โด Prologue - Lettre ร Mickael
ยซ J'ai encore l'odeur de ton sang dans les narines, ton vรฉlos suspendus au garage comme l'รฉpave de nos temps d'enfance, je voie encore, dans le noire, ร travers les larmes, les bandages blanc serrer t'es poignets et prier Dieux que t'es plaies se referment pendant ton doux sommeil.
Je voie encore la douleur couler sur t'es joues rouge d'amour, et sa main qui me traverse sens cesse, ces insultes qui sortent de m'as bouche et comme ma voix imite tellement bien la sienne...
Je suis Folle ce soir,
dans mes yeux tu voie cette รฉnergie qui te fait peur, car tu la connais, tu la voie chaque nuit quand ร t'es peine, mon cลur et mon corps s'enfuit, 2oh tomber dans les sombre nuit d'hiver.
Je ne peut plus dormir et te supplie de rester a mes cรดtรฉs, ne t'en vas pas. Derriรจre la pomme C, ton pc, seul source d'espoir ou es dรฉconnections et les piรจges se mรชle a la folie.
Dans m'as tรชte il y a ses pleures, mes chairs dรฉchirรฉ ร coup de lame, je suis atteinte.
La putrรฉfaction de mon corps est devenus trop lourde a supportรฉ, je ne peut plus me regarder moi mรชme.
Mais je Ris.
Mais je Ris.
Quand la nuit tombe et ou les pรดles s'inversent, retiens - moi je t'en supplie, regarde la marionnette que je suis devenus, et les chaรฎnes a t'es pieds, les boulet des temps furie qui te traรฎne par amour et par haine.
Je suis piรฉger dans un corps au malรฉfice intense, regarde comme ma peaux suppure de douleur, regarde ma bouche comme elle saigne de t'expliquer, regarde dans mes yeux le dรฉsespoir de ton sectarisme ...
รcoute moi! รcoute moi!
Encore, quand je sais parler. Mes lรจvres sont dรฉchirรฉ par la rรฉpรฉtitions et t'es rires sont si dure a supporter.
Regarde la marionnette que je suis devenus. Toi qui de t'as tendresse en as filer les cordages. Je ris, seul, tu m'entend, et je sais que quelque part tu as peur, je sais que quelque part, tu me croie... .
Regarde sur la table basse des juges le tracer de sa mains, les doigter prรฉcis du sorcier qui รฉmerge de sa peine et nous tire hors du gouffre .. ALLEZ... Rรฉveille-toi.
Je sais, que toi aussi parfois tu te demande comment tu est encore ici, et pourquoi jamais vivant nous n'en somme sortis intacte.
Car mรชme si aujourd'hui sous les paumes de t'es mains mon regard est devenus noire, et que ma peau est devenus si blanche qu'elle ne peut plus te rรฉchauffer, je voudrait que tu entendent, encore au plus profond de ton รชtre, sur ce ban, dans les forets, sur les routes de nos temps morts, encore je voudrait, une derniรจre fois que tu entende, de m'as voix tendre de fillette, de mon รชtre de tendresse, la douleur qui รฉmane de mes os, de mes jambes dรฉchirรฉ par les ronces; de la course et de ma peaux qui s'รฉtire sous le feux d'un encens chauffer ร rouge...
Encore une toute derniรจre fois, Mickael, Mickael...
Ce n'รฉtait pas moi. ยป
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