Rencontre avec Jane

Depuis que je ne suis plus malade, nous sommes retournés à la bibliothèque qui nous apportez tous les livres que l'ont voulais.
J'ai faillit me casser les gueules une bonne dizaines de fois en voulant aller sur l'échelle coulissante.

Il est 22h, le bibliothécaire Mr.Dorée est devenus amis avec nous et nous a aidé comme il le pouvait. Bien sur nous ne lui avons pas dit que nous étions de Dieux, cela va de soit.
Mais on a brodés sur un mensonge comme quoi on avait un devoir à rendre pour les cours au sujet des objet Biblique.
Il nous a crus et depuis nous sommes devenus ami.

Le sextagenaire appuie sa main sur mon épaules et me dit :

— La boutique va fermer jeune fille.

— Je le sais. Pouvez-vous me laisser consulter cette ouvrage, répondis-je en montrant le gros livre.

— Il ne doit pas quitter la bibliothèque. Je suis désolé. En revanche je peux vous prêter les clés.

Je me réjouis de cette nouvelle. Il a tellement confiance, je lui en suis reconnaissante.

Alors qu'il s'en va dans la nuit noire, je prononce un souhait :

— Faite que ce monsieur soit en bonne santé.

Mr.Dorée a un cancer, ce qui fais que des fois Jake l'aide à porter de gros carton etc ...

Jake est rentré il y a trois heures car il en avait marre de chercher.
Je me rassois donc à ma place, c'est à dire par terre contre une étagère et reprends ma lectures.

« Cependant, l'intronisation dans le ciel d'une nouvelle déesse ne fut pas sans exciter la jalousie des autres. Héra et Athèna se prétendaient aussi belles que pouvait l'être Aphrodite. Or, un jour, pendant que les Dieux célébraient un festin, la Discorde, sans être vue, pénétra dans l'Olympe.
Profitant de ce que les uns buvaient, tandis que les autres écoutaient Apollon accompagner les chœurs harmonieux des Muses, elle jeta au milieu de la table une magnifique pomme ou elle avait écrit : « À la plus belle ».
Héra la ramassa, mais Athèna et Aphrodite la réclamèrent à grands cris et demandèrent l'arbitrage de Zeus.
[...]
Paris alors, l'une après l'autre m, examina ces trois reines. Hésitant et honteux devant tant de splendeur, il ne savait à laquelle décerner le prix glorieux de la beauté. Enfin après avoir longuement réfléchi, il se décida à présenter la pomme à la divine Aphrodite. Réconciliée, les trois déesses remonterez dans l'Olympe, et désormais Aphrodite y régna en reine incontestée... »

Je n'en revenais pas. Ma mère est la plus belle femme de l'Olympe parce qu'un simple mortel en a décidé ainsi ?

A la fin de ma lecture qui n'a rien donné, je me lève, regarde la grande horloge. Je révise le livre sur son étale.

Une heure du matin ? Quoi ? Depuis quand l'heure passe si vite ?

Je me masse la nuque. Ça fait exactement 18h que je suis entrain de lire. Jake doit sûrement dormir, mais il n'est pas venu me chercher.

Je rassemble mes affaires et me dirige vers la porte lorsque j'entends un bruit.
Je me retourne et vais vers la direction du bruit.
Je descends des marches, beaucoup de marches.
J'arrive dans une sorte de grotte. Où au milieu se trouve un Trône. Je sens une présence derrière moi, une présence féminine.

— Tiens tiens, regardez qui est la.

Je n'ose pas faire volte-face, j'attend tous simplement.

— Fille d'Aphrodite.

Je tressaille. Comment elle me connaît ?

— Fille d'Arès.

Cette fois je lui fais face. La femme est une simple Humaine. Après tous, comme elle vient de le dire je suis la fille d'Arès.

— Qui es tu ?

La femme s'approche lentement de moi, me caresse les cheveux et murmure :

— Je m'appelle Jane. Je suis la fille de ma mère.

Je comprends assez vite le pourquoi du comment.

— Ta mère m'a pris mon père.

Jane me donne une claque. Attendez ! Je suis une déesse !

La fureur monte en moi. Il ne faut pas m'énerver à moins de ne pas en payer les frais. La salle devient rouge, Jane est effrayée.
Je prends son cou à pleine main, un truc change, je le sens, je vacille mais me reprends.

Excellent.

Les faible lumière qui nous éclairais explose.

Non ne fais pas ça.

— Jake ?

— Non c'est Athèna. Ta tante. Lâche-la.

Je relâche alors le cou de Jane, je prends les affaires que j'avais mis par terre et remonte.
Athèna a raison, je ne suis pas une meurtrière.

Je claque la porte de la bibliothèque et cours vers le loft.

Ma tante me parle en même temps.

Musa, cette fille est dangereuse. Ça mère lui a raconté n'importe quoi. Ce n'est pas Aphrodite qui a pris son père. C'est moi.

Je m'arrête a bout de souffle au milieux du trottoir. Une silhouette se dessine devant moi, une silhouette d'homme, il titube vers moi.

— Salut beauté !

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