neighbors' war

Où Louis emménage dans un nouvel appartement et que son voisin est quelqu'un de particulièrement agaçant.

Présence de citron 🍋

PDV: Louis

-Et voilà! Le dernier carton! S'écrie Niall joyeusement. Tu vas enfin pouvoir te promener à poils sans croiser ta mère!

Il éclate de rire et je lui frappe l'épaule. Quel con.

-Idiot. Je murmure. J'espère juste que les voisins seront cool.

Il sourit malicieusement.

-Autant tu te trouve un beau mâle. Peut-être que demain t'es marié. Après demain t'as six gosse... Et... Ho mon Dieu, j'peux être le tonton?!

Je roule des yeux. Seigneur, j'arrive pas à croire qu'il soit mon débile préféré sur cette planète...

-Oui, Oui, c'est ça Horan. Maintenant casse toi, j'ai des choses à faire

-Quoi?! Mais j-je..

Je ne lui laisse pas le temps de répondre, lui claquant la porte au nez. Je le connais, il va s'éterniser ici et je n'aurais jamais l'occasion de finir de débaler mes cartons. Il ne m'en voudras pas. Je l'entends m'insulter de ''GROS TRIMAR'' derrière la porte quand d'un seul coup, il se tait. Puis je l'entends à nouveau crier ''LOUIS, TON PUTAIN DE CANON DE VOISIN EST AVEC MOI, IL AIMERAIS QUE JE-que je quoi déjà? HA OUI! QUE JE FERME MA GUEU-Hé mais c'est pas très gentil ça! '' J'ouvre rapidement, putain il va le ramener tout le quartier avec ses Cris d'orang-outan.

J'attrape le bras de l'Irlandais et le traîne jusque dehors.

-Maintenant tu rentre chez toi imbécile, on se voit demain.

Il Hoche rapidement la tête, dépose un bisous sur ma joue et s'en va en courant. Je le regarde partir comme un enfant. Puis je me frotte la joue en lachant un ''beurk. ''

Je remonte les escalier du bâtiment. Une fois devant mon appart, je croise un type appuyé contre le mur. Ho merde, le voisin, je l'avais oublié! Je me stoppe quelques instants. Il me sourit de manière aguicheuse. Ho bordel... Il est carrément bandant... Grand, les cheveux bouclés, s'arrêtant sur ses épaules, les yeux d'un vert pétillant, musclé... Et ses fossettes... Il me tend sa main.

-Bonjour, je m'appelle Harry, je suis le gars d'a côté. Rit-il.

Ho mon Dieu, sa voix.... Tout à l'air parfait chez lui... Il secoue le bras pour me ramener parmis nous. Je baisse les yeux gêné, attrapant ses doigts pour les serré.

-Enchanté, Louis, je suppose que je suis également le gars d'a côté ducoup.

Il pouffe et m'adresse un clin d'œil.

-N'hésite pas à passer me voir, y compris si tu te sens seul.

Je sens mes joues chauffer comme jamais. J'ecarquille les yeux comme des soucoupe et mon cœur se met à battre la chamade. Il est du genre directe. Je note ça dans un coin de ma tête.

-J'y manquerais pas! Essayais-je de faire comprendre en me précipitant chez moi.

------------------

J'ai enfin pu déballer la plupart de mes cartons. Ça m'a réellement pris toute l'après midi et je suis épuisé. Mais tout de même content! Mon chez moi ressemble un peu plus à un chez moi! J'ai accroché mes photo au mur, celles avec mes amis, ma familles, et tous ce que j'aime. Ça m'a un peu brisé le cœur, quand j'y pense, je vis à Londres maintenant, plus à Doncaster... Heureusement Niall aussi vit à Londres.Je ne suis pas complétement seul.

Je regarde l'heure, minuit... J'ai un test en philo demain. Je ferais mieux de dormir. Je n'aime pas forcément cette matière, mais en revanche, j'aime laminer les autres avec mes bonnes notes. Eh oui, le petit Louis est en réalité un surdoué. Peu de gens le savent. Je préfère le garder pour moi.

Je m'allonge sous les couverture, éteint la lumière et me cale confortables, je ferme les yeux. Tout devient calme, ma respiration lourde et je m'en vais lentement au pays des lutin et des farfa-

-WAAAAH!

ET BOOM. Je m'explose au sol, comme une crêpe. Un énorme bruit viens de me faire sursauter ma race. Il me faut quelques secondes de réadaptation pour me rendre compte que ce n'est que le voisin qui a mis sa musique à fond. Bordel de merde mais c'est quoi son putain de problèmes. Énervé, je sors de mon appartement vêtu seulement d'un long t-shirt et de mon boxer noir, les cheveux en pagaille et les yeux cerné mais peu importe. Il va m'entendre! Je toque. Il ne faut que dix seconde au bouclé pour venir m'ouvrir, un verre de vin entre ses doigts. Encore une fois, je reste bouche-bée devant sa classe. Il est réellement charmant.

-Ho, Louis! Quel bonne surprise. Sourit-il malicieusement, ce qui fait follement accélérer mon cœur. Il s'approche et de sa main libre, il vient prendre doucement ma hanche pour me coller contre lui. Tu viens te réchauffer, chaton? Ce mec a un sérieux problèmes. Je le repousse sans ménagement, faisant semblant que ce surnom et ses gestes ne m'atteigent pas alors que je brûle de l'intérieur.

-T'as quel âge pour te comporter de cette manière ? Crachais-je.

-Seulement vingt-trois. Et toi?

-Heu, j-je, vingt tout court. Mais là n'est pas la question! Je venais te demander si c'était possible de baisser le son. Je bosse demain et ça m'empêche de dormir.

Il soupire, puis se met à me détailler de haut en bas. C'est la que je me rend compte de ma tenu. Oups... Je croise les bras sur mon torse pour me donner de l'assurance, le regardant fixement. Il se mord fortement la lèvre... Merde c'est putain de bandant...

-Si tu veux éteindre, je t'en pris, entre. Encore se rictus pervers, je comprends bien que si je rentre je suis cuit.

-Je ne rentrerais pas chez toi. Ton truc c'est une séance d'IRM.

-Tu ne sais pas ce que tu rates.

Il hausse les épaules puis me claque la porte au nez. Je reste là, comme un con, la bouche ouverte, à l'entendre augmenter le volume. Ho, il veut jouer? Pas de problèmes. On va jouer.

----------------------

Il est actuellement six heure du matin. Il est aller se coucher et à éteint la musique seulement vers trois heures. Je n'ai pas dormis de la nuit. J'ai donc décidée de ne pas aller en cours afin d'être venger. Ce n'est pas bien grave si je loupe un test. Je sors doucement de mon lit, me prépare un thé à la menthe, je m'habille, me brosse les dents, me coiffe. Puis, je part acheter le journal. Lorsque je reviens, il n'est que sept heure.

Je m'assois sur mon canapé, allume la télé, et je décide de mettre la chaîne de clips qui diffuse toute sorte de musique énergique des le matin. Une fois cela fait, je monte le son au maximum. Si fort, que même pour moi, c'est dérangeant. Je met des écouteur et lis tranquillement mon magazine. Environs une heures et demi après, j'ai eu le temps de faire le ménage et de ranger quelques cartons. Je stoppe le son. J'ouvre doucement la porte d'entrée, il y a un mot dessus. ''Tu vas me le payer. ''

Je ris. Je crois que j'ai réussi mon coups. J'ai hâte de savoir de quelle manière je vais le payer.

--------------------------

Cela fait maintenant deux mois que j'habite ici, tout à commencer de manière soft. Le second soir de notre petit jeux de vengeance, il a ramener une fille chez lui. Il l'a baiser toute la nuit... C'était insupportable. J'avais limite envie de les rejoindre pour virer la meuf et prendre sa place. Alors j'ai fait la même chose, mais avec un mec. Je crois qu'au début il a vu flou. Il n'a pas répondu à cette taquineries rapidement, il a mis une semaine avant de venir sonner chez moi en pleine nuit et de partir en courant. Belle mentalité.

J'ai décidé de tapé plus fort, je voulais mettre la barre haute. Alors, je commandé des milliards de livraison de pizza, de sushi, de fast food et je les faisait toutes livré chez lui. Je vous raconte pas le prix qu'il a payé. Mais bon, Monsieur est riche. Alors on a fini par les manger ensemble. Puis c'est devenu une habitude. Tout les soir, on mangeait quelque chose de commandé ensemble. Chez moi, bien-sûr. Je ne rentre pas chez lui, c'est mort. Seulement, quelques jours plus tard, j'ai perdu mes clé, pendant toute une journée ! Et styles est venu bien gentiment me les rendre en fin de soirée, disant qu'il les avait trouvé par terre.

J'y ai cru... Jusqu'à ce qu'un matin je me réveille dans ses bras, dans MON lit. Ce con avait fait faire un double des clé. Qu'il n'a jamais voulu me rendre. Il les à encore. Et tout ça pour se glisser au chaud avec moi des qu'il en à envie. Il le fait au moins trois fois par semaine. Cela a duré quelques temps, pour me venger, j'ai acheté un une place. Donc quand il ne veut pas être seul, c'est sur le canapé. Il en à eu marre, il a décider de ramener son propre lit dans ma chambre... Depuis il dort tout le temps chez moi...

En guise de revanche, j'ai acheté une pute et je l'ai envoyé le chercher au travaille. Je vous raconte pas sa tête. C'était incroyable. Il n'a rien compris. Malheureusement, j'aurais dû m'y attendre, le lendemain, un streaptiser est arrivé à l'université... Juste pour moi... Je vous laisse deviner la honte qu'il m'a mis sur le parking...

Mais vous savez comparé à là, maintenant, tout de suite, ce n'était strictement rien.

-Je dors où, ducoup? Demandais-je complètement épuisé par les événements.

-Dans mon canapé... Répond t-il nerveusement en se grattant la tête.

-Je te déteste. Tu le sais, ça au moins?

Il regarde le sol, l'air coupable. Je viens de rentrer pour la premier fois dans son appartement. J'ai le peux d'affaires qu'il me reste. Je vais emménager la le temps que les travaux soient finis.

-J'ai putain de pas fait exprès ! Je te le jure! Combien de fois je vais devoir te le dire!

-T'as cramé mon appart! Comment tu n'as pas fait exprès, bordel?!

-J-je te l'ai dit Tomlinson, je voulais te faire une blague en brûlant de l'encens, je sais que tu haïs l'odeur... Et j-je, j'ai pas surveillé...

Je ferme les yeux fortement, jusqu'à en voir des milliers de couleur. Comment peut-on être aussi con? Non mais, il n'y a pas de solutions à ça...

-Tu crois que plus stupide existe, Harry?

-Je ne suis pas stupide... J-j'ai juste eux du mal à réfléchir sur le moment... Soupire t-il.

Soudainement, une idée me viens en tête. Styles fume. Il y a un briquet sur le buffet à l'entrée. Je m'en approche rapidement, attrapant l'objet tant convoité. Une fois celui-ci en main, je le montre à Harry en souriant.

-Ho non... T-tu... Tu vas pas faire ça? Après, on aura plus de maison!

Je ris doucement. En attrapant lentement les rideau, j'appuie sur l'allume cigarette, faisant jaillir la flamme.

-Et si je... Brûlais tes vêtements ? Ce serait équitables, n'est-ce pas?

Il écarquille ses yeux. Il fait une fixette sur la mode. C'est inconcevable pour lui que tous ces bouts de tissus soit cramé!

-Jamais je ne te laisserais faire.

Souriant, narquois, le feu en main.

-Attrape moi, si tu peux.

Et on se met à courir dans le logement, cognant les meubles, riant comme des ânes. Enfaite, non. JE ris comme un âne. Lui c'est limite si il chiale pas comme une Madelaine. Mais peu importe. Je ris tellement, ça faisait longtemps. Je ris peut être un peu trop d'ailleurs, parce que je me retrouve bloqué contre le mur alors qu'il s'approche lourdement.

Une fois assez près, il me fixe, sans un mot, et la tension change, j'ai l'impression qu'il fait chaud. Plus que d'habitude. Mon cœur se met à battre comme jamais. Une de ses main attrape délicatement mon bras, le caressant, ses yeux émeraude ancré dans mes yeux saphir. Ses doigts descendent aux miens, puis, il enlève le briquet, le laissant tomber par terre.

Je louche sur sa bouche entrouverte, il fait de même. Je ne sais pas ce qu'il se passe. C'est comme... Des aimant. Mes joues brûlent. Mes organes se retournent. Je sens comme des milliards de papillons ardents dans mon ventre.

-Louis, je peux...

-Oui. Fait le.

Son regard change. La lueur devient plus sombre. Se voulant de désire. Soudainement, il passe ses bras se mes cuisses et me plaque contre le mur. Je lâche un cri de surprise qu'il absorbe directement en m'embrassant sauvagement. Ho merde, c'est vraiment trop bon.

Mon cœur s'arrête de battre, le temps de ressentir sa douceur. Je commence à avoir très chaud. J'enroule mes jambes autour de son bassin, collant nos érection déjà bien apparentes. Il lâche un grognements, tandis que ma tête par en arrière en un râlement aigüe. La friction me provoque un spasme électriques, allant de mes orteil au haut de ma tête. Passant dans mes doigts. Tout est piquant, doux et à la fois brutale. Sa langue bouillante entre en collision avec mon cou. Tout mon cops tremble et frissonne. Je soupire, de plus en plus fort, jusqu'a ce qu'il me morde, ce qui me fait crier.

J'agrippe sa nuque, griffant son dos. Il s'éloigne du mur, je vois si flou, je ne comprend rien a ce qu'il fait. J'ai des vertige dans mon bas ventre. Ça n'a jamais été si fort. D'un coup, je me retrouve allongé contre quelques chose de dur, j'ouvre les yeux, je me rends compte que je suis couché sur la table de la salle à manger. Heu... Charmant ? J'aurais préféré un lit?

-T'as pas une chambre plutôt ? Soufflais-je.

-J'te rapelle que y'avait mon lit dans ton appart. Il a pris feu. Il me regarde dans les prunelles. Soit je te baise a même le sol, soit je te baise sur cette table.

-Toujours en délicatesse, Styles.

Il rit doucement tout en retirant mon t-shirt. Avec la pulpe de son doigt, il caresse lentement mon torse, partant de ma gorge, descendants jusque l'élastique de mon short.

-Je vais te faire l'amour, durement, contre cette table. C'est mieux?

Un rictus fleuris sur mes lèvres. Ma poitrine tremble sous les assauts de mon cœur. Je le veux. Tout entier.

-J'attends que ça.

Il enlève son haut à une vitesse surhumaine et se jette sur moi. Claquant ferment nos bassins contre le bois. Je lâche un gémissements, les yeux mis-clo, plein de larmes.

-Je compte même te faire oublier ton propre prénoms.

-Essaie pour voir... Le provoquais -je.

Il réagit à la seconde, arrachant mon pantalon ainsi que mon caleçon de mes jambes. Il l'enlève sous mes yeux écarquillés. La fraîcheur de la pièce entre en contact avec ma peau peu couverte, ma faisant trembler de froids et d'apréhension. Je me retrouve nu devant lui. Il sourit comme un imbécile.

-Tu es... Comme je l'ai rêvé...

Je me redresse et commence à déboutonner son pantalon, son souffle s'abat sur mes cheveux.

-Comment ça? Riais-je.

Il caresse fébrilement ma mâchoire de ses phalanges. Je descends son bas de manière habile. Et oui, haha, Monsieur Tomlinson à de l'expérience. J'ai tendance à sortir m'amuser.

-Si tu savais combien de fois j'ai imaginer chacunes des courbes de ton putain de corps... Il effleure mes hanches, ce qui me fait légèrement convulser. Mes sensations veulent plus. Combien de fois j'ai griffer ta peau. Il agrippe mes cuisse me tirant contre son bassin. Son sexe tendu tape le miens. Je grogne et il mord mon cou. Mon ventre est un réel brasier, je vais mourir de plaisir... Combien de fois j'ai marqué ta gorge. Il aspire doucement ma nuque, puis plus violemment, je glisse mes mains dans ses cheveux, les tirant sous mon envie grandissante combien de fois je t'ai pénétré, sans aucune préparation... Soudain, il glisse en moi. Je ne peux que couiner. Ça ne me fait pas mal. Ça fait un bout de temps que je couche avec des mecs. Tout ce que je ressens, c'est qu'il me remplis parfaitement, comme si il était fait pour moi. Il entame de délicieux va et viens. Combien de fois mes coups de reins ont frappé ta prostate. Il se retire complètement et sans prévenir, rerentre jusqu'à la garde, tapant ma prostate, me faisant hurler.

Je roule des yeux, sentant mes forces me quitter. Il refait cela plusieurs fois, électrisant mon bassin, rouillant mes os, m'obligeant à lâcher des cris obscènes. Je sais que je ne vais pas tenir à cette allure, la table non plus d'ailleurs.

-Ha-Harry... Je t'en supplie... Moins vite...

-Tu ne te doute même pas de combien de fois, j'ai pu te faire jouir...

Et il accélère. C'est trop pour moi. Ma respiration se coupe. Je lâche complètement prise. Ma tête tombe en arrière, claquant le bois, s'enfonçant dedans. Je hurle son prénom, ça encore et encore en lacérant sont dos de mes ongles. Soudainement. Mes yeux se remplissent de larmes, mon corps se tend, tremblant, haletant. Et cette énorme boule de plaisir au creux de mon être explose. Je viens entre nos deux torses. Il continue ses aller retour sur mon corps vidé de toute énergie. Jusqu'à ce qu'il jouisse à sont tour en grognant un:  ''Putain, Louis... "

Puis il ajoute:

-Et tout ça juste dans ma tête la nuit.

Je souffle comme je peux:

-Tu fais des rêves érotique, sur ma gueule?

Il ricane comme une truite.

-Ouais.

-C'est une déclaration ?

Il semble réfléchir quelques secondes. Puis avec un grand sourire il ajoute:

-Emménage avec moi. Je veux dire, officiellement, pas parce qu'il y a des travaux.

-Tu veux dire... En tant que... Couple ?

Il baisse les yeux. Les sourcils froncés.

-J-je... Ouais... T'as raison c'etait stupide...

J'attape rapidement sa main le regardant dans les yeux.

-N-Non, attends! J'en serais ravi! Vraiment! Je veux bien être... Ton petit ami?

Il sourit grandement. Serrant ses doigts autour des miens.

-Louis Styles.

-Tu vas un peu vite la, Harry Tomlinson.

Et on éclate de rire comme des enfant. Des enfants amoureux.

Endddddd

Azy mon lemon il était claquée au sol 😭

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top