hickey
⚠Inceste⚠ Rien ne vous oblige à lire !
Où Louis est le demi grand frère d'Harry, celui-ci est souvent empreint à des crises de panique. Une seule chose le calme. Une chose assez particulière. Faire des suçons.
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Pdv: externe
Harry était compliqué. Harry avait toujours était compliqué. Il n'aimait pas sortir. Il n'aimait pas les gens. Il n'aimait pas les animaux. Il n'aimait pas l'école. Il n'aimait rien. Rien, sauf Louis. Louis était son grand frère. Louis prenez soins de lui. Et surtout, Louis était le seul à pouvoir calmer ses crises d'angoisse lorsque le monde devenait bien trop lourd à porter pour ses petites épaules. Parce que Harry était fragile et que souvent, c'était meurtrier pour lui. Il n'avait que quinze ans, mais ses parents ne cessaient de dire qu'il fallait qu'il apprenne à se passer de son grand frère. Qu'il était adulte désormais et qu'il allait partir étudier ailleurs. Mais dès qu'ils évoquaient le départ de celui-ci, le bouclé avait du mal à respirer puis se noyait de nouveau dans tout ce qui l'effrayait. C'est là que le mécheux entrait en scène.
Les deux garçon avaient la chance d'être dans le même établissement scolaire. Dès que styles se sentait submerger, il courait vers Tomlinson. Depuis tout petit c'était comme ça. La seule chose qui calmait Harry, c'était Louis. Louis et surtout en réalité, sa peau. Il avait besoin de contact, de poser ses lèvres sur l'épiderme de quelqu'un, mais ce quelqu'un devait être impérativement Louis. Bébé, il refusait la sucette, rien n' apaisait ses névroses, hormis, une fois ou le plus grand l'avait dans ses bras. Il avait posé sa petite bouche sur l'épaule de son frère et avait aspiré la fine chair. L'effet avait était immédiat. Par la suite, c'était devenu une habitude. Le petit styles laissait de multiples marques violettes sur son frère, ce qui le relaxait instantanément.
L'endroit que le bouclé préféré pour s'y acharner avec sa langue était le cou gracile et tendre du plus grand. Malheureusement, celui-ci lui avait défendu de toucher cette endroit. Il se rappelait encore de la nuit où il lui avait interdit d'y poser ses lèvres. C'était un soir ou Harry avait fait un cauchemar, du haut de ses douze ans, il courut jusque là chambre de son humain favoris. Une fois arrivé, il se glissa dans les draps doux, contre ce corps encore plus doux. Immédiatement, des bras se fermèrent sur lui et un souffle chaud caressa ses joues.
-Tu as fait un mauvais rêve..?
Il se contenta de hocher la tête. Cette voix rauque lui fit tourner l'esprit. Il ignorait pourquoi, mais il ressentait toujours cela. Dès que le mecheux parlait, le cœur du petit s'emballait.
-Tu veux me raconter?
Il savait pertinemment que Louis n'aurait pas peur, il avait seize ans, il était grand. Mais il ne voulait pas en discuter. Il laissa simplement ses larmes couler silencieusement contre le matelas. Sa respiration s'accélèra, et il senti sa vision se troubler. Tout devint flou. Sa respiration se saccada. Il ne voulait pas. Non! Il ne voulait pas penser à cet horrible cauchemar ! Il paniquait. Encore.
-Hey, tout va bien mon cœur. Je suis là.
Tomlinson le serra fortement afin de le calmer, mais ce n'était pas suffisant. Alors comme d'habitude, Styles déposa ses lèvres sur la gorge de son demi frère, celui-ci sursauta premièrement avant de se laisser faire. En réalité, il avait peur de se l'avouer mais il aimait ça. Sûrement trop. Harry embrassa la nuque qui s'offrait à lui, langoureusement, chaque baisers qui s'échouait détendit ses muscles. Il s'abandonna complètement contre Louis. Jusqu'à ce qu'il descende sa bouche sur les clavicule du mècheux. Celui-ci hoqueta en balançant sa tête en arrière, glissant ses mains sur les hanches du bouclé, le hissant sur son corps. Jamais. Je dis bien jamais, il n'avait ressenti une tel chose. Peut-être que la fatigue y jouais beaucoup, mais à cette instant précis, les formes juvéniles du garçon fébrile au dessus de lui, maltraitant sa peau, ne lui avait jamais donné si envie. Il voulait sincèrement passer ses mains là où personne ne les avait encore passer, il voulait couvrir sa chair de morsure, de bleus... Il le voulait, il le voulait si fort que l'une de ses mains empoigna les cheveux du petit. Celui-ci, à présent plus calme, releva des prunelles innocentes vers son frère et ce fut à cette instant que Louis se rendit compte de sa connerie. Ils étaient frère. Harry était trop jeune pour comprendre ce qu'il suscité; du désir, de l'envie. Et le mècheux ne voulait surtout pas de ça. C'était beaucoup trop malsain, ça le terrifiait. Il irait en enfer rien que pour avoir convoité la chose. Mais il mettrait cela sur le compte de la nuit et de son état somnolant. Alors doucement, avec délicatesse, il attrapa les joues du bouclé en coupe puis, il murmura avec tout l'amour dont il pouvais faire preuve envers son petit Trésor :
-Haz, je veux que l'ont mette une règle en place, d'accord ?
Le dit ‘‘Haz’’ se contenta de hocher la tête, ce qui fit rire l'autre tendrement. Il n'avait jamais était grand bavard.
-Tu ne me fera plus de marques dans le cou, Ok?
Styles écarquilla les yeux. Comment ça?! C'était son endroit préféré ! Il ne pouvait pas lui faire ça!
-P-pourquoi..? Demandait-il déçu, la voix tremblante.
Tomlinson parut mal alaise. Il n'était pas capable de lui dire. Cela aurait été mauvais pour eux. Pour leur relation. Le petit n'aurait pas pu comprendre. Alors il chuchota :
-Haeum... Et bien, parce que... Ce, ce n'est pas vraiment agréable...
Il vit son frère baisser la tête, vexé. Cela lui brisa le cœur, il ne voulait pas lui faire mal... Oui. Il ne voulait pas lui faire mal et c'est pour ça qu'il se devait d'interdire les suçon sur sa gorge!
-Ho, je vois... Il renifla tristement avant de susurrer: Mais tu m'aime quand même, hein..?
Ce fut si faible, que le grand eu du mal à entendre, mais il comprit. Il prit le gamin entre ses bras finement musclé et l'allongea contre lui.
-Évidemment que je t'aime, crétin...
Il senti le ‘‘crétin’’ sourire avant de dire en retour:
-Moi aussi, je t'aime... Idiot...
Et depuis ce soir là, plus rien n'avait était pareille. Cela les avait en quelques sorte éloigné. En fait, c'est Louis qui refusait de trop s'approcher d'Harry. Il était terrifié à l'idée de se laisser aller au près de celui-ci, de refaire la même erreur qu'il y a maintenant deux ans. Hélas, plus le temps passait plus cette affreux appétit envers son frère augmentait. Pourtant, le petit avait respecté la règle, plus jamais après ça il n'avait touché la nuque du châtain puis, en grandissant ses crises de panique se sont faites moins présente. Alors c'était plus simple à gérer. A présent il n'en avait plus qu'une voir deux par semaine et à chaque fois, il ne s'en prenait plus qu'à ses bras ou ses épaules. Pour être honnête, c'était dur, dès que le brun touchait sa peau, Tomlinson mourait du besoins d'empoigner ses fesses fortement, de le sentir trembler et gémir contre lui. Seulement, il n'avait pas le droit de penser ça, pas à propos de son propre sang. Comment réagirai les gens ? Il ne pouvait parler à personne du fait qu'il aimait plus qu'il ne le devrait la seule personne dont il ne devait pas tomber amoureux. Il était foutu. Alors il noyait sa frustration dans de multiples conquêtes. D'ailleurs il était justement avec sa future victime, une fille cette fois. Une certaine Danielle, enfin, ça n'avait pas d'importance, un soir et c'était fini. Putain ce qu'il n'en avait pas envie, mais c'était nécessaire. Ils marchaient dans les couloirs du lycée et elle riait comme une idiote. Il s'ennuyait terriblement en réalité...
Pitié qu'un truc me sorte de là... Pensa t-il.
Sa prière fût exaucé étant donné que la minute d'après, un Niall paniqué accourut au près de lui. Il connaissait bien cet irlandais, Horan était le meilleur amie de son petit frère.
-L-Louis! C'est Harry, il est dans les toilettes! Il a besoin de toi!
Il n'eût même pas le temps de finire sa phrase que le dit ''Louis'' sprintait jusqu'aux fameux toilettes. Il savait. Il savait très bien. Harry ne parvenait plus à respirer et il refusait catégoriquement que quiconque le touche pour le calmer. Il poussa violemment la porte et vit le garçon aux yeux vert débordant de larmes assis sur le sol, les jambes recroquevillés contre son torse. Son corps était secoué de puissant spasme. Il se précipita vers celui-ci, l'attrapa et le tira dans l'une des cabines. Le détenteur des deux billes d'émeraude se laissa glisser au sol, ses jambes semblables à du coton, trop faible pour tenir. Il avait l'impression que sa tête allait explosé, ses poumons lui faisait si mal. Tomlinson retira sa veste puis il encercla son trésor de ses grands bras protecteurs. Le bouclé complètement avide saisit brusquement le col du t-shirt de son sauveur, le baissant afin de prendre la peau douce de son épaule dans sa bouche. Instantanément, les sanglots se stoppèrent. Il avait souvent ce genre de crise à l'école, à vrai dire, c'était angoissant. Vraiment angoissant. Toutes ces évaluations, les profs, les élèves. Parfois, il gérait seul, parfois il avait besoin d'aide. Et Le grand était toujours ravi de l'aider. Bien que souvent les gens lui demandaient qui lui faisait toutes ces marques.
Il baissa le regard vers son si joli péché. Sa peau pâle, sans imperfections, lisse et douce. Ses frisettes chocolat, ses lèvres étalés sur la chair halé du mécheux. Ses fesses bombé et pleines étaient posé sur les cuisses du plus vieux. Ce spectacle était à en faire rougir les putains. Louis se senti défaillir, parce que Louis était humain, mais Louis ne pouvait pas faire autrement, alors Louis laissa son égal suçoter et parsemer son épiderme de tâches violettes. Jusqu'à ce qu'il sente celui-ci se glisser dans son cou. Sa main, par réflexe tira les cheveux brun d'Harry et à son plus grand étonnement, il en gémit. Ok. Stop. Harry venait-il vraiment de gémir? Il eût vite sa réponse, étant donné que le gamin commença à rouler des hanches contre lui. Ho seigneur... Mais qu'est-ce qu'il lui faisait au juste?!
-Haz... Arrête.
Il posa ses mains sur les hanches rondes de sa luxure. Se moquait-il de lui? ''Haz'' releva la tête, étonné que son frère lui dise non.
-Qu'est-ce que tu fais, tu m'explique..?
Tout à coup il sembla perdu, sa crise était passé. Il se releva en se grattant le nuque, les joues cramoisie.
-J-je... Rien... Pardon.
Puis il s'enfuit en courant, laissant Tomlinson seul, complétement perdu sur ce qu'il venait de se produire. C'était clairement du foutage de gueule.
La journée passa et ses yeux bleus n'avait fait qu'errer dans le vague. Rien n'avait eu de sens. Que c'était-il passait au juste dans les toilettes tout à l'heure? Il était maintenant 00h00 et il n'avait toujours pas de réponse. Peut-être était-ce mieux d'ignorer ça, finalement ? Harry n'avait que quinze ans, il était possible qu'il ne comprenne pas... En parlant du loup, il senti quelqu'un se glisser dans ses draps, contre lui. Comme à son habitude, il entoura le petit corps face à lui.
-Tu as fait un mauvais rêve..?
Tiens, cela lui rapella quelque chose. Le petit hocha simplement la tête.
-Tu veux me raconter ?
Il fit non de la tête, pleurant en silence. Ce que c'était horrible de voir la personne qu'on aime, brisé à ce point par un cauchemar. Il se mit à trembler.
-Hey, tout va bien mon amour, je suis là.
Mais ce n'était pas suffisant. Il fallait plus, toujours plus. Et cette fois, son scandale embrassa directement sa nuque, Louis ne pût retenir un grognement, il avait était prit par surprise! Il caressa tendrement la taille du petit en murmurant :
-Harry, mon ange, pas ici, je t'ai déjà dis que c'était désagréable...
La main du petit attrapa puissamment le poignet du grand, le plaquant contre le matelas. Il releva son regard noir de désir vers le mécheux puis chuchota d'une voix sombre qui enflamma L'autre :
-Tu mens.
Il fut d'abord étonné du ton qu'avait prit son frère, puis de son attitude. Enfaite, tout le désorienté. C'était trop. Il voulait sa mort ou quoi, parce que parti comme ça, son cœur n'allait pas tenir. Et puis il n'avait pas tort, Tomlinson mentait! Voyant que celui-ci ne répondait rien, il continua.
-Je sais que tu dis ça parce que tu aime quand je le fais.
Ses yeux azure s'écarquillèrent. Ou était passé Harry? Qu'est-ce qu'on avait fait de lui? De son petit bébé tout fragile? Il se senti blessé du ton utilisé, comme si il était stupide. Oui, l'inconnu au dessus de lui avait raison, mais jamais il ne l'avourai. C'était trop malsain, trop mauvais. Il ne voulait plus voir son poison ce soir, cette histoire lui donnait mal à la tête. Il voulait juste dormir puis se réveiller et retrouver son petit Séraphin.
-Hé bien ta crise semble être passé, tu peux donc retourner dans ton lit. Lâcha t-il le plus sèchement possible.
Harry ria amèrement avant de susurrer:
-Mais Louis, tout le monde sait que je ne fais plus de crises ni de cauchemars depuis environ un ans et demi.
Et là ce fut l'explosion dans sa tête. Comment ça? Et toute ces fois ou le bouclé s'était glissé dans son lit pour embrasser sa peau après un mauvais rêve... Toutes ces crises au lycée... Niall était de mèche..? Qu'est-ce que c'était que ce bordel..? Tout le monde savait... Tout le monde savait sauf lui... Harry mentait, Harry faisait semblant, Harry profitait de lui...
-Tu... Tu m'as...
-Roulé dans la farine. Exactement. Mais ne fait pas l'innocent, Lou, je t'en pris. On sait l'un comme l'autre ce que notre lien représente. Il est tout sauf fraternel.
Plus le bouclé parlait, moins le mécheux comprenait.
-Qu'est-ce que tu veux dire..?
-Que tu as envie de moi autant que j'ai envie de toi...
Sous les choque, ses paupières se fermères. Pourquoi diable était-il si étonné, au final, il aurait dû s'en douter... Les choses allaient forcément finirent par déraper. Ils s'aimaient trop pour s'aimer bien. Le gamin recommençait à embrasser la chair délicate sous laquelle coulait le même sang que lui. Cela rendait faible Louis, il rassembla tout de même le peu d'idée clair qui lui restait pour riposter fébrilement.
-On ne peut pas... On est frère...
-Qui essais-tu de convaincre ?
Ok. C'était toxique, contre nature, immorale et pas normal mais Harry avait raison. Ils en crevaient de besoins tout les deux alors, il voulait jouer? Il avait gagner. Le plus vieux attrapa violemment les hanches du petit pour le plaquer contre le lit. Il se glissa entre ses cuisses en murmurant :
-Les parents ne rentre que demain, tu n'as pas choisis la bonne soirée pour me provoquer Styles...
Il accompagna ses dires d'un coup de bassin. Il senti la forme d'Harry à travers son jogging, c'etait exquis, tout ce dont il rêvait depuis maintenant un bon bout de temps... Ses prunelles vertes roulèrent en arrière pendant qu'il souffla :
-Ho que si, Tomlinson. La meilleure des soirées...
Ils se détaillèrent quelques secondes sans vraiment savoir quoi faire. Ce qui aller suivre n'avait rien de raisonnable. Qui allait oser ? Qui des deux allait franchir l' infranchissable ? Je vous le donne dans le mille, le bouclé fondit sur Louis, ils s'embrassèrent si fort que la tête du petit s'enfonçait dans le coussin. Il fit passer toute sa frustration dans ce baiser urgent, brûlant. Rien que sa bouche contre la sienne aurait pu le faire jouir putain... Son cœur explosa, comme un feu d'artifice, c'était ça, être avec la personne qu'on aime ? Il se senti si vivant, si heureux. Ils étaient amoureux. C'était le plus beau des moments de sa vie. L'adolescent glissa ses doigts dans les cheveux du grand, les tirant en gémissant. Seigneur, il le rendait fou avec sa langue bouillante. Ils se goûtent, s'effleurent et se redessinent. Harry entoura son bassin avec ses jambes. Mais une question subsiste. Est-ce qu'il savait ce que cela impliquait? Il essaya de s'écarter, mais, complètement absorber, Son péché suivi.
-Hm... Haz'... Celui-ci s'arrêta, les joues rouges, les yeux brillants et perdus, ses frisettes en bataille, merde, il était bien trop sexy... T-tu embrasse souvent les gens de cette façon?
Il ria bêtement.
-Non... Il n'y a que toi...
-Tu n'es jamais allé plus loin avec personne?
-Si... Mais je ne les embrasse pas avec amour...
Et ce fut trop d'information. Les? Plusieurs ? Sa mâchoire se serra de jalousie. Quelqu'un d'autre l'avait touché. Rien que d'y penser, il avait envie de leur éclater la gueule. Sincèrement. Et comme si l'autre lisait dans ses pensés, il ajouta:
-Lou, tu es le seul que j'aime. Crétin.
Il se mit à sourire comme un con, c'était si bon de l'entendre dire ça.
-Tu es le seul que j'aime aussi. Idiot.
Sa merveille passa ses bras autour de sa nuque.
-Alors prouve le moi...
Il avait compris. Il avait très bien compris. Fais moi l'amour. C'était ça. Et putain ce qu'il en à envie. Il n'allait pas refuser.
-Sûr ?
-Sûr.
Alors doucement, ses doigts passèrent sur son torse nu, puis il les faufila sous le caleçon de son trésor, son cœur tapait dans son cou. La chaleur les enivra. Le mécheux tâte tendrement le membre du bouclé, Celui-ci enfonce ses ongles dans la chair de Louis en se mordant la lèvre si fort, qu'il eût peur de l'exploser. Plus le temps passait, plus ils s'aimaient avec leurs peaux, leurs bouches. Les vêtements des deux s'évaporèrent. Et vint le moment ou leurs corps nu en demandaient plus.
-L-Louis... Je t'en supplie...
-Dis-le...
Un voile de sueur les recouvrait, à force de se frotter et de se faire désirer.
-J'ai envie de toi, bordel ça m'tue...
Il sourit victorieux. Il était tout à lui, chaque parcelle de son être lui appartenait entièrement. Alors doucement, le plus vieux s'enfonça lentement entre les chaires chaudes de son âme sœur, l'écartelant de plaisir. Il commença à bouger poussant le petit à se désagréger sous la lenteur de ses coups de reins, grondant contre son oreille, serrant ses cuisses sur la taille du garçon aux yeux bleus. Ils ondulent l'un contre l'autre en se tenant désespérément, comme si ils avaient peur de se perdre, de se lâcher. Parce que c'était mal et ils le savaient. Mais putain ce qu'ils s'aimaient. Alors peut-être que finalement, c'était beau. Les deux s'abandonnèrent dans leur acte contre nature, à grogner, gémir, frissonner, et se répèter en boucle qu'ils avaient besoins l'un de l'autre, plus que tout au monde. Les sensations montèrent, Louis observait le visage d'Harry se déformer de luxure, c'était si plaisant. Il était proche. Il lia leur mains. (Ps: coucou c'est moi! Ha...merde je dérange)
-Merde t'es tellement... T'es tellement parfait... Geint-il.
-Ha... L-Lou...
Puis la jouissance se répend dans leur veines, les entrainant tout les deux a coup sur en enfer. Un enfer paradisiaque. Ils se perdent dans ce secret malsain qui leur fait tourner la tête. Puis le mécheux s'éffondra sur le torse de son frère, enfouissant sa tête dans son cou, il souffla contre sa peau et le petit ria. Leurs thorax se soulevèrent rapidement.
-Tu veux qu'on aille au resto demain ? Demanda Louis comme si ils étaient un couple normal.
-Ça dépend, tu me prends dans les toilettes ?
-Mais où t'as foutu mon Harold fragile, bordel de merde?
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J'ai putain de galéré à l'écrire, je suis désolée si il n'est pas très bien écrit, j'ai un peu du mal avec ce genre de style. Voilaaaa !
Si vous avez envie d'un os en particulier n'hésitez pas à me demander, je l'écrirais.
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