4 - Strange
Me voilà, avec ce Strange x reader ! Bonne lecture, en espérant qu'il vous plaira <3
·Féminin :
Prise dans les centaines de personnes regroupées dans l'aéroport, tu juras en silence et tentas de sortir du bâtiment le plus rapidement possible, après avoir attrapé tes bagages. Une fois à l'extérieur, tu pus enfin respirer et tu hélas un taxi en levant ta main. Après quelques essais infructueux, tu réussis à en attraper un et te précipitas à l'arrière avant de regarder ta montre et de presque crier au chauffeur de te rendre à ton hôtel.
N'appréciant pas le ton utilisé envers lui, il grogna et démarra la voiture en te lançant un regard jugeur. Tu n'y fis guère attention et lui lança les billets pour la course en arrivant à destination. Si tu avais eu plus de temps, évidemment que tu aurais été plus aimable. Mais là, pas le temps.
Une fois à la réception, tu reconnus ton supérieur de dos, posé à la réception en train de limite agresser la dame de l'accueil.
"Comment ça elle n'est pas arrivée ? Ça fait vingt minutes de retard là ! Et puis pour une fois que je l'attends.
-Monsieur ! T'exclamas-tu en t'approchant, essoufflée. Je suis navrée de mon retard, je- il y a eu des bouchons et des problèmes avec l'avion.
-C'est Tokyo, ici, mademoiselle. Cette interview est l'une des plus importantes et vous avez plus que dix minutes pour vous préparer avant de devoir partir. Est-ce que je peux vous faire confiance ? Est-ce que vous êtes au courant du nombre de personnes qui voudraient être à votre place ?
-Oui monsieur, je sais. Et ne vous en faites pas, je devrais pouvoir me débrouiller. La voiture m'attend à l'extérieur ?
-Oui. Depuis plus d'une heure. Alors dépêchez-vous, enfin !"
Tu acquiesças précipitamment et courut vers l'ascenseur après avoir récupéré la clef de ta chambre. Mais pourquoi tu avais accepté de faire ce métier, déjà ? Pff. Depuis plus d'un an, ton job était de réaliser des interview auprès de personnes populaires pour faire un reportage sur eux. Et cette fois, c'était du sérieux ! Tu avais rendez-vous avec le réalisateur d'un film japonais qui avait fait un carton dans le monde entier : Tout le monde en parlait depuis plusieurs mois maintenant. L'ascenseur s'arrêta à ton étage et tu sursautas. Tu rejeta un coup d'œil à ta montre et pressas le pas vers ta chambre.
°°°
Tu avais fais de ton mieux pour te dépêcher et tu te trouvais à présent dans la voiture. Etrangement, le chauffeur t'avait fait monter devant, à la place passager et tu avais été surprise de voir qu'il était anglais, tout comme toi. Il t'avais sourit en te voyant t'installer et avait démarré sans rien dire. Le silence était assez pesant et tu ne savais pas quoi dire pour le détruire.
"Je travaille pour M. Mouri. T'annonça-t-il pour engager la conversation.
-Ah oui ? Vous êtes quoi ? Son chauffeur ?
-Non, je suis son garde du corps.
-Il en a besoin ?
-Oui. Plus que vous ne pourriez le croire. Sa vie est continuellement en danger, à cause de menace que vous ne connaissez pas. C'est exceptionnel qu'il m'envoie aussi loin de lui pendant plusieurs heures.
-Puis-je connaître le nom du chauffeur-garde du corps ?
-Je m'appelle Stephen. Mais appelez moi Dr. Strange.
-Monsieur Strange ?
-Non, Dr. J'y tiens, s'il vous plaît.
-Oui, oui, pas de problèmes."
Le silence se replaça dans l'habitacle et tu passas ta main dans tes cheveux. Son sourire disparut tandis qu'il se plongeait dans ses pensées et quelques secondes plus tard, il revint alors qu'il se tournait vers toi.
"Et vous ? Vous êtes..?
-T/p. T/p T/n."
°°°
Quelques minutes après être arrivés, le fameux Docteur t'emmena dans le bureau préparé pour réaliser l'interview et tu t'installas sur un fauteuil, alors qu'il se plaça debout derrière le siège vide, probablement bientôt occupé par le réalisateur. Ce dernier termina par arriver un peu plus tard et il s'installa donc en face de toi. Ses bras se croisèrent et il te demanda :
"Eh bien, enchanté. Que puis-je faire pour vous mademoiselle ?
-Je suis ici pour une interview, Monsieur Mouri. On ne vous a pas prévenu ?
-Non, je sais simplement qu'une personne veut me voir et qu'elle représente des agences importantes. J'imagine que c'est vous ?
-Oui, c'est ça ! Est-ce que je pourrais vous poser des questions ?
-Bien sûr, je vous écoute.
-Eh bien-"
Tu n'eus aucune possibilité de terminer ta phrase et une personnes étrangement cagoulée brisa la fenêtre en passant à travers. Le revolver présent dans sa main ne passa pas inaperçu et tu te jeta sur le réalisateur pour le protéger des probables coups de cet inconnu. Ce dernier pointa son arme sur toi et l'homme que tu couvres de ton corps. Du coin de l'œil, alors que tu pensais en avoir fini avec ta vie, tu vis Stephen sortir une arme de son dos. Il tira sans hésiter un instant sur l'homme qui venait de débarquer et une dizaines d'autres comme le premier arrivèrent en passant par les fenêtres et la porte, maintenant défoncée. Le réalisateur te repoussa et s'exclama fortement :
"Voyons, les amis ! Je ne v-"
Une balle traversa son crâne et tu te retournas vers la provenance du tir. Le chef du groupe pointait à présent le canon de son arme vers toi et tu jeta un regard au garde du corps, immobilisé par six hommes. Il ne doit pas être très faible si il ne se fait retenir qu'avec au moins six personnes. Tu pris un regard déterminé et t'approchas un peu plus près du chef. Il se braqua et serra deux fois plus son poing sur son arme. Ses jointures, à présent blanches, entouraient le révolver et tu fis :
"Ecoutez. Je ne sais pas ce que vous faites ici et je n'ai pas peur de mourir. Si vous le voulez bien, je vais sortir de cette pièce, avec l'homme que vous tenez immobilisé juste là et on va pas créer plus de problèmes. Après tout, à quoi ça sert de tuer deux personnes de plus alors qu'elles ne connaissent pas votre visage ?"
Etrangement, aucune balle ne te traversa et les six hommes jetèrent Strange hors de la pièce avant de t'envoyer violement le rejoindre. Tu attrapas le poignet de l'homme à terre à tes côtés et le tira au prochain tournant d'un couloir. Alors qu'il s'apprêtait à parler, tu plaquas ta main sur sa bouche et vos regards se croisèrent pendant plusieurs longues secondes. Tu attendis que les bruits disparaissent et après qu'ils soient partis, tu laissas ton compagnon parler. La première phrase qu'il te sortis te fit rougir au plus haut point :
"Tu es vachement sexy quand tu parles de cette façon à un chef de la mafia.
-Et toi t'es plutôt pas mal quand tu assassine des gens. Répondis-tu en lui faisant un clin d'œil.
-C'était du self-défense. Il allait me tuer après vous si je ne l'avais pas abattu avant..!"
Vous vous sourîtes et il attrapa son téléphone pour appeler la police.
°°°
Tu terminas épuisée après cette longue semaine à Tokyo. Tu avais revu Stephen de nombreuses fois et il t'avais avoué vouloir que tu restes avec lui au Japon. Malheureusement, même si l'envie ne t'en manquait pas, il t'étais impossible de rester. Le travail t'attendait à New-York et ton boss avait été ravi de pouvoir écrire un article sur la mort de ce réalisateur alors qu'un de ses journalistes était sur les lieux du crimes ! Quel scoop, vous imaginez ?
"Mademoiselle T/n ! Un appel pour vous !" S'exclama un de tes collègues de l'autres bout de la salle, près du téléphone.
Tu l'y rejoignis en quelques secondes et t'emparas du combiné avant de répondre :
"Allô ? Ici T/p T/n à l'appareil.
-Bonjour ! Je suis-
-Je sais qui tu es, t'as cru quoi ? Fis-tu en reconnaissant la voix.
-Eh bien, que voulez-vous ? Vous alliez peut-être m'oubliez en retournant en Amérique !
-On est repassés au vouvoiement ? Ce n'était pas le cas quand tu m'avais traité de "sexy" !
-Je voudrais te demander ton numéro. C'est fou mais je n'y ais pas pensé la semaine dernière. Je n'ai pus que retrouver le numéro de ton agence de journalisme.
-Eh bien, tu m'as au téléphone maintenant, nan ? Ça ne te suffit pas ?
-Pas si je veux approfondir notre relation !
-Tu voudrais ?
-Oui, si tu veux aussi ?
-Oui ! J'aimerais !" T'exclamas-tu avant de lui donner ton numéro personnel. Vous discutâtes encore quelques secondes avant que tu ne raccroches en retournant à ton bureau. Ta collègue de table te regarda étrangement et te demandas :
"Pourquoi tu souris niaisement comme ça ?
-Pour rien, pour rien.." Soupiras-tu, un sourire au lèvres.
· Masculin :
Pris dans les centaines de personnes regroupées dans l'aéroport, tu juras en silence et tentas de sortir du bâtiment le plus rapidement possible, après avoir attrapé tes bagages. Une fois à l'extérieur, tu pus enfin respirer et tu hélas un taxi en levant ta main. Après quelques essais infructueux, tu réussis à en attraper un et te précipitas à l'arrière avant de regarder ta montre et de presque crier au chauffeur de te rendre à ton hôtel.
N'appréciant pas le ton utilisé envers lui, il grogna et démarra la voiture en te lançant un regard jugeur. Tu n'y fis guère attention et lui lança les billets pour la course en arrivant à destination. Si tu avais eu plus de temps, évidemment que tu aurais été plus aimable. Mais là, pas le temps.
Une fois à la réception, tu reconnus ton supérieur de dos, posé à la réception en train de limite agresser la dame de l'accueil.
"Comment ça il n'est pas arrivé ? Ça fait vingt minutes de retard là ! Et puis pour une fois que je l'attends.
-Monsieur ! T'exclamas-tu en t'approchant, essoufflé. Je suis navré de mon retard, je- il y a eu des bouchons et des problèmes avec l'avion.
-C'est Tokyo, ici, monsieur. Cette interview est l'une des plus importantes et vous avez plus que dix minutes pour vous préparez avant de devoir partir. Est-ce que je peux vous faire confiance ? Est-ce que vous êtes au courant du nombre de personnes qui voudraient être à votre place ?
-Oui monsieur, je sais. Et ne vous en faites pas, je devrais pouvoir me débrouiller. La voiture m'attend à l'extérieur ?
-Oui. Depuis plus d'une heure. Alors dépêchez-vous, enfin !"
Tu acquiesças précipitamment et courut vers l'ascenseur après avoir récupéré la clef de ta chambre. Mais pourquoi tu avais accepté de faire ce métier, déjà ? Pff. Depuis plus d'un an, ton job était de réaliser des interview auprès de personnes populaires pour faire un reportage sur eux. Et cette fois, c'était du sérieux ! Tu avais rendez-vous avec le réalisateur d'un film japonais qui avait fait un carton dans le monde entier : Tout le monde en parlait depuis plusieurs mois maintenant. L'ascenseur s'arrêta à ton étage et tu sursautas. Tu rejeta un coup d'œil à ta montre et pressas le pas vers ta chambre.
°°°
Tu avais fais de ton mieux pour te dépêcher et tu te trouvais à présent dans la voiture. Etrangement, le chauffeur t'avait fait monter devant, à la place passager et tu avais été surpris de voir qu'il était anglais, tout comme toi. Il t'avais sourit en te voyant t'installer et avait démarré sans rien dire. Le silence était assez pesant et tu ne savais pas quoi dire pour le détruire.
"Je travaille pour M. Mouri. T'annonça-t-il pour engager la conversation.
-Ah oui ? Vous êtes quoi ? Son chauffeur ?
-Non, je suis son garde du corps.
-Il en a besoin ?
-Oui. Plus que vous ne pourriez le croire. Sa vie est continuellement en danger, à cause de menace que vous ne connaissez pas. C'est exceptionnel qu'il m'envoie aussi loin de lui pendant plusieurs heures.
-Puis-je connaître le nom du chauffeur-garde du corps ?
-Je m'appelle Stephen. Mais appelez moi Dr. Strange.
-Monsieur Strange ?
-Non, Dr. J'y tiens, s'il vous plaît.
-Oui, oui, pas de problèmes."
Le silence se replaça dans l'habitacle et tu passas ta main dans tes cheveux. Son sourire disparut tandis qu'il se plongeait dans ses pensées et quelques secondes plus tard, il revint alors qu'il se tournait vers toi.
"Et vous ? Vous êtes..?
-T/p. T/p T/n."
°°°
Quelques minutes après être arrivés, le fameux Docteur t'emmena dans le bureau préparé pour réaliser l'interview et tu t'installas sur un fauteuil, alors qu'il se plaça debout derrière le siège vide, probablement bientôt occupé par le réalisateur. Ce dernier termina par arriver un peu plus tard et il s'installa donc en face de toi. Ses bras se croisèrent et il te demanda :
"Eh bien, enchanté. Que puis-je faire pour vous monsieur ?
-Je suis ici pour une interview, Monsieur Mouri. On ne vous a pas prévenu ?
-Non, je sais simplement qu'une personne veut me voir et qu'elle représente des agences importantes. J'imagine que c'est vous ?
-Oui, c'est ça ! Est-ce que je pourrais vous poser des questions ?
-Bien sûr, je vous écoute.
-Eh bien-"
Tu n'eus aucune possibilité de terminer ta phrase et une personnes étrangement cagoulée brisa la fenêtre en passant à travers. Le revolver présent dans sa main ne passa pas inaperçu et tu te jeta sur le réalisateur pour le protéger des probables coups de cet inconnu. Ce dernier pointa son arme sur toi et l'homme que tu couvres de ton corps. Du coin de l'œil, alors que tu pensais en avoir fini avec ta vie, tu vis Stephen sortir une arme de son dos. Il tira sans hésiter un instant sur l'homme qui venait de débarquer et une dizaines d'autres comme le premier arrivèrent en passant par les fenêtres et la porte, maintenant défoncée. Le réalisateur te repoussa et s'exclama fortement :
"Voyons, les amis ! Je ne v-"
Une balle traversa son crâne et tu te retournas vers la provenance du tir. Le chef du groupe pointait à présent le canon de son arme vers toi et tu jeta un regard au garde du corps, immobilisé par six hommes. Il ne doit pas être très faible si il ne se fait retenir qu'avec au moins six personnes. Tu pris un regard déterminé et t'approchas un peu plus près du chef. Il se braqua et serra deux fois plus son poing sur son arme. Ses jointures, à présent blanches, entouraient le révolver et tu fis :
"Ecoutez. Je ne sais pas ce que vous faites ici et je n'ai pas peur de mourir. Si vous le voulez bien, je vais sortir de cette pièce, avec l'homme que vous tenez immobilisé juste là et on va pas créer plus de problèmes. Après tout, à quoi ça sert de tuer deux personnes de plus alors qu'elles ne connaissent pas votre visage ?"
Etrangement, aucune balle ne te traversa et les six hommes jetèrent Strange hors de la pièce avant de t'envoyer violement le rejoindre. Tu attrapas le poignet de l'homme à terre à tes côtés et le tira au prochain tournant d'un couloir. Alors qu'il s'apprêtait à parler, tu plaquas ta main sur sa bouche et vos regards se croisèrent pendant plusieurs longues secondes. Tu attendis que les bruits disparaissent et après qu'ils soient partis, tu laissas ton compagnon parler. La première phrase qu'il te sortis te fit rougir au plus haut point :
"Tu es vachement sexy quand tu parles de cette façon à un chef de la mafia.
-Et toi t'es plutôt pas mal quand tu assassine des gens. Répondis-tu en lui faisant un clin d'œil.
-C'était du self-défense. Il allait me tuer après vous si je ne l'avais pas abattu avant..!"
Vous vous sourîtes et il attrapa son téléphone pour appeler la police.
°°°
Tu termina épuisé après cette longue semaine à Tokyo. Tu avais revu Stephen de nombreuses fois et il t'avais avoué vouloir que tu restes avec lui au Japon. Malheureusement, même si l'envie ne t'en manquait pas, il t'étais impossible de rester. Le travail t'attendait à New-York et ton boss avait été ravi de pouvoir écrire un article sur la mort de ce réalisateur alors qu'un de ses journalistes était sur les lieux du crimes ! Quel scoop, vous imaginez ?
"Monsieur T/n ! Un appel pour vous !" S'exclama un de tes collègues de l'autres bout de la salle, près du téléphone.
Tu l'y rejoignis en quelques secondes et t'emparas du combiné avant de répondre :
"Allô ? Ici T/p T/n à l'appareil.
-Bonjour ! Je suis-
-Je sais qui tu es, t'as cru quoi ? Fis-tu en reconnaissant la voix.
-Eh bien, que voulez-vous ? Vous alliez peut-être m'oubliez en retournant en Amérique !
-On est repassés au vouvoiement ? Ce n'était pas le cas quand tu m'avais traité de "sexy" !
-Je voudrais te demander ton numéro. C'est fou mais je n'y ais pas pensé la semaine dernière. Je n'ai pus que retrouver le numéro de ton agence de journalisme.
-Eh bien, tu m'as au téléphone maintenant, nan ? Ça ne te suffit pas ?
-Pas si je veux approfondir notre relation !
-Tu voudrais ?
-Oui, si tu veux aussi ?
-Oui ! J'aimerais !" T'exclamas-tu avant de lui donner ton numéro personnel. Vous discutâtes encore quelques secondes avant que tu ne raccroches en retournant à ton bureau. Ta collègue de table te regarda étrangement et te demandas :
"Pourquoi tu souris niaisement comme ça ?
-Pour rien, pour rien.." Soupiras-tu, un sourire au lèvres.
Eh voilàà ! Terminé UwU. Vous en avez pensé quoi ? C'étais bien ?
Celui de Wanda à été abandonné, il n'avançait pas. Pour l'instant, je ne pense pas le faire, mais à voir pour plus tard ! Celui de Bucky est en cours d'écriture et j'espère que vous allez bien.
Bonne continuation, prenez soin de vous <3
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