🌲 Jour 6 🌲
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🖤 J'attends vos avis ! 🖤
~ 1113 mots ~
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Il y a trois jours, Sergio était censé rejoindre son copain chez lui mais Gérard l'a attendu, pendant ces trois jours mais jamais, son soit disant copain ne c'est pointé.
Suite au lapin que lui a posé Sergio, Gérard c'est promis de lui dire le fond de ses pensées lorsqu'il le verra au clasico qui à lieu dans quelques minutes d'ailleurs.
Tous ce qu'il sait c'est que l'équipe du Real vient d'arriver, normalement, en voyant Sergio, il aurait dû l'attraper pour lui dire tout ce qu'il avait prévu mais en le voyant arriver, la tête baissée ( déjà un geste rare chez lui ) et les mains tremblantes.
À la place d'attraper le poignet de l'homme qu'il aime, il attrape celui de Varane et l'emmène plus loin.
« - Bonjour Piqué, comment vas tu ?
- Oui oui, bonjour. Tu sais ce qu'à Gio' ?
- Bah non, il était avec toi les trois derniers jours, c'est moi qui devrait te demander ça ? »
Sauf qu'il ne l'a jamais vue arriver chez lui.
« - Il est jamais venu Varane..
- C'est moi qui l'est emmené à l'aéroport.
- Mais il n'est jamais arrivé chez moi Raphaël ! Ces trois jours je les ai passés seul, sans lui ! »
Les sourcils du français se froncent pendant qu'il fixe un point fixe au sol.
Gérard commence à stresser, pour que son copain soit dans un état pareil, il doit y avoir eu quelque chose ! Et ne pas savoir ce que c'est l'énerve !
Au même moment, Sergio sort, toujours dans le même état, voyant que Gérard et Raphaël le regardent, il fait demi tour.
« - Sergio Ramos, tu restes là ! »
Sergio se stop en sursautant en l'entendant parler si fort alors que le second espagnol de détend.
« - Pardon mon cœur, je voulais pas crier... Mais viens ici... »
Après plusieurs secondes sans bouger, il finit par s'approcher de son amoureux et de jette presque dans ses bras. Gérard ne cherche pas à comprendre et le serre contre lui.
« - Gio', qu'est ce qui ce passe...?
- Je veux pas...
- Tu veux pas quoi ?
- Jouer... »
Sa bouche s'ouvre et et referme. Jamais il avait refusé de jouer un clasico, une fois, il avait même voulu en jouer un en étant blessé.
« - Je suis sérieux... Je veux pas...
- Pourquoi Sese ?
- Je... Veux pas le voir... »
Malgré le fait que cette phrase est à peine était audible, Gérard la très bien entendue, si il sait qui à rendu son copain comme ça, il va enterré cette personne vivante.
« - Qui ça ?
- V... Vidal...
- Vidal ? »
Sergio lui lance un relève la tête ce qui lui permet de voir les larmes qui perlent sur ses joues que Gérard s'empresse de faire disparaitre.
« - Vu l'état dans lequel tu es, je sais que c'est grave et que tu ne m'en parleras pas ici... Mais ils ont besoin de toi mon cœur, ils ont besoin de leur capitaine. Alors tu vas essuyer ces larmes, aller sur le terrain et jouer comme d'habitude... En évitant de blesser un de mes coéquipiers... Et je te promet que si Vidal fait quelque chose, je le blesse moi même. »
Sergio esquisse un faible sourire, même si il n'a encore rien raconter, il sait que si Vidal essaye de faire quelque chose, il sera protéger par son merveilleux copain.
« - Je t'aime. »
Le capitaine madrilène embrasse chastement son copain puis part sur le terrain gardant son faible sourire.
Le barcelonais part se changer, heureux d'avoir réussi à redonner un léger sourire à son Gio'. Tout de même, il garde un œil sur Vidal, qui d'ailleurs sort du vestiaire. L'espagnol ne tarde pas à le suivre, il compte bien le protéger son bébé.
En parlant de lui, son visage se décompose en voyant Vidal arrivé mais il reprend ses esprits en voyant Gérard.
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Le match à commencé depuis une trentaine de minutes, Barcelone gagne suite à une erreur du capitaine madrilène. Vidal c'était trop rapproché de lui, suite à cela, il a paniqué et l'a laissé passé.
Ayant remarqué le mal-être de Ramos, les barcelonais tentait de faire passé Vidal de son côté.
Quarantaine et unième minutes, Vidal et Ramos finissent au sol, avec un sourire pervers au visage, le barcelonais tend sa main au madrilène. Sergio ne réagit pas tout de suite, puis en voyant son sourire, son visage aussi proche de lui, il éclate en sanglots, devant des milliers de personnes, en plein milieux du du stade, devant des regards interrogateur et moqueur de certains mais Sergio s'en fiche, tout ce qu'il veut c'est partir, loin de l'homme en face de lui, il veut juste retrouver son barcelonais et ne plus bouger de ses bras.
Piqué se précipite vers lui. Tant pis pour la rivalité qui est censé être présente aujourd'hui, son copain passe avant. Il ne peut pas le laisser là sans rien faire. Il pousse Vidal plus loin.
« - Toi tu restes loin ! »
Il s'accroupit face à son copain et lui retire ses mains de son visage.
« - Hé... Chut, c'est moi mon cœur... »
Entendant sa voix, il lève les yeux et le regarde, le suppliant de le sortir de là.
« - Viens là... »
Il lui tend ses bras, le madrilène se blottit rapidement dedans et le porte au vestiaire ignorant les paroles ou les regards des supporters, joueurs ou de son coach.
Arrivé dans les vestiaires, il le pose à sa place et s'accroupit en face de lui, croisant ses bras sur ses cuisses.
« - Faut que tu me parles là chaton...
- Veux pas... Veux partir... Loin...
- Chaton... Y'a que toi et moi ici et j'ai besoin de savoir ce qui ce passe ok ? »
Sergio le regarde puis mord sa lèvre. Lorsque ses pleures se calmes il se décidé à parler.
« - Quand... Je suis arrivé à Barcelone... J'ai voulue prendre un taxi pour te rejoindre... Il... Était là... Je sais pas pourquoi mais il était là... Quand il m'a vu il... M'a fait venir avec lui... Je... Il m'a forcé à entrer chez lui... Et pendant trois jours... J'ai été séquestré là bas...
- Y'a pas que ça Gio', je le sais...
- Ces trois jours... Il... Il les a... Passé à... À me violer... A... M'utiliser comme un putain d'objet sexuel... »
Le regarde de Gérard devint plus dur, plus mauvais. Cet enfoiré à osé toucher à son copain, il a osé le violé... Il essaye de se relever mais Sergio attrape ses mains.
« - Gérard... Fais rien s'il te plaît... Je sais que... Tu veux le butter mais je... Veux juste rentrer et rester avec toi... »
Il se radouci en voyant la détresse de son amoureux de longue date et le prend dans ses bras, déposant un tendre baudet sur son front.
« - Je resterais avec toi chaton, jusqu'au bout... »
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