Chapitre 4.

Voilà maintenant deux semaines qui sont passées depuis que j'ai couché avec Niragi, sous l'émotion du deuil à la suite de la mort d'Hannah mais aussi à la suite de l'excitation que j'avais ressenti quand on s'était embrassés, et je l'évitais depuis ce jour.

(NDA : Bien entendu, dans cette fanfiction, Jia couche avec Niragi pour penser à autre chose qu'à la mort de sa meilleure amie mais aussi pour penser à autre chose que son deuil. Tout le monde a sa propre façon de passer son deuil).

Deux nouveaux joueurs, du nom d'Arisu et d'Usagi, étaient arrivés à la Plage et ils avaient déjà été repérer par le groupe des Activistes dirigé par Aguni et le groupe du Chapelier mais aussi par Chishiya et Kuina.

Eh bien... les nouveaux joueurs font fureurs auprès d'eux, je me demande bien ce qui va se passer.

(NDA : La première personne qui fait une blague à propos du mot « fureur » se verra supprimer son commentaire, par respect aux personnes ayant subi du boycott mais aussi de la violence et de mauvaises conditions humaines pendant la seconde guerre mondiale).

J'avais entendu dire par Thomas, quand je cherchais le Chapelier à la piscine pour lui parler, qu'Arisu avait le numéro soixante-et-un et qu'Usagi avait le numéro soixante-deux. Les deux nouveaux étaient devant la piscine et ils étaient assis sur des transats en train de parler ensemble, ils semblaient assez proches comme s'ils sortaient ensemble.

Est-ce que c'est vraiment possible d'avoir une relation dans ce monde sans pitié où l'on doit jouer nos vies pour survivre ? Je me le demande bien...

Je soupirais en les regardant et je baissais le regard sur mes bracelets brésiliens mais aussi sur mon bracelet de piscine où était inscrit mon numéro de membre, j'étais le numéro soixante-dix.

Je me demande si je vais revoir ceux que j'aime ou si je ne vais pas les revoir... j'ai déjà perdu Hannah, je ne voudrais pas perdre une autre personne, pas même Niragi.

Je ne savais pas pourquoi je pensais à lui mais je pensais à lui, c'était comme s'il comblait le vide que j'avais en moi, ce vide dans mon cœur que je n'avais jamais remarqué depuis la mort d'Hannah. Comme si... j'étais tombée amoureuse de lui sans le savoir.

Je levais le regard droit devant moi et je fixais les deux nouveaux, la fille avait dû sentir mon regard sur eux car elle me regardait. Je prenais mon courage imaginaire à deux mains et j'avançais vers eux jusqu'à être devant eux, le mec me regardait d'un air méfiant et la fille aussi car elle fronçait ses sourcils.

Moi : Salut ! Je m'appelle Huang Jia !

Je tendais ma main dans leur direction en souriant et ils continuaient à me regarder avec méfiance, je perdais mon sourire en baissant ma main puis je croisais mes bras derrière mon dos. Elle avait toujours son regard sur moi car elle me regardait attentivement et je suivais son regard, elle regardait mon corps qui était marqué par les suçons du percé depuis que j'avais couché avec lui - malgré mon maillot de bain et le maquillage que je mettais dessus pour les couvrir.

Il faudrait vraiment que je pense à demander au Chapelier pour aller faire une balade dans la ville quand il envoie des joueurs pour aller chercher de l'essence pour les voitures, je pourrais prendre du maquillage waterproof ainsi que du démaquillant waterproof.

Je pensais à ça quand je me souvenais d'un détail ; le chapelier envoyait en ville les joueurs qui font partie du groupe des Activistes et non des joueurs comme moi.

Mon maillot de bain se composait d'un haut et d'un bas de bikini noir avec le logo Nike en blanc, le maillot de bain était accompagné d'un short noir avec le logo Nike en blanc.

Heureusement que le short cache les suçons que j'ai près de ma partie intime.

Fille : Je m'appelle Yuzuha Usagi et lui, c'est Ryohei Arisu.

Moi : Enchantée de faire votre connaissance.

Arisu : Tu fais partie du conseil exécutif ?

Moi : Non sinon j'aurais des vêtements et non un maillot de bain.

Arisu : C'est vrai.

Pas très futé, le nouveau...

[...]

Je mettais mes mains sur mes commissures de lèvres pour les masser en mouvements circulaires, j'avais mal à cet endroit à force de rire et de sourire pendant ma discussion avec mes nouveaux amis. La fille qui traînait avec le dénommé Chishiya, Kuina, nous avait rejoint et on avait fait connaissance avec elle – elle s'emblait très sympa.

Woah... cela me fait tellement de bien de rire et de sourire...

??? : Voiture en vue ! Des survivants sont de retour !

Un mec, que je ne connais ni d'Adam et d'Eve, venait de crier cette phrase et ça avait attirer l'attention de tous les autres plagistes.

??? : Non, déjà ?

??? : Rapide !

??? : C'est quel groupe

Mec qui a crié : C'est le groupe deux !

??? : Super ! Ils sont forts !

Arisu : Le groupe deux ?

Kuina : Un conseil pour vous trois... si vous voulez vivre tranquillement à la plage, restez loin d'eux.

J'entends une foule d'applaudissement et d'acclamation, je tournais la tête vers le bruit et je remarquais qu'Aguni, Last Boss et Niragi étaient revenus de leur jeu.

Je suis heureuse que Niragi aille bien...

Arisu : C'est ça le groupe deux ?

Kuine : Oui, ce sont de redoutables guerriers. L'organisation de la Plage est assez complexe et des clans se créent tout naturellement parmi les cadres. En réalité, les groupes qui ont du pouvoir en ce moment sont « le groupe du conseil exécutif » dirigé par le Chapelier et « le groupe des Activistes » dirigé par Aguni.

Je le savais déjà, je l'ai tout de suite compris quand j'étais dans les appartements du Chapelier à mon arrivée, après qu'Aguni m'ait kidnappé quand je faisais mes « courses » à la fin de mon jeu du chat.

???? : Eh bien... je vois qu'on s'amuse bien.

Je me tendais au son de la voix, c'était Aguni qui venait de parler. Je tournais le regard vers lui puis mon regard se posait immédiatement sur son second, Niragi, qui fixait Arisu avec des yeux meurtriers.

Il n'est quand même pas jaloux de lui, si ?

Niragi a dû sentir mon regard sur lui car il me regardait, il mettait correctement son arme sur son épaule et il me souriait d'un air pervers en se léchant les lèvres, j'avalais ma salive lentement en me souvenant très bien de sa langue en moi qui m'avait fait jouir ; il avait dû comprendre ma pensée car il haussait les sourcils de façon suggestive en gardant sa langue hors de sa bouche.

J'ai intérêt à faire attention quand je me balade...

Il s'était approché de nous avec Niragi et Last Boss.

Aguni : Je ne t'ai jamais vue... tu es nouvelle ?

Il parlait d'Usagi.

Usagi : Oui et alors ?

Niragi : Tu ne piges pas ?

Il se penchait légèrement vers elle et je ressentais un pincement au cœur.

Arisu : Usagi !

Kuina : Arrête !

Elle s'adressait à Arisu, il voulait s'interposer entre eux pour aider Usagi – c'était comme s'il avait oublié ce que lui avait dit Kuina par rapport à eux.

Niragi : Mon boss veut un « en-cas ». Après le jeu, il doit calmer son sang échauffé.

Je savais que le sang pouvait se réchauffer mais je ne savais pas qu'il pouvait s'échauffer.

Il avait sorti sa langue de sa bouche et j'apercevais enfin le fameux piercing qui m'avait fait jouir plus d'une fois.

Kuina : La chance ne sourit pas toujours à la Plage.

Je regardais Kuina quand elle disait ça.

Niragi : Bah pas besoin d'être aussi prude, ça te décoincera !

Il s'était adressé à Kuina.

Niragi : Ici, tout le monde vit la peur au ventre de crever, il faut dissiper son stress d'une façon ou d'une autre quitte à ce que... certains jouent les victimes !

C'est entendant ça que j'avais compris que Niragi s'était foutu de ma gueule, il ne couchait pas avec moi car il ressentait aussi l'envie d'avoir du sexe... il couchait avec moi seulement pour dissiper son stress de mourir.

Fils de pute... dire que je lui ai tout confié sur Hannah et qu'il était là pour m'épauler. Je me suis bien fait avoir par son charme.

***

J'étais au centre commercial avec Hannah car on venait de finir notre journée de cours depuis au moins dix minutes, on se baladait dans les différents magasins que le centre commercial nous offrait et on avait fini par aller au magasin de jeux-vidéo et que musique. Hannah était sur son téléphone à répondre aux messages de sa mère pendant que je parcourais les différents jeux-vidéo proposés de l'index, je cherchais un jeu qui m'intéressait en particulier et je finissais par le trouver.

Hannah : Tu as trouvé ton bonheur ?

Moi : Oui.

Je prenais le jeux-vidéo en main et je mettais correctement les anses de mon sac à main sur mon épaule puis on se dirigeait vers la caisse où un vendeur était en train de réparer la batterie d'une Nintendo DS, on passait devant un groupe de garçons.

??? : Regarde la nana avec les cheveux violets, elle est mignonne.

??? : Va lui demander son numéro.

Ils rigolaient et Hannah prenait ma main dans la sienne, elle enlaçait nos doigts ensemble au moment où les garçons nous regardaient puis on avançait jusqu'à la caisse.

??? : Laisse tomber, mec. C'est une lesbienne et ce n'est pas mon délire de baiser une lesbienne.

Hannah : Ne fais pas attention à ces cons, ils disent simplement ça car ils ont le seum de ne pas pouvoir conquérir le cœur d'une jolie fille comme toi.

Je souriais à ses mots.

***

Je sortais de ma rêverie après avoir revu un moment avec Hannah quand Kuina criait un prénom, le prénom d'Arisu. Il s'était mis devant Usagi et faisait face à Aguni, je sentais la tension dans l'air.

Aguni : Hein ?

??? : L'abruti...

??? : Il veut mourir ?

Ce que venait de faire Arisu avait attiré l'attention des autres, ils sont là depuis plus longtemps que nous alors ils savent très bien ce que faisaient Aguni et son groupe quand on les empêchait de faire ce qu'ils veulent.

Usagi : Arisu !

Kuina : On l'a complètement surestimé...

Quoi ? « On » ? Mais de qui parle-t-elle ?

La phrase qu'avait dit Kuina me laissait perplexe mais je ne faisais aucune remarque.

Il faut que je me méfie d'elle, comme je me méfie de Mira, elle a l'air de bien caché son jeu.

Niragi : Toi aussi, tu es nouveau ? C'est étonnant de tomber sur un gars qui n'a pas changé de mentalité dans ce pays.

Il lui tendait un téléphone, je ne savais pas si c'était son téléphone personnel ou si c'étaient les téléphones que les maîtres de jeux nous mettaient à disposer pour nous inscrire aux jeux.

Niragi : Tiens, appelle... les flics ! Ils viendront peut-être à ton secours !

Deux plagistes, qui devaient sûrement approuvés les actions d'Aguni, rigolaient à la blague du percé.

Aguni : Pathétique ! Niragi, apporte-moi la fille dans ma chambre.

Niragi : Laquelle, chef ?

Je sentais dans la voix de Niragi comme de l'inquiétude... comme s'il ne voulait pas qu'Aguni lui demander de m'apporter à lui.

Aguni : Celle avec le gilet orange, l'autre est déjà prise. Je ne vais pas chasser sur le terrain des autres.

"L'autre est déjà prise"... c'est de moi qu'il parle le chauve ?

Je fixais Aguni en sentant son regard sur moi, il me fixait de haut en bas.

Aguni : Tu devrais faire attention avec qui tu traînes, la violette. Tu as de la chance d'être tombée sur moi car si ça aurait été un autre homme, il se serait fait un plaisir de jouer avec toi malgré les marques que tu as sur le corps.

Moi : D'accord.

Je pense que ça devait être moi dont il parlait car je pensais aux suçons que le noireau m'avait fait quand on avait couché ensemble, je me sentais protéger par ses suçons sur mon corps.

Niragi : Et son copain ?

Aguni : Il n'a qu'à crever au prochain jeu... casse-lui les jambes !

Il nous tournait le dos et commençait à partir après avoir dit ses ordres à Niragi.

Je ne sais pas pourquoi mais cette phrase me fait froid dans le dos...

Kuina : Tu as... une solution ?

J'espère bien qu'il en a une !

Je regardais Arisu et il regardait partout autour de lui, je suivais son regard puis il posait son regard sur le Chapelier qui était accompagné de Keiichiro, son numéro deux.

Arisu : Je vois que... J'ai bien fait de ne pas me ranger de votre côté.

Moi : Oh le con, il va crever.

Cette phrase était sortie de façon très naturelle de ma bouche et je couvrais ma bouche avec mes mains, Aguni se tournait vers Arisu.

Aguni : Quoi ?

Arisu : Vous aimez trop la violence... je suppose qu'à trop vous fréquenter, j'aurais fini torturer.

Oh le con... il est en train de donner des idées au chauve.

Je tapais ma paume de main sur mon front d'un air dépité.

Moi (chuchote) : Je sens que cette histoire va mal se terminer...

Niragi : Qu'est-ce que... tu baragouines ?

Arisu : C'est simple... même dans une saloperie d'organisation de ce genre... on trouve toujours des gens honnêtes qui nous récompensent à la hauteur de notre contribution. Je n'ai rien d'autre... à ajouter.

Une voix attirait notre attention ; c'était le Chapelier qui avait décidé de faire son apparition.

Chapelier : Un problème ?

Quand on a besoin de lui, il est là mais quand on n'a pas besoin de lui, il n'est pas là. C'est vraiment ironique comme situation. J'avais besoin de lui pour un truc mais il n'était pas là et quand c'est Arisu qui a besoin d'aide, il est là.

Aguni : Mêle-toi de tes affaires, Chapelier... ça ne te regarde pas !

Chapelier : Haha ! Désolé mais je ne suis pas d'accord... j'ai l'obligation de faire respecter l'ordre.

Normal, tu es le directeur de ce lieu.

Chapelier : Tu veux bien... t'abstenir de menacer les nouveaux ?

Aguni : Cassos ! Laisse tomber.

Usagi : Arisu, qu'est-ce que tu as fait ?

Arisu : J'ai juste profité d'un profiteur !

***

Chishiya, le numéro dix, était arrivé avec sa capuche sur la tête après le petit spectacle qu'avait donné Arisu devant tout le monde pour défier Aguni. Kuina était toujours assise au bord de la piscine avec un bâton de sucette entre ses dents, le blond était derrière elle.

Chishiya : Alors ? Verdict ?

Kuina : Il me plaît beaucoup !

Ce que les deux complotistes ne savaient pas, c'était que Jia, le numéro soixante, faisait semblant d'écouter la conversation qui se passait entre Usagi et Arisu pour écouter la conversation du blond et de la brune. Elle avait un mauvais présentiment sur la brune avec le bâton de sucette et elle savait qu'elle devait se fier à ses instincts : ils comptaient utiliser Usagi et Arisu pour obtenir ce qu'ils voulaient de le Plage.

***

[...]

Je me baladais dans les couloirs de la Plage après avoir bu une limonade fraîche au bar et avoir mangé quelque chose pour remplir mon estomac, j'avais mal au ventre donc je pensais que je devais avoir faim.

J'aurais pu dire que c'était parce que j'allais avoir mes règles mais la douleur n'était pas comme des douleurs menstruelles mais plutôt comme des douleurs de faim, mon ventre avait fait un gargouillement discret qui s'était transformé en mal de ventre.

Ça me fait vraiment chier que nos téléphones ne nous servent à rien dans ce pays, je ne peux même pas l'utiliser pour aller sur mon calendrier menstruel numérique afin de me renseigner sur les jours qu'ils me restent avant d'avoir mes règles.

Moi : Ah !

Je poussais un cri de surprise quand Niragi me plaquait violemment contre l'un des murs du couloirs qui donnait accès aux chambres des VIP, les chambres des membres des activistes et les chambres des membres du conseil exécutif, je le regardais avec peur et il le remarquait car il lâchait mes bras pour prendre mes mains dans les siennes avant de placer mes mains au-dessus de ma tête.

Aïe ! Mon dos !

Je l'entendais soupirer et je levais légèrement le regard vers lui puis je rougissais en le voyant aussi proche de moi.

Niragi : Et si je te montrais que je suis doux ?

Moi : Quoi...?

Niragi : Je parle de te baiser, comme je l'ai fait il y a deux semaines...

Moi : Je n'aime pas ce terme...

Niragi : Tu préfères quel terme ?

Moi : Je préfère le terme « faire l'amour » ou « coucher ensemble »...

Niragi : Alors... je te ferais l'amour... je te ferais l'amour comme aucun homme ne l'a jamais fait.

Espèce de petit con...

J'avais l'intention de répondre quelque chose mais je fus coupée les lèvres de Niragi sur les miennes, je fermais lentement les yeux en répondant à son baiser pendant qu'il glissait ses mains de mes poignets à mes hanches puis à mes cuisses en penchant son visage proche du mien pendant notre baiser.

J'enroulais mes bras autour du cou de Niragi quand il me soulevait par les cuisses et j'agrippais ses cheveux entre mes doigts quand il décollait mon dos du mur. Il me portait et avançait dans le couloir avant d'ouvrir une porte puis de rentrer dans la chambre avant de plaquer mon dos contre la porte, mes cheveux remontaient en une bosse quand il collait ma tête contre la porte en m'embrassant.

Il rompait notre baiser quelques instants après et j'ouvrais les yeux en reprenant mon souffle puis je refermais les yeux en soupirant de plaisir.

Moi : Ah...~

Niragi était en train d'embrasser mon cou et de me faire un autre suçon à cet endroit, je sentais ses dents sur la peau de mon cou et ça m'excitait car je sentais une chaleur agréable dans le bas de mon ventre. Je serrais fort ses cheveux entre mes doigts et je défaisais son chignon pour avoir son élastique à mon poignet.

Niragi : Je vais te montrer à qui tu appartiens, Jia...

Mon prénom resonnait comme une mélodie quand il prononçait mon prénom. Il me décollait du mur en me regardant avant de me coucher dans le lit en se mettant sur moi, je le regardais et je penchais la tête en arrière quand il embrassait la naissance de mes seins alors que ses mains étaient dans mon dos à défaire les flots de mon haut de maillot de bain.

Je finissais assez rapidement avec la poitrine dénudée et en bas de bikini sous lui, le haut de bikini et le short avaient rejoint le sol. Il embrassait mon ventre et je frissonnais en mordillant ma lèvre.

Niragi : Continue de mordre ta lèvre... ça m'excite...

Il abaissait mon bas de bikini jusqu'aux mollets avant de le jeter sur le reste de ma tenue de plage, il se baissait pour être à genoux entre mes jambes.

Niragi : Je vais te montrer comme je peux te faire jouir...

Moi : Ahn ~!

Je poussais un gémissement quand il embrassait l'intérieur de ma cuisse en remontant progressivement jusqu'aux plis de mon entre jambe, il glissait l'une de mes jambes sur son épaule en approchant sa tête de mon intimité, je fermais les yeux puis je soupirais de plaisir en sentant sa langue aller de haut en bas sur mon intimité qui devenait rapidement humide.

Moi : Niragi...~

Je glissais ma deuxième jambe sur son épaule et je me cambrais en gémissant quand il serrait mes cuisses dans ses mains pendant que sa langue faisait des mouvements circulaires sur mon point G.

[...]

Moi : Mhh...

Heureusement que je devais l'éviter car il jouait avec moi en utilisant mon corps pour dissiper le stress qu'il ressent de mourir lors d'un jeu.

J'immergeais doucement du sommeil après avoir couché pour la deuxième fois avec Niragi, dans sa chambre, et je me redressais dans son lit pour me mettre assise puis je frottais mes yeux avant de me lever du lit pour enfiler sa chemise - je l'utilisais comme chemise de nuit pour couvrir mon corps jusqu'à la salle de bain.

Je sortais de sa chambre avec mon maillot de bain en main et sa chemise sur mon corps, en allant jusqu'à ma chambre, je rencontrais Arisu et Usagi.

Merde.

Usagi : Ce n'est pas la chemise de Niragi ?

Moi : Si... on a couché ensemble...

Arisu : Jia... tu détruis tes valeurs féminines en faisant ça !

Moi : Je sais, Arisu !

Je soupirais et je serrais mon maillot contre moi.

Moi : Niragi était là pour moi quand j'ai vu ma meilleure amie mourir devant mes yeux... dans un jeu de cœur...

Arisu : Tu as aussi perdu quelqu'un dans un jeu de cœur ?

Moi : Oui, ma meilleure amie.

Arisu : J'ai perdu mes meilleurs amis sous mes yeux...

Je regardais Arisu dans les yeux et je voyais la douleur dans son regard, il cachait cette douleur pour ne pas paraître faible devant les autres.

[...]

Je sortais de la salle de bain, habillée d'un autre maillot de bain, et je tenais le haut de mon bikini avec une main pour couvrir ma poitrine en allant vers Usagi. Arisu détournait le regard en me voyant arriver.

Moi : Tu saurais faire un nœud à mon haut, s'il te plait ?

Usagi : Oui, bien sûr.

Je me plaçais dos à elle et je frémissais en sentant le toucher des doigts d'Usagi qui frôlait plusieurs fois mon dos en faisant le nœud des lacets de mon haut de bikini.

Son toucher me fait du bien... il me rappelle le toucher d'Hannah quand elle défaisait mes hauts de bikini pour appliquer de la crème solaire sur mon dos quand on allait à la plage.

Mon maillot de bain était un maillot de bain deux pièces où le haut avait de fines bretelles blanches et des lacets noirs avec le contour blanc et mon bas de maillot était noir avec le contour noir, c'était pareil pour mon short.

Moi : Merci.

Usagi : De rien.

Je m'éloignais d'elle et je retournais dans la salle de bain pour appliquer de la crème sur mon corps et je me lavais le visage avant d'appliquer de la crème dessus puis je brossais mes dents avant de coiffer mes cheveux. J'avais coiffé mes cheveux dans deux tresses françaises.

(NDA : Ne faites pas attention au bonnet sur sa tête et aux lunettes de soleil sur son nez).

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