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/!\ Ce chapitre comporte du Lemon, ça ne gêne en rien votre compréhension de l'histoire donc vous pouvez passer au chapitre suivant si cela vous dérange

Face à cette réticence qu'elle venait me transmettre de par ses gestes, alors que j'aurais pu simplement la relâcher et la laisser partir, j'ai resserré mon emprise sur son corps, observant ses yeux jaunes me communiquer un mélange de peur et de désir...

Shanks

Tout en la gardant contre moi et continuant de l'embrasser, je me suis retourné, venant la plaquer contre le matelas de mon lit. Notre baiser se rompant par manque de souffle, il ne me fallut pas bien longtemps avant de descendre mes lèvres sur la chair de son cou pour la dévorer. J'étais impatient de pouvoir assouvir mes envies que j'avais tant de mal à réfréner jusque-là... J'ai glissé la main qui était dans son dos sur son ventre, retirant les boutons de chemise restants, la faisant doucement frissonner.

Mais alors que je m'apprêtais à descendre un peu plus mes lèvres pour profiter de la rondeur de ses seins, j'ai senti une de ses mains agripper une bonne poignée de cheveux et me les tirer sans douceur...

- Aïe aïe !

- J'ai pas envie que tu fasses ça ! Dit-elle en me tirant un peu plus.

- Aie ! D'accord, d'accord... Mais tu pourrais me lâcher ?

- Si je te lâche, tu vas y retournez...?

- Non ! J'ai compris que t'en avais pas envie... Je forcerai pas !

Ses doigts ont doucement glissé de ma tignasse rousse alors que je lui décrochais un sourire qui se voulait rassurant. J'avais parfaitement conscience que je précipitais les choses et que je ne prenais même pas en compte ce qu'elle voulait ou ressentait... Mais les faits étaient là, j'avais terriblement envie d'elle et elle pouvait le sentir à travers l'érection qui s'était formé dans mon pantalon.

J'ai laissé un petit soupire s'échapper d'entre mes lèvres avant de les déposer dans son cou où je pouvais apprécier quelques doux frissons émanés de sa peau. J'ai tiré quelques secondes sur sa chevelure blanche pour faire basculer sa tête vers l'arrière et avoir ainsi un meilleur accès à sa gorge afin de la dévorer. Je n'allais jamais plus bas que l'os de sa clavicule, sentant à chaque fois que je m'en approchais ses doigts se refermer sur mes cheveux.

J'en ai relevé légèrement la tête, observant le visage de Mira qui était entre l'envie et la peur mais ce qui m'inquiétait le plus était ces grands yeux brillants, presque larmoyant...

- ça n'a pas l'air d'aller... Tu... Tu en as envie au moins ?

- Je ne sais pas trop en fait... Mon corps a l'air de dire oui mais ma tête non... C'est... Bizarre...

- Tu réfléchis trop... Et il faut que tu te détendes...

- Je sais mais c'est plus fort que moi...

- Laisse-moi faire Mira... Je peux te détendre, te faire apprécier tout ça...

J'ai laissé mes lèvres contre sa joue quelques secondes avant de les décaler contre les siennes pour échanger un baiser alors que l'une de mes mains glissait le long de sa peau, effleurant la fente de ses deux douceurs jusqu'à arriver à la bordure de son jean. Je la sentais frissonné sous mes doigts, m'arrachant un petit sourire satisfait contre ses lèvres. Après avoir défait le bouton de son pantalon, j'ai attendu un peu avant d'en descendre la braguette.

Délicatement, mon majeur est allez se glisser sur le rebord des lèvres de sa féminité, cherchant le petit bout de chair qui allait conduire à son désir. Je l'ai doucement fait rouler sous mon doigt, sentant petit à petit qu'elle venait intensifier notre baiser de par sa langue qui venait davantage se caresser à la mienne. Progressivement, son corps tout entier se détendait sous mes caresses me faisant rompre notre baiser pour sentir ses quelques souffles courts sur mon visage.

Nous avons échangé un sourire avant que je ne vienne déposer mes lèvres près de son oreille afin de lui offrir quelques petits mordillements et bruissements humides, éveillant un peu plus son excitation. Je pouvais l'entendre soupirer d'aise, sentir son corps se soulever quelques instants sous l'envie qui graduellement se faisait plus forte, jusqu'à ce que je puisse entendre un petit gémissement sortir d'entre ses lèvres.

- Tu avais raison... Affirma-t-elle dans un soupire.

- Je sais... Est-ce que, tu veux que je poursuive ?

- Hum... Je veux bien si tu continues comme ça...

- Bien... Laisse-moi deux petites minutes alors...

J'ai laissé mes doigts traîner sur sa peau quelques secondes, déposant un rapide baiser sur ses lèvres avant de me redresser et me diriger vers la porte pour la fermar à clé. Yassop avait tendance à venir me sortir du lit quand je tardais trop à me lever et il ne prenait jamais la peine de frapper avant d'entrer ce qui à plusieurs reprises nous avait mis dans l'embarras tous les deux... En y repensant, j'eus un petit sourire au coin des lèvres.

Je suis retourné près de ma blanche tout en débouclant la ceinture de mon pantalon pour être à peine plus à l'aise, la faisant glisser entre les attaches de ce dernier pour la retirer. Je trouvais Mira un peu plus rassurer et cette petite réticence qu'elle me transmettait jusqu'alors, je ne la ressentais plus. J'ai doucement souris tout en venant m'allonger à ses côtés en glissant une main sur sa peau fine et légèrement bronzée. Je la sentais frissonné sous le passage de mes doigts que je venais remonter progressivement jusqu'à l'un de ses seins, le titillant très légèrement en le malaxant.

J'ai approché mes lèvres du deuxième en observant la douce expression de son visage qui devenait de plus en plus détendue et quand ma langue vint à la rencontre de son téton, je sentis un long frisson lui parcourir le corps de la tête aux pieds. J'en ai souri et continuer ce que je faisais, dessinant la rondeur de son sein dans des gestes délicats. Elle s'est légèrement tourné en ma direction, glissant une main dans ma chevelure flamboyante tandis que l'autre restait sur mon épaule.

Avec la main qui malaxait sa poitrine, je suis venue chercher cette dernière pour la poser sur son sein, voulant la voir se procurer du plaisir elle-même tandis que ma bouche s'éprenait du généreux téton. Comme mes mains étaient toutes deux libres, j'en profitais pour les glisser jusqu'à la bordure de son jean pour le descendre et progressivement, le retirer totalement. Je l'ai ensuite laissé tomber sur le parquet de ma chambre, souriant légèrement contre son sein.

Glissant une main le long de l'arrière d'une de ses jambes, je suis venue la passer par-dessus ma hanche afin d'écarter un peu ses cuisses l'une de l'autre et me laisser plus d'espace. Sans attendre plus longtemps, j'ai faufilé mon majeur entre ses lèvres légèrement humides où sous le petit sursaut de surprise de sa part, je put sentir ses parois vaginales se resserrer autour de mon doigt. J'en ai esquissé un petit rictus et laisser échapper un léger rire d'entre mes lèvres.

Entamant les aller et venu de mon majeur en elle, je pouvais entendre ses souffles devenir courts et la prise de ses doigts se resserrer un peu plus sur mes cheveux. J'ai glissé mon autre main dans son dos, la passant sous elle et l'ai délicatement rapproché plus de moi alors que j'entamais aussi des mordillements sur sa poitrine, lui provoquant quelques gémissements de plaisir. Le son de sa douce voix faisait monter en moi le désir de la chair et j'en ressentais les effets dans mon bas de vêtements qui commençait à devenir insupportable...

Voulant l'entendre plus, j'y ai ajouté mon index et effectué des mouvements plus amples, agitant de temps à autre mes doigts lorsqu'ils venaient dans le fond de sa cavité. Plus j'y passais de temps et plus mes mouvements devenaient quelque peu chaotiques et sans m'en rendre compte, j'avais refermé mes dents sur son sein, lui arrachant un petit couinement de douleur et ce n'est que lorsque je sentis sa main tirer mes cheveux roux que j'ai daigné relâcher ma prise.

Je ne lui ai pour autant pas laissé le temps de se plaindre, dévorant ses lèvres ardemment tandis que mes doigts continuaient de s'agiter sauvagement sous ses gémissements étouffés par notre baiser. J'ai continué ainsi jusqu'à sentir son plaisir s'écouler le long de mon index et mon majeur alors que son corps était parcouru par de légers spasms. Nous avons rompu notre baiser, reprenant notre souffle tandis que nos yeux se plongeaient l'un en l'autre.

- T'as envie de te la jouer discrète ou tu t'en fiche que les autres soient au courant ?

- Pour l'instant, il vaudrait peut-être mieux garder ça pour nous...

- Je vais essayer de pas trop te faire crier alors...

Tout en prononçant cette phrase, j'ai légèrement agité mes doigts rester entre ses cuisses, lui faisant se mordre la lèvre inférieure et me faisant décrocher un sourire amusé. J'en ai retiré ma main toujours loger entre ses jambes avant de la pousser pour la mettre sur le dos afin de pouvoir prendre place au-dessus d'elle. Je me suis levé de mon lit, défaisant les quelques boutons de ma chemise et pendant ce temps Mira s'est redressé à son tour et avait entrepris de défaire les dernières attaches qui tenaient mon pantalon.

Sentant ma verge moins serrer, j'en ai soupiré d'aise et un peu plus encore quand l'une de ses fines mains accompagnées de gestes délicats est venue se caresser sur ma longueur. J'en ai laissé un petit grognement s'échapper du fond de ma gorge tandis que je retirais ma chemise pour la laisser rejoindre le pantalon de ma blanche. J'ai laissé mon bas de vêtement rejoindre le sol également avant de m'éprendre de ses douces lèvres, la forçant à se redresser un peu plus.

Je ne comptais pas la prendre sur mon lit, ce dernier grinçait dans un vacarme du diable et comme je n'avais ramené aucune femme à bord hier soir, l'équipage se douterait de quelque chose... Je l'ai donc tiré un peu plus vers moi, attrapant ses poignets délicatement pour passer ses bras autour de mon cou. A genoux devant moi et sur le bord de mon lit, j'ai profité un court instant de la peau délicate de ma navigatrice avant de porter mes mains à ses hanches et d'en descendre le seul petit bout de tissu qui me faisait encore obstacle.

Une fois cela fait, tout en tenant notre baiser, j'ai glissé mes mains sous ses cuisses afin de la portée et pressé ses jambes contre mes hanches. J'ai à peine décalé mes paumes sur son fessier que je pouvais déjà sentir tout son corps se coller d'envie contre le mien. Durant ma courte marche, mon membre venait se frotter aux lèvres encore bien humides de ma maîtresse, jusqu'à ce que son dos vienne rencontrer les planches du mur du navire qui donnait sur la mer.

Alors que nos lèvres se rompaient, je me sentais glisser en elle jusqu'à atteindre ses profondeurs et à cet instant, j'en soupirai d'aise, de satisfaction... Enfin j'allais pouvoir assouvir cette envie qui me rongeait depuis plusieurs mois déjà. Commençant de lents va et vient en son être, je laissais nos souffles s'écraser l'un contre l'autre, nos nez se caresser le temps de quelques secondes et nos lèvres se frôler un instant. Petit à petit, le rythme de mes reins prenait plus d'ampleur tandis que je faisais rouler ses hanches avec prestige contre les miennes.

Je ne tardais pas à entendre de petits gémissements provenir de sa bouche et sentir ses jambes se refermer autour de mon bassin. Les bruits qu'elle retenait entre ses lèvres me donnaient de plus en plus envie de la faire crier et c'est sans prévenir que de temps en temps, je lui donnais un coup de reins plus fort que les autres. Afin d'étouffer ses gémissements, elle a caressé ses lèvres à mon cou où je pouvais sentir s'y déposer de tendres baisers, m'arrachant un frisson à chaque fois.

Après plusieurs minutes alors que nous étions toujours en pleins ébats et que le rythme devenait plus saccadé, je sentis ses ongles s'enfoncer dans mon dos aux muscles tendus et j'en retenais un profond grognement, la plaquant un peu plus contre le mur du navire en guise de représailles. Elle en laissa échapper un gémissement avant de me mordre dans le cou pour camoufler ses cris de désir. Ce n'est que quelques secondes plus tard que je pus la sentir arrivé au bout de son plaisir, pouvant sentir quelques spasms musculaires parcourir son corps.

Ce n'est pas pour autant que je me suis arrêté, sentant progressivement que j'arrivais à ma limite moi aussi. La douleur de ses ongles s'enfonçant dans mon dos et ses dents qui en faisaient de même dans mon cou mise à part, je prenais bien trop de plaisir pour vouloir m'arrêter. Pourtant, lorsque je sentis ma verge gonflée de désir vouloir se libérer, je me suis retiré in extremis afin de me laisser aller contre sa peau. Nous reprenions alors tous deux notre souffle, laissant l'adrénaline et l'excitation du moment retomber petit à petit.

- Désolé, je crois que je me suis un peu trop accroché...

- C'est pas grave Mira... Mais la prochaine fois évite de me mordre dans le cou, c'est assez voyant...

- Oui, d'accord...

Nous avons échangé un sourire avant de regagner mon lit où je m'y suis littéralement laissé tomber sur le dos en riant légèrement. J'étais tellement heureux à cet instant et satisfait, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire et la regarder, admirant le corps totalement nu de ma nouvelle maîtresse en passant mes mains quelque peu abimées dans son dos.

- Qu'est-ce qui te fait sourire comme ça ?

- Toi...

- Ah oui ?

- Ouais... Et je me dis que la prochaine fois, on devrait faire ça loin du navire... Tout du moins éviter de le faire ici parce que l'équipage va avoir des doutes à force... Et puis ça te permettra de pouvoir faire tout le bruit que tu veux...

- Tu penses déjà à la prochaine fois toi ? Demanda-t-elle en riant avant de reprendre un air qui se voulait sérieux. Et si je n'ai pas envie qu'il y ait de prochaine fois ?

- Oh tu y reviendras aux vues de ce que j'ai pu voir et entendre !

- Bah tu doutes de rien toi !

Sur ces dernières paroles, elle attrapa un des oreillers avant de m'en donner un coup dans la figure à quelques reprises, me faisant rire doucement. Nous avons chahuté plusieurs minutes avant d'aller dans la salle de bain pour prendre une bonne douche et pouvoir profiter du corps de l'autre encore quelques instants, enfin surtout moi à vrai dire mais ça n'avait pas l'air de la déranger...

Après ces quelques heures passées en ma compagnie, elle a regagné ses quartiers tandis que moi, je me suis rendu sur le pont pour prendre un peu l'air, tout heureux comme un gamin à qui on venait d'offrir un cadeau. Ce sourire que je ne pouvais pas m'empêcher de garder sur le visage interpella la curiosité de l'un de mes seconds...

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