Chapitre XIV - Il se nommait Boby

Versé I – La Rencontre

C'était la fin du Lycée, ce jour là, et c'était 17 ans et demi je portait déjà derrière moi. Les cheveux blond platine entourant mes yeux parfaitement noir, la bière 8.6 a la main, je sortait fièrement de cette établissement que je n'appréciait pas pour me diriger tout en bas de la rue de celui-ci vers un supermarché afin d'aller chercher une autre bière pour noyer mon chagrin d'avoir perdus Mickael.

Oui, je noyait ma vie à présent dans la bière, loin des peluche au bout de mon lit, des cauchemars dans cette petite chambre du Lancy, j'étaie une femme à présent, une sorcière, une élève de seconde en BEP Comptabilité à Jeanette Verdier.

Au milieu de mon front était placer verticalement un Piercing qui surplomber mon regard de pierre. Aucun ange n'avais entendus mes prières se jour là mais c'est a ce moment que je vis assis sur les cadis du supermarché un Clochard qui portait le même bijoux au moi.

Cette homme était complètement bourré, un 8.6 également à la main, il m'accosta d'un air si fier, si hautain, complètement ivre-mort il voulait dans un camion avec son chien fuir vers le nord. Et me dit d'un air prétentieux « Yoy ! »

Sa, c'était son mot bien à lui. Mais sa, je ne le découvrirais qu'un peut plus tard. Il me demanda déjà si j'avais un peut de monnaie sur moi, je lui tendis alors de la poche avant de mon sac une pièce de 2 euros que je lui donna dans un Silence parfait.

C'est alors que je remarqua ces yeux noir comme les miens et le bijoux identique a celui que je portait sur son front. Il me dit alors merci et me demanda mon prénom. Je n'hésita pas a lui répondre malgré cette méfiance que j'avais au fond de moi, je n'avais plus peur de rien, tout perdus et je regardait cette homme haut-perché sur les cadis du supermarché.

Celui-ci descendis alors des cadis sur lequel il était assis et se dirigea vers moi d'un air arrogant, « Tu fait quoi se soir ? » me dit il sur un certain style. Je ne lui répondit pas ... pensent encore à ce qui venait de ce passé dans le semaine précédente, l'esprit complètement alcoolisé, l'âme dépouillée...

« Ont vas en Teuf avec des amis, tu veut venir ? » Ajouta t'il radieusement. Cette homme était aussi haut que moi une fois debout mais pourtant âgée d'une bonne dizaine d'année de plus. Il portait a travers un regard noir, une double crête parfaitement taillé sur le haut du crâne blonde comme le clair de Lune. Une veste Vert Militaire sur lui poser et une casquette avec un Smiley Dessiner, sur celle-ci sur le côté indiquait « Boby » ...

Je fini par répondre calmement complètement achevée par la bière que devant lui je venait de terminer « Si tu veut ! » ne sachant absolument pas de quoi celui-ci pourtant parlait, je m'apprêter a sortir quelque part avec un parfait inconnus mais je ne savais même pas ce qu'était une « Teuf » je me disait bien que cela devait être une sorte de soirée entre amis mais je m'attendais pas a ce qui allait m'arriver...

L'on se dirigea tout les deux vers le parking de sortie du supermarché, ayant ensemble complètement oublié ce que nous devions à la base des base acheter là-bas. Comme deux parfait inconnus qui marchais ensemble, deux inconnus vide, n'ayant plus rien a perde mais... tout a gagner...

Versé II - Teuf, Drogue et Hardtek

Le soir même je suis rentré chez moi a pieds, a quelque klm du Lycée comme a mes bonne habitudes du Evanescence ou Nightwish dans les oreilles. Dépassent les gens avec hâte, frôlant les voiture qui a la limite de me renverser, j'avançai en direction de Châlette sur Loing.

Quand je suis arriver chez moi, après 45 minutes de bonne et rapide marche, je me prépara de ma plus belle tenus pour sortir ce soir. J'avais conserver dans ma garde-robe de magnifique vêtement / corsage Gothique et des bottes montantes pointu qui frappait brutalement les escalier de ma maison que je descendais pas à pas.

Je ne saurais comment vous expliquer le : « comment j'ai fini là-bas » tout ce que je pourrait avancer est que l'alcool as dus brutalement effacer une partie de mes souvenirs mais je me souvient m'être retrouver à l'arrière d'une voiture...

Quand je suis alors sortis de celle-ci, le monde de dehors était différent de tout ce que j'avais connus auparavant, il n'y avais pas de belle église Gothique, ni même quelque marche ou m'asseoir, il n'y avais pas mes amies que j'avais si bien connus mais devant moi se dresser un murs d'enceinte qui faisait vibrer le sol d'un tel puissance que j'ai tout de suite eu peur de m'en approcher.

Tout en sentent les battement de mon cœur s'accélère étrangement, je sentait dans mes oreilles les vibrations de mes tympans sous le son de plusieurs kilo qui en sortait. Un son tellement fort que j'avais peur de m'en approcher au risque de me les faire percer.

Le Son « Galopais » comme des milliard de chevaux qui passait sous mes pieds ... Quand je sentis tout d'un coup Boby poser sa mains sur mon épaule et me tendis dans le noir deux Bonbons avec dessus des cœur dessiner.

A mes pieds, de la bout, a ma gauche des gens se servait de leurs nez pour « sniffez » des substance illicite, a ma droite quelque autre restait coincée complètement « percher » dans les faussés. Il me dit : « Prend-en un des deux avec moi » n'ayant pas la moindre idée de ce que représentait ce qui me paraissait être des bonbon, il me tendis une bouteille d'eau au Clair de Lune qui brillait de tout sont être et qui à la fois éclairée devant moi, une foule de plus de 100 personnes qui se balançait de gauche à droite tous dans un extraordinaire rythme.

Et c'est sur un air de Micropoint « Tu vas pas mourir » que j'avala sans même réfléchir et en faisant confiance a un parfait inconnus se petit cacher Vert-Bonbon... Il me regarda, souria... d'un air Malsain mais à la fois tellement Malin, qu'avais-je de toute manière a perde ? Rien.

A 17 ans et demi, je n'avais jamais encore fumer mais ce que venait de me donner Boby était bien ce que vous pensez, un Extasie. Et tout pendant que le sol vibrait brutalement sous mes pieds sur le son de la musique il m'as dit « ont vas danser ? » je l'ai donc suivit, la main dans la main a travers la centaine de personne qui dansait en rythme devant nous pour nous diriger au premier rang, là ou j'avais peur du son m'approcher.

C'est dans 30 minutes plus tard que je finit la tête dans enceinte, dansant sur le même et unique rythme qu'eux, l'acide avais fait son effet et dans mon esprit n'existait plus la douleur sous le son qui galopais, galopais...

Je venait de découvrir un nouveau monde, une nouvelle sensation, encore plus puissante qu'un voyage astral, ensuite plus puissante qu'une entré en transe. Je planait littéralement. Emplis d'amour et de gaieté et tout ce qui m'entourait était tellement, mais tellement beau a mes yeux, de la beauté j'en voyait de partout.

Mais ce que je vie surtout au dessus de moi était la Lune qui brillait de mille feu en cette nuit extraordinaire, je me tourna vers Boby, complètement achever par le cacher et lui dit-je « Tu voie, celle-ci, elle as toujours tout vus » j'obtiens donc par cette phrase le surnom de Luna.

Versé III - La Véritable valeurs des Choses

J'ai vécus quelque années auprès de Boby qui était plus belles que vous ne pouvions l'imaginez... non pas emplie de drogue et de Violence, non pas emplis de teuf et d'illégalité mais emplie des Véritables valeurs de la Vie.

Auprès de celui qui m'apprenais peut à peut à oublier Mickael ainsi que la Magie, je connus l'amitié, la pure, la véritable auprès de ces très nombreux ami(e)s de rues... car ou que j'allais, en Camion, en Voiture, en Train, a Pieds tout le monde connaissait le cher Boby et m'offrais toujours un toit et quelque chose a boire.

[...]

C'était sur des air de Manu Chaos que ma vie tournait à présent sur la générosité et le partage de toutes choses. Boby se moquait souvent du Métier de Développeuse Web que j'exerce ainsi que de mes vêtements Gothique, il avais tout simplement la joie de Vivre.

Bien que jamais à manger dans notre frigidaire, il y avais toujours une bouteilles de Vin sur la table de salle a manger pour accueillir nos tendre invités.

Il n'était pas rare que, en teuf nous nous retrouvions êtres les seuls personne a ne pas avoir de voiture et donc êtres les seul a dormir entre deux bâches, mais là était la véritable valeurs des choses quand le soleil au petit matin ce lever pour nous réchauffer.

Boby m'avais appris a savouré ce que nous avions et non pas ce que nous voulions car c'était chaque jour que nous volions dans les magasins et faisions la manche pour obtenir quelque chose que nous prenions grand plaisir a manger.

C'était le soleil que nous apprécions encore une fois et non pas le chauffage dont nous étions priver en Hiver, c'était les fruits que nous ramassions dans les foret que nous avons appris a manger et non pas un grand dîner au chandelles... Il m'appris ce qu'était la misère et la joie de ce contenter d'un rien.

[...]

Nous possédions tout les deux un magnifique chien beige que celui-ci avais nommé Sheper et qui nous portait un amour plus qu'intense. Ce chien aussi fidèle et magnifique soit il était là en guise de chien de SDF et nous aider grandement pendant les heures de manches... Mais c'était toujours Sheper qui avais le meilleurs repas tandis que moi et Boby nous contentions d'une boite de conserve durement gagner.

Mon meilleur souvenir reste celui des petits matin auprès desquels je me réveillé auprès de mon amour de Teufeurs... je voyait Sheper souvent à la porte d'entré de la chambre qui savais pertinemment qu'il n'avais pas le droit d'y entré...

Et pourtant, pendant que mon Boby endormis à côté de moi ne bougeait pas d'un poils sur le matelas poser sur le sol j'appelle tendrement Sheper qui de ces pattes faisait très attention de ne pas toucher Boby et l'enjamber pour venir se blottir dans la couette contre moi.

C'était quand Boby se lever que tout devait complexe à expliquer quand il me demandais ou se trouvais « Chipouillou » comme il aimait t'en l'appeler et que je devait expliquer qu'elle était la boule sous la couette a côté de moi.

Mais tout finissait toujours en fou rire.

Versé IV – Me soignée

Je suis resté environ 2 ans auprès de mon tendre Boby qui se nommait en réalité Dimitri, un prénom que j'apprécie beaucoup pour son originalité mais aussi pour son côté « brutal ».

Chaque soir, nous invitions avec le peut d'argent que nous avions des amis au coins de la télévision et auprès d'un vers de Vin pas cher. Nous étions SDF mais son père nous avais gracieusement offert son ancienne maison.

Je me souvient encore de nos soirée vers celle-ci mais également du cadre ou se situais une fleur de Tournesol et surplombant la télévision. Je me souvient de son chien que j'aimais beaucoup et était également devenus le mien mais notre histoire tourna rapidement à la Requiem for a Dream tout comme me l'avais prédit le passé...

Je supportait de moins en moins de voir mon Boby se piquer le bras afin de s'injecter des substance de toutes sorte, je ne supportait plus de voir ces aiguille cacher dans ses mitaines ou encore au fond de la poubelle pour que je ne les trouve pas.

J'ai fini par lui demander de choisir entre se droguer et vivre avec moi...

Mais Boby était très malin, il avais repéré ma maladie de loin... et ma donc proposer quelque chose qui pourrait me soigné.

J'étaie encore jeune, 16 ans peut être... et mes parents refusait systématiquement de n'emmener me faire soigné chez un psychiatre car il se refusait a me voir handicapée .

Car comme vous le savez, j'ai toujours été atteinte de cette grande maladie des Nerfs, une maladie qui m'as beaucoup fait de mal mais m'as aussi beaucoup servis dans la Vie. Je ne contrôlait plus celle-ci près avoir offert a Mickael une femme et mes émotions n'était plus humaine. Il me fallait des médicaments.

J'ai donc fini par essayer de me soigné seul avec l'aide de Boby qui avais bien compris la situation... il m'offras donc une chose, le genre de chose que l'on ne doit pas offrir a quelqu'un que l'on aime. Une chose que peut de gens veulent comprendre et un médicaments dont peut de gens veulent entendre parler, il m'offra dans un flacon qui pour moi était mon seul espoir de survis face au émotions qui me submergés de la Méthadone plus précisement.

La Méthadone ou encore son équivalent en cachet (Subutex) sont des médicaments a ne jamais prendre. Ceux-ci ont été créer dans le but simple de faire arrêter l'héroïne au « Droguer » ... ce médicaments existe également dans le but d'atténuer la souffrance d'un patient héroinomane en manque.

Je me suis longuement et assez longtemps poser la question sur le fait du pourquoi il existait un médicaments pour arrêter l'héroïne mais je n'ai jamais vus quoi que ce soit qui nous aiderai a arrêter la cocaïne, le speed, les champignons, le LSD, la méta-amphétamine ou encore le Shite.

C'était simple a deviner... la réponse était pourtant clair : Il n'existait pas des manque aussi douloureux que celui de l'héroïne, peut être est ce pour cela qu'il n'y as un médicaments que pour cette drogue ? Mais je croit également que le manque d'héroïne est mortel. Là était le but du soulagement de se médicaments et j'en buvait chaque jour...

Chaque jour, dans celui-ci je trouvais ce que je devait normalement prendre : Des Anti-depresseur, des Anti-anxiolitique, de la morphine, des Anti-psycothique etc. La Méthadone était devenus mon médicaments face à la dure vie que Boby me menais à s'autodétruire devant moi et m'aidais a supporter la lourde perte de Mickael.

Mes émotions une fois stabilisé... J'ai demander a Boby de choisir entre moi et la drogue. Et as choisit la Drogue.

Versé V - Sauver par Sébastien

J'ai dus m'enfuir de la maison rapidement en contactant le seul amis que j'avais envie de voir pour le moment, Sébastien, mon ex petit copain.

Ne laissant que des cendres derrière moi, j'ai honteusement voler toutes les fioles de Méthadone qui se situait dans le placard de Boby car j'étaie devenus accro à celle-ci, elle me donner cette aspect -normal- cette vie -neutre- une vie sen émotions, une vie dont j'avais beaucoup rêver...

Avant de rejoindre Sebastien, j'ai décider de rester un peut seul quelque jour.. Ce fut une erreur de ma part, car les quelques jour une fois passé sont devenus des jour en manque de Méthadone pour la simple et unique raisons que je devait être majeur pour aller en demander a un spécialiste... étant Mineur, je devait obligatoirement y aller avec mes parents mais... comment voulez-vous expliquer a vos parents que vous êtes tomber accro a un médicaments qui remplace l'une des plus brutal des drogue ?

J'ai pris sous l'effet de mon premier et atroce manque une décision mauvaise, j'ai été guider par un acte stupide : Celui de faire tomber Mickael dans la Méthadone pour qu'il puis-ce aller en chercher chez le docteur, car celui-ci étant majeur il pouvais accéder au bureau du spécialiste sans que ces parents ne soit au courant.

C'est donc par un acte et une pensé des plus immonde au monde que j'ai dit a haute voie que je ne méritez pas de Souffrir seul. J'ai donc fait tomber Mickael dans la Méthadone et c'est tout les soirs que celui-ci me donner ma petite dose dans un flacon cacher dans sa rue...

Quelque jour passèrent et je souhaitait de plus en plus voir Sebastien, me retrouver en sécurité tout comme je l'avais été auparavant... C'est alors que je me suis habiller de ma plus belle tenus et que je suis retourner frapper a sa fenêtre...

Sebastien, était toujours là et ce soir là encore plus quand il m'as enfin ouvert la porte de celle-ci...

Il était devenus, ... Quelque chose que je ne reconnaissait pas, une « racaille » un garçon des cité, un dealer, un droguer... il fumait de la marijuana chaque jour et as forte, très forte dose.

Vous devinerez facilement que je me suis remise avec lui par Amour et qu'il était devenus l'homme de ma vie... Je sentais chez lui se qu'il me fallait et ce qui m'avais toujours

fallut, de la sécurité, de la tendresse et de l'amour.

Je suis parvenus a faire stopper la Marijuana a Sébastien mais nous nous somme tout les deux enfoncer dans ce qui pouvais ressembler a de la Méthadone, du Subutex. Serte, la même et unique chose que la Méthadone, mais en cachet ... des cachet grâce auquel nous pouvions créer des « trace » a sniffer.

Je n'ai, hô dieux, jamais souhaitez que Sébastien tombe dans cette addiction car elle est la pire au monde, mais les choses ont mal tourner... Sébastien, majeur, devait aller a des RDV régulier pour aller chercher celui-ci et me donner la moitié de sa dose journalière.

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