Chapitre XV - Ma Vie de Narcolepsie

Versé I - Maman, il faut que je me soigne

Je ne supportait pas de devoir compter sur Sébastien pour obtenir mon traitement, je voulait vraiment avoir mon petit traitement de Subutex a moi pour être rassuré mais pour cela il fallait que j'avais a ma mère et a mon père que j'en prenait...

Il n'est pas facile, croyez moi de dire a sa mère que l'on prend un médicaments de substitution a la drogue depuis environ 1 ans et que l'on ne peut plus s'en séparer.

Mais ce fut un jour ou devait se dérouler un bon et copieux repas dans notre famille du côté de ma mère que je trouva le courage de tout avouer.

Seul, dans la voiture, pendant que tout le monde riait autour de la table qui se trouvais dans le jardin et pendant que les enfants de notre génération futur jouait entre-eux je suis tomber en état de manque dans celle-ci au point de ne plus pouvoir bouger.

Rapidement, j'ai appelé la personne en qui j'avais le plus confiance, une personne qui, je le savais ne me trahirais pas mais surtout, ne me jugerais pas !

C'est alors, que mes deux Tante dont la personne en qui j'avais le plus confiance ma marraine sont arriver a mes côté dans la voiture bien garé ou je commençait a suffoquer.

Et c'est avec le plus grand courage du monde que j'ai commencer a tout leurs avouer. Et, au contraire de ce que je pensait, elle ne m'ont pas juger, elles se sont mises a m'écouter et a me comprendre, a comprendre que j'avais essayer de me soigné moi-même ... tout simplement.

Elle ont été de suite avertir ma mère avant que je ne fasse un gros malaise et celle-ci n'avais pas l'air en colère... peut être un peut surprise, peut être un peut triste mais je ne voyait pas de colère, juste de la déception.

Versé II - Les médicaments

Maman avais bien compris que j'avais fait ce geste, elle avais compris que je prenait de la méthadone et du Subutex pour aller mieux, pour essayer de me soigné et elle pris donc la décision de me mener chez un Psychiatre pour me donner un véritable traitement qui me serais adapté.

Mais comme ont le dit souvent « un Patient guérit est un client perdu » c'est alors que je suis tomber sur le pire des médecin... alors que je n'y connaissait rien au médicaments et que je recherchait seulement de quoi atténuer mes émotions hors du commun, celui-ci me donna un très très lourd traitement pour mes 47 Kg.

Ce traitement était composé d'un antianxiolitique, d'un antipsychotique mais surtout et surtout d'un antidepresseur dont la dose, était une dose mortel...

J'ai vécus avec ce traitement beaucoup de temps, des années peut être mais il me faisait du bien ... il me calmais, me mettait dans un genre de neutralité ou je ne ressentais ni malheur, ni bonheur...

J'étaie ce que l'on pouvais appeler une morte-vivant. Complètement clouter au médicaments, je n'était plus qu'un corps sens âme et marchant sur mécanisme automatique : dormir – manger.

Mais il était trop tard pour me soigné, malade des Nerfs depuis ma naissance, j'avais goûter au Subutex et je ne savais plus m'en passer même avec tout les médicaments que le Psychiatre m'avais fournis.

Longtemps, longtemps, les gens ont crus que j'étaie une ancienne héroïnomane pour prendre du Subutex, hors le contraire s'imposait. Je devait aller me chercher de l'héroïne quand je n'avais plus de Subutex.

J'ai essayer des t'as de fois de me séparé de cette addiction mais aussi des médicaments qui en réalité faisait de moi quelqu'un de morte et sans aucune émotion. Je les ressentais peut a peut m'anéantir..

Sur un coup de tête, j'ai compris que les antidepresseur était trop fort pour moi, un autre psychiatre ma confirmer que je prenait une dose mortel pour mon poids chaque jour. J'ai donc décider de les arrêter sur un coup de tête... soit, ce qu'il ne faut jamais, jamais faire.

Car ce qui m'est arriver n'était pas un simple manque d'antidepresseur mais je suis tomber dans une délire psychédélique de visions et d'hallucination en tout genre.

L'hôpital dans lequel nous n'avons pas eu le choix de me mener, est l'hopital de ma région, de ma ville, quelque part ou il ne faut pas aller car la qualité y est médiocre comme vous avez pus le voir avec le dose mortel d'antidepresseur que l'on m'as donner.

Une fois arriver là-haut et après de très nombreuse allucinations qui m'ont même faite cracher au visage de Sébastien, les infirmières m'on faite une prise de sang et la psychologue est venus me voir...

Peut a peut, je reprenais mes esprit et pouvais parler ainsi que voir correctement, mais ce que je vis n'était pas du tout.

Ma famille entourait le lit dans lequel j'étaie allonger et mon tendre Sébastien en pleurais en bout. Quand tout d'un coup l'infirmière me dit devant tout ce petit monde « Mlle Wrzesiak, vous avez tenter de vous suicidez »

Bien sur que non, je n'avais pas essayer de me suicider, au contraire je voulait simplement vivre et arrêter ces antidepresseurs alors pourquoi en avez telle conclut cela ?

La réponse était bête et Stupide à la fois, mais je ne riais point devant tout ces gens qui voulait me faire renfermer... en réalité, elle avais juger au résultat de ma prise de sang que j'avais voulut mourir en me donnant la mort grace a des médicaments... Ce qui était bien sur Faux mais le nombre extraordinaire de médicaments que j'avais dans le sang et le nombre extraordinaire de dose que m'avais prescrit le psychiatre donnais l'impression que j'avais voulut me donner la fin en m'intoxiquant avec ceux-ci alors qu'il n'était que mon traitement prescrit...

J'ai mis longtemps a leurs faire comprendre que je ne souhaitait pas mourir, que j'avais juste arrêter brutalement les antidepresseur et que c'était de cela que venait ma crise... personne ne me croyait avec la dose de médicaments que j'avais dans le corps... jusqu'au moment précis ou j'ai été obliger de sortir mon ordonnance pour leurs prouver que ce qu'il avais vus dans mon sang n'était pas une tentative de suicide mais juste ... simplement ... un traitement extrêmement surdosé.

Versé III - L'Apprentissage du Sommeil

Je n'arrivais pas a me débarrasser de tout ces médicaments ... du Subutex et a la fois de ce lourd traitement qui était composé de 4 Seroplex par jour, de 3 Tercian ainsi que d'un Abilify dont les dosages était les plus fort.

Je suis tomber dans une neutralité de vie ou je ne ressentait ni la colère, ni l'amour, ni le malheur, ni le bonheur...

Rapidement, ce que je fut, fut morte.

Je ne pouvais point sortir le soir avec mes amies comme je l'avais toujours fait , je ne pouvais pas non plus aller travailler, aller au lycée, non je ne pouvais plus rien faire car ce traitement serte me soignait mais il m'endormais...

Et une fois dans les bras de Morphée nous somme pris, il est extrêmement dure de s'en défaire.

Je dormais volontairement... au début... pour me faire passer le temps, un temps qui n'existaita que chez les autres, dormir, manger, était ma seul façon de vivre et de pensé. Je dormais même parfois plus de 72 heures sans que personne ne parvienne a me réveillée ...

Je m'endormais même parfois 48h de suite, pour me réveiller 30 minute afin de manger et je retournais me recoucher aussitôt pour un nouveau sommeil de 48 ou 72 heures.

Versé IV - Vivre dans la Neutralité

Effectivement, il faut savoir que sur la notice de mes antidépresseurs était inscrit en gras et italic « Possibilité de mort Subite » et j'en avais bien plus a prendre que mon corps ne pouvais en encaisser...

Avec le temps ces médicaments ont fini par me calmer... ils ont réguler mes émotions au point même de ne plus en ressentir, il ont réguler mes humeurs au point même de ne plus savoir vivre...

Mais c'est là que deux choix se proposait a moi. Prendre mes médicaments et éviter au autres mes sauts d'humeurs et d'émotions mais renoncer au rituels puissant que je pouvais réalisé, c'est à dire vivre dans la neutralité ou ne pas les prendre pour garder en moi toutes les sensations de la vie mais ayant des émotions pousser à l'extrême. Il fallait que je choisisse et j'ai choisit ce qui était de mieux pour mon entourage; soit m'en accablé jour et nuit...

[...]

Un jour tendis que je n'en pouvais plus de vivre dans ce monde sans émotions et qu'il m'était impossible de réaliser le moindre rites, j'ai décider d'arrêter brutalement les antidépresseurs... chose a ne pas faire bien sur mais pourtant je l'ai fait...

Les premiers jours se passèrent bien, j'étaie plutôt calme car encore ancré par ceux-ci mais vain le 3° jour ou mon corps se retrouva en état de manque... et je vous avoue de ne plus me souvenir de grand choses, mise a part de choses que l'on m'as raconter par la suite...

[...]

J'avais eu comme une crise d'hallucination total ou j'avais pris mon père pour un cheval, courant en chemise de nuit dans les couloirs de l'hôpital de ma ville, il paraît que j'avais de très grande absences... et beaucoup de crise de délire. Je ne pensait pas, effectivement qu'un manque d'antidépresseur pouvais nous faire réagir comme cela...

Et pourtant, c'est en me réveillent dans le lit d'un Box numéroté à l'hôpital de Montargis que je vis une psychiatre me dire « Mlle, Vous avez essayez de vous donner la mort » sur ces mots qui m'ont grandement choquer, je n'ai sus seulement répondre que cela était faux mais la Psychiatre insistait très brutalement et faisait tout pour me faire comprendre que j'avais essayer de me donner la mort.

J'ai donc fini par lui répondre d'un ton agacé « Madame, je sais quand je veut vivre, je sais quand je veut mourir et je peut vous affirmer que je n'ai pas essayer de me donner la mort! ».

Cette femme en questions ne me croyais absolument pas et je ne savais pas du tout d'ou elle sortais cette conclusion hative, tout ce dont je me rappel c'est quel a essayer de me faire renfermer dans une maison de Psychiatrie pour tentative de Suicide et que mon doux Sébastien qui était encore à ce moment mon copain avais du se battre pour que je reste « Livre »

[...]

Aussi drôle que cela puis-ce paraître j'ai fini par rentré chez mes parents et par comprendre pourquoi la Psychiatre en était arriver as une tel conclusions.

Celle-ci, avais tout simplement fait une prise de mon Sang et en voyant le lourd traitement médicamenteux que je prenait, elle l'avais confondus avec une prise volontaire de médicaments pour me donner la mort... je revint donc quelque jours plus tard a l'hôpital pour lui expliquer son erreur; lui expliqua que ce qu'elle avais vus dans mon sang aussi puissant était-ce n'était pas une prise volontaire de médicaments pour me donner la mort mais que c'était tout simplement mon traitement de chaque jours...

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Versé V - Les Papillons

Suite à ma grande pris de médicaments il est devenus impossible de travailler car soit étant Narcoleptique je m'endormais sur tout mes travail, soit c'était les médicaments qui m'endormais...

Cette situation as durée plus de 3 ans ou j'ai vécus avec la somme total de 50 euros, soit assez pour nourrir mes petits lapins et m'acheter mes cigarette tout le long du mois.

J'étaie priver de tout ce qu'une jeune fille pouvais faire, du Shopping, Sortir ou encore offrir des cadeaux a ces proches, j'étaie priver de beau vêtement et de maquillages... priver de sortis, et donc à la fois d'ami(e)s... je vivait seul dans un monde de sommeil...

Ma mère désemparer par ma situation ma donc proposer de me faire reconnaître handicapée...(pour la seconde fois) car la première fois avais été un grand refus de la part de la Maison Départemental des personnes Handicapées.

J'ai donc remplis avec elle a nouveau un dossier 3 ans après pour retenter ma chance auprès du conseils Général de la MDPH qui as mis plus de 6 mois à être étudier...

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C'est après une grande étude de mon dossier qu'il mon juger pourtant « Apte à travailler » et malheureusement je ne l'était pas, j'étaie trop Malade pour travailler et pas assez pour être aider. Comme coincée entre deux eaux.

Nous avons donc demander ce qui se nomme un « Recours Gracieux » c'est a dire une ré-étude de mon dossier ... et c'est à ce moment précis que je devait m'expliquer devant une assemblée de plus de 30 personnes pour faire valoir ma cause, pour exprimer mes désirs...

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Quand le jour fatidique arriva, j'attendais patiemment dans la salle d'aider de la MDPH mon tour et je savais qu'une grande tablé de 30 personne m'attendais dans la pièce d'as côté pour me juger sur tout ce que je dirait et faisait. Je n'avais qu'une seul et unique chance de m'exprimer... et il était l'heure.

Quand il fut a mon tour de passer devant cette grande assemblé, j'avais la possibilité de choisir une personne pour m'accompagnai et je choisit sans aucun doute ma Maman car je savais qu'elle me soutiendrais comme jamais...

[...]

Nous avons alors pousser la porte pour rentré dans la pièces ou une trentaine de personnes assises autour d'une table rectangulaire m'attendais... Il me demanda tout d'abords de me présenter, je m'exécuta.

Ce qui ne passait pas était que j'avais réussie a trouver un tout petit CDI en t'en que femme de ménage pour une dame que j'appréciais beaucoup et qui connaissait mon handicape, je venais juste de trouver ce travail et je n'avais encore jamais toucher d'argent de celui-ci mais j'étaie très fière de moi. Je savais pertinemment que demander une aide financière a la MDPH avec un petit travail derrière qui me rapportait la somme de 200 euros par mois serais compliquer mais comment voulez-vous vivre avec 200 euros par moi? Je ne voulait pas vivre toute ma vie ainsi avec seulement les 4h de travail par semaine que je pouvais réaliser a cause de mon handicape et mes médicaments...

La MDPH commença a me demander pourquoi je souhaitait toucher un peut d'argent soit ce que l'on nomme la AAH (Allocation Adulte Handicapée). J'ai donc commencer par leurs expliquer que je ne pouvais pas faire plus de 4 petites heures par semaine et que malgré cela je voulait tout de même vivre, avoir mon permis, une voiture et surtout un toit sur ma tête avec mon tendre Sébastien...

C'est alors qu'ils mon poser un cruelle ultimatum. Il ont souhaitait me donner la AAH, soit une somme de 810 euros par moi mais en contre partie je ne devait plus travailler étant reconnus a mon stade a 79%...

Je me suis mise a fondre en sanglot et quand la trentaine de personnes recommences a me poser des questions auquel il m'était impossible de répondre a travers les larmes ma tendre Maman à parler pour moi et leurs a expliquer que ce travail en CDI était très important pour ma vie Psychologique, que ce travail était comme pour moi une fierté... et étrangement, ces gens de nature froide se sont mis à ma place ce jour là.

Pour cesser mes pleures une femme qui faisait partie de la trentaine de personnes ces approcher de moi et ma tendus un papier d'une association pour les personnes handicapée qu'elle avais créer et qui se nommais « La Chrysalide » 'est à partir de cette instant que mon monde à légèrement changer...

[...]

Je fini donc par obtenir de la MDPH une reconnaissance handicapée a 79% ainsi qu'elle immunisation de 810 euros tout les mois.

Je pris ma tendre Mère dans mes bras en remercient mille fois cette assemblée qui m'avais permis de vivre et a la fois de garder mon travail. Nous avions gagner, enfin, après 3 ans d'attente et de sans cesse combat.

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Le court de ma vie repris alors sont rythme normal mais j'avais pus me rendre compte d'une chose auprès de ma Maman qui voyait exactement ce qui se tramait autour de nous. Effectivement, après cette réunions nous allions chez le docteur en voyant des cartes de visite décoré par des Papillons et tout ce que nous voyons toutes les deux durant les 3 mois qui suivre la convocation, nous n'avons pas vécus un seul jour, une seul journée sans voir un papillon quelque part...

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Je rêver que j'étaie un Papillon, je rêvais aussi très souvent de Papillon mais surtout j'en voyais et cela absolument partout ou j'allais! Quand la nuit tombais, une unique et petit papillon blanc se présentais toujours a moi durant mes balades nocturnes et encore aujourd'hui à chaque fois que je sort le soir seul dans le noir de la nuitée, je voie cette unique petit papillon blanc voler a mes côtés.

[...]

Versé VI - Le plus Beau jour de ma Vie

Pendant que j'empruntais doucement et calmement le chemin de ma nouvelle vie en t'en que personne reconnus handicapée au côtés de mes tendre Sébastien et de ces parents...

Ce fût pendant une veille de la St Valentin, soit le 13 Janvier d'il y as moins 6 ans... je ne saurais pas vous dire la date exacte car le temps, le bonheur passe tellement vite a ces côtés...

Que celui-ci dans notre petite Chambré chez mes beau parents dans laquelle nous vivions m'avais écrit un petit mots sur une feuille, un simple petit morceau de papier blanc plier en deux mais que je n'ouvris pas comme les autres, car étant bien trop timide l'amour de ma vie c'était accroupie en bas du lit sur lequel j'étais assise et tout en me tendant une boite magnifique dans laquelle se trouvais un bijoux me fit lire ce petit morceau de papier à haute voix.

Il était inscrit sur celui-ci qu'il m'aimais et cela depuis des années mais ce petit mots écrit avec Tendresse et Amour me paraissait tout a fait différents des autres ...

Effectivement, là, était inscrit sa demande en Fiançailles... L'Homme de ma Vie, Sébastien Carlier venait de me demander ma main. Et je n'osa que peut relever la tête pour lui sourire de toute mon âme, les yeux en amendes, le cœur dans la main, je lui dit en souriant avec stresse « Bien sur que oui mon Amour, je veut t'épouser » Nous nous somme souriez pendant un instant... embrasser pendant un long moment... et enlacer comme jamais nous ne l'avions fait...

[...]

C'est quand il me passa cette superbe bague composer de Rubis et d'Or qui a eu seul s'entrelacer que le rêve de toute ma vie se réalisa. J'étaie devenus une Femme mais pas seulement... J'étaie devenus sa Femme, celle de celui que j'aimais et que j'avais toujours aimer... 

Versé VII – Eva

Pendant ma lourde Convalescence mais après cette bonne nouvelle, cela juste après que mon Tendre Sébastien m'est demander en Fiançailles, il s'installa dans notre Union parfaite un Parasite du nom de Eva.

[...]

C'était par un jour début de Février que tout commença... Eva était mon amie et venait de perdre son copain... Cette fille amoureuse était dans un état des plus pittoresque et saignais du nez, tombais dans les pommes tellement son copain lui manquait...

Elle me contacte quelque jour plus tard alors que j'habitai encore chez les parents de mon fiancé pour me demander de l'aide... car avec la réputation que je m'était faite dans le milieu de l'Occultisme elle pensait vraiment que je pourrait arranger sa situation mais je préfère tout d'abords essayer de régler les choses simplement avant de me lancé dans des rites qui n'en finissent pas et peuvent nous entraîner bien plus loin que l'on ne pourrait l'imaginez.

Eva, nous avais donc rejoint chez les parents de Sébastien pour y trouver réconfort et paix mental et je m'atteller de toute mon coeur a la tâche de tout faire pour qu'elle s'y sente bien et qu'elle puis-ce se reposer.

[...]

Eva était du Signe Astrologique Vierge et même si je ne met pas tout le monde dans le même panier j'ai appris par mes diverses connaissances a me méfier des personnes, surtout des filles qui portes se signe car elles sont des personnes très sur d'elles, des personnes qui se croit irrésistible mais aussi de grande briseuse de couple ... mais Eva était mon amie et il m'était impossible, improbable de la laisser dans l'état dans lequel elle se trouvait.

J'ai donc commencer par lui proposer de rester a nos côtés pendant un certain temps, le temps, soit, qu'elle se remette de ces émotions et me suis servis de Sébastien en lui demandant de se faire passer pour son « Grand Frère » tout comme il l'avais fait pour moi dans le passé afin que je me sente bien et en sécurité.

[...]

Eva était dans un état plus que Lamentable, elle ne vivait plus, ne savais plus qui elle était alors j'ai tout mis en œuvre pour la chouchouter et prendre soin d'elle, tout en commencent par lui donner une photo (porte feuille) de mon fiancé que je lui ai demander de garder sur elle... cela afin de l'accompagné dans les durs jour qui l'attendais.

Celle-ci se sentait bien en notre présence, elle partageais les même passions que moi et que Sébastien... elle mangeait avec nous as chaque repas, arrivait le matin pour repartir chez elle le soir... elle vivait à présent à nos côtés pour se remettre de ces émotions.

[...]

Quand arriva le jour de la St Valentin, soit quelque jours après le jour des mes fiançailles avec Sébastien. Celui-ci m'avais offert et je m'en souvient comme si c'était hier, une magnifique rose au fleuriste de Cepoy ... mais quelque chose me tracassait...

J'avais tellement de peine que Sébastien m'offre cette rose devant le cœur encore déchiré d'Eva que je lui demanda explicitement de lui en acheter une, bien sur qu'il lui offrirais de sa propre main en guise d'amitié pour fêter la St Valentin. Celui-ci s'exécuta.

[...]

Les jours passèrent et Eva se sentait de mieux en mieux... en avait oublié sa rupture et été prête a repartir sur de bonne bases, du moins, c'est ce que je pensait... je pensait avoir aider quelqu'un alors que je venait de lui donner tout ce que je possédais sur cette Terre...

[...]

Quand les choses finissairent par mal tourner... Chaque Matins, quand je me réveiller dans le doux lit conjugale de mon Fiancé, celui-ci était là au bout du lit avec elle a jouer sur un célèbre jeux sur Téléphone... Voilà la première chose que je voyait le matin.

Je ne savais pas encore se qui se tramait dans mon dos mais j'avais besoin de Parler à Sébastien qui s'éloignait de plus en plus de moi. Je lui demanda donc de venir me rejoindre dans le couloir qui se trouvais juste à côté de la chambré de façon à lui parler sans blesser Eva pour lui dire qu'il fallait qu'elle s'en aille car elle commençait a aller mieux.

Mon Fiancé me regardait un coup sur deux, la regardant également assise et seul au bout du lit, par tout les mots possible j'essayais de le faire se concentrée sur moi, lui rappeler nos diverses projets... mais rien n'y faisait il braquait sont regard un temps sur deux sur elle.

[...]

C'est alors que je me suis retourner et que j'ai regarder Eva, je lui ai alors dit « S'il te plaît Eva, laisse-nous parler tranquillement, rentre chez toi » mais celle-ci ne bougea pas ...

Elle resta assise là, sur le bout de notre lit comme si elle savais qu'elle ne devait pas bouger. J'ai donc trouver cela vraiment impolie de sa part ... très déplacer... très malsain... et pendant que je suppliait Sébastien de la faire partir pour parler tranquillement avec lui, celui-ci restait dans un silence de Glace.

Il ne me fallut que peut de temps pour comprendre que ce n'était plus à elle de partir mais que c'était à moi de rassembler mes affaire pour quitter la chambre dans laquelle j'avais vécus pendant 10 ans.

Tout en jetant en dernier regard à Sébastien, soit l'homme qui m'avais demander ma main 1 an plus tôt je rassembla quelque affaire et partie par la fenêtre de la chambre, la laissant assise là, prêt de lui...

[...]

Je venais de perdre par ma faute, par la faute d'avoir voulut trop aider l'homme que j'avais toujours aimer.

Les Bras charger de Sac, je marcha en direction de Châlette sur loing, soit une petite ville a 45 minutes a pied ou habitait toujours mes parents pour me réfugiée dans ma maudite chambre. Les laissant tout deux dans une Paix que j'avais du mal a tenir, ne portant aucune haine en moi, simplement du regret, un grand et très lourd regret... celui d'avoir trop donner, celui d'avoir trop fait confiance...

[...]

Arriver chez mes parents qui avais toujours été là pour moi, je déposa mes lourds sac dans ma chambre et m'installa devant mon ordinateur pour laisser un tout dernier message d'Adieu à Sébastien.

Mon Père, ma Mère, ma Sœur affolée ne mirent pas très longtemps a me rejoindre dans ma chambre pour sécher les nombreuse larmes qui coulait à flot sur mes joues rougis par le regret. Mon père assis au bout de mon lit poser sur le sol était devenus l'homme de ma vie, ma mère derrière l'ordinateur ne cessais de me répéter qu'il reviendrait, ma sœur écœuré de l'acte de Sébastien resta sans voix...

[...]

10 ans venait de ma vie triste vie venait d'être balancer à la poubelle comme s'il ne valait absolument rien et ma bague de Fiançailles au doigt comme un Unique souvenir de notre amour commun... J'essayais néanmoins de garder le côté positif de cette passade de ma vie et décida de m'inscrire sur de très nombreux sites web pour me faire de nombreux ami(e)s y compris un site nommé LovinGoth.

Et comme vous le savez, l'on récolte toujours ce que l'on sème.

[...]

Sébastien savais tout de même m'accorder en compagnie de sa nouvelle copine un minimum de temps sur le net ou l'ont pouvais se parler par Webcam, conférence vidéo. Mais ce que j'ignorais c'est que cette fille que j'avais t'en aider riait de me voir pleuré sur celle-ci assise à ma place dans le doux lit de mon fiancé.

Sébastien avais été longtemps l'homme parfait et n'avais connus que moi dans sa vie, autant amoureusement que sexuellement, j'étaie donc plus que persuadée qu'il se servirait de la première occasion pour voir ce que cela donnerais avec une autre fille et cette idée me faisait peut à peut perdre la tête...

Sébastien m'avais toujours été d'une fidélité à toutes épreuves et n'avais jamais chercher à trouver quelqu'un d'autre quand nous nous séparions pendant un courts lapes de temps ou quand nous nous engueulions, c'est la raisons pour laquelle je restait choquer.

[...]

Ma Trahisons fut doublé quand j'ai appris quelque temps après que ma belle mère qui me connaissait et m'avais héberger depuis des années invitait régulièrement Eva ou l'acceptais pour papoter avec elle ...

Mon grand soucis et que je n'ai jamais sincèrement avouer et que je ne supporte pas la solitude... c'est la raisons pour laquelle je m'était inscrite sur diverses site pour me faire des amies mais malgré mes durs effort, les gens était bien trop loin de chez moi...

[...]

C'est alors que je me suis rabattu sur la pire personne que nous entouré, une belle, joli et parfaite Racaille que l'on nommais « Bastoune ».

Celui-ci était non pas seulement un voleur, un trafiquant de drogue, un violeur mais avais aussi fait de la prison par séquestration et mort involontaire ... Mais il était la seul personne qui voulait bien de moi ce soir là, il était la seul personne capable de me tenir compagnie même si je savais que ces intentions envers moi était plus que mauvaise et malsaine.

C'est donc à quelque heures du Matin que je demanda, supplia Sébastien de venir me rejoindre prêt de chez mes parents car je ne supportait plus sa perte et encore moins la solitude mais celui-ci devait être trop bien occupée avec sa douce dulcinée pour refuser de me rejoindre. Je pris donc le chemin de la route qui me mènerais chez cette Racaille...

[...]

Arriver dans son premier appartement... Oui, car celui-ci faisant du trafic de drogue il possédais plusieurs habitations il me dit de rentré habiller de ma plus belle tenus et je m'exécuta.

La soirée se passa plutôt bien quand il m'offris un peut de drogue pour calmer ma tristesse et la soirée fut sereine avant qu'il n'essaye de me sauter dessus comme un sauvage et comme à ces habitudes.

Qu'avais-je à perdre?

Je venais de perdre 10 ans de ma vie, soit la moitié de celle-ci en quelque instant alors me faire violé n'y changerais rien... Je le laissa donc faire mais mon corps bien trop contracté par la Souffrance que m'avais infligé Sébastien le repoussé sans-cesse... Je me souviendrait toujours de cette Racaille essayant de violer mon intimité pendant qu'une douce larme coulait sur ma joue droite et voulait tout dire « Ou est mon Sébastien pour m'aider ? »

Il ne parvint pas ce soir a profiter de moi à sa guise, car même si mon esprit se fichait complètement de la situation, mon corps le refusait.

[...]

Le lendemain matin, je ne sais pour quel raisons Sébastien ma demander de venir chez lui ou plutôt chez ces parents ou donc il habitait et effondré en bas de son lit je lui expliquait avec honte et regret, les larmes coulantes, complètement effondré que Bastoune vais essayer de profiter de moi.

Il fallait peut être ceci à Sébastien pour se rendre compte qu'il m'aimais encore car celui-ci entra dans une colère noir et voulut aller tuer Bastoune, lui faire du mal comme il n'était pas permis de le faire. Je sus, à ce moment là qu'il avais encore des sentiments pour moi...

Car oui, pendant que sa cruelle et ignoble Eva lui avais monter la tête pour ne pas venir me voir j'étaie partie trouver réconfort auprès de la personne la plus ignoble que je connaissais, il remis directement la faute sur elle et la laissa tomber sur le Champs.

[...]

Nous avons appris tout les deux par la suite que si Eva avait perdus son copain c'est car elle l'avais tout simplement tromper avec de très nombreux garçon comme à ces habitudes... Nous avons déballé a deux le « sac » que Eva portait sur elle et avons appris qu'elle se faisait charmer par tout le monde dans le milieux ou celle-ci travaillait et qu'elle appréciait cela, ce qui avais rendus fou le garçon qu'elle avais perdus. Tout devenait logique.

A l'heure d'aujourd'hui je ne serais jamais les conjurations de Sébastien s'ils ont coucher ensemble... Car sachez-le j'aurais préférer qu'il couche ensemble plutôt que mon tendre Sébastien lui dise « Je t'aime », effectivement, j'ai toujours fait passer le cœur avant le corps.

Je ne saurais vous citer combien de fois Sébastien c'est excuser de son geste, de m'avoir quitter, d'avoir dormi avec elle et autre... mais je n'avais pas le choix de le pardonner car il n'avais fait qu'une erreur face à toutes celle que j'avais faites, il était donc normal que je ne lui en veuille pas.

Sébastien, aujourd'hui se vente de dire qu'il n'as connus que moi... mais jamais je ne saurais la vérité et cela malgré l'avoir chercher encore et encore. Car un mensonge avouer est un acte a moitié pardonner.

Versé VIII - Une Vie Paisible

Malgré tout les médicaments que je devait prendre et la vie dur que je menais il y as avais toujours une personne qui était prêt de moi: Sébastien Carlier.

Vous savez, ce fameux Sébastien qui fut mon tout premier copain et que je fini par quitter pour Mickael et Boby... Lui, il as toujours été là tel un ange veillant sur moi. Je me souvient encore de tout ces soirs ou je marchait de Châlette jusqu'à Cepoy a pieds pour rentré par la fenêtre de sa chambre et pour, ainsi dormir auprès de son doux corps.

La MDPH nous avais tout de même beaucoup aider car même si Sébastien était un très grand et renommer Paysagiste il fallait que je gagne aussi un minimum d'argent pour que nous puissions nous prendre un appartement bien à nous.

Si vous avez bien suivit mon histoire vous serez que j'ai rencontrer Sébastien a mes 12 ans, soit à mon entré au Collège et que je n'ai eu que deux petit « coupures » avec lui, celle avec Mickael qui aura durée 3 ans et celle avec Boby qui en aura durée 2. Autrement Sébastien as toujours été a mes côtés en t'en qu'ami, confident, grand-frère mais également fiancé et petit ami.

Il était très compliquer pour nous de ce voir c'est la raisons pour laquelle je vivait la moitié du temps chez ces parents qui avec générosité voulait bien m'héberger, serte dans une minuscule chambre mais qui était la notre...!

[...]

Mais au bout de plusieurs année a vivre dans sa chambre chez ces parents je lui ai dit qu'il serais t'en que nous prenions notre propre appartement. Ayant tout les deux un minimum de revenus il n'y avais aucun soucis pour réaliser cela.

L'appartement que nous convoitions t'en se trouvais juste au dessus de chez ces parents dans le « Moulin Neuf » de la ville de Cepoy donc je vous ai tellement, tellement parler... mais il était déjà habiter par une jeune femme qui devait partir de celui-ci dans quelque mois.

[...]

Nous n'avons même pas eu le temps de nous armer de patience qu'une Catastrophe Naturelle frappa Cepoy de plein fouet!

Cela se déroula un certain 29 Mai 2016, pendant que je dormais paisiblement dans le lit de mon fiancé chez ces parents je le vis se lever d'une traite et lui demanda ce qui n'allais pas pour se lever si tôt et sans même me faire le moindre câlin, ce qui n'était pas a son habitude. Celui-ci me répondus en courant pour sortir de la chambre « L'on est inondé! » - Complètement dans les vapes et encore a moitié endormis j'eus une envie de sandwich et lui demanda gentillement de m'en préparer un puis-ce que celui-ci sortait de la chambre (il faut avouer que je n'aimais pas trop en sortir car je me trouvais toujours gêner de me dirigée vers la cuisine de ces parents pour me servir a manger) – Celui-ci ne me répondit même pas et filer de la chambre à toute vitesse en enfilant son jean en 2 temps 3 mouvements... Il y avais effectivement quelque chose de pas mal.

Toujours coucher dans le lit de mon tendre amour, la maison de ces parents se situais précisément dans le Moulin Neuf, entre le Canal et le Loing soit deux grand fleuves qui entourais la maison depuis des années.

A moitié réveiller et complètement casser par les médicaments que je prenais régulièrement j'eus tout de même le reflex de regarder par la fenêtre de la chambre de Sébastien tout en restant allonger sur les deux coudes.

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Je vis à ce moment précis quelque chose que je n'avais jamais vus et que d'ailleurs la ville entière n'avais jamais vus depuis plusieurs siècles maintenant! L'écluse qui se trouvais devant chez nous était littéralement en train de débordée et l'eau s'infiltrait peut a peut dans la maison de mes beau parents...

En voyant la route emplie d'eau, les gens sur les rebords de l'écluse qui admirais cruellement le spectacle, j'ai enfiler mes chaussures et je suis sortie en robe de chambre aider mon fiancé a tenir des solides plaques de bois devant les portes fermer de la maison de façon à ce que l'eau ne s'infiltre pas. Celle-ci était plus que Glacial mais il était hors de questions que je laisse mon fiancé combattre seul la Nature qui s'acharnait sur notre petite maisonnette.

L'explication était simple, il avais plus beaucoup plut durant les derniers jour et plusieurs barrages à quelque kilomètres de chez nous avais fini par céder. C'était donc l'écluse qui se trouvais devant notre maison et qui était la seul a être rester fermer qui débordais cruellement sur la route et entré dans notre foyer.

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Mon tendre Sébastien avais travailler dans de très nombreuses écluses auparavant et connaissait très bien leurs fonctionnements, malheureusement celui-ci avais changer quand ils ont décider de mettre des écluses automatiques... il était donc impossible pour lui d'ouvrir l'écluse à la main de façon à ce que l'eau ne déborde plus et nous avons pris la décision d'appeler le plus rapidement possible la VNF (Voie Navigable de France).

Ceux-ci nous ont répondus avec un grand étonnement qu'il était en « pause repas » et qu'il ne souhaitait pas se déplacer immédiatement pour venir ouvrir les portes fermer de celle-ci. C'est donc sous le choc de leurs réactions que nous nous somme battus par nos propres moyens, plaçant des sécurité devant le bas des portes et arrachant les plaque d'égout a la main de façon à ce que l'eau qui arrivais peut à peut sur la route s'évacue plus rapidement et ne touche donc pas la maison.

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Quand le premier barrage qui avais fini de couler nous avons dus écoper entièrement la cuisine et la salle à manger de mes beau parents à la serviette, nous étions toute la famille réunis pour retiré les quelque centimètre d'eau qui gisait sur le sol de la maison et commencer bien entamer le bas des meuble de celle-ci...

Mais c'est après le calme que vient la tempête, quand un autre barrage a casser un peut plus loin dans une ville a quelque kilomètres de chez nous... a la vitesse ou l'eau arrivais, écoper ne servez plus a rien du tout, il fallait placer nos affaire au dessus des meubles de la maison donc tout ce qui était important à la vie de quelqu'un, papier administratifs, électronique, nous avons débrancher toutes les prises, désactiver le compteur d'électricité et nous avons courut au Moulin Neuf chercher quelque palettes pour placer nos meubles en suspensions, les élever a une dizaine de centimètres en espèrent que l'eau ne les touches pas...

Mais face à la Nature il est inutile de Lutter, surtout quand l'on habite au rez de chaussée.

J'ai donc eu l'idée bien personnel d'aller voir la voisine qui habitait juste au dessus de chez nous pour lui demander si nous pouvions mettre quelque affaires en sécurité chez elle, mais surtout nos nombreux Animaux!

C'est donc avec plaisir que celle-ci nous as inviter a apporter le maximum de nos affaires chez elle ainsi que nos nombreux animaux afin de les mettre en sécurité mais le temps était compter et nous avions déjà les deux pieds dans l'eau quand nous avons commencer à monter a l'étage du dessus, dans son petit studio de 70 mètres carrés nos nombreux biens et compagnons.

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Après avoir monter quelques cartons, mes deux Violons électriques, les ordinateurs portable et autres chose importantes a nos yeux nous avons commencer a monter les Animaux dont une petite Gerbille, un chien de race berger Allemand, un perroquet de type gris du Gabon ainsi que deux petit chats.

Nous nous somme très vite sentis plus en sécurité à l'étage chez notre voisine mais pendant que l'eau montait centimètres par centimètres puis mètres par mètres dans la maison de mes beau parents, c'est ma belle mère que j'essayais de réconforter, assise sur une chaise, elle venait de perdre tout ce qu'elle avais et plus les minutes passèrent plus nos douces affaires flottait au niveau de 2 mètres au dessus du sol de la maison... nous venions de dire Adieu a des années et des années de souvenir...

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Rassemblé tous ensemble et accompagné de notre chère voisine qui voyait son appartement peut à peut se transformer en refuge nous avons à notre grande surprise entendus un éboulement, un bruit d'effondrement énorme qui venait de dehors... le mur qui séparé notre maison de l'eau venais de tomber sous la force du courant qui sortait en trombe de l'écluse.

Sur ce faite accomplis, nous avons tous pensé la même et unique chose: Est ce que la maison pourrait s'écrouler elle-aussi? ... Effectivement personne n'était rassuré et quitte a perdre la vie car si la maison de mes beau parents s'écroulait cela signifierais que l'appartement dans lequel nous étions réfugier s'écroulerait lui aussi... nous entraînent ensuite par la force du courant dans les pâles du Moulin Neuf pour nous faire découper...

Rapidement, nous nous somme donc placer tout les 5 sur le mur porteur de la maison, soit le mur le plus solide et qui ne risquait pas de s'écrouler... Sébastien essayait tendrement de rassurée sa mère tandis que je hurlait à la foule spectatrice qui se trouvais dehors de nous apporter de l'aide.

A notre Grand regret, personne n'est venus... Un Camion de pompier a essayer de nous tiré de l'étage ou nous nous trouvions grâce à une échelle mais celui-ci était bien trop léger et était emporter par le courant qui dévaler la route et sortait de l'écluse en folie... Il resta stupidement bloquer un peut plus loin...

Notre seul chance de nous en sortir fut un tracteurs qui venait d'arriver du Moulin Neuf... le seul soucis était qu'il fallait sauter sur le toit de celui-ci pour sortir de l'appartement et avec un chien et mes beau parents qui était assez âgée cela n'était pas possible.

Mon premier réflexe as été de demander une boite de congélation a la voisine dans laquelle j'ai percer des trou pour y mettre ma gerbille qui était très précieuse pour moi et Sébastien, je fut donc la première a sortir par la fenêtre ma Gerbille dans la main gauche, ma main droite accrocher au poignet de Sébastien pour que je ne chute pas dans l'eau et mes deux Violons sur le dos...

Nous avons dus faire travailler notre imagination pour faire sortir les deux chats qu'il restait, l'oiseau, le chiens ainsi que la famille de l'appartement et c'est en plaçant le Tracteurs en contre-courant devant la porte d'entré du halle que tout le monde as réussie petit a petit à monter dans celui-ci...

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Arriver en haut de notre rue qui était en faite une Grande descente, nous nous somme tous retrouver en sécurité, mais il ne tarda pas une seconde avant que ma belle mère ainsi que Sébastien tombe dans les pommes de Fatigue et de stresse devant la centaine de spectateurs qui était là depuis le début et ne nous avais apporter aucune aide... je me souvient simplement de leurs regard impatient de voir notre maison s'écrouler et je me souvient encore des flash de leurs appareils photos pendant que je sautait par la fenêtre nus-pieds sur le tracteur qui m'as sauver la vie.

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Après avoir regarder une dernière fois notre maison et les rideaux de celle-ci qui bougeait sous le courant de l'eau qui l'emplissait, nous avons été loger chez ma belle sœur Nathalie, qui gracieusement nous as offert un toit, de la nourriture ainsi que de quoi nous laver pendant plusieurs jours et le temps que la Crue s'arrête.

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Étrangement, la voisin du dessus qui nous avais héberger pendant ce dure instant est partie de chez elle sans jamais y revenir alors qu'elle n'avais pas tout été atteinte par l'eau. Celle-ci partie habiter chez son frère dans l'attente d'un nouveau foyer laissant tout ces meubles dans l'appartement qui nous avais tout de même grandement aider.

J'entendais parfois le père de mon tendre Fiancé pleuré la nuit dans le couloir de la maison de ma belle sœur pour sa maison... et il n'était pas simple de dormir dans le lit de mes deux nièces mais personnes n'avais le droit de se plaindre.

Chaque matin, chaque jours et chaque nuit nous nous rendions as quelque rue de notre hébergement pour regarder l'état de la maison de mes beau parents et cacher derrière la foule nous étions les seul a prier pour que celle-ci ne s'effondre pas... Notre maison fut longtemps la première page de l'éclaireur...

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L'avantage dans cette situation c'est que le départ de notre chère voisine avais libéré l'appartement du dessus et malgré les inondations de la crus qui nous avais un peut tous traumatiser cette petite installation était parfaite pour vivre avec mon tendre Sébastien. C'est donc le 30 Décembre 2017 que je m'installa avec mon doux fiancé juste au dessus de chez ces parents qui avais reconstruit avec assez de mal leurs vie détruite par l'eau...

Nous avions tout de même toucher une bonne indemnisation grâce au assurances que nous possédions et nous avons donc pus recréer de petit lieux habitable dans les deux cas. J'étaie donc pour le première fois de ma vie installer dans un appartement avec mon fiancé et pour la première fois de ma vie je réaliser un de mes rêves: Celui de vivre à ces côtés.

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Encore malade de Narcolepsie j'avais beaucoup de mal a m'occuper de mon appartement mais Sébastien était toujours là pour m'aider, toujours... celui-ci s'occupait même de tout les repas, il m'apporter mon petit déjeuner au lit le matin, m'offrais souvent des cadeaux et s'occupait des tâches ménagères pendant que je rechercher tranquillement quelque dons d'argent sur le net pour m'occuper des nombreux animaux que j'avais sauver de l'alimentation Humaine ou de la mort.

Personne, je pense ne souhaiterais habiter au dessus de chez ces beau parents mais les miens était et le sont toujours, tout a fait adorables. Ils ont toujours été là pour nous donner à manger et de quoi fumer pendant les fins de mois compliquer. Ma belle mère me préparais très souvent de bon petit plat qu'elle nous apporter et mes propres parents donner aussi beaucoup de leurs êtres pour nous aider dans notre nouvelle vie entre amoureux.

Ma vie était tout a fait paisible et tendre accompagné de mon adorable fiancé, il avais accrocher un Hamac aérien dans la chambre au fond de la maison pour que je puis-ce pratiquer mon sport favoris en toute sérénité et sécurité... la maison était un lieux de repos et de calme mais très peut fréquenter malheureusement car Sébastien et moi n'avions que peut d'ami(e)s.

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J'avais oublié de très loin ce que Sébastien m'avais fait enduré avec Eva et, de son côté il avais mis de côté les erreurs aussi nombreuse soit t'elle que j'avais fait dans notre couple... mais même si les choses se passait bien, que notre vie était emplie de calme et de douceur... il ne fallut pas longtemps avant que n'arrive pour s'acharner sur nous la plus grosse des tempête quelque mois après ...

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Versé IX - La Mission Timothée

Il fût un été ou nous avons été invité mon fiancé et moi par un membre de sa famille à Marseille dans le département de la Côte d'azur de la France.

Cette proposition bien que généreuse avais cacher bien soigneusement derrière elle quelque chose de malsain. Effectivement, nous devions nous rendre exactement dans ce que nous appelions la Mission Timothée.

Cette endroit nous paraissait comme le plus beau des paradis, logement gratuit, blanchissement, repas trois par jours et avais une apparence de communauté sociable et soudée.

Le trajet fut long jusqu'à Marseille mais l'ambiance régnait dans la voiture ou nous attendions avec impatience l'heure de notre arriver, accompagné de mon tendre fiancé Sébastien et de son oncle nous étions sur ce qu'il aimais appeler « L'autoroute du Soleil » en compagnie de quelque pause sieste, nourriture dans les allée routier et fous rires.

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L'endroit ou nous allions nous reposer pendant quelque semaines était comme une promesse, un gage de bonheur, de sérénité et de paix, cette endroit nous inspirais beaucoup de choses merveilleuses.

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Une fois la route terminer, nous somme arriver dans ce petit camps chaleureux ou tout le monde nous as accueillis les bras grand ouvert. L'oncle de mon fiancé était habitué à cette endroit et il connaissait déjà tout le monde, hors il était tout de même étrange que tout le monde se mis à saluer mon Fiancé sans même le connaître. Du moins, ce que l'on croyais.

Effectivement, ce fameux oncle avais beaucoup parler de Sébastien à cette grande communauté. Mais nous étions loin de pensé que cela engendrerais des choses aussi étrange soit t'elle.

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Nous somme arriver là-bas pratiquement à l'heure du déjeuner, nous avions seulement eu le temps de monter notre petite tente Canadienne dans les nombreux espacements mis à dispositions pour les gens gratuitement.

Quand l'heure du repas à sonner...

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Nous nous somme donc attablé avec politesse accompagné de l'oncle de Sébastien et de certaines personnes avec qui nous avions préalablement fait connaissance – encore une fois des personnes qui connaissait Sébastien mais dont nous n'avions jamais entendus parler.

C'est dans un grand silence que toute l'histoire de cette endroit commença... attablé correctement et poliment à la place qui nous était attribuer nous avons entendus ou plutôt nous avons aperçus les nombreuses tablé tomber dans un silence profond et respectueux quand tout d'un coup résonna dans les haut-parleurs de la Mission Timothée une prière au Jésus Christ.

Tout le monde, avais la tête baisser, les mains sur les genoux et plus une seul discutions ne suivait son court, un silence religieux régnait dans toute la vallée.

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Je regarda alors mon fiancé qui était attablé a mes côtés, un sourire au lèvre comme choquer, troubler mais non-irrespectueux.

Néanmoins c'était les filles qui était placer derrière nous à la table suivante de la rangé qui regardait avec attention le pull-over noir de mon tendre fiancé et le tatouage que je portait dans le dos indiquant clairement le mots « WITCHES » ce qui signifie Sorcière en anglais...

Nul n'était notre intention de nous maquiller à leurs effigie, nous étions venus tel que nous étions dans cette endroit mais les choses se sont aggraver quand nous nous somme vus obliger d'assister à des prières ainsi que des chants religieux ... ou plutôt ce que l'on nommerais de la doctrine. Nous avons bien évidement refuser d'assister à ce genre de réunions qui se passait deux fois par jour en ces lieux.

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Nous avons rapidement compris avec le temps que l'oncle de Sébastien lui même avais parler de lui à tout le monde pour en faire ce que l'on appellerais un disciple et dans le seul but de le convertir.

Après quelque recherches sur le net, nous nous somme aperçus a notre retour de voyage que cette endroit avais été classer « Secte » sur une page Officiel du Gouvernement Français.

Versé X - Une Femme Violente

Après notre retour de Marseille nous avons repris le court normal des choses et j'avais effectivement quitter le domicile Familiale que j'avais depuis un certain moment chez mes parents et nous avions aussi quitter la maison de mes beau parents pour vivre en couple Sébastien et moi mais ce n'est pas pour autant que l'on quitte la famille que l'on as.

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Effectivement, depuis des années déjà ma petite maman que j'aimais de tout mon cœur était sous l'emprise de mon Père qui était reconnus Schizophrène et Psychopathe, père que j'avais dus faire renfermer déjà une fois dans un hôpital psychiatrique pour sa violence envers ma petite sœur Elsa. Celui-ci avais hériter de cette maladie de sa mère qui l'avais elle-même transmise a toute la famille Wrzesiak, le certain Dysfonctionnement nerveux que je possède viens de là et ma petite sœur n'en fut pas plus épargner..

Le soucis chez mon père c'est qu'il refusait constamment de se faire soigné et au problème de se nuire à lui-même il nuisait également à la vie des autres, Homme marié depuis plusieurs années avec ma mère il se refusait a payer toutes factures et même les siennes comme sa mutuelle ou sa consommation téléphonique que ma mère devait payer à sa place. Celui-ci avais un gros soucis avec l'argent et ne se présenter gentillement avec ma sœur et moi que quand nous en avions un peut sur nous.

Jamais celui-ci ne nous as défendus à l'école, il préférais bien plus crier sur ma pauvre mère et se servir d'elle comme tutelle pou gérer sa vie, qui sans celle-ci n'avais aucun sens.

Tomber amoureux l'un de l'autre très jeune après que ma mère ai vécus un terrible chagrin d'amour qui marqua sa vie à jamais, elle tomba enceinte de moi et cela au moment ou elle se rendait compte de ce qui n'allait pas chez lui – elle pris la cruelle décision de rester avec lui pour que je soit élever par mon père et pour que je le connaisse mais aujourd'hui, ne pouvant lui en vouloir de cette action faite par le cœur j'aurais tout de même souhaitez être élever par un beau père convenable qu'un père qui n'est capable de rien a part de boire des café et gratter des jeux dans des bars à longueurs de journée.

Mon père, ou plutôt Patrick comme je préférerais le nommé, ne m'as jamais défendus a l'école, il est le genre de personne qui préfère s'en prendre au fille et qui aime avoir son repas tout chaud préparer une fois les deux pieds sous la tablé...

Incapable de travailler non pas car celui-ci est malade mais parce qu'il ne cherche rien a faire, il as salis notre nom de famille et c'est pour cette raisons que j'avais beaucoup de mal à me présenter dans les boites d'intérim pour trouver de petit boulots. Il avais, avec son frère et ces nombreuse sœur salis notre Nom.

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Mon père savais se montrer très violent mais seulement envers les filles qu'il connaissait, soit la chose typique de l'homme Faible. Plusieurs fois il as essayer de lever la main sur ma petite sœur ou encore sur ma mère mais jamais, en t'en qu'aînée je ne l'ai laisser faire. Armée parfois d'une bombe lacrymogène, parfois de mes propre et unique poing de femme je me défendais et défendais ma famille comme il fallait le faire. Oui, mon père ma rendus agressive, mon père ma appris sans le vouloir a frapper avec mes poing mais aujourd'hui je ne regrette point la femme violente que je suis devenus car de nombreuse fois j'ai du me servir de cette force pour me défendre face à certains dangers.

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Un beau jour tandis que je souhaitait rentré chez mes parents pour passer le bonjour à ma tendre mère ainsi qu'as ma petite sœur, celui-ci ma empêcher d'entrer dans la maison, je ne sais pour quel raison... je dirait peut être, une crise de Schizophrénie... j'ai eu le malheur de faire quelque pas dans l'entré de celle-ci pour appeler ma mère qui se trouvais, comme je le pensais en haut du couloir mais il n'y avais personne ce jour là...

Me retrouvant seul avec mon père, celui-ci avais profiter de l'absence de ma mère pour me mettre et me demander de rester dehors... C'est alors que celui-ci as attraper les bout des deux extrémités de mon écharpe et ma fait tomber sur le sol, le dos contre le mur juste à côté de la porte d'entré...

Il tirais brutalement et de toutes ces forces sur l'écharpe que je portait autour du coup pour me traîner dehors mais avait oublier ou n'avais peut être pas vus que mon dos était coller au mur et qu'il était littéralement en train de m'étrangler...

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Pendant ce cours instant ou je devait me battre contre la folie elle-même d'un psychopathe je fit semblent de tomber raide-morte sur le sol pour qu'il lâche l'écharpe avant que je ne puis-ce plus respirer...

D'un seul coup, celui-ci se rendis compte que j'avais le dos contre le mur et que plus il tirait et plus il m'étouffait... j'ai alors profiter de la situation et pendant qu'il lâcha l'écharpe pour se pencher vers moi afin de voir si j'allais bien je me releva en courant dans la direction de la cuisine, j'attrapai le premier couteau que je vis et fit sortir mon père de la maison en le menaçant, le couteau pointent droit vers lui.

Celui-ci sortie de la maison, je ferma la porte a clef juste derrière lui pour appelée rapidement ma mère en lui demandant gentillement de ne pas rentré à la maison car il avais une fois de plus perdus la tête.

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