my broken boy

Où Harry toque au hasard chez quelqu'un après une bagarre, cherchant des soins. Louis lui ouvre et depuis, il n'arrête pas de revenir.

Lemon 🍋

PDV: Louis

Ça brûle ! Ça brûle ! Ça brûle ! Je passe rapidement mon doigts sous l'eau froide qui s'écoule dans l'évier. Putain de merde! Je n'ai définitivement pas de talent en cuisine. J'ai beau avoir dix-neuf ans, être a l'université et tout le tralala, je suis nul. Déjà que la dernière fois j'ai empoisonné mon meilleur ami, Liam, sans faire exprès. Il venait manger à la maison pour fêter mon emménagement dans ce nouvel appartement, alors j'ai décider de lui faire un bon petit plat. Malheureusement, je ne pouvais pas prévoir que les carreaux de chocolat n'allais pas bien se marier au flan courgette, piment oiseaux. Puis la mangue farcie au gingembre cru ne lui a pas plus non plus. Ce n'est pas de ma faute si il n'aime rien!

Je ferme le robinet, éteins le gaz, ce qui tue le feu. Je soupire. Bon. Bah à moi uber ea-...

BAM!

Heu... BAM? Je me fige. Seigneur, Dieu tout puissant mais quel était ce bruit du démon cognant contre ma porte? J'ai vu tellement de film d'horreur, que dans ma tête, c'est Valak elle même qui viens me chercher pour me ramener en enfer. Sainte Mary, pardonne moi d'avoir péché hier soir sur la tête de Dylan O'Brien... Je me dirige tremblant vers la porte. Je murmure un faible ''QuIc'EsT..? '' Mais personne ne prends la peine de me répondre alors j'attrape la poignée très peu sereinement. À tout les coups il n'y a personne. Mais je ne suis pas stupide. Dans les scénarios, c'est toujours la troisième fois qu'il ne faut pas ouvrir, alors la, je risque rien. Donc, J'OUVRE. Et surprise! J'avais raison, je regarde à gauche, à droite, rien. Je suis seul! Je ris bêtement en fermant la porte violemment mais celle ci rebondit contre quelques chose. J'entends un craquement.

Heu... Un craquement ? Comment ça un craquement ? Je baisse doucement, très doucement les yeux vers le sol et une masse de boucles, ressemblant à un nid de rat. MAIS QU'EST CE QUE C'EST QUE CE BORDEL?! Je-j-je, mais merde! C'est un garçon et il semble inconscient. Je ne vois même pas son visage, il est allongé sur le ventre. Je dois faire quoi? Je dois faire quoi?! Je dois faire putain de quoi ?!

Ok. Calme toi, Louis. Heu... Réfléchi. Ton téléphone ! Oui, c'est ça. Appelle Liam! Liam saura quoi faire! Je cours vers la cuisine, me prenant le buffet, ce qui fait tomber pas mal de chose mais je m'en branle royalement. Un fois l'objet convoité en main, Je compose le numéro de l'autre con.

Une sonnerie.

Deux sonnerie.

Trois sonnerie.

J'vais l'niquer.

Quatre sonnerie.

Cinq-Allo? Chuchote t-il fatigué.

-Ha! Salut Lima, je sais qu'il n'est que deux heures du matin, mais dis moi, il y a un garçon inconscient devant mon appart. Il bloque la porte et par inadvertance, il se pourrait que j'ai brisé son poigné. Ça doit sûrement t'arrives plus souvent qu'a moi, dis, je dois faire quoi?

Je l'entends soupirer. Puis raccrocher. Je reste comme un con, le smartphone en main, un sourire crispé sur le visage. C'est une blague il ne m'a pas laissé en plan comme ça? Il ne peut pas ! J'ai besoins de lui! Je sais plus quoi faire! Bon, calm down. Réfléchi par toi même Louis, c'est pas compliqué ! Si tu le pousse dehors, que tu ferme la porte et que tu fais style tu l'as pas vu, ça passe crème ! Oui mais tu lui a pèté le bras... Il a l'air en mauvais état...

Je m'approche doucement, je m'accroupie a côté de lui. Il a de beaux cheveux, plutôt long, s'arrêtant a ses épaules. Je passe doucement ma main dedans, ils sont doux... Je regarde ensuite son corps en me mettant a genoux, il est grand, musclé, bronzé et plein de blessures... Il a du se battre. Mais pourquoi venir s'évanouir ici? Je le retourne délicatement, de façon a ce qu'il soit face à moi. Et Ho mon dieux... Son visage est si... Pleins de sang? Je pose l'arrière de son crâne sur mes cuisses. Je ne peux pas le laisser comme ça... Il faut que je l'aide...

Je me lève, résigné a le soigner. Je le tire par les bras jusque dans mon chez moi. Une fois cela fait, je ferme la maison a clé. Je le laisse couché au milieux du salon en allant chercher la trousse de secours. Je devrais peut-être appeller les pompiers? Même si je doute que la raison pour laquelle il a atterie ici soit légal. Je reviens rapidement la ou je l'ai mis, je nettoie d'abord son visage avec toute la douceur du monde. Sa peau est lisse, sans imperfections. Ses cils sont long... C'est mignon pour un garçon. Je vois qu'il n'a que des plaies superficielles. Il a saigné du nez mais celui ci n'a rien, a part une petite blessures dessus. J'y met un pansement. Son œil est légèrement bleu. De l'arnica fera l'affaire. Puis sa lèvre est fendu. Je vais lui appliquer du labello. Je fouille vite fait dans mes affaires et le retrouve. Il est a la cerise. J'adore ce gout. Je sors le lip stick et le passe sur sa bouche charnue en évitant de le blesser d'avantage. A présent il est comme neuf! Je contemple sa petite bouille. Il est vraiment beau. On dirait un ange... Puis mon regard descend sur son corps. Et je remarque enfin son poignet... Merde... Il est rouge. Je l'attrape, y passe de la crème et le bande histoire qu'il soit tenu. J'espère ne pas l'avoir cassé...

Suite à ça, je regarde l'heure. Deux heure Trente du matin. Ça va qu'on est le week-end. Je tente de le porter mais j'avoue que c'est un presque échec. Je parviens tant bien que mal à le traîner dans ma chambre et a le pousser sur mon lit. Ses vêtements sont taché de sang. Je les retire, tout en essayant de ne pas trop le matter. Sont skinny est tellement serré que de un, je bande, de deux lorsque je tire dessus je met tout mon poids pour le faire glisser et lorsque celui ci se retire, je tombe au sol en me cognant contre le mur. Putain de Jean de merde. Je fini par glisser l'inconnu en caleçon dans mes couvertures et partir me coucher sur le canapé. Très peu confortable mais ça fera l'affaire. Je me couvre partiellement d'un plaid après m'être vêtu simplement d'un boxer. Je ferme les yeux et poof... Je m'endors en un rien de temps.

✧・゚: *✧・゚:*

Un claquement de porte me réveille et je sursaute en tombant du canapé. Mais Qu'est-ce que... Tout me revient en mémoire. OUI! Le garçon cassé ! Je cours dans ma chambre pour voir si il est toujours mais rien. Il est parti. C'est sûrement lui qui m'a fait peur. Je me mord la lèvre. J'espère qu'il va bien. Qu'il ne m'en veux pas trop pour l'avoir depoilé. Puis pour son bras et po... Pourquoi j'ai un goût de cerise..?

Je vais pour me gratter le front et réfléchir à si j'ai mis du baume hier mais je touche quelque chose d'étrange. Oui. Il y a un post-it collé sur ma tête. Je l'attrape et lis.

‘‘J'ai emprunté des vêtements a toi et j'ai mis les miens a la machine à laver. Je viendrais les chercher un de ces quatres. Merci pour tout. Je te revaudrais ça, Louis. Et au fait, désolé pour le baisé volé, c'était trop tentant.

Ps: Ta bouche est délicieuse.

Xoxo
Harry’’

Là, je tombe des nues tout nu. C'est quoi ce mec?! Enfin, cela dis, tout s'explique. Mais quand même, c'est quoi ce mec?! Je n'ouvrirai plus la porte aux anonymes super sexy inconscient étendu devant si c'est comme ça! J'allume mon portable et je tombe sur un message de Liam.

Payno:
J'en ai marre de tes blagues a la con. J'ai trop mal dormi a cause de toi. J'ai fais que de penser a si il y avait vraiment quelqu'un d'inconscient, comment tu avais fais pour cacher le corps sans laisser de trace...
12 a.m. 34✔

Hum. Douteux.

✧・゚: *✧・゚:*

-Non, maman. Cela fait une semaine qu'il n'est pas revenu.

Je l'entends soupirer a l'autre bout du fil. Elle s'inquiète, elle n'aime pas que je vive seul. Alors lorsque je lui ai raconté mon étrange expérience, elle a paniqué.

-Tu devrais appelé la police, Louis. Et donne les vêtements qu'il t'a laisser a la croix rouge. Tu auras fait une bonne action.

Je roule des yeux et m'apprête a répliquer mais quelques coup contre la porte me stoppe.

-C'était quoi ça? Demande t-elle effrayé.

-Quelqu'un qui a toqué, Jay. Je te laisse. Je vais aller voir.

-Non! Louis ! Imagine c'est lui! Elle crie. Imagine si il te veux du mal!

-Oui, c'est ça. Bisous maman, je t'aime.

Puis je raccroche. Ma mère est réellement fabuleuse, mais elle est beaucoup trop couveuse. Je ne serait pas étonner de voir les flics débarquer dans quelque minute. J'ouvre la porte et tombe nez a nez avec une chemise, beaucoup trop ouverte à mon gout. Je lève la tête et putain...

-Louis.

-Le garçon cassé...

Il ris doucement. Ses yeux. Ils sont vert. Si vert, c'est tellement beau. Il est vraiment, Woaw. Il a bloqué ses cheveux dans un bandana noir et merde. J'ai envie de le lui arracher sauvagement, ainsi que tout ses vêtements. Mes yeux tombent sur ses lèvres. Il saigne.

-Tu t'es battus.

Il souris fièrement. Il n'y a pas de quoi être fier mais si ça lui fais plaisir...

-Comme la dernière fois, mais là ils n'étaient que deux.

Une question me démange.

-Combien étaient-ils la dernière fois?

-Sept.

Je fronce les sourcils. A quoi bon se mettre a sept sur un seul. Il n'y a aucune satisfaction. Je fini pas hocher la tête.

-Je vois. Entre, je vais soigner ça et te rendre tes vêtements.

Il me montre toutes ses dents. Je roule des yeux en voyant le sang sur celles-ci. Nous allons dans le salon. Je le laisse s'asseoir sur le canapé. Je pars chercher ce qu'il faut dans la salle de bains et en revenant, je le trouve allongé. Il a l'air épuisé. J'écarte doucement ses cuisse et il se redresse. Je me met a genoux sur le parquet entre ses jambes. Il me questionne du regard et j'attrape simplement ses joues d'une main, l'attirant vers moi. Je sors du coton et de la bétadine puis je viens tamponner sa lèvre. Mes yeux sont fixés dessus . Je le vois sourire  et je lève mes pupilles vers lui. Mon cœur loupe un battements. Il est si beau. Si ça ne tenais qu'a moi je lui sauterai dessus.

-Tu fais des étude de médecine?

Je secoue la tête vivement pour éloigné toutes les images malsaines qui me travers l'esprit.

-Heu j-je... Ouais.

Il hoche la tête en bâillant. Je fond, il ressemble à un enfant. Je crois qu'il voit dans mes prunelles l'observant, que je suis complétement attendris. Il pose sa joue sur son poing fermé et me regarde de la même manière. Je rougis soudainement en baissant les yeux. Je dois changer de sujet. Rapidement. Je me racle la gorge.

-Donc, tu t'appelle Harry, c'est ça.

Il a un rictus. Il comprends que j'ai lu son mot.

-Tu l'as trouvé.

-Comment j'aurais pu le rater. Il était sur mon front.

Il glousse puis prend un air aguicheur.

-Alors, tu sais.

Il fait clairement référence au baisé non partagé.

-Je sais.

Je colle un pansement sur le coin de sa bouche et il attrape doucement mon poignet. Ce qui me fait lever la tête.

-Je n'ai pas d'endroit ou dormir. Je peux rester ce soir?

Il viens de me parler du fais qu'il m'ai embrassé quand je dormais et la il me demande de coucher ici. Il est culotté. Culotté mais j'aime ça.

-Oui, restes... Il passe doucement l'un de ses doigt sur ma mâchoire, si je le laisse faire, je risque de le regretter. Mais tu dors sur la canapé.

Puis je me lève et je vois ses lèvres se serrer en ligne droite. Il s'attendait a ce que je m'abandonne a lui. Ce ne sera pas si simple. Je baise rarement ''juste comme ça. '' Je n'aime pas vraiment les coups d'un soir. Je lui souris faussement, il se met debout à son tours, je pars lui cherche de quoi bien dormir, le lui installe. Il me regarde faire en pouffant.

-Je crois que je pourrais m'y habituer.

À dormir chez moi? Sûrement pas. C'est exeptionnel. Il me l'a demandé. Je suis gentil. Je rends service. Je fini, m'approchant de lui. Je passe mes bras autour sa nuque et il fronce les sourcils en pleine confusion.

-Ne t'y habitue pas trop non plus. Je claque un lourd baisé contre ses lèvre. Ça ne dur que quelques seconde mais cela m'éléctrise. Il se fige d'incompréhension et je ricane: Désolé pour le baisé volé, c'était trop tentant. Ps: Ta bouche est délicieuse.

Je lui lance un clain d'œil, en l'abandonnant au milieux du salon. Tu veux jouer, mais je vais gagner.

✧・゚: *✧・゚:*

Je suis réveillé par de douces caresses sur mon ventre. Je soupire de bien être, sentant un souffle contre mon cou puis des baisers fébriles, si fébriles, que je frémis.

-Tu aimes que je te sorte de ton sommeille comme ça?

J'ouvre brusquement les yeux. Il se fout de ma gueule. Ses émeraude rencontrent mes saphirs. Je le pousse sans ménagement du lit. Il tombe violemment au sol. Je lui souris poliment ce qui signifie faussement pendant qu'il se frotte le front.

-Rentre chez toi, harceleur sexuelle d'endormis.

✧・゚: *✧・゚:*

La sonette me fait sursauter mes grand morts alors que je suis tranquillement en train de passer le balais. Il est 11p.m. Qui vient toquer à cette heure? À part Lui.

Je m'approche, j'open the door. Je le vois tout sourire, le nez en sang. Seigneur. Il ne vas donc jamais me laisser tranquille?

-Salut Lou! T'as des pansement ? Demande-t-il enthousiaste.

Je m'écarte, lui laissant la place en roulant des yeux.

-Entre.

✧・゚: *✧・゚:*

Je suis sûr le canapé en train de regarder un film de cul, quand soudain, la porte s'ouvre et je vois Harry entrer. Je met rapidement pause, paniqué.

-Mais toque! Merde! Et puis qu'est-ce que tu fous là à 2a.m.?!

Il m'observe étonné, puis tourne lentement la tête vers la télé. Heureusement, j'ai la télécommande en main, j'eteins avant que ses yeux ne rentrent en contact avec l'écran. Mais vu le sourire en coin qui apparaît sur son visage, il a compris.

-Tu faisais quoi?

Il s'approche doucement, je détourne le regard, je sens mes joues chauffer, Harry s'accroupie devant moi.

-R-rien. Je regardais un film.

Sa main viens se glisser contre ma nuque, me forçant à le regarder. Il a ce rictus démoniaque scotché a sa gueule d'ange.

-Tu as les yeux vitreux, les cheveux en bataille et tes lèvres... Elles sont roses. Tu les à mordue.

Il fixe ma bouche entrouverte, j'ai l'impression de manquer d'air. Son aura s'est assombrie. Puis lentement ses prunelles remontent aux miennes.

-Tu te touchais...

Il n'a pas tort.

-N-non...

La pulpe de son pouce viens caresser ma mâchoire. Je soupire de désir. Comment peut-il autant m'allumer avec de simples mots. Ça ne me met même pas mal alaise, il l'a prononcé avec tellement d'envie dans la voix. Je commence à détailler chaque parcelle de sa peau parfaite, puis je vois son arcade.

-C'est pas vrai... Tu saignes. Tu t'es encore battu.

Il touche son sourcil puis gémit de douleur.

-Non, je suis tombé en venant...

Je ris doucement, part chercher la trousse de secours qui finira bientôt vide à cause de ses allé retour. Il n'est vraiment pas futfut. C'est pour ça que je l'apprécie et au final, on a faillit faire une grosse bêtise. C'est mieux comme ça. Si on ne va pas plus loin. Je reviens dans le salon, nettoie ses plaies et les soigne. Je lui installe le lit sur le canapé. Il s'asseoit. J'allais m'en aller dans ma chambre pour dormir mais il m'a retenu par le bras.

-Restes un peu.

Je suis fatigué, j'ai besoins de dormir, mais si il est la, ce n'est pas grave. Il s'allonge et me tire sur lui. Il m'entoure délicatement et embrasse ma joue.

-Merci, mon cœur.

-Ne m'appelle pas comme ça. Je grogne.

✧・゚: *✧・゚:*

-Coucou bébé ! Je viens chercher de l'arnica!

Son teint est noirci de coup. Il n'en est que plus beau. Mais c'est triste.

-Ne m'appelle plus comme ça.

-D'accord, mon cœur!

Il me pousse et entre comme si c'était chez lui. À vrai dire, il a tellement l'habitude. Il vient presque tout les soirs. Je n'en peut plus. Même si j'aime ça... J'aime ces surnoms débiles, le soigner, prendre soins de sa personne, le sentir contre moi lorsqu'il se glisse dans mon lit la nuit. Je ne le repousse plus. Ça ne sert à rien. Il est comme un chewing-gum. Une fois qu'il est collé, c'est fini. Il ne nous lâche plus. Mais cela dis, il est insupportable pour une chose.

-Harry. Quel heure il est?

Il se gratte la tête en riant gêné.

-Hum, 1 a.m. il me semble...

Je soupire.

-Qu'est-ce que j'ai dis la semaine dernière?

Il fait semblant de réfléchir.

-P-pas après 11p.m...

-C'est bien, maintenant imprime et applique. Tu reviendra quand ce sera clair. Dis-je en me frottant les yeux.

Il me regarde longuement, attendrit. Il me souris bienveillant.

-Tu es fatigué, amour. Va te coucher.

Je rougis bêtement en murmurant des choses incompréhensibles. Puis je pars dormir. Il fait ce qu'il veut. Il a l'habitude.

✧・゚: *✧・゚:*

-Harry.

Je n'obtient qu'un grognements rauque de sa part. Ce qui ne m'étonne pas, vu comment il avait bu hier. Je raconte pas la galère. Il a essayé manger mon doigt. Il m'a appelé Knaki toute la nuit. Je n'en pouvait plus. Il s'est enfin endormi au alentours de 3a.m. et là, maintenant, tout de suite, il 11a.m. Ça fait maintenant quatres mois qu'il vient chaques soirs. On a fini par être réellement de bon amis.

-Harry, sors de mon lit. Je te l'ai laissé cette nuit, mais la je suis vraiment fatigué. Le canapé est libre.

Il ne répond rien, alors j'essaie de le secoué par l'épaule, doucement pour ne pas le brusquer. Mais soudainement il attrape mon poignet, me tirant contre lui. Je tombe sur le matelas en geignant. Il referme ses bras sur moi. Ma tête est contre son torse nu. Il sens le gel douche au lilas. Il s'était renversé du Cognac dessus, je l'ai forcé à se brosser les dents et à prendre un bain. J'essaie de m'échapper de ses bras me retournant dos à lui comme je peux. Mais lorsque je tante de m'extirper, il ressere son étreinte. Me lovant d'avantage contre son corps brûlant dont je ressens chacuns des centimètres. Heu... C'est normal le truc dur sur ma cuisse?

-S-Styles, lâche-moi.

Je le sens sourire contre ma nuque, tout à coup, il y passe sa langue. Je frémit, ne comprenant rien à la situation. Mon sang se fige, j'ai du mal à respirer. C'est quoi ce délire ?!

-Haz', que-qu'est-ce que t-tu fait..? Je murmure d'un voix aiguë.

Il embrasse mon cou et je pris sincèrement pour pas que sa bouche glisse sous mon oreille. Malheureusement, lui et moi avons déjà eu un discussion à propos de nos point sensible. Un soir ou on avait bu, on en avait parler, mais je ne pensais pas qu'il s'en servirait contre moi. Ho ça, non...

-Maintenant, Louis, on va vérifier tes dires...

Mon prénom dans sa bouche sonne si bien et sa voix est tellement profonde. Ce que je redoutais arrive, ses lèvres frôlent mon lobe, l'embrassant fébrilement puis sauvagement. Immédiatement, je me cambre contre son bassin en soupirant. Non, non, non... Il sait. Il n'a pas le droit de faire ça.

-Tu m'a fait comprendre que tu aimais qu'on te morde, non? Les deux combiné ça donne quoi..?

Il s'exécute. Je me tord presque de plaisir, serrant mes doigts contre les draps, tout ça, et il ne m'a même pas touché... Je suis complètement haletant. Sa main glisse les long de ma jambe, soudain il la fait déraper à l'intérieur de ma cuisse et l'agrippe fort. Je ferme les yeux et un doux gémissements traverse ma gorge.

-Je crois entendre que tu a un faible pour ça aussi.

Stop. Je ne veux pas. Ça va trop loin. Ça me fait peur. Il me fait peur. Il se serre du fais que je lui ai donné ma confiance. Je lui ai dis des choses, et il se permet de me faire ça.

-A-arrête. Je le repousse sans douceur, descendant du lit, baissant mon t-shirt pour cacher mon érection naissante. J-je... Rentre chez toi.  Il me regarde confus. Vas-t'en! M'emportais-je.

Il se lève. Prend ses vêtements. Il ne comprend pas ma colère soudaine. Mais pourtant, ce n'est pas compliqué. Harry me plais. Vraiment. Mais j'ai peur. J'ai peur qu'il ne fasse que jouer. Et là, en faisant ça, il s'est ouvertement foutu de ma gueule. Il n'a fait que me prouver que je ne pouvais pas être sur avec lui. Je l'acceuil chez moi, je lui fais plaisir, et il gâche tout.

Il se dirige vers la porte et je fixe le sol. Je ne lui adresse même pas un regard.

-Louis, je suis désolé, je... J'aurais dû réfléchir... Je t'ai-... Je suis désolé... Dit-il attristé avant de sortir.

Il claque la porte et je retient mes larmes. J'ai envie de lui hurler de revenir. Mais je ne le ferais pas, il va me blesser. Je ne veux pas avoir mal, pas alors que mon cœur guérie. On me l'a trop cassé. Je ne le laisserais pas brûler une nouvel fois. Même pour lui. Même pour lui...

Je crois.

✧・゚: *✧・゚:*

Il n'est pas revenu. Au final je ne valait rien. Ça fait deux semaine. Deux semaine et je n'ai pas de nouvelles. Il voulait simplement profiter de moi. J'ai dis non  et je n'existe plus... Je l'estimais tellement plus que ça. J'avais confiance. Je pensais pas que notre histoire se finirais comme ça.

-Ça va? Tu es dans tes pensés.

Je relève rapidement la tête.

-Désolé Liam, je réfléchissait.

Il me questionne d'un regard, voyant que je ne répond pas il prend la parole.

-Louis, je vois que ça ne va pas. Je sais que tu n'es pas le genre de personne a en parler. Alors, n'oublie pas que je suis là. Pour toujours. Je veux dire si tu en à envie parle moi, appelle moi, toque chez moi je sais pas.

Je souris, ce qu'il me rend. Il est si bienveillant.

-Ne t'inquiète pas. J'y penserais.

-Bon, je dois y aller, on se voit demain en cours!

Je hoche la tête, il se lève et je l'accompagne jusque là porte. Il m'attrape rapidement, me serrant dans se bras et je le laisse faire. Ça fait du bien, de savoir qu'il est là. Mais au moment où il allait me lâcher, la porte s'ouvre. Mon cœur s'arrête. C'est lui. Il est là. Il me vois contre Liam et il fronce les sourcil. En un mouvement brusque, il chope mon poignet et me tire violemment derrière lui, loin de mon ami.

-T'es qui au juste? Demande t-il d'une voix piquante.

-Un pote, j'allais partir. Répondi calmement Payne.

Il nous contourne et lorsqu'il s'apprête à s'en aller il me chuchote:

-Ça va aller?

Je hoche la tête. Il me dis de le contacter en cas de problème puis il disparaît dans la cage d'escalier. Je lance un regard noir à Styles. Il me le rend.

-Qu'est-ce que tu fais là? Dis je sèchement.

-C'était qui lui?

-Je n'ai pas à me justifier.

Il baisse les yeux tristement. Puis finalement il les relève vers moi, et en voyant toute cette douleur, je me sens coupable.

-J-je... Je sais que tu ne veux plus me voir... Mais, je voulais m'excuser...

Qu-quoi? Il se moque vraiment de moi.

-Comment ça, je ne veux plus te voir?

Il me fixe, les yeux écarquillés.

-Mais tu m'as dis de partir!

-Je ne t'ai pas dis de ne jamais me revenir!

Il fronce les sourcils, ne comprennant rien à la situation.

-Alors tu ne m'en veux plus..?

Je roule des yeux, qu'il est idiot.

-Non, Harry. Je ne t'en ai jamais voulu. J'avais juste peur. C'est aller trop vite pour moi.

Il souris grandement, ce qui me fait chavirer. Il m'a tellement manqué. Je vois ses petites fossettes. Il est si beau. Je m'approche doucement, puis l'attire vers moi pour un câlin. Au moment où je passe mes bras autour de son cou, je le vois grimacer alors je recule rapidement.

-Je t'ai fait mal?

-Non, ce n'est pas toi, je me suis battus hier et j'ai un problème à l'épaule...

Je ris, tout est comme avant, rien n'a changer.

-Vas t'asseoir, je vais m'occuper de ça.

Il se dirige vers le canapé, comme à son habitude, tandis que moi, je vais chercher la trousse de secours. Je la ramène, je resserre légèrement ses cuisses, puis pose mes fesses sur celles-ci, entourant son bassin de mes genoux, de manière à être assis face à lui. Son visage est à quelques millimètres du mien. Son souffle devient court tandis que je fais mine de rien, jouant avec lui. Je retire son t-shirt, puis applique de la pomade sur  sa clavicule, glissant mes doigts contre sa peau halé, il soupire lorsque ceux-ci passent dans son cou, lorsque mon index caresse sous son menton, il attrape mon poignet brusquement et un rictus né sur mon visage. Moi aussi je connais ses points sensibles.

-Tu joues avec le feu.

Peut être mais j'aime ça. Alors peu importe. Si nous somme tout les deux prêt, je veux bien m'amuser, même si c'est avec les flammes. J'ai eu bien trop peur de le perdre durant tout ce temps. Je ne veux plus que ça arrive. Je veux qu'il continu de venir à pas d'heure, pleins de blessure que j'aurais à soigner.

-Sûrement, et?

Il me renverse sur le sofa, se glissant entre mes cuisses. Il me regarde durement dans les yeux.

-Qui était ce garçon, Louis.

Il est encore sur le fait que Liam était à la maison. Ne serait-ce pas une crise de jalousie que nous fait Monsieur Styles? Je souris fièrement. Je veux le faire marcher.

-Ça ne te concerne pas.

Il plaque soudainement mes poignet à côté de ma tête. Je ferme les yeux sous l'impact, son torse se colle au miens et il presse son bassin contre mon entre jambe, me faisant sentir sa forte envie. Un gémissements franchit ma gorge tandis que je balance ma tête en arrière. Ma respiration se bloque et une forte chaleur viens envahir mon bas ventre.

-Rien que de savoir qu'il est entré ici me rends fou, alors imaginer qu'il ai pu te... Te toucher... Il plonge sa tête dans mon cou, complément offert, ses souffle de désir s'abattent contre et je frissonne fortement. Putain, Louis... Grogne t-il

Je ris doucement, à moitié haletant. Il relève ses yeux brillants et voilé d'ardeur, vers moi.

-Il est mon meilleur ami depuis la primaire, Harry. Tu n'as rien à craindre de lui.

Il me fixe quelques instant, puis sans que je ne comprenne quoi que ce soit, il fond sur ma bouche, m'embrassant avec ferveur. Je me sens défaillir lorsqu'il mord ma lèvres, la tirant légèrement en arrière. Je couine, il glousse. Puis sa langue trouve la mienne et la fièvre monte. Dieu qu'il embrasse bien. C'est comme si il était mon premier baisers, tendre mais sauvage, tout se mélange. Tout es bouillant. Mon cœur s'accélère comme jamais. J'ai si chaud. Il a un goût de cerise, à croire qu'il a acheté le même baume que moi. Je ferme fortement les yeux, savourant cette instant tant attendu, toutes ces fois ou ça aurait pu arriver. Il lâche mes avant bras et je me permet de passer mes doigts entre ses jolies boucles coincé dans ce bandana rouge. Il place les siens sur mes hanches, les serrant fortement et je veux plus. Plus de lui, de cet amour, de ce manque, de cette douceur et de ces étincelles. Je descend mes mains à son pantalon, puis le retire doucement, il me regarde confus. Cessant notre baiser et je grogne.

-L-Lou'... Tu es sur..?

-C'est bien la seule chose dont je suis sur ce soir.

D'un coup, c'est comme si tout les rouage de son cerveau se mettaient en marche. Je lui ai donné mon feu vert et il est comme un enfant qui ouvre ses cadeaux le matin de Noël. Sauf que là, c'est moi qu'il déballe, les emballages sont mes vêtements. Il est si pressé qu'il va me les déchirer. Je pouffe en le regardant faire. Il ne reste que mon boxer. Mais ce n'est pas équitables. Alors je retire également sont haut et maintenant on est deux en sous vêtements. Il vient embrasser mon cou, descendre jusque mon torse qu'il parsème de marques violettes et bleus pendant que mes souffles d'aise s'échappent, emplissant la pièce de bruit indécent. Soudain, il presse sa main sur la bosse qui déforme mon caleçon. Je m'empêche de geindre, seulement, c'est plus fort que moi.

-H-Harry...

Il se fige légèrement puis rapuis plus fort et je me cambre. En murmurant à nouveau fébrilement la même chose.

-J'aime quand tu gémis mon nom... Susurre t-il contre le dessous de mon oreille. J'agrippe fortement ses omoplates, y plantant mes ongles. Il joue avec ça. Je peux aller plus loin..?

Je hoche simplement la tête, incapable de parler, toutes ces émotions sont trop fortes pour moi. Ce n'est pas ma première fois, mais je n'en ai pas non plus l'habitude. Il baisse le seul tissu qu'il me reste avant de la jeter quelque part dans la pièce. Mon sexe droit comme un I tape mon ventre. Il me contemple quelques seconde qui paraissent êtres des heures dans cet état.

-Tu es tellement... Beau. Un délice. Chuchote-t-il d'une voix incroyablement rauque.

J'aimerais lui renvoyer le compliment mais c'est à peine si mon cerveau arrive à aligner deux mots sur le plan penser, alors sur le plan parler... Ça donne ça:

-T-toi aussi-i. J-je veux dire... T-tu... T-t'es beau...

Il ricane bêtement puis me regarde attendris.

-Merci... Il semble réfléchir, puis demande : C'est ta première fois?

-N-non...

Il serre discrètement les poings, prenant sur lui. Ça l'énerve. Et je ne comprend pas pourquoi. C'est du passé. Maintenant c'est lui. C'est tout.

-J'ai vais tout te faire redécouvrir mais en mieux, alors.

Je lui souris simplement. Il est mignon jaloux et possessif. J'aime bien cette facette. Je la trouve touchante. Elle prouve que lui aussi à peur, qu'il est humain. Malgrés ses multiples bagarres et autres.

-Tu me laisse te préparer?

Je secoue la tête d'avant en arrière, comme un Oui. Lui montrant toute mes dents. Heureux de ce qu'on partage. De ce moment privilégié à ses côté. Je me lève doucement, allant dans la Chambre, chercher le lubrifiant et les préservatif. Je lui donne, m'allongeant de nouveau sous lui. Il viens doucement faire couler le  liquide sur ses longs doigts fins, puis doucement, il en apporte deux entre mes cuisse. Il me regarde attendant que je lui dise oui et je hoche la tête. Il les enfonce alors délicatement en moi. Au contacte du froid, je me cambre subitement. Ce n'est pas désagréable. C'est juste bizarre. Il commence à faire quelques mouvement, je sens une légère brûlures mais ce n'est rien de désastreux. C'est supportable. Il en rajoute un troisième et lorsqu'il les plie, mon cœur s'arrête et une sensation électrisante s'empare de moi. Mes jambes tremblent, ma bouche s'ouvre pour laisser sortie un petit cri. C'était si bon.

-E-encore... Je souffle.

Seulement il ne l'entends pas de cette oreille, Ho ça non. Il retire sa mains. Et j'ai l'impression d'être  lourd et vide tout à coup. Mais rapidement, je sens quelque chose tapoter mon entré. Je comprends ce qu'il veut.

-V-vas y...

Alors lentement mais sûrement, il entre jusque là garde. Ho merde, il est si épais... Je n'ai que légèrement mal. Il se met à faire de petits vas et viens, ses coudes à côté de ma tête, mes doigts agrippent fortement ses fesses pour pousser son bassin contre mes hanches plus fort et plus vite. Quand il accélère la cadence, il se jette sur mes lèvre, en un baiser brouillons, qui n'a aucun sens mais putain, qu'il est bon. Je glisse ma langue jusque sa nuque, puis y laisse des suçons un peu partout. Il est à moi. Rien qu'a moi. Et soudain, son gland frappe ma prostate. Je hurle en balançant ma tête en arrière. Il se met à frapper de manière virulente ce point et je sens mes forces s'enfuirent, c'est à peine si je respire. Mes yeux roulent seuls. On entends simplement le bruit de nos peau qui claquent et les gémissements d'Harry, quand à moi, je n'ai même pas la force de gémir, chaque son se bloque dans ma gorge. Ses coups de reins commencent à devenir brusques et secs. Il va venir. Il tape encore et encore, puis soudain, il se stoppe, je le sens se déverser en moi et à cette sensation, tout mon corps tremble, la boule brûlante dans mon bas ventre explose et je jouis subitement contre son torse. Une larme de plaisir roule sur ma joue. On reste comme ça un bon moment, sans bouger, se remettant de nos émotions. Quelques instant plus tard, il se retire délicatement de moi. Je frémis, il souris puis s'allonge juste à côté me serrant fortement entre ses grands bras. Le canapé n'est pas très large mais assez pour ça. Il embrasse doucement mon front puis murmure :

-Je peux rester ce soir?

Je rigole face à sa question stupide.

-Ne me dis pas que tu comptais partir.

-Non, rectifications, je peux rester toute la vie?

Je pose mes lèvres sur sa joue.

-Oui, reste...

Il sera mon garçon cassé à tout jamais.

Ennnddddddd

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