𝗜 𝗹𝗼𝘃𝗲 𝘆𝗼𝘂 𝘀𝗼....𝗜 𝗸𝗶𝗹𝗹 𝘆𝗼𝘂
🎵I ɴᴇᴇᴅ ʟᴏᴠᴇ ᴀɴᴅ ᴀғғᴇᴄᴛɪᴏɴ🎵
Il faisait sombre, très sombre dans la pièce close. Les lumières étaient éteintes, et l'atmosphère était plus que lugubre. Personne ne pouvait y voir quoique ce soit dans cette hangar sombre. Le bruit des bestioles crépitaient à l'oreille de la jeune femme aux yeux bondés, sans même qu'elle puisse réagir.
Malgré que tout ces sens étaient en alerte elle ne pouvait pas faire plus. Ne pouvant pas bouger à cause de ces liens, la jeune femme se débattait de toute ses forces, en entendant le bruit de la porte d'entrer grincer contre le sol.
Les bruits de pas qu'elle entendait se rapprochait sournoisement de sa personne, le cœur battant, un baillant en bouche, ses cris étaient étoffés jusqu'à en perdre leurs forces.
Épuisé, contrainte d'être soumise une nouvelle fois à la barbarie de cette homme. Son esprit était complètement brisé, à l'idée d'être torturé une nouvelle fois. Subitement le corps de la jeune femme fut parcourue d'un violent spasme. Comme une poussée d'adrénaline, lui faisant remonter la tête, elle défit au delà de toute attente le regard de son kidnappeur. Bien que ces yeux étaient camouflés par un bandeau qui lui enlever la totalité de sa vu. C'est les poings serrés, et retenus par les liens, que la jeune femme commençait à ressentir la douleur, sentir ces phalanges en découdre à cause de la corde serrée.
Agenouillé devant elle, un couteau dans la main le jeune homme l'observait en silence, prenant du plaisir à la voir paniqué. C'est le sourire aux lèvres qu'il se pencha un peu plus près d'elle pour atteindre son cou dégagé, qui était alors dans son champ de vison depuis bon nombre de mois déjà.
Il lui fit une simple petite bise au creux de la carotide, passant sa langue dessus, insérant un peu plus tard ces dents sur la partie déjà rougie pour la mordre violemment, laissant ainsi une petite trace et une coulée Le temps de réaction de la jeune femme fut assez rapide, comme un réflexe nerveux elle donna un puissant grand coup dans le vide, réussissant à atteindre l'homme qui se trouvait devant elle.
L'homme en question se rétracta, la main sur les côtés le visage crispé par la douleur ressentis par le coup. Il se releva tout doucement, en empoignant férocement la chevelure de la jeune femme. Il tira dessus tellement fort qu'elle avait l'impression qu'il était entrain de les lui arracher.
Toujours cette air vulgaire et sadique sur le visage, l'homme sortis un briqué de sa poche relâchant d'abord les cheveux de la jeune
femme. Mettant le feu tout juste devant son visage apeuré. Il lui demanda si elle pouvait reconnaître l'objet qu'il avait entres les mains, avec un rire qui laissait entrevoir les idées malsaines qu'il avait.
Elle sentait la chaleur près de son visage. Une chaleur brûlante qui dilatait sa peau. Entraînant le début d'inflammation de celui ci.
Aucun mots n'arrivait à sortir de sa bouche, ce qui bien sûr laissa l'homme sur sa faim.
Un peu fatigué de voir qu'elle persistait à continuer de faire ces « caprices » comme il les appelait, malgré tout ce qu'il avait fait pour la « corriger » entres temps, la jeune femme ne semblait pas d'aplomb a collaborer.
C'est derniers temps il usait quand même un peu plus de la force parce qu'elle ne cessait de se rebeller. Il n'avait pas lésiné sur ur les moyens pour la martyriser encore et encore la faire souffrir jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter et de la relâcher. Chose qu'il ne ferait jamais. Elle était bien trop précieuse pour lui, et il l'avait bien trop fragilisé pour la relâcher dans la nature.
C'est bien ce qui le faisait sourire et rallumer son briquet par la suite. Faisant jaillir une petite lumière qui s'embrassait, tout en la rapprochant férocement de la jeune femme qui ressentait déjà la chaleur du feu près de son corps. C'était tout bonnement atroce, par delà le tissus qui recouvrait ses yeux, elle percevait tout de même nettement la braise qui se formait autour du briquet de l'homme qui le rapprochait dangereusement d'elle.
Bien que ses cris étaient étouffés, cela n'empêchait en rien d'être entendue par l'homme qui en rajouta en plaçant une main sur sa bouche en essayant de l'étouffer. Sous les gigotements répétitifs de la jeune femme qui n'en pouvait plus, le briquet tomba malheureusement dans sa chevelure...
Se fut une scène des plus atroces, même pour l'homme qui n'avait pas prévu que la situation puisse autant lui échapper, déraper devenant incontrôlable.Il fallait bien l'avouer qu'il en avait eu un haut le cœur en la voyant se débattre et crier de toutes ces forces.
Les mèches rosées de la jeune femme commençait à disparaître peu à peu laissant une traînée de fumée derrière elle, ainsi que des mèches tombantes brûlées, devenant totalement raide prenant une couleur noirâtre.
Tout de même dégoûté de voir ce qu'il se passait, l'homme eut la gentillesse d'éteindre le feu qui commençait à prendre de l'ampleur sur sa chevelure, le faisant à main nus, ne manquant pas de se brûler lui aussi en voulant aider la jeune fille.
C'est au bord des larmes le cœur lourd que la jeune commença a crier à pleins poumons n'en pouvant plus de la situation dans laquelle elle était. Laissant l'homme en face se statufier sur place en voyant à quel point elle était mal en point.
Il pencha sa tête sur le côté, plissant les yeux comme si au fond il avait du mal à percevoir à quel point elle souffrait. Il cherchait à comprendre sans vraiment essayer de le faire, n'en pouvant plus de ses cris étouffés derrière ce tissus qui l'empêchait de s'exprimer, l'homme retira avec force le bâillant, qui jadis l'avait empêcher de crier, étouffant ces cris.
Comme emportée dans un élan de bonté, le jeune homme décida aussi de lui retirer son bandeau, lui laissant l'opportunité de voir son visage ravis. Chose qui ne lui autorisait que rarement à faire.
Son regard était serein, presque doux mais ce n'était qu'une facette pour la jeune femme qui ne manqua pas de lui cracher au visage à la minute où elle vu l'expression qu'il arborait après l'avoir torturé au préalable pendant tél dizaines de jours.
Il essuya du revers de sa main le filet de bave qui s'écoulait de son visage toujours aussi serein. Il ne dit rien se pencha près de l'oreille de la femme au regard réticent, qui craignait un nouveau coup bas de la part de cette homme qu'elle avait jadis tant aimé. Toujours sur ces gardes
Quelques mots suffirent à faire dresser les poils sur son bras, parcouru de frissons à l'entente de la voix grave de cette homme qu'elle connaissait si bien. Il détourna son attention sur sa montre qui indiquait pile. Tout était prémédité, et telle un fétichiste il voulait que tout se passe selon les horaires qu'il avait prévu.
Oui elle avait commencé à être habitué à cette facette de lui. C'était un maniaque un dangereux psychopathe, il était fou. Cette homme me traitait comme un animal sûrement parce que dans le passé j'avis était telle un animal.
J'avais sous estimé le proverbe « Le cœur a ses raisons que la raison ignore » L'amour que je lui portais était bien trop intense. Je lui avais tout accordé j'avais été comme hypnotisé. Je pense même que je l'idolâtrais, j'aurais tout fais pour lui et c'est malheureusement ça qui a finit par me perdre.
Il le savait. Oh oui il le savait... et il s'en est servi pour me retenir près de lui et m'user jusqu'à ce que je ne sois qu'une coquille vide.
La torture ne lui avait pas suffit, le couteau non plus, les multiples lésions et brûlures qu'il lui avait infligé n'avait pas suffit à la rendre docile.
Plus maintenant....
Même après que ces cheveux soient partis en cendre elle s'évertuait à froncer les sourcils et à lever la tête devant lui, comme si la peur qu'elle avait eut au début s'était atténuée pour laisser place à une force, ou plutôt une rage qui lui donnait le courage de se battre encore jusqu'à là.
Combien de temps encore allait il tenir ? C'était la question que se posait le jeune homme en la regardant paisiblement. Éloignant de préférence le briquet de sa vue, de peur qu'elle fasse un mouvement brusque et qu'un nouvel incident se passe.
Une bonne partie de sa tête avec totalement été carbonisé heureusement que les brûlures sur son corps n'étaient qu'artificiels contrairement à celle visible sur sa tête où il manquait une bonne partie de cheveux.
Pour le moment il se devait de patienter, la brusquer comme ça ne mènerait à rien. Ses objectifs n'étaient pas de la faire mourir, ou du moins pas aussi rapidement. Il voulait la tuer à petit feu, qu'elle soit à bout et qu'elle le supplie de l'achever lorsqu'elle ne pourrait plus tenir la cadence de sa folie.
Il sortie de la pièce juste après avoir pressé ses lèvres contre les siennes de force.Peu importait la douceur du baisser, se n'en était pas moins factice pour le jeune homme qui continuait de jouer avec elle.
Les larmes de la jeune femme s'écoulèrent tout le long de son visage venant salées les lèvres du brun qui se retira, pour venir une nouvelle fois l'embrasser contre son grès. Elle n'avait pas voulut pleurer devant lui, elle n'avait pas voulut lui montrer qu'elle n'en pouvait plus mais c'était plus fort qu'elle et les larmes avaient passées la barrière de ses yeux pour s'écouler tout le long de son visage..
La main du jeune homme passa d'elle-même derrière le cou de la jeune femme pour approfondir le baisser et lui donner plus d'envergure, ce qui perturba encore plus la rose qui se défendit en mordant les lèvres de l'homme qui la repoussa violemment.
Il s'éloigna vigoureusement la jeune fille, palpant sa lèvres voyant les dégâts causés par cette femme qu'il voulait tant faire souffrir. Il empoigna fermement sa tête la cognant fortement contre l'accoudoir qui servait à la maintenir assise avant de lui donner un coup au visage et lui dire de ne pas jouer avec lui, et que sa patiente avait des limites. Et qu'à un moment donné il ne se retiendrait vraiment plus de la détruire de lui taire toutes les atrocités dont il était capable pour qu'elle souffre encore plus.
Comme si le message qu'il avait fait passé n'était pas suffisant pour lui il continua la ruant de coup de toutes parts faisant basculer à plusieurs reprises la tête de la jeune femme qui n'en pouvait plus et qui le suppliait de la laisser enfin.
Les coups continuèrent pendant une quinzaines de minutes après que l'homme se fatigue et sorte de la pièce la laissant pour morte sur son siège ensanglanté le corps marqué de blessures en tout genre.
Dans la tête de l'agresseur il n'y avait absolument rien de personnel...
Elle avait juste été là au mauvais endroit, au mauvais moment ......
Lorsqu'il avait particulièrement eut besoin d'une proie .....
Elle avait été là au mauvais moment
Et sans le savoir elle était tombée dans la gueule du loup.
« - Un café noir, bien corsé et sans sucre je vous prie. »
C'était d'un homme d'une taille d'environ d'un mètre 82, brun les yeux onyx et le regard détendu. Il intercepta calmement sa commande avant d'aller s'assoir à une table plus loin.
Qui aurait crut que cette homme était au fait un grand éditeur ?
Je suis un homme de 23 ans, célibataire et sans enfants. Accaparé par mon travail, il est ma seule raison de vivre, être reconnu est mon seul objectif.
Vu sous cette angle on ne pourrait pas dire que j'étais le plus à plaindre et encore moins que je devais avoir des manquements. Je gagnais bien ma vie je rangeais une bonne partie de mon argent à la banque je payais mes impôts comme tout bon citoyen qui se respecte.
Mais alors là qu'est ce qu'il n'allait pas dans ma vie me diriez vous ? Et bien tout d'abord j'avais commencé à écrire dans une agence. Tout se passait dans le meilleur du monde, les écrits étaient courts et je n'avais pas besoin de réfléchir puisque les thèmes nous étaient donnés, une liste de mots nous étaient imposés et pour le reste nous avions quartier libre.
Un jour la chance m'avait sourit un grand éditeur m'avait réparé, ou plutôt il avait repérer mes écrits. Je m'étais entretenu avec lui et il m'avait proposé de monter à un niveau supérieur. Travailler en solo tout en étant rémunéré, pour que mes écrits puissent être plus amplement affichés et que le grand public puissent enfin connaître mon nom.
Au départ j'avoue ne pas avoir sût quoi écrire mais après avoir effectué quelques recherches je m'étais tout de suite fait une idée sur le sujet.
Voilà comment j'avais commencé à produire des romans dans le genre polar à succès.
Puis un jour alors que j'écrivais je fus bloqué. Je buttais sur les mots je n'arrivais plus à avancer sur mon histoire. J'avais eut ce qui était communément appelé le « syndrome de la page blanche »
Autant pour moi écrire n'avait jamais été bien difficile de mon point de vu trouver des idées d'œuvres originales, ÇA c'était difficiles. Pour le reste il fallait juste un peu de maîtrise de soit.
Au fil des années je n'avais pas perdu ma passion pour l'écriture je dirais même qu'au court du temps elle s'était accroître me laissant alors beaucoup de visibilité auprès des gens qui aimaient ce genre de texte qui te prenait aux tripes et qui te laissait bouche bée tant les fins étaient ignobles.
Il fut un temps où mes livres perduraient à travers les librairies et les bibliothèques. Il fut aussi un temps où ils n'eurent plus la même popularité et c'est à ce moment précis que cette chose a commencé à émerger en moi. Cette chose qui m'a remis en question. Remis en question mon art, remis en question tout ce que j'avais put faire dans le passé.
Comme une évidence je m'étais rendu compte d'une chose qui m'avait manqué depuis bien longtemps que j'écrivais.
Le ressentis. Oui le ressentis. Comment m'expliquait... ah c'est bien la première fois que je ne trouvais pas les mots pour parler de quelques choses de si abstrait.
Comment un homme riche qui avait toujours vécus dans le confort comment pouvait il décrire à la perfection ce qui était de la pauvreté et de la misère ? Même au delà du fait qu'il est la capacité de faire des recherches jamais au grand jamais il ne pourrait se mettre dans la peau de ces personnes qui souffraient tant. Il ne pourrait jamais non plus en parler de façon à toucher les gens de la même façon que si ça avait été une personne misérable.
C'était la même chose avec moi. Je racontais des scènes atroces des violences des crimes tout ce qui tournait autour de cette univers morbide sans même y avoir goûté une seule fois. Pourquoi m'étonnais je encore de ne pas être aussi lus que de grand auteur hum ?
Eux avaient sûrement dû prendre des risques pour en arriver à leurs fin et plus amplement peaufiner leurs leurs arts.
J'avais pris la décision de sauver le peu qu'il me restait de dignité de partir avec mon art m'isoler et de revenir peu après en améliorant ce qui devait être amélioré.
Voilà comment après seulement 3 mois je me retrouvais dans cette endroit à prendre un café comme un citoyen lambda.
Assis près de la fenêtre ma tasse en main je regardais les alentours pour m'imprégner du territoire et des personnes qui le remplissait. Une seule tête attira particulièrement mon attention. C'était celle d'une femme aux cheveux étrangement roses. Je n'avais jamais vu ça au paravent mais il fallait bien avouer que ce n'était pas déplaisant à regarder.
Je ne serais dire si c'était mon regard insistant sur sa personne qui la fit venir vers moi mais en tout cas elle vint vers moi. Je resta muet continuant à la scruter jusqu'à ce qu'elle prenne la parole en se présentant.
Un petit sourire s'afficha sur mon visage en l'entendant parler. Elle se présenta être comme une jeune femme travaillant dans un endroit plutôt sympa mais qui avait aussi beaucoup de hobbys divers et variés et des passions qui lui tenait à cœur.
Elle était tout simplement.... Artificielle.
J'hocha la tête en guise de réponse, lui permettant ainsi de continuer à parler. Jusqu'à ce que je me prenne moi aussi à la discussion et que nous finîmes par nous échanger nos numéros.
Je ne savais pas si c'était dans sa nature d'être aussi amicale avec les inconnus. Mais elle précisa que son service finissait à 17 heures sûrement pour que je passe la voir à ce moment là et que nous allions ensuite nous promener quelques part.
Comme prévus j'étais venu la chercher et nous avions finis la soirée chez elle autour d'un dîner préparé par elle. La rose avait ensuite voulut plus amplement me connaître en me posant des questions personnelles, sur moi en cherchant à voir quel genre d'homme j'étais.
Le simple fait d'être aussi peu discrète en ce qui concernait les choses qu'elle voulait savoir suffirait d'avances à permettre aux gens de mentir, hélas comme je n'avais rien à caché je lui répondis avec beaucoup de franchise.
Je ne sais pas comment en si peu de temps les choses ont put déraper mais nous finîmes par coucher ensemble. Le lendemain en me réveillant j'eus comme une once de lumière comme une révélation. Ça avait été comme si le ciel m'avait ouvert les portes, pour que je saisisse cette opportunité.
Je baissa la tête pour la regarder en voyant sa tête posé contre mon torse nu sa respiration était calme et son corps tout aussi nu contre le mien me procurait une chaleur incomparable.
J'avais réussis à trouver en elle ce qui ferait de moi une légende. Elle avait été parfaite et je ne m'attendais pas à mieux de là part d'une femme comme elle.
Je comptais bien ne pas la lâcher je continue-rais mon jeu de rôle pour qu'elle s'attache à moi qu'elle devienne dépendante, il me faudra du temps mais les résultats seront concluants. Pour l'instant il n'était pas nécessaire que j'écrive. Peu importe combien de temps est ce qu'il me faudra pour en tirer quelques choses je resterais ici auprès d'elle.
Alors qu'elle se sentait étouffé et que l'air commençait à lui manquait, le bandeau lui fit retiré. La jeune femme put enfin voir son agresseur. La rose n'avait pas voulut y croire espérant à tout prix que c'était faux et que sa ne pouvait pas être lui, mais malheureusement la réalité la rattrapait bien vite, et le rire de l'homme en face d'elle ne faisait que plus s'accentuer.
« - Je ne te frapperais pas et je ne te violerais pas si c'est ça qui t'inquiètes Sakura » Avait il dit en souriant, puis en poursuivant en disant « - Je ne suis tout de même pas un monstre pas vrai ? »
« - Détache moi ! » Fut la seule phrase que la jeune femme arriva a décrochée « - Tu fais partie d'une secte c'est ça ? » Continua t'elle à bout de souffle
« - Haha non. Je ne crois pas en tout ça. »
« - Alors... » Essayant de trouver les mots pour ne pas mourir la rose tentait de trouver quelques choses qui pourrait vraiment le toucher émotionnellement, et qui finirait par le convaincre de la libérer.
« - Est ce que tu crois en Dieu ? » Finit elle par dire apeuré
« - Oui il m'arrive d'avoir le front au sol parce que Dieu est grand et on est seul on meurt. »
Le sourire qu'il arborait était sombre très sombre. C'est avec malice et détermination qu'il se rapprocha de la jeune fille et qu'il commença à la torturer. Le malheur de la jeune femme dura plus d'un moi exactement....
Lors du procès, mes avocats avaient essayés de convaincre la police que j'étais fou ce jour là, hors que c'était totalement faux. Je m'étais même levé en protestant pendant l'audience pour les arrêter et leurs dires que j'étais totalement conscient de ce que j'avais fait et que j'en étais fière.
Je l'aimais oui je l'aimais. J'étais loin d'être un psychopathe ou un violeur, puisque je ne lui avais jamais rien fait, et que je n'aurais sûrement pas capable de lui faire autant de mal. C'est parce que mon amour pour elle dépassée tout les entendements que je l'ai tuée.
Dommage que personne ne voulait me comprendre.
Peut être aussi que c'était par pur désir égoïste que j'avais fait ça. Maintenant que j'y pense l'aimais je vraiment ? Haha mais bien sûr que je l'aimais. Le personnage principal doit toujours avoir une femme ou une conquête qu'il finira par tuer.
Dans ce cas là c'est malheureusement tombée sur la rose qui n'avait absolument rien demandé.
Les jurés avaient lâchés leurs jugements sans préavis. J'étais condamné à mort. J'avais ris. Ris jusqu'à m'étouffer tant la nouvelle était hilarante ?
Comment dire qu'en l'espace d'une semaine mon visage se retrouvait partout. Sur toutes les les chaînes d'infos nationales, et internationales même, dans les journaux. Ainsi, mon visage avait été placardé sur plusieurs murs du village, notamment près des académies et des restaurants.
J'avais eu beaucoup d'appréhension ce jour là. J'avais attendu dans ma cellule, calmement qu'on vienne m'annoncer au plus vite le jour où il comptait m'exécuter. Tout juste 24 heures avant mon exécution, un garde était venu pour m'annoncer qu'à l'aube on ne ferait plus parler de moi, que les affiches allaient être retirées, que les chaînes de télés annoncerait mon décès et que la tragédie de la morte à Konoha sera officiellement terminé.
Ce n'est pas la mort dont j'avais peur en soit. Tout les plus grands personnes de polar finissait par être attrapé, tué, ou se suicider à la fin. Pour moi la mort était une récompense après avoir endurée la vie.
En ce qui me concerne ma vie n'avait pas été compliqué, mon seul regret serait sûrement le fait que mon travaille n'avait pas été assez reconnus du grand public.
Pendant longtemps j'avais accusé le monde de ne pas reconnaître ma juste valeur, mais c'est maintenant que je me suis rendues compte qu'enfin de compte c'était moi qui me trompait royalement. Il y avait quelques choses qui avait toujours manqué à mes histoires.
Ce n'est pas les mots que je n'avais pas, ce n'est pas l'intrigue que je n'avais pas, les personnages ? Eux je les avais en tête, le décors, le lieu du crime et le dénouement...
Tout ce qu'il me manquait c'était le vécu. Mes histoires étaient fades, elles manquaient de.... hum ? quelques choses qui faisait toute la différence.
Et j'avais réussi à le trouver ! La première fois que j'avais vu Sakura je m'étais mise en tête de reproduire le même schéma que j'avais l'habitude de faire dans mes histoires. Elle était le personnage principal parfait m'accompagnant !
Elle m'avait suivit aveuglément ne connaissant pas mes réelles intentions. Son sourire était si sincère de même que son amour pour moi. Chose qui l'avait malheureusement conduite à une mort certaine.
C'était bien connu n'est ce pas ? Sympathiser aussi rapidement avec un homme qui venait tout juste d'arrivé, ne connaissant rien de lui et tomber amoureux était si pathétique. Ça avait été si pathétique de sa part de me croire, et surtout de m'aimer.
Haha mais je n'allais tout de même pas craché sur elle ! C'est pour ça que ma seule dédicace lui avait été dédié, avec une police spéciale.
« Et jusqu'à ce jour je fus toujours reconnus comme l'un des plus grands hauteur de polar. Grâce à elle, je le dédie à 𝓢𝓪𝓴𝓾𝓻𝓪 »
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