𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 14
𓆙
Pdv maïko
Argh.. j'ai si mal dormi. Je n'ai fais que de me réveiller en pensant que mon frère venait me refaire sa crise.
Il me fait chier jusqu'à hanter mes rêves.
Habituellement nous sommes complices et même si on s'embrouille on sait que ce n'est jamais réellement sérieux.
Mais voilà.. depuis quelques temps ce n'est plus vraiment la même chose, et bien trop souvent les mots dépasse la pensé.
Évidement je pense pouvoir compter sur lui si il m'arrive quelque chose de vraiment pas cool. Enfin, je le pensais jusqu'à hier.
Cet imbécile accepte d'entendre uniquement ce qu'il lui plaît. Et je dois avouer que après le fait que ça m'énerve au plus au point, d'avoir que mon jumeau n'accepte pas que je sois avec celui qui me plaît.. bah ca me blesse. Ca me rend triste a un niveau qu'il ne pourrait pas imaginer.
Après avoir ruminé une dizaine de minutes en observant le plafond je jette un œil à mon portable. 6:45, je pense que je n'aurais pas mieux.
Je me suis levé le plus silencieusement possible. Je n'ai pas très envie d'avoir mon jiyū sur le dos dès le début de la journée.
J'ai rapidement pris de quoi manger et suis sorti de l'appart. Je suis vraiment en avance mais UA est déjà ouvert. Mon cours commence normalement à 10 heure.
Les couloirs son vide, je croise certains profs et personnes travaillant ici.
Je me dirigeai vers la salle des professeurs quand je percuta quelqu'un qui me rattrapa de justesse m'évitant une dégustation du sol.
Aizawa : maïko ? Tu es déjà là ?
Maïko : euh ouais, j'étais levé et puis je n'avais rien d'autre à faire.
Aizawa : ça va ? Tu n'as pas l'air en forme.
Maïko : oui oui ça va. Je me suis écarté de lui. Tant que je suis là je peux t'aider si tu veux. Je peux les surveiller ou autre.
Aizawa : non c'est bon, va plutôt te reposer.
Je n'ai pas cherché à la faire changer d'avis. Et après l'avoir remercier je me suis éclipsé.
C'est cool d'avoir une personne comme aizawa dans le lycée.
Il est un peu le père que j'ai jamais eu.
Enfin bref, dans la salle des profs il y avait midnight, Elle ma regardé étonné.
Maïko : oh, tu es là aujourd'hui ?
Midnight : tu vas bien ?
Maïko : bah oui pourquoi tout le monde me demande ça.
Midnight: peu être parce que tu as les yeux gonflé et légèrement rouge. Je ne sais pas ce qu'il t'arrive mais il faut penser à arrêter les ébats nocturnes jeune demoiselle
Maïko : argh arrête de dire des choses comme ça !
Midnight : tu veux en parler ?
Maïko : euh n-non ca va ne t'inquiète pas.
~
J'ai passer la journée en évitant les messages de mon jumeau.
J'ai vraiment pas envie de rentrer chez moi, mais j'ai nul part ou aller.
J'ai passer la porte, c'est silencieux mais je sais très bien qu'il est là à m'attendre.
Après avoir déposé mes affaires dans l'entrée, j'aperçois la silhouette de jiyū se planter en face de moi, les bras croisés.
Jiyū : pourquoi tu m'as ignoré toute la journée ? Je me suis inquiété tu sais.
Maïko : oh maintenant tu t'inquiète ?
Jiyū : maïko.. j'ai pas envie de m'excuser pour ce que j'ai dis hier parce que franchement, c'est mérité. Où est passer la toi qui est lucide et réfléchi ? Tu devrais te rendre compte que c'est de la folie ce que tu fou.
Maïko : oui je sais tout ça, mais je peux pas m'en empêcher.. je suis au courant de ce qu'il fait, et crois moi ça ne me plaît pas plus qu'à toi. Mais quand je suis avec lui c'est.. différent. S'il te plaît essaye de me comprendre.
Jiyū : non je ne comprends pas. Je pourrais être plus compréhensif si c'était juste un mauvais garçon qui fait quelque bêtise et pas très recommendable, mais là on est sur le niveau au dessus. Maïko sérieux, il bute des innocents !
Maïko : arrête de hausser le ton. Et ne parle pas de lui de cette manière. Tu ne sais pas ce qu'il fait, les vilains sont contre les héros mais ça ne veut pas dire que les personnes qu'ils tuent ne sont que des gentils citoyens.
Jiyū : je hausse le ton si je veux. Tu es ma soeur et jusqu'à preuve du contraire je suis la seule personne à pouvoir te donner des ordres.
Maïko : j'ai aucun ordre à recevoir de toi. Je suis aussi âgé et pleinement consciente de mes actes.
Jiyū : tu ne me laisses pas le choix. Je ne veux pas te brimer mais il est hors de question que tu restes avec lui.
Maïko : qu'est-ce que tu comptes faire me suivre nuit et jour ?
Jiyū : pas te suivre mais te surveiller.
Maïko : tu es ridicule.
Je l'ai pousser pour qu'il me laisse passer et sans prendre le temps de manger je suis aller m'enfermer dans ma chambre.
J'ai regardé par la fenêtre depuis mon lit.. vivement que tu reviennes.
~
Les 3 jours suivant étaient vraiment long..
Mon frère n'a pas arrêté de me fliquer. Il me demandait où j'allais, avec qui, pendant combien de temps.
Évidement je le renvoyait chier mais il persistait encore et encore.
Il n'y a pas une journée sans minimum une dispute.
Je n'ai eu qu'une seule fois des nouvelles de lui. Il me prévenait qu'il n'en avait plus pour longtemps, pour dire vrai il commence à me manquer même si je ne lui dirais jamais. Son ego surdimensionner risquerait de grossir davantage s'il savait ca.
Enfin.. passons.
Aujourd'hui je suis resté au lycée, il est resté spécialement ouvert à cause des réunions.
J'ai demander à aizawa si je pouvais rester ici et il m'a répondu oui. Je pense qu'il a du comprendre qu'en ce moment je fuis mon frère comme la peste.
Il est 21h quand je rentre chez moi.
Évidement jiyū m'attendais. Bon dieu.. insupportable.
Jiyū : tu étais où ? Tu ne devais pas rentrer à 19:30 ?
Maïko : ...
Jiyū : maïko je te parle.
Maïko : mais fou moi la paix! C'est dingue ça, mêle toi de tes affaires et non des miennes.
Ok il m'a chauffé.
Maïko : et puis merde, je pense être assez grande pour faire ce que je veux pas besoin de toi pour me gérer. Va voir ta meuf et fou moi la paix. Tu ne te rends même pas compte de ce que tu fais, tu deviens insupportable! Ta vie n'est pas suffisamment mouvementer pour que tu gâche ma mienne ?! T'es accroché à moi comme une bactérie sérieux trouve une autre activité !
Jiyū : je fais ca pour toi ! J'ai pas envie de te voir mal tourné.
Maïko : "mal tourné" ?! Donc tu penses que parce que c'est un vilains qui n'a pas les mêmes buts et ambitions que nous il n'est pas suffisamment bien ? Tu penses que tu es mieux en te comportant comme ça ? De vous deux je pense que la personne la moins fréquentable c'est toi et de loin. Lui ne cherche pas à me brider et à m'interdire des choses, tu agis égoïstement sans te soucier de ce que j'en pense.
Il me regarde étonné.
Maïko : qu'est-ce qu'il se passe tu ne sais plus quoi dire pour m'expliquer que c'est pour moi que tu fais ça ?!
Jiyū : maïko, vraiment j'ai pas envie de crier comme la dernière fois. Écoute moi.. je sais comment ça va finir. Cet homme ne mérite pas d'être heureux. Pas avec toi.
Maïko : qu'est ce que tu en sais de ce qu'il mérite ou non ?! Tu ne sais pas qui il est !
Jiyū : non. Je sais juste que ce gars a kidnappé ma jumelle, et qu'il a participé à la formation de toute ces cicatrices sur son corps.
Maïko : ... mêle toi de ton cul..
Jiyū : Mai-
Maïko : j'ai pas grandi entouré je peux très bien me débrouiller seule encore une fois ! Tu sais quoi jiyū ? Je t'emmerde..
Je le regarde dans les yeux.
Sont visage ne laisse rien paraître. Au bout de quelques secondes ils fronça les sourcils et fit quelque chose dont je ne l'en cru pas capable.
𓆙
1350 mots
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top