Chapitre Ⅵ - L'Archange Mickael

Versé I – La Rencontre

Mais tandis que Adrien faisait des pieds et des mains pour tenter de me séduire de diverses façon, mon regard était tourné vers quelqu'un d'autre... Le petit ami de ma meilleur amie Irina, ensemble il n'était pas heureux et ne faisait que de s'engueuler.

C'était un Garçon... Radieux, pure et simple, des yeux d'un vert éclatant emplie de souffrance et des cheveux mi-long noir. Mickael était son prénom et résonne encore dans ma tête comme une séisme insupportable, celui-ci était d'un beauté incroyable. **

Il venait lui aussi souvent le soir a nos petites soirée entre ami et rentré souvent par la fenêtre de mon meilleur ami Sébastien pour passer la nuit hors de chez lui.

Mickael avais eu peu de chance dans sa vie, deux parents divorcés dont une mère devenus complètement folle à s'en taper la tête sur les portes de son armoire. Mais Mickael inspiré une paix immense, une force tranquille... Mickael était malade de la Vie.

Satanique dans l'âme, Skateur dans l'allure, mais ange déchus à mes yeux.

Un jour ou cela n'allait pas avec Irina, je l'ai rejoint au bout d'un petit sentier qui se trouvait dans notre petite patelin et nous somme partie... Loin, loin, tellement loin des regards.

Nous somme arriver sur un petit ponton pendant que nos amies et notre famille nous chercher - Allonger tout les deux dans le noir sur une couverture à écouter Evanescence, un encens dans les mains, quelque chose c'est passer.

Je me souviens encore du trajet que nous avions parcouru pour nous cacher, ma robe de sois noir traînant dans les feuille humide de la nuit, et les vers luisant éclairant notre route.

A dire que l'on s'en fichais de tout, rien que le faite d'être ensemble nous rendait heureux. Enfermer dans une sorte de bulle, je ne voyait plus que ces yeux percer le noir, plus que sa voix éteindre le silence qui perdurait depuis des années déjà dans ma tête.

- Cacher au Yeux du Monde Entier, nous avons commencé à nous aimer -

Quand la nuit fut bien entamé, et nos deux cœur endormis l'un à côté de l'autre, j'ai entendus des pas arriver vers nous, des cris résonnais du fond de la forêt ou se trouvais notre petit ponton ou nous nous étions poser, nos deux corps allonger. "Sandra, Mickael!!!"

C'est alors que mes yeux transformer à tout jamais par cette nuit se sont ouvert face à son regard tourner vers le mien.

Ils arrivaient en courant, c'était nos deux famille qui nous chercher, je ne sais plus depuis combien de temps, combien d'heure, je ne sais plus, le temps c'était arrêter.

Alors je l'ai regarder, le regard triste et je lui ai dit "On Saute ? " parlant bien évidemment de sauter dans l'eau pour leurs échapper... il me répondis par un détournement horizontal de la tête, comme pour me dire "non, laisse..." Le Rêve était terminé. D'une tristesse inconcevable, comme si l'on venait de m'arracher le cœur je ramasser mes encens et me rendis dans la voiture dans les parents ou à l'arrière je commença à verser toutes les larmes possible de mon corps.

Je savais que je le reverrais demain, au collège car nous étions dans le même mais j'en voudrais toujours à mes parents et au siens d'avoir fait cesser cette instant qui sortait du commun - un moment magique - dans les feuilles glacer, au yeux du monde entier cacher.

Pour la première fois réunis. Je me souviendrai à jamais de son regard cacher sous la couverture, l'odeur de l'encens de Bois de Santal nous envahissant et Missing d'Evanescence résonnez dans toute la forêt ou nous étions installés. Je lui en voudrait à tout jamais de ne pas avoir voulu dans l'eau Sauter.

Devant cette être de pureté j'avais coûter a a souffrance, j'avais coûter à sa détresse, j'avais changé

Je suis arriver au collège des chaîne le long des hanche, habiller de ma plus belle tenus - il était hors de question que cette journée se passe comme les autre - j'allais leurs faire payer. A tous, au monde entier.

Enfant insupportable que j'étais, j'étaie devenus une femme qui savait aimer. Je mettait attelée à le protéger, à jamais prendre soin de lui. Tout était devenus superficielle, les courts, les profs, les ami(e)s, les ennemis... seul la musique savais encore me guider dans ma quête mais rien ne c'est passer comme je l'avais prévus....

Mickael était à présent mon petit copain mais le monde s'acharnait peu à peu sur nous. J'ai donc dus apprendre à me débattre mais surtout à me battre.

C'est pendant cette instant de Haine contre le monde que j'ai développé en moi quelque chose que je ne connaissait pas . Oui, effectivement lors ce qu'un humain ressent des émotions trop forte pour lui il les stock dans une boule énergétique appelée "Egregor" - cette Egregor reste a vie dans notre corps et réapparaît parfois sur le son des même émotion qui lui ont donner la vie.

J'ai donné un Nom à cette Egregor qui devait protéger Mickael et finir ma vie, celle-ci se nommait Mercurie.

Un nom choisit parfaitement au hasard mais qui en faite m'était prédestinée depuis ma naissance. - Mercurie était en moi prête à combattre - à intervenir à n'importe qu'elle moment pour le protéger.

Versé II - Poème à Mickael

« Entre le froid

la souffrance, la peur, le courage et la fuite

est née loin des regard indiscret

loin de toute endroit civiliser

une histoire

que j'aimai personne ne comprendra

que personne ne découvrira

coucher dans le froid

les larme au yeux

une douce mélancolie qui signifier enfin la vie

t'es yeux

percer le noir

encore tu me raconter t'es histoire

qui me faisaie frissonner mais qui me plaisais

j'aime t'entendre parler ...

enfin on était rassembler

le début de l'éternité ...

une nuit qu'il fallait savourer

qu'il fallait ne pas oublier

il y avait un vent glacer

mais pas question de se retourner

pour la 1er foi dans t'es bras tu ma serrer

pour la première foi tu ma embrasser

j'ai tellement peur de me réveiller ....

mais comment oublier

se doux passer

ou rien encore ne c'était passer

personne ne peux savoir

personne ne réussira a voir

parmi les branche nos soigneux esprits

qui hante se paradis

a jamais il est marquer

de notre passage, de notre amitié, de notre immortalité »

Versé III – La Folie de sa Mère

Nous avions pris l'habitude Mickael et moi de nous rejoindre le soir, une fois la nuit tomber et en cachette de nos parents dans un endroit qui se situait juste derrière le cimetière vers chez moi. Une petite usina abandonner pendant que nos famille tranquillement dormais. Nous ne faisions rien de mal, rien de méchant mais ma mère ne voulait pas que je fréquente Mickael car elle me trouvais trop jeune pour avoir se genre de relation. Quand à au parents de Mickael il se contentait de lui empêcher de faire tout ce qui était possible et inimaginable. Ayant le grand frère de celui-ci comme « favoris ».

Mickael, un jour tandis que nous marchions en direction de chez lui ma dit d'une voie que je n'oublierais jamais « J'aimerais tellement que nos parents soit comme dans les films, qu'ils nous pardonne facilement » mais Mickael n'avais absolument rien a se faire pardonner... Il était simplement victime de la folie de ces parents.

Deux personne divorcés et vivant dans la même maison, il avais fait ce choix pour une question encore d'argent mais n'était pas heureux ainsi et il n'était pas rare que, en dormant chez Mickael la nuit, j'entende sa mère se taper la tête contre la porte de son armoire en hurlant.

Elle ne pouvait pas me voir, pour une raisons ? Laquelle ? J'aurais aimer savoir un jour... Mais dans sa grande folie elle avais eu pitiez de nous et nous avais acheter un matelas gonflable pour nous faire dormir dans un sous-sol geler mais je pense plutôt que c'était car elle ne voulait pas nous voir dans la maison.

Parfois Mickael devenait assez agressif avec moi quand je ne céder pas a ces caprices et quand par exemple je ne dormait pas dans sa chambre situer dans la maison. Je lui expliquais alors calmement que je ne pouvais pas rentrer au risque de mettre sa mère dans une colère noir mais il ne m'entendais pas...

Ce n'était donc pas rare que je me fasse chasser de la maison a grand coup de bâton pour ouvrir les VELUX par sa mère, criant après moi des insultes de tout noms possible et inimaginable. J'avais tout de même le choix : me faire frapper par Mickael ou me faire frapper par sa mère ... le choix était vite fait comme vous pourriez l'imaginez.

Mickael n'était pourtant pas un garçon méchant mais un garçon extrêmement perturbé. Délaissé par son grand frère, sa mère, son père, il n'avais comme repère que c'est amis ainsi que ces rêves de paix et de sérénité. Je ne le savais pas encore mais Mickael était atteint d'une très grande maladie : La Schizophrénie.

Versé IV – La Conversation Messenger

Nous avons vécus dans une génération ou Skype, Facebook et Twitter n'existait pas encore et n'avions comme seul moyen de communication a travers nos ordinateurs nos petite applications MSN Messenger que j'appréciais tout particulièrement.

Cette petite applications une fois installer sur notre ordinateurs nous permettait de parler en directe avec une autre personne connecter, nous pouvions également activer la vidéo et le son afin de voir la personne et l'entendre et cela, dans le monde entier mais Mickael n'habitait qu'as 4-5 rues de chez moi seulement.

Un jour, tandis que nous discutions tranquillement avec un ami qui ne connaissait pas Mickael, j'ai vus apparaître sur l'écran de mon ordinateur un message :

« Ou est mon Mickael ? »

Il était inscrit sur ce message que c'était moi qui l'avais envoyer sur l'application et mon ami ne comprenait pas pourquoi j'avais dit une tel chose et pourtant... au contraire de ce que vous pourriez pensée, je n'avais rien écrit ! J'ai donc demander a mon ami s'il ne s'amusait pas a « pirater » mon application afin de me faire peur ou de me faire passer pour une folle et pourtant ce n'était pas lui et pas le genre de personne a faire ce type de blague.

« Mickael !!! Aide-moi ! »

S'affichât soudainement a l'écran ou se situait la conversation entre moi et mon ami, pourtant je n'avais toucher a aucune touche de mon clavier ! ...

C'est après avoir eu une longue discutions avec mon ami que j'en ai conclus que ce n'était pas l'un de nous deux qui avions écrit cela – ce n'était certainement pas moi, de plus cela ne pouvait être lui car il ne savais pas que je fréquentais un garçon qui se nommais Mickael.

Je n'ai eu et n'aurais peut être jamais d'explications a cette histoire... 

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