𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 6
Hey, ce chapitre contient quelques thermes pas très.. appétissant ?
Rien d'incroyable mais si vous vous dégoûtez vite faites gaffe :)
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Les jours défilent.. mon état se dégrade, que ce soit moralement ou physiquement j'ai l'impression d'être au bout du rouleau. Trois jour que je suis ici et je n'ai toujours rien mangé, je ne veux pas les laisser me traiter comme un porc à engraisser avant de l'abattre même si je vois que mon refus commence à les énervé.
Des règles on étaient installées et évidement quand je désobéis, j'ai le droit à une punition à la hauteur de ma faute.
La dernière fois j'ai refusé de répondre aux questions de dabi, et il m'a bien fait comprendre que ce n'était pas ce qu'il attendait. Il n'a aucun scrupule à me frapper mais lorsque ce sont les autres qui s'en prennent à moi il réagit bizarrement. Comme s'il ne supportait pas que d'autres personnes ne me blesse, comme si j'étais son jouer et pas celui des autres vilains.
Depuis 1h et demi je suis enfermée à clé. Je repense à mon frère à mes élèves à mes collègues. Ma vie n'était pas des plus passionnante et joyeuse mais je m'y plaisais. Je le demande si leur enquête avance, qu'ils vont bientôt me sortir de la. Mes larmes coulent en silence tandis que la porte s'ouvre.
Voyant crématorium entré j'essuya rapidement mes larmes et le regarda méfiante.
Dabi : *soupir* tu n'as toujours pas mang- ..
Il me regarde intensément.
Après avoir froncé les sourcils dabi s'approcha de moi et attrapa mon menton d'une main afin que je le regarde dans les yeux.
Dabi : tu as pleuré. Pourquoi ?
/Certainement parce que je me fait frapper séquestrer et entailler ??/
Mais je ne réponds pas.. mon envie de me prendre une remarque déplaisante ou moqueur n'est pas vraiment présente. C'est si logique qu'il devrait se débrouiller pour trouvé seul.
Il continua de me fixer attendant certainement une quelconque réaction de ma part mais en vain. Le Brun souffla et se redressa en enlevant lentement sa main de mon visage. Un simple geste mais pourtant si.. doux. Il n'y avait aucune once de méchanceté ou d'agressivité, depuis mon arrivée je n'ai pas vraiment l'habitude de le voir troubler comme ça.
Il sembla dans ses pensées un instant et se repris avant de sortir de la pièce en me lâchant un « mange. »
Je ne l'ai pas revue de la journée. Le lendemain, on est venu me chercher, après m'avoir emmené dans une piece qui semblait être leur "salon", le chef de ce groupe arriva.
Shigaraki: bien. Voyons ce que tu peux nous dire.
Il me posa toute sorte de question sur le lycée, les héros, les plans prévues contre eux, notre mode d'attaque...
Évidement je n'ai répondu à aucune de ses questions. Je ne me laisserai pas faire aussi facilement.
La patience du chef part petit à petit. Il fit un signe de tête et l'un des vilains qui me frappa au visage, certainement satisfait du plaisir que ça lui procure de me faire saigner il continua. C'est après avoir reçus 3 à 4 coups que le chef m'attrapa par les cheveux.
Shigaraki : je vais t'expliquer. Ici tu n'es pas chez toi, quand on te demande quelque chose.. tu réponds.
Un silence s'installa. Mon sang coule et fini par atterrir dans le coin de mes lèvres. Mélange avec le sang déjà présent dans ma bouche je lui cracha au visage.
Shigaraki : je pense que ton esprit n'a pas encore assimiler le fait qu'ici tu parles ou les choses se passe mal. Une personne va se charger de te le rappeler.
A moitié consciente je me laisse emmener dans une autre salle, j'entendais quelques ricanements avant de sombrer. Je me réveilla couché et enchaîné sur une table. Un visage familier se place au dessus du miens.
Toga : enfin ! Je t'attendais moi.. on va pouvoir jouer ensemble maintenant que tu es réveillé.
Maïko : qu'est-ce que tu vas me faire..! Ou sont les autres ?!
Toga : peu importe, ils ne t'aideront pas tu sais ? On m'a missionner :) Mais pour te répondre certains sont dans la salle a côté et d'autre à l'extérieur. Bon patiente, il me manque quelque chose je reviens.
Je fixa la blonde sortir de la salle et mes pensées se sont tournées vers une autre personne.
Je ne me souviens pas de tout mais je suis quasiment sûr que dabi n'était pas présent. Je me demande où est-ce qu'il est.
..!!
/Pourquoi je pense à lui moi? Après tout je m'en fou qu'il soit là ou non. Ça fait toujours un malade de moins dans cette base./
Toga : me revoilà !! Maintenant mes jouets sont au complet, on va bien rigoler ensemble ^^
Elle éparpilla sur une table à côté de mon visage toute sorte d'objet. Plus nombreux que pendant ma première session torture ou elle m'avait entaillé le bras. Pour faire une liste bref nous avons des scalpel, des ciseaux, des pinces, des chaînes, des aiguilles, des coupelles et dans ses mains il y avait une sorte de demi cercle avec des piques aiguisées dans le parti interne. Elle le plaça au niveau de mon coups.
Toga : c'est pour être sûr ^^ si tu tente de te lever, ce jolie bébé te transpercera la jugulaire. Je ne connais pas tes études mais tu dois savoir que c'est pas la meilleure choses qui puisse t'arriver.
Elle ressert mes poignets et mes chevilles avant de littéralement arracher mon t-shirt. Je me retrouve donc allonger en soutif sur une table de torture avec une folle à mes côtés, que rêver de mieux.
Toga : ca sera plus facile d'accès. Alors ! Tu veux commencer par quoi ? Évidement je n'ai pas le droit de touché les parties qui risque de te tuer, mais je suis sûr qu'on peux trouver de quoi s'amuser ^^
Elle toucha mon bras du bout des doigts.
Toga : mmh.. c'est banal mais c'est une valeur sur.
Elle se muni d'un petit scalpel qu'elle enfonça légèrement dans ma chaire ce qui me poussa à me contracter de douleur. Elle me regarda étonné.
Toga : tu as déjà mal ? Je viens à peine de commencer... reste jouer avec moi encore un peu tu veux~
A ces mots elle enfonça entièrement la lame d'un petit centimètre, je ne saurais compter le nombre de larme qui coule le long de mes tempes. La fille a légèrement écarté la plaît et m'a affirmer que ma chaire est de belle qualité. Toga prends plaisir à me détailler l'aspect interne de mon corps, ce sang claire, cette chaire gluante et luisante, ces tendons de bonne résistance. Elle réitère le geste au moins deux fois avant de changer d'endroit et d'objet.
Toga : ne t'en fait pas je vais faire en sorte que tu ne manque pas de sang.
Mon esprit n'est déjà plus présent entièrement depuis un long moment mais je la vois se diriger vers mon autre bras une aiguille relier à un tuyau à la main. Elle sorti d'un frigidaire une poche de sang, m'affirmant que c'était le même que le miens et me fit donc une perfusion. La douleur ne me causait plus de problème. Je me demandais simplement quand ce cauchemar allait se terminer.
Pdv extérieur
Depuis maintenant une heure, les vilains installés dans le salon écoutant la mélodies des hurlements déchirants de la jeune maïko qui subissait supplice sur supplice sans pause.
La petite blonde sortie de cette fameuse salle l'air triste. Elle affirma que le corps de la femme était trop épuisé et contenait trop de coupures pour que la blonde continue. Évidement elle n'avait pas touché aux partis qui pourrait mettre en danger la jeune héroïne, mais pendant cette petite heure, la vilaine réussie à récupérer ce dont elle avait besoins.
Elle brandit fièrement devant ses compagnons un petit vase de sang et de l'autre mains une coupelle contenant un mystérieux morceaux. Elle expliqua qu'elle c'était amusé, pendant que la femme était inconsciente et sous oxygène, de lui dérobé un morceau de chaire. Elle rassura le chef lui disant qu'elle pouvait très bien faire sans et qu'elle c'était occuper de tout recoudre correctement. La jeune femme de 20 ans allait garder seulement de nombreuses cicatrices sur le corps.
Maïko a été replacer dans sa chambre avec tout ce qu'il lui ai nécessaire pour rester en vie.
Son corps avait été affaibli par la torture infligée plus tôt. Ses cordes vocal était brisé à force de hurlé sa douleur. Et ses poignets bleuâtres et endoloris par la pression des chaînes qui se serraient à chaque mouvement insiter par la douleur de ses entailles.
C'est inconsciente que maïko finis sa journée, l'espoir de ne plus avoir à vivre de tel châtiment à l'avenir.
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Je tiens à faire un coucou à la personne surveillant mon historique qui doit sûrement se poser des questions sur mon état mentale pour chercher des mots tel que carotide, objet de torture, combien de temps pouvons-nous survivre la jugulaire tranchée et plein d'autre. :)
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