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𝙄𝙙𝙚𝙖 𝙗𝙮 caribbean_971 Thank u <3
Où lors d'un jour off, Harry Styles lit une fanfiction et que celle-ci lui donne des idées.
🍋
Pdv:Hazzy
25 Décembre 2014
-L'interview avec Jimmy Fallon est sortie. Lâcha simplement Zayn.
-Et? Demandais-je.
-Et t'as l'air con avec tes jambes de Girafe. Le truc c'est même plus des mollets, c'est la Highway 1. Rit Liam.
Je roule des yeux. Ce n'est pas de ma faute, on était serré les uns aux autres et j'ai de longue guiboles. Je ne les ai pas choisi. Tout comme ce bus atrocement petit ou on est cloîtré depuis des heures. Vivement qu'on arrive.
-Puis quelle idée de nous faire assoir par terre avec des Jeans skinny. À quatre cent balle la coupe, qui plus est. Ajoute Niall en se goinfrant de Doritos.
-D'ailleurs Harry, si tu pouvais arrêter de dévorer Louis du regard, Peut-être qu'il réduirait ses plaintes sur toutes les fausses rumeurs qui courent à propos de vous deux. Fait remarquer le Pakistanais.
Le principal concerné qui, jusque là n'avais pas décroché un seul mot, releva la tête puis murmura:
-Laissez-le tranquille. Ce n'est pas de sa faute si je suis le plus beau d'entre vous. Il replaça l'une de ses mèches couleur miel derrière son oreille droite, mes joues se mirent à chauffer. N'est-ce pas, Hazza?
J'acquiesce rapidement en hochant la tête. Dans tout les cas, quand il s'agit de lui, je ne sais faire que ça. Nous sommes meilleurs amis. Enfin, ouais... Je suis son meilleur ami. Personnellement, il est mon amoureux. Même si tout les autres l'ont deviné, lui ne voit rien. Et c'est très bien comme ça. Cela gacherai notre relation. Il ne me regarde pas de la sorte, il est amoureux et heureux avec quelqu'un d'autre. C'est le principal à mes yeux, je l'aime tant, que j'espère qu'elle l'aime autant que moi. Honnêtement, je n'y crois pas une seconde. Personne ne peut l'aimer autant que moi. Mais on s'en fiche, personne n'a demandé mon avis. Alors je me contente de vivre en souriant. Au final, j'ai mal, pourtant je m'y habitue. C'est comme ça et c'est tout. Son sourire est la plus belle des choses qu'il puisse m'offrir. Et éventuellement son corps. Et son âme. Aheum... Je m'égards...
Soudain, je sens quelque chose dans mes boucles. Je ne sursaute pas. Je connais ce touché. Tomlinson. Il caresse tendrement mon crâne et je ferme mes paupières en profitant de ce contact digne d'un masseur méridien. Bordel ce que c'est bon... Je dû presque retenir un gémissement. Il pouffe avant de me chuchoter:
-Tes cheveux commencent à être long, tu compte les couper?
Je secoue mon visage de droite à gauche en attrapant l'une de mes anglaise.
-N-Non... Je ne pense pas... Ça ne te plaît pas?
Il semble attendrit, avant de passer doucement son doigt sur ma joue, puis de l'enfoncer dans ma fossette délicatement. Il détaille mes lèvres en riant.
-Tu es toujours adorable, Harold. Peu importe ta coiffure.
Mon cœur se mit à battre follement dans ma poitrine. Il n'a sincèrement aucune idée de l'effet qu'il me fait. Si ça ne tenait qu'a moi, je lui sauterais dessus, sans aucun doute. Il me connaît si bien. Il sait que je n'ai pas confiance en moi, qu'il suffit d'un mot et que tout se brise. Il est mon antidote, pour chacune de mes larmes.
-Et après tu t'étonnes encore de ce qu'on dit sur vous. Glousse Payne. Louis sérieux, si on était pas là, tu serais déjà sur ses cuisses a lui manger la bouche.
-Tu veux bien la fermer Leyum? Tu vas brusquer le garçon. Dit-il en me prenant dans ses bras, faisant taper mes veines dans mon cou. Et puis même si Haz était le dernier humain sur terre, je ne le toucherais pas, il est trop précieux pour être souillé!
Ses mots me font l'effet d'une bombe. En soit, la phrase n'est pas méchante, mais tout ce que mon cerveau retiens est:
‘‘Même si Haz était le dernier humain sur terre, je ne le toucherais pas. ’’
Je l'aime. Je l'aime alors ça me casse en petit morceaux de l'entendre réduire mes espoirs. Je sens que les larmes me montent aux yeux, les gars ont compris. Enfin, les gars sauf le plus important pour moi. Ils me regardent desolé et je ne supporte pas ça, alors je me défait des bras du mécheux, partant m'isoler dans ma couchette. Je me met face au mur, dos au monde. Peut-être que je suis trop fragile. Mais bordel de merde, ce que c'est blessant. Il me fait mal le con!
J'allume mon téléphone, puis décide de faire un tour sur Twitter. Encore une fois le #LarryStylinson est en Top tendance. Ça ne m'étonne même plus. Je ne sais pas être discret. J'entends d'ailleurs les autres parler de moi, Lou leur demande ce qu'il ne va pas, si il a fait quelque chose de mauvais et les autres semblent exaspéré. Je n'y porte pas vraiment d'attention, je clique sur le bouton pour voir les endroit où l'on m'a tagué. Le premier est une fan:
‘‘@Larry4ever28; Tu devrais lire ce recueille d'O.S. ils sont plutôt géniaux! @HarryStyles.’’
Il y a un lien sur lequel je clique, hésitant. C'est la première fois que j'ose regarder ce genre de chose. Une page wattpad s'ouvre, une photo de moi et Louis apparait en guise de couverture.
Je souris en la reconnaissant, c'était l'une des photos prise lorsqu'on a tourné WMYB. Lorsque je suis tombé irrémédiablement amoureux de cet imbécile aux yeux bleus. Puis mes yeux se dirigent vers le titre.
‘‘Larry Stylinson Smut OS’’
Ok. Ça en dit long sur la suite des événements. Mais je ne vais pas me dégonfler! Moi aussi je veux connaître cet endroit merveilleux où il est à ma mercie !
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Ok. C'est vraiment possible de faire jouir quelqu'un juste en lui soufflant dessus..? Cela doit faire bien une heure que j'ai commencer à lire. Lire? Non, dévorer. D'ailleurs aucun de mes amis n'est venu voir si j'allais bien. Même pas Louis. Honnêtement c'est un peu décevant. Enfin cela n'a pas d'importance vu que ces petites histoires me tiennent compagnie et ce n'est pas pour me déplaire. Ni pour déplaire à mini hazza... Je suis en plein milieu d'un... Léman ? Limon? Je ne sais plus comment ça se dit, mais clairement, je suis en train de le prendre salement dans la baignoire. Et putain ce que ça à l'air bon... J'ai sincèrement envie d'aller le chercher puis lui proposer de tester. Seulement je ne suis pas sûr qu'il accepte...
Soudain, une main se pose sur mon épaule, me faisant sursauter. Je me retourne rapidement pour me retrouver face à Niall. Il me regarde étrangement.
-Tu te sens bien, mec? T'as les joues écarlate.
Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits et pouvoir formuler une réponse à peu près correcte.
-Heu, j-je, ouais. Fait chaud.
Hum. Réponse correcte, on aura vu mieux.
-Bah enlève ton pull?
Mon pull? Hors de question. C'est la seule chose qui cache la bosse de mon pantalon...
-Non.
Il me fixe les sourcils froncés.
-Bah pourquoi ?
Une excuse, vite, une excuse.
-Fait froid.
Ha oui. Du génie. Sincèrement.
-T'étais parti pisser pendant la remise des cerveau, comme au Brit Awards, où bien?
-Ouais, désolé, je suis juste fatigué.
Il me souris bienveillant, comme d'habitude.
-Ça tombe bien, je venais te dire qu'on était arrivé, les autres nous attendent dans le Hall de l'hôtel. Il n'y a pas de fan, il est tard et nous sommes garé à l'arrière. Mais dépêche toi quand même.
Et il me laisse là. Seul. En réalité pas vraiment, puisqu'il y a un agent de sécurité. Je le connais bien, il est plutôt cool. La dernière fois je lui ai volé sa casquette et il m'a courut après pendant quinze minutes. C'était drôle. Enfin bref, les autres m'attendent, alors je me lève. J'étais tellement plongé dans ma lecture que je n'ai même pas remarqué qu'on était arrivé... Je prend mon sac, puis sors de bus, me dirigeant vers l'habitacle. Pour une fois que je ne suis pas assailli par les flash et les hurlements... En même temps, il doit bien être minuit. Je passe les portes.
Le petit groupe est là. Lorsqu'ils me voient, ils commencent à se diriger vers l'ascenseur. On y entre, l'endroit et plutôt petit. Louis est en face de moi et j'essaie au maximum de tirer mon sweat vers le bas sans que cela soit trop voyant. Il me détaille l'air confut, puis bordel faut qu'il arrête de me regarder comme ça, ça me donne envie de lui sauter dessus, comme dans les livres... Je remonte mes yeux sûrement brillant de luxure sur lui, j'observe sa taille fine, ses hanches rondes, ses bras et son torse finement musclé à travers ce T-shirt, son cou gracile.... Tout me donne envie de le dévorer... Je crois d'ailleurs qu'il le remarque car ses jolie lèvres se pincent, il déglutit les joues tournant au rouge. Combien de teintes pourrait-elles prendre au juste, si je le plaquais contre cette paroi en verre... Seigneur. Il faut vraiment que je m'ouvre une bouteille pour arrêter de penser à tout ça. Ça me bouffe.
-Donc tout à l'heure on en à parlé mais tu n'étais pas avec nous, Harry. Toi et moi partageons le onzième étage. Dit Tomlinson, faiblement. Les autres seront au douzième.
Je ne lui répond pas. Je ne le regarde même pas, je scrute mes chaussures, comme si elles étaient bien plus intéressantes que lui. Ce qui est faux. Je hoche simplement la tête, il me tend une carte, sûrement celle pour entrer dans ma chambre. À vrai dire, je ne suis pas déçu. Cette endroit est hyper moderne! Il y'a des vitres partout, en montants, on peut voir New York et ses buildings s'agrandir. C'est une ville qui scintille. J'ai toujours aimé ce qui brille et ces rues en font partie. Elle est ma Mégapole préféré.
Le ''ding'' qui indique que nous sommes arrivé me ramène à la réalité. Les portes s'ouvrent.
-À demain les gars! Nous salut Liam.
Je lui fait un signe de la main, puis m'engouffre dans ces couloirs couverts de velours, le mécheux sur mes talons. J'ai la suite 1128, alors je la cherche, et lorsque je la trouve, je m'apprête à y entrer mais je sens les doigts de Tommo se refermer sur mon poignet. Qu'est-ce que j'ai encore fait?
-Tu... Tu m'en veux pour un truc? Murmure t-il.
Ho... La vérité c'est que, Oui. Je lui en veux de ne pas m'aimer comme moi Je l'aime. Mais je ne suis pas prêt pour cette discussion. Lui non plus d'ailleurs. Je ne me retourne pas, je me dégage juste de sa poigne, puis je lui chuchote en retour:
-Il est tard, je suis fatigué, je vais aller dormir et tu devrais en faire de même.
Puis je rentre dans ma chambre, claquant la porte derrière moi. Je m'énerve à réagir comme un enfant, mais il me fait mal parfois, j'ai besoin de le lui montrer. Même si ce n'est pas la bonne manière, c'est ma façon de m'exprimer. Il sait que je ne suis pas doué pour ça. Mais on ne se dispute que rarement, alors il doit être un peu chamboulé. Bah, peu importe, s'éloigner pour mieux revenir, c'est pas si mal. Si on ne se parle plus pendant un petit bout de temps, je n'aurais peut-être plus envie de le prendre à chaque fois que je pose mes yeux sur lui... Rien qu'en y pensant, j'ai chaud. Je déboutonne complètement ma chemise, la laissant ouverte, jettant mon foulard sur les oreiller. Je garde mon Jean et retire mes chaussures. C'est déjà mieux.
Je regarde la pièce dans laquelle je suis. C'est tout ce que j'aime. Il y'a une énorme bée-vitré en face du lit, on voit toute la cité de lumière, celui-ci est contre un mur gris pale, la moquette est blanche. C'est chic, j'aime beaucoup. En faisant le tour, je trouve un mini-bar. Bingo! Exactement ce qu'il me fallait! J'en sors une bouteille de whisky 50cl, et commence à me l'enfiler. J'ai bien envie de continuer ce que j'ai commencer à lire tout à l'heure, moi. Alors je prends mon téléphone, mon alcool, et je me calle sur les draps propre, le sourire jusqu'aux oreilles.
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Je meurs carrément d'envie de baiser. Putain, consulter ce genre de chose alors que je l'ai pas fait depuis un certain moment, que j'ai bu et que l'objet de mes désir est de l'autre côté du mur, était la pire des idées. Mais je me suis empêché d'aller voir Louis. Il est deux heures du matin, il doit forcément dormir. Puis pour lui dire quoi?
''Ouais, j'suis désolé pour tout à l'heure. On baise?''
Hm... De plus il doit m'en vouloir de lui avoir parler comme ça. J'espère qu'il n'a pas pleuré par ma faute. Ce serait l'une des pires choses. Je déteste le savoir triste, mais si c'est à cause de moi, c'est pire. Cette histoire me prend la tête, je ferais mieux de dormir. J'allais pour éteindre les lumières mais quelqu'un frappe à ma porte en trois coups distincts. Qui ça peut être, on est en pleine nuit... Je suis légèrement inquiet, j'espère qu'il n'y a pas de problème. Je me lève en titubant, marche jusqu'à l'entrée puis ouvre.
Je me retrouve face à deux petits yeux humides et bleus. Instantanément, j'ai l'impression que mon cœur s'effondre. Il a pleuré, mais il est toujours aussi beau. Sans même parler, il me pousse puis entre dans ma chambre, déterminé. Oula, il veut jouer au dominant. Hehe, ça tombe bien, je vais gagner. Il s'assoit sur le bord de mon lit en reniflant, je le suis sans riposter, m'adossant au mur face à lui. Il monte ces petites billes azures sur mon corps, s'arrêtant sur mon torse. Il me caresse du regard, ce qui me fait sourire. Sa langue passe sur ses lèvres en détaillant ma peau. La salive sur sa bouche me pousse à m'approcher lentement. Je me place à côté de lui. Il ne daigne même pas tourner la tête vers moi mais c'est à mon plus grand plaisir, car j'observe sa nuque. Il déglutit, puis ses petites mains recouvertes de son pull passe sur ses joues pour essuyer ses larmes.
-Je ne comprends pas. Qu'est-ce que j'ai fait de mal..? Murmure-t-il. J-j'veux dire, pourquoi tu m'ignores? Pourquoi tu as été si méchant avec moi, tout à l'heure ? Sa respiration et ses paroles s'emballent. Je ne vois pas où j'ai foiré, c'est quand j'ai dis que Liam allait te brusquer? Tu t'es sentis humilier? Si c'est ça, je suis desolé, vraiment.
C'est horrible mais le voir dans un tel état pour moi, m'excite terriblement. De plus j'ai bu, lui aussi à en juger par son odeur de miel mêlé à celle du Jet27. Sans pouvoir m'en empêcher, je glisse ma tête dans son cou. Exactement comme dans cette nouvelle que j'ai lu tout à l'heure, j'ai retenus chacun des gestes que mon moi du livre avait fait pour que le lui du livre s'offre tout entier. Lorsque mes lèvres entrent en contact avec sa gorge il sursaute, sans pour autant s'éloigner. Voyant qu'il se laisse faire, je suis le plan, j'en profite pour empoigner sa cuisses droite. Il serre celles-ci sur mes doigts.
-Ha-Hazza... Gémi-t-il.
Bordel de merde, je m'écarte juste pour le voir. Ses paupières sont close, ses pommettes roses, il souffle de désir, en tournant doucement son visage vers le miens. Il ne me dit pas non, il ne me repousse pas. Il aime ce qu'il se passe. C'est un menteur. Son nez frôle le miens et je sens la paume de ses main se poser sur mes pectoraux, mon cœur bat la chamade. Il caresse délicatement ma peau, puis lentement, je viens poser mes lèvres sur la commissure des siennes. Il essaie de se décaler pour m'embrasser mais je m'éloigne en riant moqueur. Il grogne de mécontentement. Il veut jouer. Très bien. J'attrape ses poignets sans violence, l'allongeant sur le matelas. Sous le choque, il ouvre les yeux pendant que je me place sur lui. Je bloque ses bras au dessus de sa tête, puis prunelles dans prunelles je lui chuchote la voix suave:
-Bah alors Lou? Même si j'étais le dernier humain sur terre tu ne me toucherais pas, hm..? Tu l'as dit toi même. Je me penche à son oreille. Dans ce cas, pourquoi ces sales pattes insidieuses..? De plus, tu as une copine, je me trompe?
Il me fixe les sourcils froncés.
-C'est... C'est pour ça que tu m'en veux!
Je l'ignore royalement. Une idée génial me vient en tête. Un idée qui provient de l'un des os que j'ai lu. Je relève la tête vers le coussin, attrape mon bandanas puis un rictus malsain né sur mon visage.
-Tu sais quoi, Louis? Tu as raison, je suis trop précieux pour être touché. En revanche toi, il me semble que tu n'es pas si pur.
Il gigote sous moi, tentant de me faire lâcher prise, mais je suis plus fort que lui. Tout ce qu'il récolte, c'est de se frotter à moi, nous collant l'un à l'autre. Je passe se mains entre le tissu, faisant un nœuds que j'attache à la tête de lit. Lorsqu'il comprends, il écarquille les yeux.
-N-non, Harry, t-tu as raison, j'ai une copine, et j-je l'aim-...
Je ne voulais pas entendre la suite, elle m'aurait fait trop mal, alors j'ai coupé ses mots avec ma propre bouche, la plaquant contre la sienne. Dès leurs contact, je lâche un grognement de satisfaction tandis que lui stoppe tout mouvement. Automatiquement, ses lèvres s'entrouvrent, me laissant les caresser de la langue. Encore une fois il se laisse faire et cela même lorsque je glisse mes doigts sous ses cuisses pour entouré mon bassin, avide de sa peau. Il couine au touché. Mon visage descend dans son cou, abandonnant une traîné de baisers humides sur son épiderme. Il serre forte le foulard autour de ses poignet, en se mordant pour s'empêcher de faire du bruit. Mais moi je voudrais qu'il soit bruyant. Alors brusquement, je viens défaire sa ceinture, je veux plus. Je le veux tout entier. Je veux qu'il m'appartienne. Au moins ce soir. J'en ai terriblement envie. J'en ai terriblement besoins.
-T'es en train de faire une énorme connerie... Il souffle.
C'est là que je me rends compte. Peut-être que je le force? Peut-être que lui ne veux pas? Alors je relève la tête le regardant dans les prunelles, puis tout mes doutes s'envolent. Je le vois. Je le vois très bien dans son regard plein de luxure.
-Alors jure moi, dans les yeux, que tu ne me désire pas. Il me fixe déconcerté. Au final, il ne comprend même pas ce qu'il se passe. Si tu veux, j'arrête ici. Il ne répond pas, il ferme fort ses paupières. Tu vois, c'est bien ce que je pensais. En fait, t'es pire que moi. T'en crève d'envie.
Tomlinson ne répond pas, sa respiration accélère et j'effleure la bosse qui déforme son Jean skinny en souriant.
-Alors Louis, depuis combien de temps tu fantasme sur moi?
Encore une fois il se contente de rouler des yeux, haletant, lorsque je palpe son entrejambe. Je souris stupidement avant de souffler contre son cou:
-Dis-moi, est-ce qu'avec elle, il t'arrive de gémir mon nom?
Il pouffe en bougeant ses hanches sous les miennes.
-C'est arrivé, u-une fois... Elle ne m'a pas entendu...
Heu. J'ai dis ça dans le feu de l'action, je pensais pas qu'il aller me répondre de cette manière. Mais c'est Ok, ça m'excite carrément. Et de ce que j'ai lu cette aprèm, il y a autre chose qui pourrait m'exciter.
-On va pimenter l'action, tu veux bien..?
Mon joli plan de ce soir hoche rapidement la tête. Alors je me lève, il m'observe, le souffle lourd et bordel, ce qu'il est sexy attaché au lit de cette manière... J'ouvre ma valise, j'attrape une cravate, puis je m'approche de lui lentement.
-Qu'est-ce que tu compte faire..?
Je ne lui répond pas, puis passe le satin sur ses paupières, lui coupant la vu, je noue le tissu derrière sa tête. Après cela, je me dirigent vers ses pieds, je saisi son pantalon au niveau de ses chevilles, le tirant pour l'en devetir. Une fois en boxer, je vois la peau de ses cuisses se couvrir de chaire de poule.
-Tu as froids mon chaton?
-Oui...
Je me déshabille, avant de me déplacer au dessus de lui seulement vêtu d'un caleçon.
-Je vais te réchauffer, laisses toi aller.
Je passe doucement mes mains en haut de son torse, puis je les descends lentement jusque là bordure de son vêtements. Lorsque je touche le bas de son ventre celui-ci se contracte violemment. J'aime vraiment le pouvoir que je peux avoir sur lui. Si j'avais su j'aurais fait ça plus tôt. Puis lorsqu'on prive une personne d'un sens, les autres sont beaucoup plus à l'affut. Par conséquent, chaque mouvement sera plus intense pour lui. Dieu, ce que j'aime ce jeu. Mes doigts tremblant osent s'aventurer sous son boxer après qu'il m'ait donné son approbation. Je découvre avec joie sa forme... Putain ce que c'est bon. Il essaie de s'empêcher de couiner, sacrilège. J'ai besoins de l'entendre.
-Bébé, ne te retiens pas... Tu peux faire du bruit avec moi.
Mes mots semblent lui faire pas mal d'effet, vu qu'il lâche un gémissements mielleux. En reprenant son souffle il murmure:
-M-Moi aussi, je veux te... Te faire du bien...
Je ris doucement, puis embrasse ses pommettes. Il est si doux lorsqu'il le veut. Loin de cette image de badboy. Un vrai petit... Comment on appelle ça? Oméga? Peu importe.
-Non, Louis... C'est ta punition. Tu n'as pas le droit de me toucher.
-M-mais c'est pas jus-Ha...
Il parlait trop. J'ai simplement pris en main son membre et c'est fini, plus un mot. Il n'a fallut qu'un bisous dans le cou pour qu'il se laisse aller. Chose à noter. Louis est faible avec moi. Je peux en faire ce que je veux. Sans mauvaise intentions bien-sûr, n'oublions pas que je suis fou amoureux de lui. Bien qu'il semble être malvoyant, et je ne parle pas de la cravate sur ses yeux. Il gigote comme un asticots, se tortillant de plaisir. Mon pouce passe lentement sur le dessus de son gland ce qui le pousse à soudainement se cambrer en poussant un fort soupire. Ses poignets tirent sur le tissus.
-Putain, j'adore... Murmurais-je sans vraiment le contrôler.
-Harry, s'il te plaît... S'il te plaît, plus... Je veux te sentir contre moi, au moins ça...
Je souris comme le plus grand des idiots. La rumeur sur les papillons dans le ventre était donc vrai. Il me veut autant que je le veux, alors j'autorise mon cœur à battre son plein ce soir.
-Si gentiment demandé, plutôt deux fois qu'une.
Je retire le seul vêtements qu'il me reste, puis le siens. Enfin, il n'a qu'un T-shirt désormais, qui est d'ailleurs le miens. Hé mais... C'est mon haut préféré ! Il avait disparu ! Je l'ai chercher des semaines! Je lui ai même demandé si il l'avait pas vu et il m'a répondu que non, qu'il savait même pas à quoi ça ressemblait et enfaite ce connard l'avait avec lui depuis le début !!
-Haz'... Plus vite...
Hm. Je me vengerais. Je me place entre ces cuisses, il entoure mon bassin de ses jambes et on s'embrasse. Fièvreusement. Comme si la fin du monde allait frappé à la porte d'une minute à l'autre. On s'embrasse comme la première fois, comme la dernière fois. Je laisse mes mains se balader de partout sur son corps fébrile de mes touché. Cela pendant de longues minutes, qui me semblent même être des heure. Jusqu'à ce que nos lèvres soit rouges et gonflé. On se frotte l'un à l'autre, faisant monter le mercure du thermomètre. Il ondule de ses hanches fines, sa peau pâle contre la mienne, recouverte d'une fine pellicule de sueur. Bordel de merde, j'aurais jamais penser que les préliminaire pouvaient être aussi bien que l'acte... D'ailleurs en parlant d'acte.
-L-Lou, est-ce que tu veux que je... Enfin, qu'on... Ouais, t'as compris quoi...
Il ne répond pas tout de suite, comme si il essayait de capter ce que je disait. Il paraît complètement ailleurs, sa bouche est entrouverte, saliveuse. Je vais pas tenir longtemps avec lui, c'est sur.
-Aheum... Tu sais, je... J'ai jamais fait ''ça'' avec un homme... Alors Heu... Pour l'instant on peut... Juste...
Je remarque qu'il a du mal à s'exprimer. Je suppose qu'il a peur de ma réaction. Mais c'est stupide, j'ai beau en avoir envie, je ne ferais rien si il ne veut pas. Avec lui, rien me suffit.
-Oui, Louis. Ça me convient.
-La prochaine fois... Susurre t-il comme si je n'allait pas entendre.
-Avec grand plaisir. Même énorme plaisir. Riais-je.
Il rougit comme une adolescente. Je l'admire quelque secondes. Il est sincèrement la personne que j'aime le plus au monde. Enfin, il y a ma famille aussi. Mais Lui, c'est diffèrent. Je me colle à son corps bouillant, défaisant le tissus sur ses paupières, je décide de garder ses mains attaché, c'est bien plus excitant lorsqu'il tire sur le bandana... Son regard accroche le miens, le bleu dans le vert il souffle:
-Je suis tellement bête...
Seigneur ne me ditent pas qu'il regrette.
-Pourquoi ?
-Parce que, depuis tout ce temps, je n'ai jamais osé te dire, ô combien tu es... Merveilleux pour moi...
Ma poitrine tremble si puissamment que je ne peux pas résister. Je me jette sur lui, et c'est reparti. On se frôle, on s'effleure, on se fait désirer. Puis lentement, on dérive vers l'inévitable, simplement en s'offrant des baisers enfantins, ou du moins certains. Son dos s'arque brutalement, ses yeux roulent et il ne me faut pas plus que son visage déformé par la luxure pour faire de même et jouir à mon tour, ça me retourne complètement le cerveau. Tellement que je laisse échapper un faible:
-Je t'aime...
Et je m'écroule sur son torse, haletant, les larmes aux cils à cause du plaisir. Putain ce que c'était bon. Il tire sur ce qui le retiens prisonnier, alors avec le peu de force qu'il me reste, je le détache et éteint la petite lumière sur la table de nuit, avant de me recoucher sur lui. Il glisse ses mains dans mes cheveux ce qui me fait ronronner, il rit. Il n'a pas réagit à mon annonce. Il n'a pas du faire attention à ce que j'avais dis... Peu importe, je suis bien trop fatigué, on en parlera plus tard. Mes paupières se ferment lentement, apaisé par sa respiration devenu lente, ainsi que son odeur. Il me berce et tout en sombrant dans l'inconscience, je crois bien que j'entends un:
-Moi aussi, je t'aime, Harry.
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-Debout mon ange...
Je grogne en enfonçant mon visage dans les coussins moelleux. Il doit sûrement pleuvoir. Il fait vraiment froid. L'hiver New York est gelée. Je sens une respiration chaude contre ma nuque puis de légers baisers.
-Harry, il a neigé cette nuit.
Rien que ces mots me font ouvrir les yeux net. J'adore la neige, c'est mon temps préféré. Je me redresse rapidement sur le lit, me retrouvant face au mur de verre. New York est blanche. Complètement. Les building son enneigé. C'est si beau. Le temps semble figé, comme si cette nuit, tout s'était arrêté, tout avait disparue. J'entends un léger rire derrière moi, je me tourne un peu perdu, les idée en vracs, vive les cuites. Et c'est là, que je le vois, lui, dans mon lit, seulement vêtu de l'un de mes t-shirt et de son boxer. Puis tout me reviens en mémoires. Ce qui me fait sourire comme un imbéciles. J'avais peur qu'il regrette, qu'il fuit, mais il est avec moi, tout va bien. Il se penche pour m'embrasser avec toute la douceur du monde. Ses lèvres sont douces, fruité... Il a mis du baume... Le tableau est parfait. Mon amoureux, moi, New York et la neige.
-On pourrait se promener dans Central Park aujourd'hui ? Demandais-je tout excité, contre sa bouche.
-On dirait un enfant. Rit-il, mais il se stoppa aussitôt. Je veux bien, mais tu sais, avec le management... Peut-être que les gars pourrait nous accompagner? Ça serait plus discret..
Je baisse la tête, un peu déçu, mais je sais que ce n'est pas lui qui choisi. Ni moi. Alors j'accepte.
-Hey, hazza, il relève mon menton pour que je le regarde dans les yeux. Un jour, on sera libre.
Je sens mes prunelles se remplirent d'étoiles. Il le remarque puisque les traits de son visage s'attendrissent.
-Les garçon nous attendent pour déjeuner, tu viens? Dit-il en me tendant la main pour que je le suive.
Je la saisie et après m'être habillé, on descend à la salle de self. J'ai toujours préféré ça à la cantine. On se sert à manger puis on part s'asseoir avec les gars. Niall dors à moitié dans son assiette, Zayn n'a même pas les yeux ouverts et Liam mange ses œuf brouillé, un sourire grand comme le monde sur le visage. Il a toujours était matinal celui-là. Louis prend mes doigts entre les siens sous la table pendant qu'on grignote. Je me sens si bien, si complet.
-Hum, Lou, fit Liam, de la nourriture plein la bouche, c'est quoi ces marques violettes sur ton poignets ?
Je me tourne rapidement vers lui pour regarder et Ho mon Dieu... Je fais les gros yeux en voyant les bleus laissé par mon bandana.
-Tu aurais dû me dire que j'avais serré trop fort!
Louis s'étouffe avec sa bouteille d'eau pendant que je réalise ma connerie. Cramé pour cramé.
-PARDON? Lâcha Malik en nous regardant tour à tour.
-Serrer trop fort, les... Boutons de ta chemises... Au niveau des... Poignets..? Tentais-je de me rattraper.
Tomlinson pouffe comme un abruti.
-C'est bon, Haz', on peut leur dire.
Horan nous fixe les paupières plissées à l'extrême. Puis il murmure:
-Nous dire que vous êtes ensemble ?
-Non, que moi et Harry on ouvre un club BDSM, tous les vendredis soir à 10pm.
Cette fois, c'est à mon tour de recracher ce que j'avais dans la bouche. Comment ça?! Pourquoi j'étais pas au courant?! Personne ne m'a prévenu ! Je me penche discrètement vers le mècheux puis chuchote:
-Heu, Louis, tu penses pas que ça aurait était plus judicieux de m'en parler avant. Histoire qu'il y ai un commun accord sur le sujet. Après je suis ouvert mais j-...
Il ne me laisse pas finir et m'embrasse chastement avant de se tourner vers les autres.
-Oui Niall, on est officieusement ensemble.
Je reste la comme un idiot, les joues rouges. Même si c'est que officieusement. On est ensemble. Et tout ça grâce à des OS... Louis regarde mon samsung poser sur la table puis il recommence à manger en parlant:
-D'ailleurs Harry, j'ai fouillé ton téléphone ce matin. Tu as lu les histoires que j'ai écrit. Je suis touché. Elles t'ont plus?
...
Heu. Attends, quoi?
Endddddddd
Désolée pour la fin un peu nul mais j'étais vraiment fatiguée et j'avais du mal avec la fin de cet OS.
MERCI D'AVOIR LU, LUV U
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