me mênerait à Courtenay... Je me tourna alors vers ma mère et la pria de me déposer là-bas..

Celle-ci était secptique, elle refusa car elle ne voulait pas d'histoire si Sébastien venait à apprendre qu'elle m'avais déposer rejoindre Sylvain... j'insista, et avec l'aide de ma petite soeur, nous finissâmes par partir en voiture.

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Le Chemin en voiture était bercer par la belle chanson que m'avais envoyer mon tendre aimé dans mes écouteurs, sa propre composition qui m'avais permis pour la toute première fois d'entendre sa voie... cela n'en finissait pas.

Je pensait tout de même à Sébastien durant ce trajet, je ne voulait pas le faire souffrir mais rester avec lui était impossible, cela devenait invivable... il était malheureux mais je ne lui souhaitait que du bonheur et je voulait vraiment prendre ce nouveau départ. Ma mère, ma soeur me jueraire de garder le Secret et de dire à mon père qu'il était partie faire un tour, que j'était chez un ami et qu'il ne répondrais pas à Sébastien au téléphone s'il appellerais. Tout devait être parfait, mais je n'imaginais pas encore à quel point, j'était loin, très loin, extrèmement loin d'imaginer ce que j'allait voir ce jour là... ce jour là ou tout commença.

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Nous finissâmes par arriver dans la fameuse ville de Courtenay, là-bas personne... un épicier ouvert, un petit bar... mais je n'avais pas le cœur a boire, a manger... j'entraînais peut à peut ma mère et ma sœur dans un voyage qui venait de commencer pour moi. En parcourant la ville de haut en bas, nous viment la somme total de deux Hotel encore ouvert, j'entrat dans le premier, un Hôtel sublime ou le guichet déposer sur une moquette bordeaux s'adressa a moi a moi une dame... - Je lui posa alors la question « Y as t'il une place dans votre Hotel » mais celle-ci me répondit que non, tout était complet...

Ma mère et ma sœur courant derrière moi je me dirigea vers le deuxième et dernier Hotel de Courtenay, un rade assez (pourris) mais la réponse était la même, il n'y as plus de place Mademoiselle.

Dans un regard de panique je fixa ma mère, et lui demanda de nous héberger pour la nuit, Sylvain, mon tendre qui faisait du stop a quelque klm de là, au péage. – Elle refusa strictement et je savais qu'il n'y avais pas a parler. Son non était catégorique.

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Mais en retournant vers la voiture pour ramener ma mère et ma sœur chez elle, moi-même ayant souhaitez rester dans la ville, je passat un coup de file à Sylvain... et d'une voie amplie de détresse je lui annonça que tout les Hotel était plein... et que nous n'avions nulle part ou dormir... C'est alors que pour la première fois il me dit la chose suivante:

«Ne t'inquiète pas, la réservation est déjà faite»

Je n'en croyait pas mes yeux, je n'en croyais pas mes oreilles et retourna en courant dans le premier Hotel que je vis, celui qui contenait une moquette rouge et un buffet magnifique, l'Hotel de l'étoile. – J'entra à nouveau, et devant la dame qui tenait le standard je demanda une reservation à Mr D***** Sylvain... elle me demanda alors qui j'était, ... je ne savais pas me présenter et lui répondit alors que j'était sa petite copine pour qui il avais louer la chambre, elle sourit... se tournat et décrocher le derniers trousseau de clef du mur, elle me proposa de la suivre jusqu'à ma chambre mais je refusa et lui demanda de bien vouloir attendre que mon tendre aimé arrive. Elle m'assura que la chambre était réserver pour une nuit et que les clefs était là, que ma chambre était prête, elle m'assura que aucun soucis n'était poser – Il ne restait que moi, ma mère et ma sœur sur le porche de l'Hôtel attendant la venus de Sylvain.

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Ma mère et ma sœur savais autant que moi que Sylvain arriverai à l'heure même en faisant du Stop alors il décidaure de partir... et de me laisser devant le Porche de l'hôtel. Ma mère toujours pas très enthousiaste de rencontrer un «Gothique»... - Nous descendîmes alors les marches de l'Hôtel et sous le froid de l'Automne qui montrait le bout de son nez, mes talons on glisser... sur environ trois marches le bas de mon dos à frapper... ma mère et ma sœur riait en disant m'avoir vus réllement «Disparaître» et je ne pouvais point me plaindre de la douleur tellement mon cœur battait vite, je me releva les deux Os qui se situe de chaque côtés du Coxis briser. Je ne me plaignait pas et ne souffrais point, l'attraction mental dans laquelle Sylvain me mettait était bien plus forte que la douleur et devant ma mère et ma sœur que je rassuera je les vit partir a quelque mettre de moi, assise sur les marches de l'hotel....

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Assise a surveiller ma grosse Valise qui ne contenait pas une nuit de vêtements et autre accessoires mais une vie entière j'attendais en voyant le soleil ce coucher...Ma mère et ma sœur s'éloignais peut à peut de moi et c'est quand celles-ci passérent dans le coin d'une ruelle que je vis ce que je ne revis jamais de ma vie.

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Un garçon a l'allure démarquer avec un gros sac a dos arrivais en ma direction, ma vus me jouait des tour mais pas cette fois... pas cette fois... je cria le nom de ma mère, de ma sœur... mais elle était bien trop loin, il les avais les croiser, sortant de la ruelle, et les chaque pats qu'il faisait vers moi obligeait mon cœur a battre au même rythme...

Je me redressa et commenca a descendre les marches malgré la douleur, laissant mes sacs derrière mois, laissant mon manteau sur le sol, je j'entâma ma démarche sur la route ou celui-ci ce trouvais a quelque mètres...

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Plus celui-ci avançais, plus je me devait d'avancer, les jambes tremblante, la respiration allentante, je ne cessait d'essuyer mes mains amplis de sueurs dans mon dos quand il arriva enfin, après une marche infernal, une démarche immortel, un chemin, un trajet éternel face, ... devant moi.

En quelque seconde, je le reconnus, même s'il avais beaucoup changer par rapport à ces photos, car – cette fois-ci ces cheveux était attacher pour le trajet, ses yeux bleu souligné d'un train noir, un halo de même couleur les entourait... je remarqua à son oreille gauche un pendentif en Obsidienne Noir, un jean dechiré surmonté de grande bote lacé en cuir noir, ...

Pour la première fois je pouvais sentir vraiment sa présence, pour la première fois je pouvais sentir son odeur, pour la toute première fois je pouvais plonger mon regard dans le sien... et au delà les commodités, nous ne somment pas fait la bises, nous ne nous somme pas embrasser... mais dans son coup, de son coté droit je me suis refugier, sentant son parfum, sentent son existence...

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Il me regarda, les jambes tremblantes, les pupilles dilatés, et me proposa de rentrer dans l'Hôtel.. je le suivis alors ou je me présenta alors en son nom devant le Guichet et notre Chambre nous fut attribuer, passant dans une salle magnifiquement Victorienne, nous montions les marches main dans la main devant les miroires qui surplombé les escaliers jusqu'au moment ou je vit la Dame de l'Hôtel enfoncer la clef dans la Porte qui serais, qui était, qui a jamais fut notre premier chambre.

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Me regardant une dernière fois dans le miroir qui se situait dans le couloir de notre chambre, Mon Tendre à mes cotés, je n'avais pas peur, lui et moi, dans ce Miroir fut la plus belle chose que je vit de ma vie, cette vision... si étrange, si anormal ... me marqua à jamais et ce reflet que tout le monde aurait put trouver Basic était non pas un simple reflet dans un miroir mais il était un longue Histoire... Hô oui, une très longue Histoire...

[...]

Sa y est...

La Dame de service ce soir là venait de nous présenter notre chambre et je pouvais percevoir par la fenêtre qui se trouvais devant moi le Soleil ce coucher en ce mois d'Octobre 2018. - Je ne pouvais pas cacher mon angoisse, portant mon lourd sac, je chercha a tout prix à trouver des choses à faire, des choses à dires... mais il n'y avais rien, rien... Simplement le Silence du Repos, comme la Poudre d'une Victoire.

Regardant autour de moi je me demanda comment un garçon si peut fortuné avais réussie a loué une tel Chambre car en posant mon violon sur le petit lit d'enfant dans la pièce principal je vit a coté un lit de deux place... Je regarda Sylvain et son regard était fixer sur le même point que moi. Il observait. Alors je m'empressa pour tuer le Silence si Mystérieux qui régnait dans la pièce en m'asseyant sur le bout du lit deux place et lui proposa de venir me rejoindre.

C'est alors que je sortis de ma poche un sachet à Bulle ou j'avais confectionner tout un t'as de bijoux pour lui et je lui offris le regardant secrètement, l'admirant doucement pendant que celui-ci avait la tête pencher sur le pâquet qu'il ouvrait. - Il me remercia et adora mes créations, je le remercia et par peur que mon regard ne puis-ce se décrocher du sien je me dirigea vers mon gros sac que j'avais déposer au pieds de la fenêtre principal et y sortis trois bougie rose que je déposa sur la table blanche devant nous et me retourna pour le regarder en souriant. - Sa y est... le soleil était coucher et la Lune, témoins de toute chose, témoins de toute ma vie, de toutes mes nuits brillait au dessus de nous de Mille feu, de tout son éclat, sa pâleurs si froide avais déjà créer une lueurs blanche au creux de mes yeux noir et je sentis le courant, se mystérieux file, cette fascinante corde s'entourer autour de nous avant que je ne court avec tout l'irrespect du monde pour aller fermer la porter de la chambre à clef, en courant, je passa à coté de lui, confiante je descendis le petit escalier qu'il y avais dans la chambre et que je n'avais pas vus avant... Je tomba alors sur une deuxième chambre ou se trouvais une petite fenêtre et un autre lit une personne.. mais, ce n'était pas tout! En continuant ma route j'ouvris la porte au fond de cette chambre et arriva dans une salle de bain vraiment agréable ou se trouvais une baignoire et le voyant arriver derrière moi grâce au miroir qui me faisait face je lui dit en riant «Il sont dingues de mettre autant de Serviettes dans une seul chambre». Car en effet, après tout les détails dont je me souvient de cette chambre d'Hôtel gigantesque est le t'as de plus de quinze serviette entasser au dessus de la baignoire.. Je riait, je riait...

... Et enfin, sur mon visage, se traçait avec fatigue un premier sourire depuis des années,et pour la première fois depuis des années maintenant mes yeux se mirent à briller, mon corps plein d'Énergie, ma voix avait changer, mon corps détendus, je me sentait oui, oui, je me sentait Vivante – Dans cette chambre ou s'arrêtait le temps comme une pause Offerte par la Grâce d'un seigneur, comme un champs ou le vent souffle après une dure guerre, comme un Printemps qui renaît après que la Terre se soit arrêter de tourner. Cette instant précis, cette instant inoubliable ou les aiguilles d'une montres cesse de tourner, cette instant précis ou le monde cesse de parler, cette instant ou seul la Lune dans le Silence le plus complet enregistre en sa mémoire infaillible, divine et sans égale les images d'une personne qui re vie.

[...]

Après s'être assis a peut prêt sur tout les lits de la chambres et après multiples regard silencieux et mystérieux et échanger mon Tendre me proposa d'aller acheter une bouteille de Vin dans l'épicerie, qui dehors, dans la ville en Sommeil était rester ouvert. - J'acquis et sortant du Silence, marchant sur les pavés d'une veille Ville nous allions pour la première fois fêter notre Victoire. - Une Bouteille de Vin à la mains, nous retournâmes dans notre chambre ou nous seul avions les clefs, comme ... la chose qui réunissait le plus symboliquement en cette instant. Comme un petit appartement.

Si vous saviez comme j'étaie heureuse...

Nous n'avions évidement pas de Ver pour boire le Vin et bien de toute évidence pas de tire-bouchon pour ouvrir la bouteille alors pendant que je réfléchissait à ma manière de Jeune adolescente d'ouvrir les bouteille en les brisant je le vis s'asseoir sur le sol de la petite chambre qui séparait la salle de bain de la salle principal. - Je lui demanda ce qu'il fit et il me proposa de regarder. Alors Silencieuse, et comme si là était notre place je m'assis à ces cotés comme deux enfants riant sur le sol, et je le vis enfoncer deux clefs dans le bouchons, les faisant rentrer légèrement dans le bouchon en liège, je le vis pousser avec son torse les clefs pour que celle-ci coule le bouchon... mais cela, haha, je ne sus qu'après car sur un air des plus étonner je le regarda pendant quelque seconde, comme si le temps c'était figer, il venait de faire quelque chose qu'il avais dus faire des t'as et des t'as de fois dans sa vie mais assis sur le sol d'une chambre d'Hôtel à trois-cents la nuit, la bouteille a moitié renverser sur le sol j'eus... cette révélation. C'était un rockeur, oui c'était un SDF, un débrouillard, oui c'était un musicien, oui, dans sa veste en cuir noir il me tendis la bouteilles et nul besoin de Ver: Nous avions gagner! Cette soirée était la notre! Un arrêt dans le temps! Là, ou même les étoiles n'osait pas brûler ... par peur de nous déranger. Nos cœur battait en suspend...

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J'avais pris sur moi mes médicaments, et également mon Subutex (médicaments de traitement de substitutions à l'Héroïne) – Ce médicaments était rechercher par beaucoup de personne pour donner des effets corporel (non pas mental) très agréable comme l'euphorie, la détente... et je lui en proposa en lui indiquant bien que je ne lui en redonnerais jamais car il était très facile d'en devenir accro. - Celui-ci n'y avais jamais toucher, il ne connaissait pas et s'il aurais refuser cela ne m'aurais en rien toucher mais il me dit «Aller, pour ma Culture!» - Je lui en tendis donc un mais contrairement au autre personnes à qui j'en avais déjà proposer dans ma vie, il était la seul personne pour qui j'avais déjà acheter et était placer dans mon sac deux plaquette d'un médicaments anti-vomitiffe car ce médicaments fait très souvent vomir mais je ne voulait en rien le rendre malade même si je savais que le vomissement avec ce médicaments n'épargnais personne à la première prise.

Cette soirée était à nous et nous savions que le Soleil ce lèverais tôt, nous savions que demain ne serais pas le même jour et que nous n'aurions pas assez d'argent pour louer une deuxième fois une chambre, c'était ce soir, pas un autre, pas plus tard...

[...]

... Je ne me souvient malheureusement à cause des médicaments que je prenait et du mélange avec l'alcool des choses que j'avais faite en détails ce soir là, ... drôlement, il me les racontât plus tard et je pense n'avoir vraiment pas gâcher cette soirée.

Étrangement... la dernière chose dont je me souvient de cette Hôtel est d'être aller dans la baignoire sur un coup de tête, je me souvient d'avoir retiré mes vêtements et de n'avoir laisser sur moi que ma Jarretière en cuir noir en forme de Pentagramme sur le haut de ma cuisse droite que je voyait sous l'eau chaude qui coulait le long de mon corps...

Je me souvient de cette parole que je lui dit, complètement Ivre « Mon Tendre, rejoint moi dans l'eau » et la nuit fut longue... elle durât le plus longtemps possible, elle fut savourer à sa juste valeur, elle marqua un passage dans le temps qui à jamais restera graver dans nos mémoire, dans le regard de la Lune, dans les failles d'un espace temps qui c'est porter en lui nos rire, nos désirs, nos peurs, nos rêves, notre alliance...

[...]

Chapitre à terminer ... 

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