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Les ennemis ne sont plus trรจs loin.
ร€ quelques heures seulement de leur point de base.

Ils le ressentent au fond d'eux.
Ce sera un des combats les plus pรฉrilleux.

Ils ne prennent plus le temps de s'entraรฎner.
Ils l'ont tellement fait, exรฉcutรฉs.

Ils savent eux mรชme, dans leurs regards, qu'ils seront sans pitiรฉ avec ceux qui ont osรฉ les dรฉfier.

Les prendre en duel. Comme de simple mortels.

L'angoisse prend le pas sur notre soldat. Il ressent l'envie d'entrer tout de mรชme dans le combat.

Les ennemis ne sont guรจre loin ร  prรฉsent.
Nos hommes le ressentent.

La terre se met ร  trembler, le vent vient de s'agiter.
Le moment est venu, il faut รชtre prรชt.

Malgrรฉ la dรฉcouverte des autres soldats,
Des pertes, il y en aura.

Nos hommes montent littรฉralement sur leurs grands chevaux.
Pour faire face, vaincre nos rivaux.

L'homme ressent la peur de ne point finir vainqueur.
Ils prennent le pas, avance droit devant. Sans mรชme ressentir le moindre regard hรฉsitant.

Ils foncent tรชte baissรฉe tandis que les ennemies sont ร  leurs portรฉes.

Les ennemies arrivent juste en face d'eux.
Ils commencent ร  affronter certains d'entre eux.

Notre homme reste en arriรจre, n'admires point l'avantage de ses adversaires.
Les morts s'enchaรฎnent, le sang coule de plus belle.

Alors qu'une montagne de cadavres semble faire office de dรฉfaites

Un homme prend la tรชte.

Il a un รฉlectrochoc, il voit ses alliรฉs, les uns aprรจs les autres se faire tuer et รงa, il ne peut le supporter.

Nous pouvons observer un soldat fonรงant tรชte baissรฉe dans un vรฉritable raz de marรฉe. Sur son fidรจle destrier. Maintenant, seul, face ร  toute une armรฉe.

Dans un vรฉritable bain de sang, un homme avance parmi tant d'autres.

Le nรดtre.

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