Versé I - La Cité du Lancy

J'habitais à l'âge de 10 ans environ avec mes parents ainsi que ma petite sœur de 5 ans, Elsa, dans une très Grande Cité mal-vus au yeux des autres, le genre d'endroit que ne peuvent s'offrir que les personne miséreuse et peu fortuné.

Le genre de Cité ou se trafic dans les caves des passes de drogue et de prostitué. Le genre d'endroit ou un enfant ne devrait pas être élevé.

Notre maison était tout de même très confortable, nous ne manquions de rien sous les nombreux sacrifices de ma mère qui travaillait en tant que Femme de Ménage. J'avais tout ce dont j'avais besoin, un père, une mère, une sœur, des jouer, un lit chaud, à manger 2 fois par jours et bien sur un toit au dessus de ma tête.

Je n'ai jamais eu à me plaindre de ma situation et j'essayais parfois d'aider ma mère en lui proposent quelque Franc que j'obtenais de ma Grand Mère mais celle-ci refusait toujours,

c'est alors que je les déposait discrètement dans son sac à main pour qu'elle les utilise s'en s'en rendre compte mais je sais au fond d'elle, qu'elle le savait.

Notre Cité se trouvait dans une grande descente qui surplomber l'allée qui menait à notre Collège Municipal mais je n'étais en ce temps là qu'as l'école encore primaire.

Je ne me souviens que de peu de choses... une chambre avec ma petite sœur assez remplis, à la limite de l'enfant gâté. Ma Mère, donnait vraiment tout pour nous, que cela soit de sa santé, de son moral ou de son confort matériel.

Mais le bonheur comme beaucoup le savent ne se trouve pas dans le confort et l'argent - J'ai eu la malchance d'avoir un père malade qui me repoussait quand je voulais lui fait des câlins et je ne cesser de faire ... chaque soirs, chaque nuit ... pendant plusieurs heures, de martial et terrorisent Cauchemars.

Maman avait plusieurs suppositions sur ceux-ci ainsi que sur leurs cause, la première était une supposition de "chaleur" à cause des énormes et nombreuse peluches que j'avais au bout de mon lit. La deuxième supposition était le vers de lait Chocolaté que je buvait chaque soir avant d'aller me coucher. Mais après avoir retiré ne serait ce qu'une nuit les peluches et ce petit vers de Lait, les cauchemars ne cessait toujours pas.

J'avais peur, chaque jour, dès le matin au réveil de me recoucher pour la nuit à venir... car cela ne cessait jamais, pas une seul nuit j'ai passer en douceur et en tendresse dans mon lit d'enfant gâté.

Tous les soirs, avant d'aller me coucher, je ne sais pour quel raisons, je regardait l'œilleton de notre porte qui dans la maison éteinte par la nuit brillait de mille feux à cause de la lumière du halle de notre appartement allumer, je ne pouvais m'empêcher de le fixer pendant plusieurs minutes avant chaque heures de coucher.

Comme si... comme si... cela était une sortie, une porte, un portail qui renfermer de l'autre côté de celui-ci quelque chose que je devais savoir absolument avant la nuitée.

Je disait toujours je t'aime a ma mère avant de me coucher, la gorge sèche, la voix âpre, les yeux terrorisé, c'était notre petite habitude, pour elle, ce n'était qu'un message d'amour, pour moi, c'était un "au revoir" car j'avais peur... mais de quoi? Je ne le savais jamais.

J'avais peur, tout simplement peur. Je dormait dans la même chambre que ma petite sœur qui avait l'air de passer de très bonne nuit mais ce n'était pas mon cas car la planche qui avait été fixer au dessus de mon lit se dévissait doucement chaque soir, comme si le temps s'arrêter pour me blesser.

Des livres, posés à plats énorme comme des Dictionnaires tombais sur mon visage a peine endormi alors qu'il était improbable que cela se produise.

Il y as quelque temps, je pensais que mes cauchemars était lié au gens que je voyais traînée dans les caves, au personne que j'avais vus sauter du 4° étage, soit 2 étages au dessus de nous, je pensais que cela pouvait être causée par beaucoup de chose mais jamais je n'ai trouver la réponse.

Je savais simplement que quelque chose, quelqu'un voulait ma mort..

J'allais presque en oublier de vous citer ce Square maudit que je déteste par dessus tout et qui se trouvait à quelque mètres de notre immeubles. Ce Square n'était rien d'autre qu'une forêt avec quelque jeux d'enfant poser par-ci par-là mais je ne saurais vous décrire l'angoisse que je ressentait en le regardant par la fenêtre de ma chambre.

Quelque chose me voulait du mal, mais quoi ? ...

Dans ce petit bonheur à la fois triste ou je voyait ma maman passer sa vie devant la fenêtre à regarder le parking public, je rêvais d'avoir un cheval mais par dessus tout, d'avoir un animal.

C'est alors qu'un jour ma mère et mon père m'attendait dans la salle à manger qui était relativement spacieuse et ou sur la table était déposer une magnifique et gigantesque plante qu'il m'ont poser cette question dont je me souviendrai toute ma vie

"Tu voudrais un petit chien ou un pet Chat?"

- Ma réponse fut évidente, je voulais un petit chat et j'ai donc par cette acte acquérir un magnifique petit chaton roux , un chat typé Sauvage que j'ai nommé avec le Plus Grand des amour "Vanille". Je passais beaucoup de temps avec mon petit chat, a lui fabriquer des maison en carton car j'étais certes cette enfant sage mais les bêtise n'était tout de même pas à négliger et j'utilisais souvent les draps de ma mère pour me cacher avec mon chats et ma sœur dans l'appartement, construire des cabane... des cachettes...

Mais mes parents envisager très avec hâte de trouver une maison pour continuer à nous élever.

Quand ma mère a terminer par trouver une maison dans la même ville. Une jolie petite maison à deux étage et pourtant malgré le bonheur d'avoir une chambre rien qu'à moi, un espace sans petite sœur, rien que pour moi, j'avais peur, j'avais peur qu'il me suivent...

J'avais peur que mes nuits là-bas soit les même qu'ici.

Versé II : Irina

J'ai toujours été une enfant seul au regard noir... Mais dans cette Grand cité du Lancy ou je résident une fille a sus me tendre la main, Irina. Aussi âgée que moi, 10 ans. Elle était une enfant magnifique au cheveux long châtain et bouclée, de magnifique yeux vert.

Celle-ci avait toujours élevée dans le domaine de l'Occultisme et de la Significations de Chaque Choses. Elle m'apprit donc par le biais de sa mère le faite de devenir Végétarienne à l'âge de 10 ans et demi

Elle m'a appris le respect de la nature et des animaux mais également la symbolique de chaque choses. Habitant l'appartement d'en face, elle disait entendre mes cris la nuit, et je me souviens que dans son petit appartement, sa mère mettait sous clefs des livre d'Occultisme dont je pouvais percevoir la titre de ceux-ci à travers la porte transparente qui les renferme.

Je voyait souvent sa maman dormir sur un tapis sur le sol avec un cristal sur le front sans vraiment comprendre.

Mais Irina était ma seul et unique amie, lié comme l'amour, unie comme deux sœur nous avions même prévus de vivre ensemble. Irina, était aussi victime de beaucoup de cauchemars qu'elle me comptait le soir quand nous dormions ensemble.

A droite du Lancy se trouvait une forêt que l'on nomme vulgairement le "Square Lantara", Square dont je vous ai parlé plus tôt dans cette forêt, chaque soir nous nous aventurions pour y trouver je ne saurais vous dire quoi... , peut être une fée des compte racontez par sa maman mais a chaque fois l'entré de cette forêt nous immerger d'une peur terrible.

Irina, avais moins peur que moi et entré toujours la première mais il était toujours moins drôle de la suivre... Je me souviens parfaitement de nos escapade entre les boisée, les tronc tomber à terre, les jeux pour enfants dans cette forêt qui a notre age nous paraissait être une immensité.

Irina croyait fermement comme sa mère en toute sorte de Magie, mais je n'aime pas prononcer ce mots car la Magie ne compte pas en elle des balais volant ou des baguette magique qui vous jette des paillette, j'emploierai donc dans mes textes le terme d'Occultisme. Elle y croyais dure comme fers... et elle avait raisons. L'Occultisme existait bien chez elle, existait bien chez moi et cela en dehors de notre propre volonté.

Là, était le début de ma première rencontre avec l'Occultisme, Irina.

Je devint donc végétarienne à l'âge de 11 ans environ suivant ces bon conseils mais également en voyant les atrocités qui se passait dans les abattoirs que je ne citerais pas dans ce livre.

Ma mère, était totalement contre cette façon de vivre et avais décidé d'en parler au docteur pour savoir si ma santé n'était pas en danger sans viande, celui-ci lui as répondu que je prenait beaucoup de risque mais je n'y ai jamais vraiment crus... Ma mère me forçait donc pour ma santé a manger de la viande qui n'y ressembler pas. De la viande blanche.

C'était une situation tout à fait horrible que je ne supportait pas. Pour moi c'était comme manger mon petit chat, j'imaginais l'animal pleuré, dépecé. J'imaginais la vache mourir devant son veau qui allait lui aussi y passer mais je n'aime pas m'attarder sur ce sujet qui me blesser de plus de jour en jour...

Versé III – La Dame Blanche

Irina et moi adorions a l'age de 10 ans et demi seulement faire des escapade dans les boisée du Square Lantara mais quand il était temps pour elle de rentré chez elle, je devait moi, qui avais peur du noir courir dans l'allée qui rejoignez son immeuble au mien, j'empruntai toujours le même chemin, un petit chemin étroit sur le côté gauche de son immeuble ou les gens encore éveillée me regardait courir avec halène.

Mais c'était arriver en bas de mon immeuble que commençait cette peur réel, car comme vous le savez, dans les immeuble public existe toujours une cave commune et celle du mien n'était jamais fermer, je ne serais vous dire pourquoi, les gens y laissait toujours la porte grande ouverte.

C'est alors q'une fois avoir pousser la porte de l'immeuble, je me retrouvais face a une ouverture noir comme l'encrage des enfers. Un portail que je n'osais jamais affronter ni même pénétrer de peur de ne jamais m'en échapper.

Et, c'est devant mon corps terrifié par cette ouverture assombrie que je voyait cette Femme, debout et raide dans une robe blanche comme l'ébène. Souple, volante et légère comme la neige... Elle portait des yeux extrêmement rouge et sur son front trôner des cornes de Taureau inverser et qui vers le bas pointé.

Comme si chaque soir elle me regardait rentré, sans bouger, sans bruit. Je n'osais pas hurler le nom de ma mère dans les escalier au risque de réveillé tout l'appartement mais ce n'était pas l'envie qui m'en manquait, c'est alors que j'attrapais toujours la première rampe verte sombre de l'escalier pour me hisser avec peur et complètement terrorisé sur les marches du premier étage.

C'est en courant comme une dératé que j'atteignais encore une fois mon foyer ou ma maman inquiète m'attendais...

Je ne savais pas qui était cette femme et comment faire croire a sa maman cela quand l'on as 10 ans seulement ? ... Tout ce que je sais c'est ce Maman avais voulut aller me faire voir un Psychologue mais j'ai toujours refuser – j'en ai vus assez par la suite, qui d'ailleurs ne m'ont en rien aider - . Souvent à l'école Primaire, pendant mes heures de classe je m'amusais a la dessiner mais même le dessin de cette femme m'était insupportable, je ne pouvais jamais longuement le regarder avant de le déchiré sous un acte de Colère.

C'est a ce moment là que mes recherches ont commencer, tout le monde parlait d'une « Dame Blanche « quelque chose de Démoniaque et Angélique à la fois, mais je ne saurais jamais sur de la nature de celle-ci... ni même de son apparition.

Versé IV - Je dormais sur le Sol

Maman me proposait tout de même très souvent de dormir sur le sol de sa chambre tout en bas de son lit pour me rassurée.

C'était donc pendant les nuits les plus durs que celle-ci installait avec amour mais aussi avec haine une couchette de camping rouge et blanche sur le sol de sa chambre et de son côté de lit.

Je me souvient encore de la chaleur de cette petite couette qui m'éloignais de cette chambre maudite, je me souvient encore du reflet de ma mère, qui au dessus de moi dormais paisiblement ... mais je me souvient surtout du niveau du lit ou je me trouvait, car étant coucher sur le sol je ne pouvais rien voir a ma gauche que le dessous noir du lit de mes parents ...

Comme me retrouver face au enfers eux-même, ce n'était pourtant pas le dessous du lit qui me faisait peur mais le noir qu'il faisait sous celui-ci. Un noir intense... profond.

Je n'était pas le genre d'enfant a avoir peur qu'un Clown sorte du dessous de mon lit, j'avais peur de bien d'autre chose... de quelque chose de plus profond, j'avais peur du noir tout simplement. Ce néants que je ne comprenait pas et ou, absolument tout pouvais se cacher.

[...]

Maman, elle en avais marre que je ne la laisse pas dormir la nuit, que je la supplie de restait réveille jusqu'à ce que je m'endorme, elle n'en pouvait plus de veillée au bout du mien, elle était fatiguée de devoir installer en plein milieux de la nuitée mon petit camping en bas de son lit. Mais maman as toujours possédez une patience d'Ange.

C'était donc pendant les nuits les plus affreuse ou je ne pouvais plus respirer que celle-ci me donnais la permissions de dormir en bas de son lit, à ces côtés... Mais bien que cela me rassurais au plus haut point, les cauchemars eux, était toujours là...

Versé V – Je t'aime Mikey

... Nous voila mes chères lecteurs au Chapitre sur Mikey, je ne parle pas non là de Mikey la petite souris noir et blanche des dessin animé mais du Chapitre, l'un des plus important de ma vie, celui qui me construite, celui qui ma forger et ce sont les larmes au yeux que je tape pour vous ces premières lignes... sur un Air de We Can Fly Away de Emma Townshend.

C'est une cigarette à la bouche et une bière à la main que j'accepte, pour vous, de faire renaître les émotions les plus intenses de toutes mon existence.

Durant tout le Livre de Mercurie, vous découvrirez que j'ai vécus des choses très peut simple a vivre et que je suis même sous l'emprise d'un Egregor... Je suis tomber dans la Magie, dans la Drogue mais sachez, sachez mes chèrs amies que je suis tout aussi tomber dans l'Amour à l'age de 11 ans seulement. Il me sera très difficile d'écrire ce chapitre avec ma paire de Lunette briser en deux et la petite écriture que j'utilise afin de rendre mon Livre plus lisible mais plus que tout, ce Chapitre marque une partie intégrante de ma Vie, il est le commencement de toute choses.

Vous avez, peut être dus voir à la télévision il y as des années de cela un film assez long... qui était le plus souvent diffusé en deux parties et qui ce nommais Le Monde Magique des Leprechauns. Si vous l'avez déjà vus il vous suffit de vous en souvenir pour me connaître. Si vous ne l'avez jamais vus il vous suffit de le regarder... tout simplement.

Je ne serais pas vous d'écrire entièrement ce Film mais je pourrait vous en citer un petit résumé simple et rapide. Il s'agit tout simplement de deux groupes de petits personnages Mythique, les Leprechauns (Fêtard, Buvard et bagarreurs) et des Esprits de la Forêt (Romantique, Bien élevé, élégants et qui ont pour but de protéger la Nature). Ces deux petit groupes, Tribu ce font la guerre depuis des années mais un Leprechauns : Mikey tombe fou amoureux de la Princesse des Esprits de la Forêt : Jessica et ceux-ci exerce tout ce qui est en leurs pouvoirs pour rester ensemble malgré les différentes et la guerres qui s'abat sur leurs deux peuples. Quand leurs viennent tout d'un coup l'idée de simuler leurs mort pendant quelque heures pour prouver à leurs deux famille qu'il préfère mourir que d'être séparer...

[...]

Cela ressemble très fortement à la grande tragédie de Roméo et Juliette et pourtant je n'ai jamais regarder cette œuvre de Shakespeare.

Le Monde Magique des Leprechauns fut un film très grandement reconnus dans le monde entier mais il fut cesser d'être diffuser dans les année 2000 ou de tout nouveau films ont fait leurs apparitions, restant tout de même dans le s mémoires de tous.

[...]

Que pourrait-je vous dire si ce n'est que je suis tomber raide dingue amoureuse de Mikey, le Leprechauns. Garçon fort, tout de vert vêtus, garçon musiciens et bagarreur. Il m'inspira l'esprit de la Fête, m'appris la Respect de la Nature, m'enivras de l'amour et me fit respiré l'air pur de la Douce Irlande sous les mélodie infernal des violons Celtique.

Je suis serte tomber amoureuse d'un Personnage inventée de toute pièce, un rôle jouer par Daniel Betts, mais jamais je n'ai connus un amour plus grand que celui que je lui portait.

Ma vie, à l'age de 11 ans était bercer par la festive et attrayante Musique Irlandaise et c'est quand mon esprit focalisé sur les images de ce films faisait disparaître ma peur atroce de la nuit qui chaque soir tombais sur notre grande cité du Lancy que je me sentait enfin vivante.

De ce film est née mon amour pour la Nature, est née mon amour pour la Fête mais aussi l'amour de la Magie et de la Beauté. De ce film de toute pièce inventée par un célèbre et admirable producteurs je suis née une seconde fois. Moitié Esprit de la Forêt, moitié Leprechauns, je suis devenus celle que je suis aujourd'hui. Bagarreuse, Amoureuse, Romantique, Fofolle, mais surtout Fantastique.

Ma mère avait pris soin de regarder avec moi les diffusions de ce films sur le petit magasine qui nous servait autrefois a voir les programme télévision et une cassette VHS incruster dans le magnétoscope prêt a l'enregistrement nous avons toutes les deux réussie a enregistrer ce film qui plus de 2h30 durais.

Je le regardait tout les jours, chaque matins, chaque après-midi, chaque soir... j'en connaissait absolument toutes les paroles et réplique, ce film était avant que je ne le sache le résumé total de ma Vie et devenait peut à peut ma façon d'être et de voir les choses.

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Un beau jour, ou plutôt triste jour... tandis que s'insérer avec amour la cassette vidéo dans le magnétoscope de notre petit salon pour la lire comme tout les jours... la bande de celle-ci c'est coincée dans le lecteur... j'ai tout d'abords commencer à appelé ma maman dans la plus grande des détresse, et pendant que je voyait la bande se rayer dans celui-ci, les premières larmes d'un amour perdus commençait a couler sur mes joues d'enfants.

Ma belle maman as fini par arriver en courant vers moi et as stopper l'électricité de tout ce qui pouvais être relié a la télévision, arrachant avec délicatesse la bande qui était resté coincé dans le magnétoscope...

Elle me jeta ce regard que je n'oublierais jamais, comme un air tout a fait désolé mais elle mesurais grandement et largement l'ampleur de la situation... Je venait de perdre ce qui me faisait enfin Rêver sur cette triste Terre.

[...]

C'est assise sur le sol de notre salon que je tenait entre mes mains d'enfant la bande noir du film comme les tripes de mon doux Mikey, comme s'il ne me restait plus que cela...

Ce jour là, fut le jour je versa non pas mes premières larmes de peurs mais pour la toute première fois, coulait sur mon visage des larmes et des flots de désespoir intense, la bande entre les mains, les deux genoux au sols, ma mère a mes côtés essayant de me rassurée... Cette instant marqua à tout jamais mon existence.

[...]

J'ai du attendre quelque années plus tard que le film ne sorte en film Gratuit sur le net pour le revoir et je pus écouter pour la première fois la musique que j'écoute en ce moment. We Can Fly Away

Mon rêve fut pendant de très longue années de rencontrer Daniel Betts bien que je savais qu'il ne serais pas dans le rôle de Mikey... à chaque anniversaire je comptait les années qui me séparait du jour ou je rejoindrait l'Angleterre pour le rejoindre afin de le rencontrer. Bien qu'aveugler, amoureuse d'une pure et simple invention...

Je n'oublierais jamais, jamais, le sourire de Mikey, et si ce n'est pas cette musique qui résonnera dans les haut-parleurs de mon Mariage alors c'est sur cette Musique que je souhaite de tout cœur me faire incinéré.

[...]

Il reste néanmoins très important de noté que dans ma vie je n'ai eu que d'influences que ce et cette unique Film. Une création qui ma grandement marquer à l'age de mes 11 ans et qui aujourd'hui à mes 26 ans me fait encore pleuré.

Vous remarquerez très rapidement qu'en dehors des Influences de Mercurie, je n'ai jamais chercher autre chose qu'as retrouver le bonheur que ce long métrage ma procuré, j'ai effectivement toujours chercher un garçon au cheveux long, tout mes petit copains était habiller de vert, mon respect pour la nature et les animaux as grandit et l'Occultisme fut ma passions principal. Tout les détails et dans les moindre recoins de ce film, l'on pourra me percevoir.