Versé I – Les Influences

Je n'ai pas réfléchis à ce que je faisait, munis d'un simple casque en main que j'ai brancher sur le l'ordinateur qui était devant moi, j'ai commencer a penser. J'ai sentis mes yeux se révulser, mon corps tout entier s'enfoncer dans la chaise sur laquelle j'étais assise et la tête commença à me tourner.

Je savais, j'avais conscience que, comme pour le doigts de mon père, mes yeux chercher dans mon esprit un chemin encore jamais emprunté auparavant.

Une musique de Nightwish dans les Oreille - Ever Dream, j'ai continué à garder les yeux fermés même s'il commençait à prendre une allure de vas et vient insupportable.

Le Rythme de mon cœur s'accélérer et ma respiration était de plus en plus rapide et étouffante, il fallait lutter, trouver la route et tandis que je m'enfoncer littéralement dans la chaise, qui était devenus la seul chose qui me retenait assise j'ai commencer a penser a lui.

Je l'ai regardé, je l'ai sentis tout près de moi jusqu'à pouvoir le toucher par l'esprit...

J'ai ordonné son retour, qu'il avance, vers moi et en état de transe.

Après une bonne heure de lutte acharner sur mes pensée et mes yeux révulsés j'ai fini par m'endormir sur mon clavier... Comment, pourquoi? Peut être la fatigue, peut être l'énergie que je venait de dépenser sans même la compter.

Le Lendemain, mes parents m'ont découverte assise sur la chaise endormie paisiblement comme après une grande séance de sport mental. Je me suis donc levé pour rejoindre mon lit en repensant doucement a ce qui c'était passer la veille. - La Journée se passa étrangement tout à fait normalement.

Ce soir là, je devais dormir chez Mickael, pour une fois que sa mère était d'accord .... allonger tendrement dans les bras l'un de l'autre, j'ai regarder l'heure et me suis endormie. ... Après quelque heures de sommeil, un rêve m'est apparu, "j'ai vus dans celui-ci une fenêtre msn messenger s'ouvrir ainsi que l'heure sur mon ordinateur qui indiqué 3h48 du matin et sur la fenêtre messenger était écrit "Adrien vient de se connecter"".

Je me suis ensuite réveiller en sursaut comme si pendant un instant court et simple mon cœur c'était de battre arrêter.

Dans ce réveil en choc, je me redresse dans le lit auprès de mon bien aimé et je regarde l'heure instinctivement - L'horloge indiquer 3h48 exactement, la même heure que celle que j'avais dans mon rêve.

Je ne me suis pas vraiment poser de question, la tête bien trop épuisé, les yeux minuscule et fatigué, auprès de mon tendre je me suis rendormis jusqu'au lendemain matin.

Il était l'heure pour moi de rentrer chez mes parents, je me dirige donc comme a mes habitude sur l'ordinateur commun de la salle a manger, après m'être assise confortablement dans le siège qui m'avais servit quelque jour avant à me maintenir encore sur mes deux pieds, je jette un œil en bas de mon écran et aperçois une fenêtre qui n'avait pas été fermée :

"Adrien c'est connecté sur msn messenger a 3h48"

Mon rêve n'était donc pas un rêve mais ce que l'on pourrait appeler un Voyage Astral, mon esprit était t'il vraiment sortis de mon corps pendant mon sommeil tellement Adrien m'avait bouleversé ? ...

Dans tous les cas, Adrien était là, sur msn messenger, il m'attendais mais j'avais décidé de me venger et de lui faire ressentir le manque qu'il m'avais infligée...

Mais Adrien était bien venus a moi comme je l'avais t'en souhaitez. Est ce qu'il en avait envie cette fois ou est ce que le rituel avais fonctionner ? Je n'en ai pas la moindre idée. Et c'est sur un Ton de « Last Of The Wild « de Nightwish que j'apprennait la gaieté de l'occultisme, le bonheur de le réussite mais aussi le pouvoir d'être humaine. Bien plus qu'humaine.

Adrien était venus me voir, me chercher, lui qui m'ignorait souvent pour le simple fait de ce faire désiré. Je connaissait enfin la puissance, je savourais dans l'ignorance ce qui était devenus ma toute nouvelle apparence.

Versé II – Le Contre Choc en Retour

"Arrête, Arrête, Mickael... je t'en supplie" Tandis que je le voyait s'exploser et se taper violemment la tête contre le muré qui se trouvait au bout de ma rue, Arrête, je le suppliait, le visage en sang, le crâne ouvert par la rage d'exister.

A travers les larmes, je le voyait se blesser lui même poussé par son âme déchiré. En cette nuit encore une fois maudite, loin de autres habitations, j'entendais ma voix crier, l'ethos de Mercurie résonner, Arrête je t'en supplie.

Car celui-ci tout d'un coup se tournant vers moi et d'un regard noir me mis à fixer, je releva la tête face à lui, doucement, comme si une bête féroce était prête à m'attaquer, je gardais mon calme prête à encaisser, les yeux encore brûlant des larmes que venait de verser, la voix presque inexistante a force de cris, les jambe tremblante.

Et comme si le temps s'arrêter, comme si l'équilibre de la vie faisait à jamais son apparition je le vie lâcher le mur qu'il tenait pour vers moi se dirigeant avec férocité vers mon corps accablée.

Quand tout d'un coup je sentis sa mains autour de mon coups serrer, serrer de plus en plus fort... ces ongles presque s'enfoncer, ma respiration ralentissait à allure phénoménale perdant toute conscience de la douleur et du mal.

J'avais mal, non pas au niveau de mes poumon qui peut a peut se vidait, je ne ressentait pas de douleur à ma cheville coucher sur laquelle debout il s'appuyait et qui était à présent casser, mais j'avais mal ici, au fond de mon esprit.

Loin, terrer dans le passé, notre douce histoire d'amour qu'il avait assassiné.

Je venait de subir pour la première fois un TCR, Triple retour en Choc – Mots assez connus en Occultisme qui consiste a recevoir trois fois la somme de ce que l'on as donner ou pris. Fait de bien, ou Mal... Et il était certain qu'il n'avais pas été « bon » pour moi de pratiquer la magie rouge même par le biais du Mentalisme (Magie lié a l'Amour et au Besoin de l'autre) C'est donc pour cette raisons que j'ai payer ce que j'ai du payer, rendre ce que j'avais pris afin de rééquilibré la Balance Universel.

J'avais effectivement modifier volontairement les émotions d'Adrien pour qu'il ai envoyer de me voir et j'avais engendrer par cela beaucoup de choses (voila pourquoi la somme est multiplier par trois) car imagine que celui-ci aurait eu une petite copine a ce moment ? La punition aurais été encore plus grande pour moi car j'aurais modifier le court de la vie non pas d'une mais de deux personnes.

Mais me faire frapper par Mickael ne m'arrêter pas, ne m'arrêter jamais... je continuais toujours sur ma lancé, le même et unique but, avec la même détermination et la même soif de vengeance. Me venger de ce qu'il m'avais infliger, le besoin insupportable de le voir alors que je venait tout juste de baigner dans mon tout premier amour.

Versé III - Visite Régulière chez Adrien

J'allais donc voir Adrien pratiquement tout les soirs car il m'avais, je le sais toute mon énergie Psychique. C'était donc dans le dos de Mickael que je sortait le soir a la nuit tomber... Je devait toujours rejoindre Adrien au milieu de la route qui séparait nos deux maison, soit environ 35 minutes de marche.

Je portait toujours de magnifique tenus, des corsage en velours, des robe en dentelle noir et cela allait parfaitement avec la peau blanche donc je disposait depuis depuis ma naissance. Adrien était toujours là, a me rejoindre... Chaque soir, Chaque nuit, une fois la Lune lever a son maximum dans le Ciel.

Mais j'avais cette manie affreuse de regarder sans cesse derrière moi par peur que Mickael ne me voie avec lui, j'avais cette peur horrible que Mickael sache que je le voyait en Secret, j'avais peur de ces coups...

C'est alors que j'ai vus au loin Adrien qui arrivait au bout de la rue éclairé par les réverbère et finalisé par la lumière de la Lune, quand je vis tout d'une coup Mickael qui arriva derrière moi. Les deux était a la même distance de moi. Adrien a 50 Mètres devant moi, Mickael à 50 Mètres derrière moi, c'est alors que je me suis mise a courir... si vite, avec tellement de haine, tellement de peur pour rejoindre Adrien qui arrivais lui aussi en courant vers moi avant que Mickael ne me rattrape et ne me frappe. Mais Adrien était toujours là, il courait toujours assez vite...

Ce soir là, nous somme rentré chez lui par la fenêtre de chez sa maman qui dormais paisiblement et nous avons passer la soirée comme a nos habitude à parler de nos rêves les plus fou, a parler de la destruction de la nature et des animaux par l'être humain... C'était devenus notre principal sujet de conversation. Bien que peut joyeux...

Je buvait déjà à l'age de 16 ans quelque bières déjà, un peut de vins, du cidre, un peut de Whisky-Coca. Et j'adorais boire en compagnie d'Adrien, d'ailleurs il n'y as pas un jour ou je l'ai vus sans boire, car l'alcool me faisait oublié la raisons pour laquelle j'étaie là et le mal que je faisait a Mickael. Il ne fut pas une seul fois dans ma Vie ou je vis Adrien sans avoir quelque chose d'alcoolisé dans la main.

C'est alors que pendant notre petite discutions au reflet de sa chambre éclairé par une lumière tamisé rouge que nous avons entendus a la fenêtre de gros et éclatant coup de point...

C'était Mickael, qui était rentré dans le jardin Secrètement.

Adrien était alors torse-nus comme a ces habitude mais il ne c'était absolument rien passé entre nous deux, malheureusement ce n'était pas ce que croyait Mickael en regardant par la fissure de la fenêtre sur laquelle il venait de frapper.

... Mickael était derrière la fenêtre et pleurait toutes les larmes de son corps me suppliant de lui ouvrir ... me suppliant de le rejoindre ... de revenir ... C'est alors que sans l'accord d'Adrien j'ai ouvert la fenêtre ainsi que les volet qui était refermer sur celle-ci... Tout en espèrent rassuré un peut Mickael, je les ouvrir avec amour mais avec peur. Il était bien là, en larme, les veine ouverte.

Quand tout d'un coup Mickael ma attraper par les cheveux et ma exploser la tête sur le rebords de la fenêtre que je venait d'ouvrir... le nez en sang, je me recula doucement la tête en vrac et ce que je vis... ce que je vis... je ne l'oublierais jamais.

Adrien venait de mettre un coup de bombe lacrymogène a Mickael mais a cause du vent tout me revint dans le visage et c'est donc la bouche en feu, les yeux déchiré que je vis Adrien attraper un bâte de base-ball qu'il avais lui même cloutée derrière son armoire...

Le regard petit, sous les pleure, le sang coulant sur ma bouche et le goût de l'alcool dans l'air j'ai vus Adrien sauter par la fenêtre d'un temps – trois mouvement pour poursuivre Mickael qui lâchement c'était enfuis.

Adrien arrivait toujours a ces fin et rattrapa Mickael sur la route pour le défiguré a grand coup de bâte... C'est donc pendant que Mickael gisait la tête en sang au milieu de la route que la mère d'Adrien est sortis en criant « Arrête Adrien ! »

Celui-ci cessa de s'acharner sur Mickael qui venait de me frapper brutalement pour venir me rejoindre...

Sa mère as côté de nous deux, paniquer, nous nous somme simplement contenter de lui expliquer la situation. Le faite que Mickael soit entré par effraction chez Adrien pour nous espionner pour m'exposer la tête sur le rebords de la fenêtre, ce n'était que de la légitime défense mais Adrien allais toujours trop loin, bien trop loin, il n'aimais point Mickael, il le détestait.

Laissant lâchement Mickael se vidé de son sang sur la route je continua a boire avec Adrien complètement hors de moi, comme posséder. Quelqu'un afin, venait de me défendre face au coups de Mickael, enfin... et Adrien continuait sa quête, celle de me défendre et de me protéger depuis le début maintenant, depuis notre première rencontre cela n'as jamais cesser.

Versé IV - La Trahison

Je trouvais toujours l'excuse de dire à Mickael « Adrien est mon meilleurs ami, tout simplement. » pour aller le voir en Cachette... mais Mickael n'y croyait pas un instant il sentait le lien que j'avais avec Adrien et ressentait parfaitement la boucle que nous avions former (voir chapitre « La Boucle »). Mickael était très loin d'être fou au contraire de ce que pouvait penser les gens autour de nous.

Nous étions lié tout les deux par cette enchaînement que nous avions construit sur le Ponton pendant cette belle nuit de Printemps. Nous ressentions ce que l'un et l'autre vivait, ressentait, comme deux corps, cœur, esprit a vif, nous étions l'un envers l'autre très réceptif et émotifs.

Mais c'est pendant une nuit d'hiver que la présence d'Adrien ne me suffisait plus, effectivement l'attraction des rituels était tellement forte que le simple faite d'avec lui parler ne m'était plus d'aucune aide.

C'est alors que pendant une nuit d'Hiver ou le temps ce faisait geler dehors que je devais toucher Adrien pour aspiré son énergie afin de me nourrir. C'est pendant une nuit ou tout défiler devant mes yeux, ma vie entière que je donna mon corps entier a un Démon – que je brisa ma vie, que je sacrifia ma destiné, mon tendre et doux bien aimé à mes côtés.

Mais dans cette instant magique ou s'enroulait des Ailes noir autour de mon corps que la Magie opéra...

Adrien me mis dehors quelque heure plus tard quand nous avions terminer, sous la pluie, le corps salis, l'âme dépouillé, mais l'esprit nourrit, c'est sous la pluie que je rentra chez moi a 35 minute de chez Adrien ... et ou je retrouva Mickael devant chez moi avec son vélo.

Il était là, depuis plusieurs heures maintenant, il m'attendais, savais ou j'étaie, il savais comment tout, mais comment... nul ne le saura jamais. Il se tenait debout son vélo a la main... et sous l'odeur de la pluie qui tombais, ma robe de velours tremper j'entendis dans le silence...

« Des goûtes de sang sur le sol qui coulait »

Mickael c'était trancher les veines des deux bras a coup de scie a bois... j'ai donc courut chez moi attraper quelque bandage et je suis rester toute la nuit avec lui cacher dans sa chambre, le regardant chaque heure qui passait en espèrent que le sang ne cesse de couler.

Je n'avais plus qu'une envie à présent... Graver le prénom de Mickael partout sur mon corps en guise de pardon, m'arracher le cœur et lui tendre pour de sa bouche un pardon entendre... mais tout était terminer, il ne restait plus qu'as prier pour que mon tendre bien aimé survive à la nuit qui doucement chaque heure... de plus en plus lente et de plus en plus inquiétante passèrent...

Versé V – Lettre à Mickael

« J'ai encore l'odeur de ton sang dans les narines, ton vélos suspendus au garage comme l'épave de nos temps d'enfance, je voie encore, dans le noire, à travers les larmes, les bandages blanc serrer t'es poignets et prier Dieux que t'es plaies se referment pendant ton doux sommeil.

Je voie encore la douleur couler sur t'es joues rouge d'amour, et sa main qui me traverse sens cesse, ces insultes qui sortent de m'as bouche et comme ma voix imite tellement bien la sienne...

Je suis Folle ce soir,

dans mes yeux tu voie cette énergie qui te fait peur, car tu la connais, tu la voie chaque nuit quand à t'es peine, mon cœur et mon corps s'enfuit, 2oh tomber dans les sombre nuit d'hiver.

Je ne peut plus dormir et te supplie de rester a mes côtés, ne t'en vas pas. Derrière la pomme C, ton pc, seul source d'espoir ou es déconnections et les pièges se mêle a la folie.

Dans m'as tête il y a ses pleures, mes chairs déchiré à coup de lame, je suis atteinte.

La putréfaction de mon corps est devenus trop lourde a supporté, je ne peut plus me regarder moi même.

Mais je Ris.

Mais je Ris.

Quand la nuit tombe et ou les pôles s'inversent, retiens - moi je t'en supplie, regarde la marionnette que je suis devenus, et les chaînes a t'es pieds, les boulet des temps furie qui te traîne par amour et par haine.

Je suis piéger dans un corps au maléfice intense, regarde comme ma peaux suppure de douleur, regarde ma bouche comme elle saigne de t'expliquer, regarde dans mes yeux le désespoir de ton sectarisme ...

Écoute moi! Écoute moi!

Encore, quand je sais parler. Mes lèvres sont déchiré par la répétitions et t'es rires sont si dure a supporter.

Regarde la marionnette que je suis devenus. Toi qui de t'as tendresse en as filer les cordages. Je ris, seul, tu m'entend, et je sais que quelque part tu as peur, je sais que quelque part, tu me croie... .

Regarde sur la table basse des juges le tracer de sa mains, les doigter précis du sorcier qui émerge de sa peine et nous tire hors du gouffre .. GESTE ... Réveille-toi.

Je sais, que toi aussi parfois tu te demande comment tu est encore ici, et pourquoi jamais vivant nous n'en somme sortis intacte.

Car même si aujourd'hui sous les paumes de t'es mains mon regard est devenus noire, et que ma peau est devenus si blanche qu'elle ne peut plus te réchauffer, je voudrait que tu entendent, encore au plus profond de ton être, sur ce ban, dans les forets, sur les routes de nos temps morts, encore je voudrait, une dernière fois que tu entende, de m'as voix tendre de fillette, de mon être de tendresse, la douleur qui émane de mes os, de mes jambes déchiré par les ronces; de la course et de ma peaux qui s'étire sous le feux d'un encens chauffer à rouge... encore une toute dernière fois, Mickael, Mickael... ce n'était pas moi. »

Versé VI - L'arriver des Anges

Ce n'est que le Lendemain matin au réveil t'en attendus de Mickael que je le regarda pour la première fois a nouveau dans les Yeux. Le regard baisser, la honte à l'âme, le corps sale. J'ai tout de suite été mise à la porte après avoir inspecter de prêt les veines qu'il avais la veille découper – car il ne fallait pas que cela se sache, malgré la blessure intense qu'il s'était infliger aller a l'hôpital était une action impossible que l'on ne pouvait pas réalisé de peur que quelqu'un se mêle un peut trop de ce qui se passait.

Il devait être environ 13h quand je suis rentré chez moi les larmes au yeux, le regard vide, l'esprit avide de nourriture. Quand je regarda doucement les camions qui sortait d'un magasins pour y décharger des produit, le même magasins ou j'avais rencontré pour la toute première fois Adrien.

L'esprit haineux j'avais perçus la rythmique des arriver et départs des gros camions qui rentrait et sortait du magasins quand je me suis apprêter a sauter sur la route pour passer sous leurs énormes roues...

Sur le bords du trottoir, j'attendais patiemment l'heure qu'un des camions passe pour me jeter mais ce n'était plus des larme au yeux que j'avais, c'était simplement la punition que je voulait m'infliger : La Mort. Pour peut être obtenir un quelconque pardon...

Quand tout d'un coup un gros camion est arriver sur la route en m'as direction – c'était l'heure – toute prête a avancer sur l'avant du bitume ou je me dirigeais avec hâte j'eus... d'un seul coup, d'un seul une envie de reculer...

Je me retourna et rejoignais donc le trottoir dont je venait de sortir quand mon corps c'est étaler subitement sur le sol, les deux genoux plié a terre, j'ai baisser la tête, les yeux emplis de douleur et j'ai sentis quelque chose autour de moi qui m'entourait...

Une force, une Puissant, mais une Chaleurs si Grande était placer tout autour de moi... comme dans une bulle je suis rester assise sur le sol, les yeux grand ouvert sous le choc de ce qui venait de ce passer – mes larmes avais sécher – mes pensée morbide avais disparut et l'envie de mourir n'était plus en ma pensée. Je regardait le vide... savourant de toute mon âme ce halo de chaleurs, de réconfort et ce halo si paisible qui m'entourait...

Ce n'était pas Adrien qui m'avais forcer a reculer de la route cette fois mais une force Mystérieuse que j'ai nommais après une grande introspection « Les Anges » Car, effectivement autour de moi tout était devenus silencieux, c'était comme-ci deux ... quatre... des dizaines et des dizaines d'ailes était entourée autour de moi pour me protéger et me réconforter.

Ce fut la toute première fois de ma vie que je sentis une tel douceur m'entouré, une tel chaleur m'enlacer...

C'était eux, 18 mes Anges de Vie.

Versé VII - Un Doigté Surhumain

Mais les Anges n'avais pas fait que cela... ils avais aussi fait en sorte de réalisé l'impossible, l'improbable.

Cela se passa un jour d'hivers, quand dans ma rue je marchait tranquillement avec Mickael qui malgré tout été rester mon petit bien aimé. Il savais pour Adrien, ne m'en as jamais pardonner mais je n'avais qu'un seul but en tête soudée les deux ensemble pour pouvoir voir Adrien quand j'en aurais le « besoin »

C'est donc devant ma maison un beau jour de Décembre qu'Adrien et Mickael se sont rejoint et pour la toute première fois une larme de joie coula sur mon visage quand je vie dans l'éclaircis du soleil qui brillait de mille feux, se serrer la main, mes deux précieux.

Adrien et Mickael n'avais pas de raisons de s'apprécier et ne s'appréciait pas alors je suppose qu'il avais fait cela pour mon bien être car mine de rien il avais plein de point commun et il aurais pus devenir amis si jamais je ne serais dans leurs vie intervenue.

Nous avons donc décider ce soir là de boire tout les trois ensemble et de trinquer a notre petite alliance, j'étaie la plus fière du monde et je remercier les anges qui était venus a mon aide, je remerciait également les petits démons qui m'avais aider a créer un rituel juste avant chutttt... cela est un Secret.

Le soir même munis de trois vélos nous parcourions les rues tout a fait alcoolisé comme a mes habittudes avec Adrien et je faisait enfin découvrir a Mickael les joie de sa présence. Quand nous somme tout d'un coup tomber sur une voiture-épave complètement abandonner derrière une salle de théâtre que l'on nommais « Le Hangar »

Mais vous l'avez bien compris il n'existe pas de rituel sans punition, et le TRC pour moi allais bientôt tomber... quand Adrien vit cette voiture au loin et décida d'une habitude pyromane d'y mettre un peut le feu pour rire...

Ce n'était serte pas drôle du tout, de plus que la voiture n'était pas isoler et traînait a côté d'un petit de maison patté. Mais le petit feu qu'il voulait réaliser pris très rapidement une ampleurs gigantesque et attira la patrouille de la BAC de nuit qui traîner peut loin de nous. Le TRC avais frapper.

Nous n'avions malheureusement pas eu le temps d'éteindre le feu et avons pris nos trois petits vélos pour fuir la Brigade anti-Criminalité (BAC)qui avançait sur nous d'une allure bien déterminée pour nous attraper.

C'est alors que face a une voiture qui roulait si vite, nous n'avions pas d'autre choix que de nous cacher, dans les fourrées nous avons trouver une place, dans un buissons étrangement placer le long du « Hangar » nous nous somme engouffrer pour nous cacher et pendant que nous courrions jusqu'au bout afin d'en sortir la BAC nous as attraper.

Ceux-ci ont crier pour nous stopper dans notre lancé et nous ont demander de lever les mains... nous nous somme exécuter.

Comme vous pouvez bien l'imaginez nous avons fini au commissariat le plus proche de là ou nous nous trouvions, à Châlette sur Loing. Quand tout d'un coup un policer a passer les menottes a Adrien... il venait de faire quelque chose que mon esprit ne supportait pas – il venait de le menotter car il était la seul a avoir les empruntes de la voiture sur celle-ci alors je me suis discrètement approcher de lui pour frotter mes mains contre les siennes.

C'est en garde à vus que nous avons terminer et passer la nuit après avoir été fouillé et après avoir eu chacun droit a un « casier » Judiciaire.

[...]

Nous nous somme retrouver tous condamnée au Tribunal de Grande Instance quelque moi après le feu qu'Adrien avais mis à la voiture et tandis que devant le juge nous étions placer, je regardait Adrien a ma droite bouger ces mains avec un doigté surhumain sur la table qui était placer devant nous trois.

J'essayais de suivre le mouvement de ces doigts mais je ne parvint qu'as voir un Pentagramme et peut être quelque petite Lettre, celui-ci pour la première fois exercer un véritable rituel devant moi.

Nous somme sortis de l'Instance avec un Abandon absolue de toute charge alors que nous aurions dus normalement racheter la voiture que nous avions brûler, voiture, qui en faite était une décoration du bâtiment du « Hangar » . Je ne remercierais jamais assez Adrien pour ce rituel qui peut être nous as éviter la Prison, quelque heures de garde à vus ou encore quelque heures de travaux général.