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Mon cœur s accélére . Je reprends vite mon calme, me rappelant que pickle compte parmi les plus forts, il ne lui arrivera rien, le véritable problème, c'est toutes les victimes qu'il risque de faire.

_ Comment ça , expliquez vous professeur.

_ On a retrouvé des cadavre dans le parc où vous viviez , l'autopsie ne trompe pas , le coupable est notre homme du jurassique, le problème, c'est que nous arrivons pas à le retrouver et je pense bien évidemment, que tu es la mieux qualifié pour le retrouver.

C'était Pickle le chasseur ultime, pas moi ... Mais visiblement je n'ai pas le choix, nos rôles étaient désormais inversé, je préfère le retrouver avant l'équipe de scientifiques ou encore l armée.

_ Tch , c'est vraiment un idiot.

_ Je ne te permet pas Jack , j'y vais, le plus vite sera le mieux.

Je pars le plus vite possible, refusent de m énerver de nouveau avec mon demie frère, cloué à l hôpital, et cette Kayla .
En quelques minutes me voilà dans la maison souterraine.
Tout à été retourné, un vrai vacarme.

Je fouille chaque recoins minutieusement, à la recherche du moindre indice.

Pas une tâche de sang , rien.

Mon regard fint par croisé mon vieille ours en peluche, recouru , dans un sal état. Je le ramasse tout en le débarrassant dès poussières du bout de mes doigts.

Cette objet que j'avais laissé de côté, me revient en pleine figure, renplis de ses souvenirs partager avec les miens.

Avec le temps, Pickle l avais remplacé, cette petite peluche.

J'aurai bien aimé prendre plus de temps pour dire au revoir à cette maison si atypique, où désormais les lit étaient découpé , le miroir brisé et ma commode ratatiner.

Un sourire fait montait mes lèvres, le souvenir de Pickle, la première fois qu'il vit sont reflet de plus près m avait fait exploser de rire. Il ne ce reconnaissait même pas , chercher à ce battre contre ce fameux ennemi qui lui semblait son égal.

Et une fois de plus, je dû jouer le professeur, lui expliquant comment cette invention marchait.

Ma rêvasseri finit, je saisie un petit sac à dos caché dans les décombres de l armoire, y four ma peluche et un couteau de pierre, sculpter par Pickle.

Je longue les souterrains de la ville japonaise, jusqu'à atteindre le parc, je grimpe jusque la bouche d'égout et bondit à l extérieur.

_ Éh vous ! Vous êtes sur une scène de crime mademoiselle !

Je finis volte-face vers un homme et une femme en tenue du soldat.

_ Excusez moi du dérangement, je suis le professeur Julie Hanma, autrefois Paloma.
Ils ce lance un regard incrédule.

_ Alors ont est dans l obligations de vous arrêter.

_ Mais pourquoi ?

_ Pour complicité.
Dit la femme en braquent une arme à feu sur moi .

Bon sang pourquoi tout ce complique toujours, j avais pourtant réussi à trouver du travail malgré moi ,j'ai même été polie .

_ Écoutez on peut trouver un arrangement, il suffira de rassembler les preuves, vue que je suis innocente.
Dis je en levant les deux mains.

_ Et bien on y réfléchira en garde à vue.

L homme ce rapproche, saisissant mais bras pour y passer des menottes. Je déteste qu'on me touche.

_ Je n'ai pas le temps pour ça !

La femme me regarde d'un air désolé.

_ C'est la procédure, ne nié pas que sortir de sous terre n'as rien d'étranges quand on a un lien avec le meurtriè.

Je sais bien qu'elle a raison, et aussi que Pickle a déjà dévorer des membres humains, mais qu'il ce fasse appeler meurtriè...ça me fait un choc.

Je pousse un long soupirs de désolation avant de me pencher brutalement vers l'avant pour y faire basculer le soldats, qui s évanoui aussitôt.

Sa coéquipière tremble légèrement, le regard vif , l'arme dans ma direction.

Je ne suis pas Pickle, je n'ai pas la peaux indestructible, certes ça ne le tuera pas , mais je serai bien baissé.

Je pars sur sa droite et BAME un tire lui échappe , je passe derrière elle et d un coup spécifique sur le cou ,lui faitfaire un petit somme .

Je regarde autour de moi , le parc vide .

Il a été entièrement vidé pour dans le but de rechercher des preuves et indices intact.

D'ailleurs, le monde entier doit en parler à la télévision " l homme du jurassique retrouver dans une affaire de meurtre " alors qu'il est censé être congeler à leurs yeux.

Je marche, je fouille derrière les arbres et les banc , dans les petits point d'eau, jusqu'à trouver le lieu précis du crime, entouré d enquêteurs.

Je cache ma présence derrière un arbre, choqué de ce que je viens de voir.

Cinq cadavres, couverts de sang et de chair en provenance de leur propre corps.
La nausée me monte, alors que pourtant, ce n'est pas mon genre de flancher pour si peux.

Je jette un œil discrètement et remarque un élément. Un ruche de gep.

Tiens, il me semble que Pickle a une peur bleue de ces animaux...

Je me fofil par dessus ( de branches en branches) jusqu'à atteindre la grande tente vert kaki , surment celle du chef des lieux.

Je me débarrasse des deux gardes et y pénètre. Un homme a la voie forte donne des directives, tout en nettoyant ses armes.

Heureusement il m'est famillier, ça me facilitera la chose.

Quand il me repérés enfin, il écarquille les yeux.

_ Julie !? Je ne pouvais pas espérer mieux, viens prendre un verre, que tu m explique ce qui s'est passé.
Il tire les deux chaises de sa table miteuse .

_ Colonel Strydum, je suis là pour retrouver mon bien aimé, alors je vous en supplie, laissez moi participer aux recherches.

Il s'assit dans le silence le plus total, et serre deux vers.
Je pris place en face de lui sans y toucher, je ne bois pas d'alcool.

_ Vous êtes tout de même une suspecte je vous rappelle.

_ oui , mais soyons réaliste, vous me connaissez, vous connaissez Pickle, si on ne le cherche pas il ne fait rien, si il n'as pas faim à en mourir non plus, alors pourquoi attaquer cette bande .
Il prend trois gorgé .

_ Il a commis ce crime hors caméra, sur la même bande d'amis , et à ensuite disparu, ce qui est plutôt étrange. Toutes fois je vous l'accorde, Pickle n'es pas assez vicieux ou intelligent .
Je fronce les sourcils.

_ très bien, alors faisons un marché, j'ai jusqu'à demain soir pour le retrouver.

_ Donc 24 h , j'ai hâte de voir ça.

_ Merci infi-

Je me lève le plus vite possible et vomir dans un casque posé sur une étagère.

_ vous allez bien ?
Il me regoin.

_ Pas de soucis, surment le choque, je par tout de suite.

_ Très bien, hors délai je vous préviens, l armée aura le droit d utiliser toutes les armes sur vous.

_ Compris.

Que les vingt-quatre heures commencent.