Chapitre 2.

Une fois que Niragi m'avait accompagné au grand dressing avec des vêtements pour femmes mais aussi pour hommes pour me prendre des maillots de bain ainsi que des vêtements pour les jeux mais aussi pour dormir et on se dirigeait dans des couloirs pour aller devant une porte blanche.

Niragi : Prête à découvrir ton nouveau lit ?

Moi : Il le faut bien.

Il ouvrait la porte et me laissais passer pour rentrer, je fus submergée par la beauté de la pièce. La chambre avait un plafond clair, des murs gris avec un genre de bois brun un peu clair et foncé ainsi que des meubles noirs, un canapé blanc et un lit blanc pour deux personnes.

Niragi : Je vais bien m'inviter dans ton lit.

Je tournais le regard vers lui et il me regardait en souriant, son sourire était pervers.

Moi : Non, ça ira, merci.

Niragi : Rentre prendre une douche et enfiler ton maillot sinon je vais t'aider...

Je lui faisais un rapide sourire et je rentrais dans ma chambre avant de lui claquer la porte au nez.

Si je restais une minute de plus avec lui, je crois bien que j'aurais céder à la tentation de le castrer.

Je me dirigeais dans la salle de bain - aux tons de blanc, de gris et de noir - pour fouiller à l'intérieur et je trouvais des serviettes, du shampooing, du gel douche, une brosse à dent, des dentifrices, une brosse à cheveux ainsi que des serviettes hygiéniques et des déodorants - en spray et en stick - dans les deux commodes.

J'approchais ma main des paquets de serviettes et je les sortais pour les regarder, c'étaient des normales une.

Je vais voir en acheter des plus résistantes, je ne pense pas qu'elles vont survivre à mes fuites pendant la journée et la nuit.

Je rangeais les paquets et je prenais deux serviettes avec du shampooing et du gel douche puis je sortais la brosse à cheveux avec la brosse à dent et un tube de dentifrice pour les poser sur le lavabo.

[...]

J'enroulais la serviette autour de ma taille après avoir enrouler une serviette sur mes cheveux et j'essuyais mon visage avant de commencer à brosser mes dents.

TOC TOC TOC

Trois coups retentirent à ma porte de chambre, je cherchais un peignoir des yeux mais je n'en trouvais pas alors je sortais de la salle de bain et je me dirigeais vers la porte. Je me mettais de sorte qu'on voit que ma tête et j'ouvrais la porte pour passer ma tête. Niragi était devant ma chambre.

Encore lui ? Il peut plus se passer de moi ?

Niragi : Ah enfin ! Tu as fini ?

Je retirais la brosse de ma bouche et je levais les yeux au ciel.

Niragi : Je peux entrer ?

Moi : Chuis en cherviette.

Niragi : Raison de plus.

Je levais de nouveau les yeux au ciel et je remettais ma brosse à dents en bouche pendant qu'il entrait, je refermais la porte derrière lui puis je posais une main sur le haut de ma serviette pour cacher - comme je pouvais - le haut de la naissance de ma poitrine avec ma main.

Niragi : Sexy la tenue mais c'est moins sexy avec le dentifrice autour de ta bouche et la serviette sur la tête.

Je lui faisais un doigt et je retournais dans la salle de bain, sans fermer la porte derrière moi, pour rincer ma bouche ainsi que ma brosse à dents. J'essuyais ma bouche juste après et je sursautais en voyant Niragi derrière moi.

Niragi : Besoin d'aide pour retirer la serviette ?

Moi : Non, mais j'aurais sûrement besoin de ton aide pour nouer mon maillot de bain.

Niragi : Je suis fort pour les retirer.

Moi : Tu m'en diras tant. Maintenant dégage d'ici avant que je te mette mon pied au cul.

Niragi : Tu oserais ?

Je me tournais vers lui et je posais mes mains sur son torse pour le pousser à l'extérieur avant de fermer la porte. Je retirais la serviette de mes cheveux et je les démêlais pour retirer les nœuds puis je retirais ma serviette pour essuyer mes jambes, mes pieds et mes bras ainsi que mes épaules. Je mettais du déodorant et j'enfilais le bas de mon maillot avant d'enfiler le mini-short qui va avec. Je commençais à mettre le haut mais je n'arrivais pas à le nouer.

Bordel ! Je dois lui demander de l'aide...

Je déverrouillais la porte et je posais mes mains sur mes seins, par-dessus mon haut de maillot, en m'approchant du lit où Niragi était assis dessus avec son arme.

Niragi : Besoin d'aide ?

Moi : Malheureusement, oui.

Niragi : Viens.

Il mettait son arme derrière lui et je prenais place où son arme était en lui montrant mon dos, je frissonnais au contact de ses doigts chauds sur moi quand il entourait les fils de mon maillot pour les nouer, mes mains étaient restées sur mes seins.

Niragi : Tu as les cheveux longs.

Moi : Oui, je songe à les couper et ensuite, je songe à ne plus les couper.

Niragi : Relève tes cheveux.

Moi : Le haut de mon maillot risque de tomber...

Niragi : Je suis dos à toi et je verrais seulement ton dos, pas tes seins.

Je retirais mes mains de mon haut et je relevais mes cheveux avec mes deux mains, Niragi attrapait les deux fils du haut et les nouait ensemble.

Moi : Merci...

Je me relevais et je me tournais vers lui en laissant mes cheveux retomber sur mes épaules jusqu'à mes seins.

Niragi : De rien.

Quand il disait « de rien », je ressentais plus aucune onde de taquinerie ou de perversité, c'était sincère et il semblait sincère.

Moi : Je vais finir de me préparer, tu peux rester là... sauf si tu préfères partir.

Niragi : Ta compagnie est... agréable.

Je lui souriais timidement et je retournais dans la salle de bain pour tout ranger puis je mettais du baume à lèvres sur mes lèvres avant de me regarder dans le miroir.

Je sortais de la salle de bain, en éteignant les lampes, et je rejoignais Niragi sur le lit.

Niragi : Une visite des lieux ?

Moi : Je veux bien.

On se levait et avant même que j'ai pu faire un pas, je me retrouvais de nouveau sur son épaule et il tenait sa mitraillette de son autre main.

Moi : C'est encore un kidnapping.

Niragi : Et t'aime ça.

[...]

Niragi venait de finir de me faire visiter les lieux et on était à la piscine, j'étais assise sur un transat et il était devant moi en me bloquant le soleil. Niragi faisait le fier avec son arme et je le regardais faire, mon sourire était caché par la paille que j'avais en bouche, je sirotais un cocktail alcoolisé.

TUTUTUTUTUTU

Mec : C'EST L'HEURE DE JOUER !

Je regardais Niragi et je me levais en posant mon cocktail.

Niragi : C'est l'heure des jeux.

Moi : Déjà ?

Niragi : Oui. Tu as combien de visa ?

Moi : Cinq jours.

Niragi : Tu as envie de jouer ?

Moi : Oui et non, je crains de retomber sur un jeu de cœur.

Niragi : Je te promets de te tuer de moi-même si on tombe ensemble sur un jeu de cœur.

Moi : Tu n'as pas peur de me pleurer ?

Niragi : Non.

Il me prenait le bras pour me tirer et je le suivais en levant les yeux au ciel avec un petit sourire et on arrivait rapidement à un genre de parking souterrain.

Niragi : On fait équipe ?

Moi : Oui.

Il me tenait toujours le bras et je le suivais jusqu'à une voiture noire, il saluait un mec et je restais à ses côtés jusqu'à ce que la voiture soit complète.

Niragi : Viens sur mes genoux, on n'a pas assez de place.

Meuf : Elle a qu'à dégager dans le coffre.

Moi : Ce n'est pas mon délire sauf si le coffre à des sièges mais ce n'est pas le cas.

Le mec que Niragi avait salué me laissait passer au-dessus de lui pour arriver à Niragi et je prenais place sur ses genoux alors que son arme était entre ses jambes.

[...]

(NDA : Pour la suite de ce chapitre, le jeu, le niveau et les règles seront totalement inventées).

On arrivait bien vite au lieu où se passait le jeu et je sortais de la voiture puis Niragi après moi, j'essuyais mes pieds contre mes jambes car je marchais sur des cailloux et une meuf au teint basané me tendait des chaussures.

Meuf : Tiens, prends mes chaussures.

Moi : Et toi ?

Meuf : Ne t'inquiète pas pour moi.

Je prenais les chaussures et je nettoyais de nouveau mes pieds avant d'enfiler ses chaussures l'une après l'autre puis je les suivais en me mettant au niveau de Niragi, malgré sa grande taille. On entrait dans l'énorme bâtisse qui ressemblait à mon université et j'attrapais la main du percé dans la mienne.

Niragi : Eh ! Qu'est-ce qui te prend ?

Je serrais sa main dans la mienne en l'ignorant et on rejoignait les autres joueurs.

Moi : Je sais où on est... on est dans mon ancienne université.

En approchant, je reconnais une silhouette avec les cheveux longs bleu.

Hannah ? C'est toi ?

Je lâchais la main de Niragi et j'avançais vers la fille en tendant la main vers elle.

Moi : Hannah ?

La fille se retournait à l'entente de son prénom et j'arrêtais d'avancer avant de sentir les larmes couler. Hannah était toujours la même, elle avait toujours ses longs cheveux bleus et ses yeux sombres.

Hannah : Jia ? C'est bien toi ?

Moi : Oui, c'est bien moi

Elle me sautait dans les bras et je la serrais contre moi en posant mon nez dans son cou, j'inspirais son odeur et elle avait toujours son odeur de cerise.

Hannah : Je te croyais morte mais j'avais toujours l'espoir que tu sois vivante...

Moi : Moi aussi... et te voilà, devant moi...

Je la décalais de moi et on se souriait, j'essuyais mes larmes avec mes pouces en rigolant avec elle puis elle me regardait.

Hannah : Tu es toujours la même...

Elle baissait son regard sur mon maillot de bain.

Hannah : Sexy.

Niragi : C'est ce que j'ai pensé en la voyant.

Niragi s'était approché de nous et il avait passé son bras autour de ma taille pour me coller à lui.

Je posais ma main contre son torse pour ne pas le percuter et Hannah nous regardait à tour de rôle.

Hannah : C'est ton mec ?

Moi : Non.

Niragi : Oui.

Hannah : Faut vous mettre d'accord...

On allait répliquer mais la voix du jeu décida de s'activer et de nous annoncer le jeu.

Voix : Trente joueurs ont été inscrit.

Je levais les yeux vers Niragi et il me faisait son sourire pervers, je frappais légèrement son torse sous le regard attentif d'Hannah, je lui lançais un regard qui voulait dire "Ne pense surtout pas à faire cupidon" puis elle haussait les épaules.

Voix : Le jeu se nomme "chasse à la souris". La difficulté est cinq de cœur.

Moi : Quoi !?

Je lançais un regard inquiet vers Hannah et elle me lançait le même regard, je me décalais du noireaux puis j'allais prendre la main d'Hannah dans la mienne.

Je refuse de la perdre, je vais mourir pour elle.

Voix : Les règles du jeu sont simples : quinze joueurs sont chats et les autres joueurs sont souris. Les joueurs souris qui se feront attraper seront morts.

Hannah lâchait ma main et j'avais compris, elle a été désigner comme chat par les maîtres de ce monde.

Voix : Le temps imparti est de trois heures.

Niragi : Viens, ne restons pas là

Niragi prenait ma main et commençait à courir, je le suivais en regardant Hannah qui me laissait partir.

[...]

Une heure s'était écoulée depuis le début du jeu et j'étais contre Niragi dans notre cachette, les toilettes du dernier étage, je serrais sa chemise contre moi pendant qu'il me tenait contre lui à vérifier les alentours.

Niragi (chuchote) : Pourquoi tu as mis du temps à me suivre ?

Moi (chuchote) : Hannah a été désigner chat et je ne voulais pas y croire...

Niragi (chuchote) : C'était qui pour toi, avant ?

Moi (chuchote) : Ma meilleure amie et elle l'est toujours...

Niragi (chuchote) : C'est un jeu de cœur et vous devez vous trahir.

Je ne lui répondais pas et il soupirait en se mettant accroupi, il posait son arme contre lui avant de me prendre entre ses jambes pour poser une main sur ma bouche, je posais ma main sur son bras en commençant à paniquer ; il faisait plus fort sa prise sur ma bouche et je commençais à rentrer mes ongles dans sa peau.

Joueur chat 1 : Où sont-ils ?

Hannah : Je n'en sais rien !

Joueur chat 2 : Tu ne pouvais pas les attraper une fois le jeu commencer !?

Hannah : Non, ce ne serait pas drôle, sinon.

Je me détachais de lui et j'allais parler quand il posait son index sur mes lèvres en restant proche de moi, je sentais le rouge monter à mes joues pendant qu'il vérifiait si on était toujours seul.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top