Chapitre Ⅲ - Le Collège
Versé I – Une Enfant Timide
Je suis rentré au Collège a l'age de 12 et demi comme je suis née en milieu d'année. Timide et renfermer je suis rester avec Irina, qui vas beaucoup de chance est rentré dans le même Collège que moi en bas de la rue qui chevauché la Grande Cité du lancy.
Tout les jours nous utilisions l'argent que sa mère lui donnait pour déjeuner pour acheter des Friandise à la Boulangerie un peut plus haut que le collège entre lui-même et les immeuble et nous les dévorions cacher des autres dans un petit coin de la Grande cours du Collège.
Je n'était pas ce que l'on pouvais appeler une « Fille à la Mode « au contraire, je portait souvent les même genre de vêtements : Des pull-over ultra épais et de couleurs caca-d'oies avec souvent des doudounes sans manche qui était attacher avec une fermeture sur le devant et était en sorte de colle-rouler. Ma favorite était la beige avec mon pull-over vers-kaki.
Nous n'étions pas bien riche et je ne connaissait pas les « marques » je n'en portait jamais – Je portait de simple chaussures type talons pas très chers ainsi que Jean simplement fleuries sur les côtés.
Je ne portait pas de maquillage et je n'avais pas de coupe de cheveux particulière, simplement une longue chevelure châtain qui me tombait jusqu'en bas des fesses et je n'avais d'ailleurs jamais connus du coiffeur, la caresse. La pointe des cheveux en bataille, cette longue chevelure laissait tout de même apparaître des yeux extrêmement noir ainsi qu'une peau très blanche.
L'on peut dire que, arriver en 6° J'étais plutôt une enfant très sage qui suivait bien ces court et faisait bien ces Devoirs le Soir.
Irina, était à l'école ma seul amie et j'étais très très souvent victime de l'insulte que connaisses beaucoup de monde : « Salle Bouffonne « , Effectivement, car je n'écoutait pas ce qui était à la mode mais du Claude François à la place, soit un arrive qui avais fait fureur une génération avant la mienne.
Jusqu'au jour ou je l'ai ai rencontrer ...
Versé II – Grand Frère
Un Jour, tendis qu'Irina et moi dévorions nos bonbons acheter précédemment à la Boulangerie du Lancy dans notre petit carré de pelouse bien cacher du regard des autres, j'ai vus au loin, une bande de 4 Garçon qui nous regardait...
L'un deux avais repéré Irina, celui-ci se nommait Mickael. Celui-ci ainsi que tout le reste de la bande était âgés environ de 2 ans de plus que nous deux mais je ne saurais vous dire pourquoi Mickael avais littéralement fâcher sur Irina.
Quand nous nous aperçus que ceux-ci nous regardait, nous avons parler entre nous, vous savez de ce qui se dit entre deux filles quand des garçons plus âgés qu'elles les regarde.
Quand tout d'un coup de garçons de la bande sont arriver vers nous. C'était Mickael et Sébastien. Mickael était venus pour séduire Irina mais je n'ai jamais sus que ce Sébastien faisait là... alors pendant que Mickael papoter avec Irina je me suis en-aller avec Politesse pour lui laisser un minimum d'intimité.
Je connaissait absolument rien a l'amour, toujours Vierge, jamais tomber amoureuse, je me suis donc éloigné et ai été rejoindre Sébastien qui lui aussi par Politesse attendais un peut plus loin – et je remercie le Ciel du courage que celui-ci m'as donner pour lui dire « Bonjour «
Ensemble, nous avons ris, beaucoup ris, sur la façon dont Mickael essayait désespérément de séduire Irina et sur la façon qu'Irina réagissait a la moindre phrase que celui-ci avançait. C'était donc la toute première fois que je rencontrait Sébastien, Skateur dans l'âme.
J'ai rapidement faite connaissance avec lui et nous devenus ami, comme soudé, il est devenu le Grand Frère que je n'avais jamais eu.
Ce que j'ignorais, c'est que la Vie parfois nous cache bien des choses... et Irina c'était finalement bien entendus avec Mickael, un Gothique au cheveux mi-long noir et au yeux d'un vert spectaculaire.
De mon côté, comme si le Destin nous en avais fait cadeau, j'ai commencer a voir Sébastien comme mon meilleur ami pendant que Irina s'attachait de plus en plus à Mickael et là, cette petite bande nous as transformer...
Versé III – La Nuit une fois Tombé
Sébastien était un Garçon absolument Radieux, de court cheveux châtain et un profond regard Bleu que je n'oublierais jamais. Habiller d'un Pull noir ou était inscrit le nom du groupe « Slipknot » il n'avais sa place que sur une planche de Skate !
Mickael et Sébastien avais l'habitude de sortir avec leurs amis la nuit une fois chuté dans une petite ville campagnarde nommé Cepoy. C'était là ou habitait Sébastien et là ou tout le monde la nuit tombé se rassemblé.
Sébastien habitait dans un véritable et vieux Moulin que l'on nomme aujourd'hui et que l'on as toujours nommé d'ailleurs ... « Le Moulin Neuf « comme pour lui donner cette aspect d'immortalité. Sa petite chambre était placer au Rez de chaussés et c'était pendant que ces parents dormait paisiblement que tout le monde s'invitait au chaud a y entrer.
Ce soir là, nous somme rester un peut dehors car en été nous apprécions tous la chaleur que le climat généreusement nous donner. Nous étions tous assis, Moi, Mickael, Irina, Sébastien et quelque autre amis sur les marche de la « Poste » du petit village de Cepoy, Sébastien étant assis juste sur la marche qui se situais au dessus de mois, celui-ci s'amusait a ce foutre de moi car l'air me faisait légèrement frissonner. Quand tout d'un coup, assise sur la marche du bas, je me retourner vers lui...
Et c'est dans le Noir et la Nuitée Merveilleuse qui nous était offerte que le Lampadaire de la poste a éclairé ces yeux d'un bleu merveilleux, assassin, scandaleux, malin, et a la fois tellement romantique et mystique. Son regard plonger dans mes yeux noir quelque instant, fut tendrement et malicieusement s'arrêter le temps.
Mais ce moment fut vite terminer sous les rire et les yeux écarquiller de Mickael qui avais tout les deux tout compris. L'on était tomber raide-dingue amoureux.
Quand tout d'un coup ce magnifique Silence fut rompus par Mickael qui ajouta avec malice et courage « Sébastien, j'en suis sur je te met a Terre « lui ajouta-t'il d'un air envieux, d'un ton d'enjeux, il le cherchait, voulait le provoquer pour montré sa force à Irina, sa belle dulcinée. - Sébastien se mit a rire en lui précisant qu'il n'avais aucune chance mais Mickael était bien déterminer a séduire celle qu'il aimais.
Je l'ai ai vus partir tout les deux comme deux fous dans la rue, courant, le sourire au lèvre sur les pavé de la petite ville de Cepoy. Puis une fois arriver sur le trottoir d'en face, Mickael attrapa Sébastien et le Bouscula...
« Je ne met jamais le premier coup »
M'avais toujours dit Sébastien. Quand celui-ci attrapa Mickael par son pull noir « KoRn » et d'un traie sur le sol le retourna pour le coucher littéralement sur le bitume en deux-temps trois-mouvement.
C'est après seulement que Mickael ce soit relever et que tout le monde s'assura qu'il n'était pas blesser que je poussa stupidement un rire, vous savez le genre de rire qui nous sert, nous, les fille à séduire. Irina complètement rebuter s'en alla avec son bien aimé plus loin pendant que je suivit Sébastien dans un endroit Secret ou il souhaitait me mener.
Versé IV – Mon Premier Baiser
Ont l'appelé « le Lavoir » un magnifique endroit situer juste a côté de chez Sébastien ou les gens nettoyaient leur linge sale dans les anciens temps. Sébastien, galant et toujours aussi charmant me fit rentré la première dans celui-ci et se plaça dans le coin pour me laisser un maximum de place afin que je ne tombe pas dans l'eau sale.
Je le sentis tout d'un coup s'approcher de moi et son corps, son cœur contre le mien... sur la bouche il s'avança pour tendrement m'embrasser... mais a cause de la sombre nuit et de leurs du sommeil passé j'ai sa bouche raté... - Honteuse je me suis reculer, le dos contre le murs du Lavoir en guise de refuge, je ne savais plus un mot dire mais c'est a cette instant qu'il arriva devant moi pour me relever la tête et avec la plus grande des tendresse m'embrasser.
Nous somme sortie du Lavoir tout les deux la mains dans la mains rejoindre Irina et Mickael qui un peut plus loin fricotais.
Versé V - La Transformation
Nous commencions, Irina et moi a connaître ce groupe de garçons petit a petit... Tous issus du même collège, nous ne pouvions pas nous rater dans les couloirs de celui-ci.
Ils nous avais choisit parmi la centaine de filles qui trônait dans les tranchées du fameux Collège Pablo Picasso – Il nous avais remarquer, capturer... Devenant ami avec le diable, pactisant avec Satan, nous nous enfermions peut a peut, innocente dans ceux qui devenait notre nouveau Quotidien à leurs sombres côtés.
Je me souviendrait toujours et encore de ce jour ou j'ai vus dans notre Lavabo la coloration noir couler de ma longue chevelure auparavant Châtain et le regard que je lança dans le miroir sur le faite une fois accomplis.
Je me souviendrait toujours et encore de ce jour ou j'ai pour la première fois de toute ma vie, sous mes yeux du noir furieusement étaler.
Et ce jour... ou tout le long de mes basses courbes, ces chaînes de fer froid je plaçais.
Dans ces écouteurs que je portait chaque jour autour du coup, Marilyn Manson et Slipknot avais remplacer mon tendre et doux Claude François.
Dans les allées du Collège, je sentait les regards ce détourner sur mon passage, me fixant puis au niveau du sol s'abaissant...
Il était temps pour moi d'apprendre a me défendre, guider par ceux que je considérais comme mes frères, mes tendre protecteurs, mes furieux rédempteurs.
Comme si le temps c'était mis en pause pour me laisser une seconde chance d'exister, j'avais changer.
C'était a présent a travers de long cheveux noir que l'on pouvais percevoir mon visage palis par la vie, mon regard noircie par la nuit, mon corps enrobé de noir velours ... comme pour annoncer de nouveau jour.
Je n'avais pas changer, j'avais grandit.
Dans un monde de Scarifications, de violence, et d'alcoolémie.
J'avais vendus mon âme, pour attraper tout ce qui pouvais me servir d'Armes.
En Compagnie de ceux qui était devenus mes proche amis, Sébastien, Mickael ainsi que leurs connaissances communes j'avançais fièrement et la tête haute vers ce qui m'était promis depuis ma naissance: L'Arrogance, la Vaillance mais surtout... une sombre et noir vengeance envers tout ceux qui m'avais fait auparavant souffrir de mon inconfiance.
J'empruntais une route que ma mère n'avais jamais connus, jamais imaginez, un monde imaginaire tout droit sortis des ténèbres qu'elle se refusait a croire existant.
« Gothique » Voilà, le surnom que l'on m'avais donner, j'avais hériter de la même influence que celle de mes amis et pourtant, malheureusement la Culture Gothique ne se compose pas de Scarification mais de romance et de radieuse et douce abondances.
Mes nuits était devenus Blanches, la lune était devenus mon ami et c'était a présent de la violence qui rythmé mes fantasmagorique journées a leurs côtés.
J'avais belle et bien changer pour développer chez moi une nouvelle vision du monde. Un Paradis noir ou la Violence verbale ne venait plus des autres mais sortait de ma bouche virevolte.
Incomprise par ma famille, d'avoir choisit la voix la plus sombre de notre désastreuse génération, j'exerçais avec peine mon existence dans un milieu a la vision brutal et sanguinaire.
Je n'était plus ce que l'on pouvais demander de la douceur incarnée mais peut a peut dans la violence et surtout dans la défense de sa propre identité je me plaçait avec la plus grande des Fierté.
Enfant sage et timide, je me nourrissait peut a peut l'inconscience auprès de ceux qui avais su me tendre la main que personne ne m'avais donner.
Enfant réserver et influençable, je cherchait mon avenir dans un monde de plus en plus brutal mais un univers qui m'as forger et de force ma doté. Dans un espace temps bien particulier au autres, j'évoluais dans la violence et l'art de plaire à ce qui était Sombre dans la plus grande et silencieuse pénombre.
Versé VI – Mais je vous emmerde « Madame »
Sébastien était dans le même Collège que moi, et comme vous le savez je ne fut pas une fille facile a vivre. - je commençait du moins a ne pas l'être avec mes fréquentations. Je prenait un chemin que ma mère ne connaissait pas, n'avais jamais vécus ni même imaginez – un cheval de rébellion contre tout ceux qui m'avais fait du mal au collège...
C'est alors, pendant un court de mi-année qu'intervient dans notre classe une grande femme assez âgée, blonde platine via une décoloration, les yeux marron entouré vulgairement de maquillage comme une voiture volé. Celle-ci était devenu la nouvelle « pionne » du collège et faisait le tour des classe pour se présenter au élève et d'un ton très hautain elle nous annoncer qu'avec elle « cela n'allait pas ce passer comme ça ! » Elle voulait dire par cela qu'elle allais nous « mater » et nous mener la vie dure mais je n'avais pas besoin de ça, surtout en ce moment.
Mme Rivolsie se nommais t'elle. Alors qu'un jour je devait sortir du collège pour rejoindre mon copain Sébastien, elle commença a chercher les histoire sur mon carnet de sortis et les heures qui n'y était pas inscrites... alors, que, auparavant cela ne causait aucun soucis.
J'étaie assez presser ce jour là car mon doux Sébastien m'attendais a la sortie et celle-ci ajouta a mon ton « précipité » « Tu ne vas pas me la faire a moi, tu vas aller dans le « bocal » une heure le temps que je vérifie t'es heures de sorties.
Le Bocal était le surnom que l'on donnait au petit réfectoire qui accueillais les élève en colle ou exclus des classe, ceux qui devait rester dans le collège mais ceux qui n'avais pas le droit d'en sortir tout de même.
Alors c'est avec le regard noir que je la fixa longuement, avec insistance... devant un tel affirmation j'allai donc devoir attendre 1 heure de plus avant de voir mon copain. Quand tout d'un coup sortie de ma bouche quelque chose que je n'aurais jamais oser espérer de moi « Mais, moi, je vous emmerde Madame ! »
Ce fut le début d'un long chemin, un chemin bien tracer vers se que m'avais enseigné ma bande d'amis. Le rebellions, petit serte mais le faite de ne pas se laisser faire par n'importe qui, n'importe quoi...
Celle-ci sur un ton absolument choquer, 2 jours après sont arriver au Collège ne s'attendait pas a ce qu'une élève aussi jeune que moi lui affirme une tel chose... elle resta choquer sur le ton de ma parole... et étrangement me laissa sortir sans chercher autre chose de moi pour que je puis-ce enfin rejoindre mon bien aimé.
Elle l'avais chercher, avais parcourut toutes les classes pour faire la maline devant nous les élève, elle avais eu le retour de la médaille, le retour de son orgueilleux tout simplement, tout purement.
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