cruising floppy
Où Louis croise Harry dans la rue, flash, puis décide de lui mettre plus de disquette qu'a un Windows.
Pdv: Harry
-Alors à demain Haz, rentre bien ! Me dis gentiment mon collègue de travail, Zayn.
-Oui, ne t'inquiète pas. Passe une bonne fin de soirée.
Il me sourit. Je pose mon tablier, puis prend mon sac eastpak noir, le plaçant sur mes épaules. J'ouvre la porte saluant Simon, mon patron.
Mes parents sont en voyage, ils profitent de l'été, tandis que moi j'essaie de gagner un peu d'argent de pocheJe me met à marcher dans les rues de Londres, seul. Il est tard, mais je me suis rarement fait embêter. C'est triste à dire mais j'ai la chance d'être un garçon. Certe, je n'ai que seize ans, je suis petit en taille, j'ai des cheveux courts, bouclé, des yeux vert. Mais malgré mon apparence fébrile, on ne m'interpelle pas. Du moins, c'est ce que je croyais, jusqu'à ce que j'entende des pas derrière moi et une voix cristalline s'élever entre les murs de ce quartier vide.
-Excuse-moi!
Je sursaute, me stoppant sous un lampadaire défectueux. Il n'a pas l'air méchant mais je me méfie tout de même, c'est souvent les plus gentils, les plus fourbes. Je me retourne, entendant ses pas. C'est un jeune homme, je dirais la vingtaine. Il a des mèches brunes en batailles, ses yeux semblent claires. Il est beau. Vraiment très beau. Il ressemble un peu à un ange.
-Oui, je peux vous aider? Je demande poliment.
Il me lance un sourire aguicheur, ma poitrine se met à trembler intensément. Je suis presque sur que cela se voit par dessus mon sweat rouge.
-Tu n'aurais pas l'heure ? Je t'ai vu passer et j'ai perdue la notion du temps.
Qu-quoi?! Heu... Ok. On me drague là? Waow, c'est la première fois que ça arrive, je sais pas vraiment quoi répondre... Je dois vraiment lui donner l'heure..? J-je suppose ?
-Heu, J-je... Oui! Bien-sûr ! Je sors mon téléphone. Il est 10 p.m.34.
Il ris doucement tandis que je ne sais pas vraiment comment réagir alors j'en profite pour le détailler. Il porte un pull gris un peu trop grand, avec ça, un Jean noir. Il a l'air musclé, avec une carrure assez simple. De fines jambes que je vois à travers sont skinny. Pas mal... J'apprécie. Lentement il stoppe ses gloussement puis murmure :
-On s'est déjà vu quelque part non?
Je lui sourit par courtoisie, je ne sais pas ce qu'il attends, ni qui il est, mais il ne me dit vraiment rien. Je me souviendrais de l'avoir rencontré. On oublie rarement ce genre de personne.
-Qu'est-ce qui vous fait dire ça ? Je demande intrigué.
Il arbore un rictus malicieux puis sa main vient remettre en place une de mes mèches de cheveux sur mon front. Sur le coup, j'ai un léger mouvement de recul, étonné par la proximité. Je me pensais pas si près de lui, mais en réalité ses pieds sont presque collé aux miens.
-Tu ressembles étrangement à mon future coup de cœur.
Et cette fois, c'est moi qui pouffe. Ses phrases sont si bâteau que s'en est drôle. C'est la première fois qu'on m'aborde et honnêtement c'est exitant, Peut-être même plaisant de savoir qu'on ne laisse pas les gens indifférents. Il a l'air heureux de savoir que son manège fonctionne jusqu'à ce que je dise:
-Vous m'avez l'air bien extraverti!
Il hausse un sourcil pour enfin hocher la tête rapidement.
-Pardon, j'ai oublié de me présenter! Je me doute bien que tu n'embrasse pas les inconnus! Je m'appelle prince et je suis charmant, mais tu peux aussi me nommer Louis.
Je roule des yeux, de mieux en mieux. On ne me les avait jamais faite celles-là.
-Enchanté Louis. Je suis Harry et je suis également pressé. Donc,tu m'excusera, on discutera plus tard.
Je le salut de la main avant de continuer mon chemin. C'est avec surprise que je remarque qu'il marche à mes côtés. Je ris doucement, le regardant.
-Tu ne lâchera pas.
-Mon père m'a toujours dit de suivre mes rêves. Alors, je te racompagne.
Je secoue la tête. Il ne sait pas avoir de réels discutions sans disquettes pourries, ou ?
-Si tu veux. Soufflais-je.
On avance quelques minutes en silence, et même si on est en été, il fait frais le soir. Je frotte rapidement mes bras, le mécheux remarque ma chair de poule. Il pouffe puis il retire son gilet.
-Enlève ton sac. M'ordonne-t-il.
-Heu, J-je, pourquoi ?
-Fait le, tu verras.
Je dégage mon eastpak de mon dos pour le prendre en main. Louis se met en face de moi, il place sa veste sur mes épaules. Ses doigts glissent le long de mes bras. Il détaille mon visage, et je fais de même. Mes yeux effleurent chaque parcelle de sa peau pâle, il est sincèrement beau garçon. Tout à l'air délicat chez lui. Ses cils, son petit nez, la courbe et la couleur de ses lèvres. Il sourit victorieux, ses doigts s'emmêlent aux miens et il murmure:
-Tu n'as pas eu mal?
Il me sort de mon imagination.
-Qu-quoi? Pourquoi ?
-Quand tu es tombé du ciel.
Je recommence à marcher sans pour autant qu'il ne lâche ma main
-Tu aurais pu trouver mieux. Me moquais-je.
-C'est vrai. Il ricane.
Son pousse caresse ma peau et je frissone. Je regarde le ciel, j'aime beaucoup l'été, les étoiles sont beaucoup plus voyante. Et puis la présence de mon bel inconnu est plutôt apaisante. On arrive devant l'appartement de mes parents au bout de quelques minutes. Je nous arrête devant la porte en verre.
-On est arrivé.
-Tu retourne au paradis?
Je souris bêtement.
-Tu voudrais monter à l'Olympe avec moi, boire un verre de jus d'Orange ?
Il paraît d'abord surpris mais rapidement un air enfantin remplacé ses sourcils froncé.
-J'ai toujours rêvé d'en voir les marches.
Je lui attrape le bras avec délicatesse et l'entraîne dans ma forteresse, on monte les escalier, arrivant chez moi, j'ouvre la porte et l'invite à entrer. Il se met à déambuler dans ma maison en regardant chacun des cadres sur les murs, les objets sur les meubles. Il est réellement curieux celui la. Je m'approche alors qu'il contemple une photo de moi posé sur un buffet. C'est une image qui a été prise par un ami qui aimerait être photographe. Alors je lui serre de cobaye.
-J'espère que ton père est psy, parce que j'crois que j'suis fou de toi... Chuchote-t-il.
Je sourit stupidement avant de tourner la tête vers lui qui me fixe déjà. Nos regards s'accroche et je sens mon corps défaillir.
-En temps normal je suis un très bon nageur, mais là je ne comprends pas, je me noie dans tes yeux... Dis-je pour rentrer dans son jeux.
Il rit, se mettant à détailler mon visage puis ses yeux se posent sur mes lèvres entrouverte. Un frisson me parcours lorsque je lis l'envie dans se prunelles azures.
-Dis-moi, Harry, il avance lentement vers moi, tu crois en l'amour au premier regard ou je dois repasser demain ?
-Tu dois être magicien, je suis complètement ensorcelé.
-J’ai besoin d’un bouche à bouche car tes mots me coupent le souffle...
On entre dans la cour des grands.
-Embrasse-moi si je me trompe mais, il me semble que les dinosaure existent encore.
Il pouffe et ses mains viennent se poser sur mes joues.
-Tu vas me rendre mon baiser ou je dois mentir à mon journal intime?
Un rictus fleurit sur mes lèvres et c'est lui qui craque le premier en se jettent dessus comme un affamé. Il m'embrasse comme si il avait attendu ça toute sa vie et putain, que c'est fort. J'ai l'impression que l'interieur de ma mâchoire frissone, que mes organes se retourne. Sa bouche est si douce et pourtant si brutale, le contraste me fait lâcher un gémissement, ses doigts descendent le long de mon torse et viennent se loger sur mes hanches. Tandis que les miens aggrippent sa nuque violemment. C'est tellement puissant que j'ai l'impression que mes jambes vont lâcher. Il sourit à travers le baiser puis mord ma chaire rose, un crie étouffé très peu virile s'échappe de ma gorge. Cela semble lui plaire étant donné qu'il grogne en me poussant contre le mur. Mon dos claque celui-ci et ses mains sous mon T-shirt griffent ma peau. Je tire sur ses petits cheveux dans sa nuque, Louis plaque son putain de corps de Dieu grecque au mien, son bassin frotte mon entre jambe. Ho seigneur, si il fait ça, je ne vais pas tenir longtemps... Finalement, ses lèvres glissent sur ma mâchoire, puis dans mon cou. Je plisse les yeux en penchant la tête sur le côté pour lui laisser le champs libre, aggripant ses épaules. Je souffle de plaisir mais il s'écarte doucement. J'ai la sensation que mon âme s'est envolé. J'ai sûrement les yeux vitreux, les joues rouges, le souffle haletant. Cela dis, il est dans le même état. Enfin, c'est ce qu'il montre. Je suis complètement inconscient de faire monter un inconnu chez moi puis de l'embrasser, mais je sais pas... J'ai un drôle de bon pressentiment. Il me coupe dans ma réflexion.
-Tu connais la différence fondamentale entre le sexe et la conversation, non ? Tu veux que je te montre..?
Je glousse puis roule des yeux, finissant simplement par hocher la tête. Et puis merde, on verra bien!
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Désolée, j'étais pas trop inspiré pour celui-là, mais j'ai des idées pour les prochains! J'espère quand même que c'était pas trop nul 🤡
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