Le feu ( 1/2 )

Nous nous arrêtons, donc, pour la centième fois. Mais, à force de le faire nous nous sommes rendus en retards. La nuit est sur le point de tomber.

Nous nous retrouvons sur une petite clairière, non loin de là forêts et de la rivière.

— Il faut trouver à manger, s'exclame Jake.

— Oui ! Pendant ce temps, moi et Val' on fais du feu et une petite cabane.

Jake rigole.

— Si tu veux.

Je me retourne vers Valentin. Celui ci est assis sur un tronc et a le visage triste et couvert d'une espèce de regret et de...

— Ne me regarde pas comme ça.

— Qui y a-t-il ?

— Je vous ralentis. Sans moi vous serez déjà chez le magicien.

— Valentin, regarde moi, sans toi on en serai pas là. C'est toi qui a conduit pendant 4heures. C'est toi qui a crus en moi. Je t'aime, d'accord ?

Il fait une moue triste. Mais un petit sourire en coin se forme sur son jolie minois.

— Tu sais, Jake en a pour un moment...

— Mmh et alors ?

Je sais t'es bien où il veut en venir mais le voir comme ça, si beau et si vulnérable donne la chair de poule.

Il met sa main sur mon épaule, fessant tomber la bretelle et de mon soutien-gorge et de mon débardeur.

J'ai une envie folle de le faire mais Jake pourrais nous surprendre à faire autre chose que du feu.

Je me relève.
— Il faut faire du feu. Je m'occupe des petites branches et toi des grandes pour faire une cabane ?

Je le vois se remettre debout. Valentin...

Tu es tellement beau transpirant, les cheveux ébouriffés, ton Tee-shirt plein de boue. Je regarde ses lèvres avant de partir.

Mais une main puissante m'arrête.

Je me retrouve contre un torse que je connais que trop bien.

Valentin me prends le menton et me force à le regarder. Mais j'en suis incapable. Ses lèvres sont trop irrésistibles. Il se penche sur moi.
Ses lèvres à quelques millimètres des miennes, il dit :

— Ça me rassure.

Déboussolée, je ne comprends pas de suite.

Alors je dis :

— Qu'est ce qui te rassure ?

Son petit sourire en coin de lèvres me fais fondre.

—Tu es toujours autant amoureuse de moi.

Je deviens alors rouge pivoine. Oui, il me fait encore beaucoup d'effet.

— Tu te débarrassera pas de moi aussi facilement... dis-je d'un ton qui se veux sensuel.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top