πΏππ ππππππ πππππππ ΒΉ
Le temps fut venu.
Il n'est guerre perdu.
L'heure de la guerre est proche.
Les ennemis sont en approche.
Tandis que nos hommes prΓ©parent les armes et les chevaux,
Un homme semble Γͺtre pris par la crainte d'affronter nos rivaux.
Il prΓ©pare avec hΓ©sitation ses armes.
Non sans quelques larmes.
Nous pouvons ressentir toute sa peur
Sa frayeur de terminer peut-Γͺtre vainqueur.
Ou vaincu.
Les soldats se prΓ©parent mentalement au long combat agonisant qui les attend.
Les ennemies sont redoutables.
De tout, ils en sont capables.
Mais notre troupe cache un secret,
Une arme bien gardΓ©e.
Ils ne le savent pas encore.
Mais nos soldats doutent de caresser la mort.
De très près.
L'homme, terrifiΓ© de faire partie d'une troupe assoiffΓ©e de sang,
Il ressent comme un mauvais pressentiment.
Ou bien est-ce un gain d'encouragement ?
Il prΓ©pare son cheval comme les siens, ceux de son clan.
Le cheval semble sΓ»r de lui. Tandis que notre homme est fort hΓ©sitant.
Le cheval est splendide.
VΓͺtue d'une belle robe noire incarnant le dΓ©sespoir, mais possiblement la victoire.
D'un contact non sans pertes dΓ©risoires.
Il était doté d'une crinière digne d'un cheval des dieux, presque enflammée de par sa beauté légendaire.
Ce cheval ne semble pas ordinaire.
BαΊ‘n Δang Δα»c truyα»n trΓͺn: AzTruyen.Top