Chapitre Ⅳ - Un Nouveau Départs
Versé I - Le Déménagement
Il était enfin temps pour notre famille de 4 personne et de notre petit chat de déménager dans notre nouvelle maisons à Châlette sur Loing. Nous avions donc été tous ensemble repérer les lieux avec la voiture de ma mère et j'étaie âgée à ce moment là de quelque années de plus seulement.
J'étais très heureuse d'avoir enfin mon indépendance, ma propre chambre, mon propre petite monde loin de ma petite sœur mais j'avais cette peur qui me hantais de plus en plus, cette peur qui ne cesser de m'envahir : Celle qu'il me suivent.
Après quelque klm seulement du Lancy je découvrit enfin cette maison, à Première vus, la maison était pratiquement insalubre, une petite maisonnette de deux étages seulement mais relativement bien placer dans une petite ville calme et un entourage de personne âgés ainsi que de chats courant les rues. Oui, la maison avait été effectivement « abandonner » depuis plusieurs année maintenant, devant celle-ci se situais une petite coure ou se trouvais dans celle-ci un petit et ancien puis recouvert de lierre. L'herbe devant elle, avait beaucoup pousser et la nature avais enfin repris ces droits. Mais cela nous suffisait très amplement.
Cette maison se situais donc peut loin du Lancy, ou j'habitai avant, 3-4 klm seulement mais c'était l'occasion pour moi de prendre un tout nouveau départ avec les « esprits » qui me suivait depuis ma jeunesse dans mon ancienne chambre.
Après que maman et papa ai monter nos quelque meuble dans la maison et après avoir déposer tendrement mes jouer dans ma jolie chambre, il était enfin temps de marquer mes repères. Quelque postères de Shakira par-ci par-là... Quelque petit poneys déposer les étagères, un petit lit pour mon tendre Vanille et quelque autocollant de fleurs sur la porte.
J'avais a ce moment là, l'age de 12 ans et demi et je venait tout juste de rentré au Collège, je devait repasser une nuit dans ma chambre quand tout d'un coup et depuis des mois que cela n'était pas arriver, j'ai ressentis leurs présence. Il était plusieurs, tous me regardait mais je ne les voyait pas, je les ressentais simplement. Je me refusait a croire que le cauchemars recommencerais, qu'il serais a nouveau de retour dans ma chambre pour me faire du mal.
Je pose donc mon pied nue à Terre et doucement je me lève. je les ressent me regarder vicieusement et les sent me flairer immoralement. Oui, ils sont bien là... plus d'une dizaines aux reflets de ma chambre encore une fois éteinte, ils sont debout et raide dans leurs divines étreinte les yeux emplis de Souffrances. Un deuxième pieds sur le sol ne suffira pas à me débattre, alors c'est par un synonyme de rébellion et de puissance que commence le chapitre de ma Vie, c'est dans le silence de la nuit que j'entends ma voix de toute son âme résonnez et leurs ordonnez : "Sortezzzz!". [...]
Puis... plus personnes ...
Versé II : Action du Mentalisme
Je l'entendais crier de douleur dans la chambre à côté, replier sur moi-même au milieu de la pièce qui me servait de chambre j'entendais mon père pleurer toutes les larmes de son corps a quelque heures du matin tenant le doigts que l'on devait lui couper a cause d'une grande infection.
Aucun traitement n'avait fonctionner, aucun médicaments n'avais fait son effet et l'opération était obligatoire pour que l'infection ne monte pas eu cœur.
Sur le fond de ces larmes, dans le noir de cette chambre encore assombrie, j'ai sentie couler les mienne pour m'aligner parfaitement à sa douleur.
Rapidement les larmes qui coulait sur mes joue se sont transformés en colère, mon regard vide visant la fenêtre de celle-ci je n'essayerais pas de prier non, j'essayais de réfléchir quand je sentis mes yeux faire gauche-droite gauche-droite comme s'il suivait le trajet d'un chemin dans mon cerveau.
Quelque minute plus tard La douleur avait cessé, l'empathie avait disparu, là, était simplement la concentration.. le combat.. ma respiration fut tout d'un coup haletante, mon cœur battais a une rythmique plutôt lente et apaiser comme devant la mort elle-même, aucune solution ne m'était proposer.
Alors pendant que mon regard suivait un chemin que je n'avais jamais explorer dans mon esprit j'entendis les cris de mon père cesser jusqu'à ce que je tombe de fatigue sur le sol, étendus au milieu de cette chambre dans le noir, le silence fut, aucun bruit, aucune douleur n'existait, la fatigue avait cessé, la réflexion n'existait plus, la solution avait été trouvé.
Non pas par moi-même mais par quelque chose qui était et existait depuis toujours en moi.
Le lendemain matin, je me dirige la tête dans les fesse dans la cuisine ou se trouvais mon père et ma mère, Je les voie, souriant... alors sur la tasse de café que mon père tenait je jette un œil sur le doigt qu'il devait faire couper étrangement, tout avait disparu, l'infection bleuté n'était plus et son doigt avait repris une taille normal.
Un léger sourire sur le coin des lèvre, je lève la tête et regarde ma mère "Papa vas mieux?" Oui, me répondit-t elle, tout est partie pendant la nuit.
Encore âgée de 13 ans je me prépare mon chocolat chaud et remonte seul dans ma chambre pour réfléchir tranquillement. Comment est ce possible de faire partir d'un doigt une partie nécrosé à ce point en une nuit seulement alors que tout les traitement avait échoué?
Je ne me souvient pas de ce dont j'ai rêvé pendant la nuit allongé en plein milieu du sol, je ne me souvient pas du chemin que mon cerveau avait pris pour réaliser ce miracle mais tout ce que je savais c'est que cela avait fonctionné
J'avais fait ce dont j'avais a faire.Je me souvient simplement du regard de ma mère dans la cuisine, le regard que celle-ci ma lancé.. un regard tout à fait étrange comme si elle me suspecter de quelque chose mais sans vraiment y croire, un regard troublant, dériver de l'étrange qui m'as toujours marqué et dont je me souviens encore aujourd'hui.
Versé III - La Lettre
(...) Un autre jour, toujours dans notre maison à Châlette sur Loing, mes parents chercher tout les deux désespérément une Lettre parmi des tonnes de papiers et de classeurs entasser les uns sur les autres dans notre petite salle a manger
Tous était étaler sur les fauteuils, le canapé, le sol et la table et tout les deux ne cesser de se crier dessus pour savoir qui l'avais perdus.
Cette situation devenait plus qu'insupportable pour moi, alors je montas dans ma chambre à l'étage pour ne pas entendre leurs cris comment ainsi que les insultes de toutes sorte qu'ils se balançait mutuellement...
Encore une fois, j'avais a faire a quelque chose qui me dépasser, je voulait régler ce soucis mais je ne savais pas quoi faire et les aider a chercher n'aurais a rien servit. J'ai donc, tranquillement fermer les yeux.
Sous les cris de haine de ceux-ci mon regard c'est soudainement révulser, mes yeux refaisait ce chemins qu'il avais déjà emprunter. Gauche-Droite Gauche-Droite et sous une musique d'Evanescence dans les oreilles, je me suis encore une fois endormie la tête la première sur le plancher de ma chambre.
Je ne me suis réveillée que quelque minutes après, non pas seul mais réveillé par ma mère qui venait de monter les marches et me posa brusquement dans mon état de fatigue la question suivante : « Sandra !? Est ce toi qui as mis cette Lettre sur le Fauteuil ? « me dit elle en me tendais une lettre blanc et affranchis de quelque semaines. « Non maman ! « Lui répondit-je calmement et encore peut réveillée.
Celle-ci me regarda a nouveau d'un air suspect et ajouta : « Écoute Sandra, je cherche cette Lettre depuis des heures avec ton père et je viens de la trouver, poser, toute seul sur le fauteuil a l'écart de tout papier »
Je venait de me souvenir a ce moment là de ce qui c'était passer avant mon endormissement et je la regarda avec un léger sourire au coins des lèvre « Non Maman, je n'ai rien toucher, j'étaie dans ma chambre comme tu le voie ».
Ce fut la deuxième fois que Maman me regarda d'un air suspect, d'un air étrange comme si elle suspecter quelque chose en fois que moi-même je ne connaissait pas. Elle repartie donc voir mon père en me lançant se regard perturbant qu'elle avais l'habitude d'avoir {...)
Versé IV – Le Pouvoir des Chats
J'avais bien sur emmener mon petit Vanille dans ma nouvelle maison ou nous nous étions installer, mon tendre petit Minet, un chat typée sauvage européen roux comme citer plus haut.
Plusieurs gens affirme que les chats possède plusieurs vies... je ne saurais vous dire si cela est véritable mais tout ce que je sais, c'est que mon Vanille avais des pouvoir tout particulier. Déjà de nous réveiller en nous regardant tout simplement dans les yeux...
Vanille, n'avais pas vraiment le droit de sortir dehors car les voitures roulait bien trop vite pour que je prenne le risque de le perde sur la route qui se situait devant notre maison. C'est donc pour cette raisons que nous l'enfermions chaque nuit dans la salle a manger de notre maison. Une très grande pièce ou il possédait tout ce qu'il lui fallait.
Car Vanille, comme beaucoup de chat roux avais la faculté de savoir ouvrir les portes...
- Une nuit tendis que je dormait paisiblement pour une fois à l'étage du dessus, j'ai eu... comme qui dirait-je une crise de somnambulisme. Je suis descendu au RDC pour lui ouvrir la porte de la salle a manger derrière laquelle il ne cesser de miaulé.
Habiller d'une simple chemise de nuit, je suis donc descendu pour lui ouvrir mais toujours endormis dans un sommeil profond, c'est seulement quand j'ai poser ma main sur la poignet de la salle de manger et que j'ai vus Vanille sortir de la pièce que j'ai compris, que je me suis réveillée.
Il m'avais guider jusque – là pour que je lui ouvre... cela ne fait aucun doute car je n'était pas le genre de personne qui était somnambule. C'est alors que j'ai compris le message qu'il m'avais fait passé. Loin, dans mes rêves les plus profonds... là était son premier pouvoir.
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