DAY 3 - Dirty talk
Ship : 2Chan
Tw : Langage cru voire choquant, beaucoup de grossièreté, consentement forcé (?)
Nda : Pour le bon déroulement de ce défi, le dialogue entre les deux personnages sera en anglais. Désolé mais les injures en fr sont cringes et pas inclusives :-:
Mafia AU
Les déplacements du chef étaient toujours une événement grandiose chez les Nébuleux. Les déplacements officiels en tout cas, surtout s'il s'agissait de se rendre au-delà de la mer, là où la mafia avait un nom et un pouvoir irrévocable. Le trajet en avion avait été sécurisé en jet privé avec bar et divertissement à bord, le reste du trajet terrestre s'effectuait dans un cortège de plusieurs range rover noire aligné les unes contre les autres.
La discrétion n'était pas une option, personne ne pouvait les braver de toute façon. Ils étaient la loi et ils représentaient le trafic asiatique sur ces terres.
La voiture en milieu de file s'arrête une fois avoir pénétré l'énorme manoir de l'aube. Là où le représentant de l'organisation allait logé le temps des échanges et des négociations.
Changbin pose un pied à terre, ses chaussures cirées à la perfection foule le sol en gravier. Une fois hors du véhicule, il prend une énorme bouffée d'air frais. Ah, l'Amérique ! Comme il était ce continent. Il enlève ses lunettes de soleil d'un geste hâtif avant de signaler à son garde d'ouvrir la marche. La dernière fois qu'il était venu ici remontait à maintenant deux ans. Et il avait hâte de retrouver son chez lui, ici loin des responsables qu'il avait en Corée du Sud, et de tout ce qu'il devait y gérer.
Les gardes et les servants s'alignent tous pour souhaiter la bienvenue au maître de maison. Changbin scanne un regard indifférent sur eux, ce n'était que le personnel de maison. Rien de bien fou. Tous sauf une seule personne qui manquait à l'appel. Et son sang ne fait qu'un tour dans sa poitrine.
- Où est Christopher ? Demande t'il froidement à son majordome, en tête de la queue.
Ce dernier s'incline respectueusement, une main sur le cœur.
- Christopher est parti à la fac monsieur.
- Comment cela à la fac ?! N'était t'il pas au courant de mon arrivée aujourd'hui ? Rugit t'il, faisant sursauter les pauvres gens.
Le vieil homme balbutie dans sa barbe blanche, les mains maintenant derrière le dos.
- E-eh bien, je lui ai dit. Mais il n'a pas voulu rester.
- Harold, je t'ai dit de garder un œil sur lui vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Harold se mit à transpirer à grosses gouttes, il connaissait assez cet homme pour savoir qu'il avait le sang chaud et que ses balles partaient plus vite que son ombre. Ce n'était pas la peine de le froisser.
- Je le sais monsieur, mais vous m'avez aussi demandé de ne pas me mêler de ses études. Si vous voulez, je peux l'appeler pour lui demander de rentrer de suite.
Changbin hume en l'air, peu convaincu mais pas d'humeur à s'énerver. Non, il voulait tout garder pour lui.
- Dit lui de me servir le café dès qu'il arrive.
Et il presse le pas vers ses quartiers suivi de son garde du corps. Sa chambre ici était une somptueuse suite décorée de la façon la plus moderne possible, il y avait aussi un bureau où il recevait majoritairement ses sujets dans un cadre plus intimiste et discret. Voyons voir, il n'avait réellement pas le temps de se reposer. L'affaire du détournement de fond, la même qu'il l'avait conduit jusqu'ici aujourd'hui, était à traité d'urgence pour transmettre les détails à son père dans les plus brefs délais.
Il se plonge donc tout de suite au travail, après tout, il voulait être le plus disponible possible pour accueillir son ... qu'est-ce qu'il était déjà ? Un jeune homme beau et rebelle qu'il prenait un plaisir fou à soumettre. Il ne l'avait pas vu depuis si longtemps, dieu, qu'est-ce qu'il lui avait manqué. C'était si délicieux de le tourmenter.
•••
Chris était plongé dans ses révisions, casque aux oreilles, son ordinateur et sa tablette était tout les deux déployé devant lui, l'un comme livre numérique l'autre comme support d'écriture pour prendre ses notes. S'il avait tout ces gadgets high tech, ce n'était pas parce qu'il avait un job qui payait bien ni des parents méga riches non non. Il avait fui la Corée du Sud où il était condamné à suivre des études de médecine dans un institut raciste et xénophobes. Une fois atterrit aux states, il n'avait pas un sou.
Pourtant aujourd'hui, le voilà en train de suivre des études de musique dans une prestigieuse université avec tout le matériel nécessaire, comment avait t'il fait ? C'est simple, de l'argent sale.
Sa carrière avait commencé comme un simple traducteur dans des échanges...mon dieu, du trafic humain entre des américains et des coréens. Un petit gang sans grand succès qui vivait des petites missions conviés par de plus fort et qui étaient surtout des guet-apens pour écarter les suspicions à leur égard. Mais tout cela avait basculé lorsqu'un jour il avait eu la naïveté non- il n'avait pas été naïf. C'était l'appât du gain. Ses économies commençaient à sérieusement se vider et l'hiver approchait à grands pas. C'était peut-être le destin qui avait voulu qu'il tombe dans ce piège ce jour-là ?
C'était une mission d'espionnage assez simple, il se faufilait à travers les hommes des Nébuleux en prétendant être traducteur, dupliquer toute les informations qu'ils échangeaient durant la réunion. Faire passer la clé USB et il récupère son paquet dans l'anonymat le plus total.
Ça avait été le pire fiasco de sa vie, son plan avait été foiré dès qu'un vrai traducteur s'était pointé, il avait été vu et reconnu avec l'adversaire, les hommes n'ont pas hésité à se jeter sur lui pour le rouer de coups.
Le brun avait vu sa vie défiler sur le sol froid d'une cave, les yeux embués par tout les coups qu'il s'était pris dans la figure. Son sang avait imbibé son tee-shirt et pile au moment où un homme s'était pointé devant son visage pour lui coller une balle entre les yeux.
- Arrêtez.
Cette voix lui avait sauvé la vie, une voix rocailleuse, forte et charismatique.
- Chargez le dans le camion, je m'occupe de son cas.
Et effectivement, il s'était occupé de son cas. Il s'en était très bien occupé.
La sonnerie du téléphone coupe le brun dans sa contemplation, il attrape son téléphone en reconnaissant le numéro du téléphone fixe de la maison. Super, il ne pouvait même pas avoir quelques minutes pour lui.
- Oui ?
- Christopher ! Aboie la voix du majordome à travers le combiné. Tu es irresponsable et tu nous mets en danger bêtement, rentre tout de suite, monsieur est très énervé de ton absence.
Le brun soupire lourdement, il ne se donne même pas la peine de répondre, de toute façon, la voiture était sûrement en train de l'attendre dans les environs du domaine universitaire. Sans un mot, il ramasse ses affaires avec précaution et quitte la bibliothèque après quelques signes de tête à ses camarades.
Effectivement, il ne s'était pas trompé une énorme berline noir l'attendait juste devant l'établissement. Sans un mot, il y monte et referme la porte derrière lui.
Voilà deux ans qu'il n'avait pas revu son sauveur ? Ou son bourreau ? Changbin n'était ni le premier ni le second, il lui avait certes sauvé la vie mais à quel prix ? Maintenant il est devenu sa petite marionnette, sa peluche à tout faire et un joujou qu'il adorait exhiber et s'en vanter.
" Regardez, je suis si riche et influent que je possède des humains, encore mieux, je possède des hommes ".
Parce que les femmes dans le milieu étaient malheureusement nombreuses et en posséder une n'était même plus un exploit remarquable.
Sa vie n'avait plus jamais été la même depuis, certes il n'était ni affamé ni à la rue mais ce qu'il donnait en échange était bien trop cher : sa dignité.
•••
Trois petits coups à la porte se font entendre et Changbin relève la tête de son ordinateur. Il débranche le disque dur, le range dans sa commode la plus éloignée avant de donner le signal d'entrée.
À sa grande surprise, il vit avancer le chariot de service et il devina aisément que c'était de son petit préféré qu'il s'agissait.
- Oh, monsieur daigne enfin pointer le bout de son nez hein ? Ou est-ce que tu éta-
Il s'arrête au plein milieu de sa phrase, ébahis par les vêtements qu'il portait.
Changbin se relève de son siège, piqué dans sa curiosité, desserre sa cravate pour contrer la grosse vague de chaleur qui avait inondé son corps. Voilà pourquoi il aimait Los Angeles, voilà pourquoi il aimait ce manoir malgré toute les habitations qu'il avait au quatre coins du globe. Un seul nom.
- Oh...oh ! There there Christopher, j'étais censé te passer un savon mais je dois bien avouer que tu me surprends.
Le garçon passe la porte avec une lourde cadence, ralentit par la gêne et l'humiliation qui lui rongeait le corps.
Oui, Changbin avait spécialement exigé qu'il le serve en soubrette la première fois qu'il l'avait amené ici. Une tenue ridicule qui ne couvrait aucune partie de son intimité, mais qui étouffait les muscles les plus développés de son corps.
Le chef se rince l'œil, éhonté. Ses yeux brillaient d'une malice particulière. Ça y est, il retrouve leur relation là où il l'avait laissé deux ans auparavant.
- Du thé ou du café pour monsieur ? Demande le jeune homme, faisant fi des moqueries évidentes de l'homme en face de lui.
Il attrape un verre et la théière, versant le liquide brûlant lorsqu'une main remonte soudainement le long de sa cuisse dénudée. Chris se fige, la mâchoire serrée, il fait appel à toute sa maîtrise de soi pour ne pas lui envoyer la théière en plein dans la gueule. Ce serait con de perdre la vie à cause d'un excès de colère.
- Laisse ça et dit moi plutôt, je ne t'ai pas manqué ?
La main remonte le long de sa cuisse, se glissant sous l'élastique noir de son boxer.
- C'est pas toi qui a demandé à ce que te serve le thé ? Rétorque t'il, agacé.
Manqué ?! Ha ! Chaque minute passée loin de lui était une paradisiaque, il dormait la nuit avec toute l'assurance qu'aucun pervers n'allait le réveiller en plein milieu de la nuit pour assouvir ses penchants étranges.
- C'est parce que je savais ce qui allait être servi avec le thé...murmure t'il en venant glisser son autre main autour de ses hanches.
Ses doigts parcourent la couture de la robe, en contact très rapproché avec sa peau. Il sentait sa chaleur palpiter sous ses doigts, sa peau douce et agréable, musclé à souhait.
I
l descend encore jusqu'à ses cuisses, compressé comme deux saucissons dans des portes jarretelles qui tenaient de justesse. Le devant de son boxer ne cachait même pas la bosse imposante qu'était sa virilité. Carrément un gros engin là dedans.
- Des macarons ? S'enquit t'il, sarcastique.
Changbin ricane de la pseudo blague, avant de reprendre son sérieux et humer délicatement la senteur de ses cheveux.
- Quand est-ce que tu as abandonné le blond ? Il t'allait pourtant si bien, tu avais l'air d'un ange dedans.
- Depuis que tu m'as dit que ça m'allait bien. Rétorque t'il, avec toujours plus d'insolence.
Le gangster se décale de lui par la suite, un sourire espiègle au visage, il retourne à son siège derrière son bureau. Là, il plante un regard dur d'acier sur lui. Son index tatoué d'extension de divers dessins gothiques se pointe sur lui, avant de se replier avec souplesse et provocation.
Christopher approche de lui sans un mot, les bras lâches autour de lui. Il n'avait pas peur, très honnêtement, Changbin représentait tout sauf une menace pour lui.
Il était habitué au mot dur, au geste brusque, au manque de considération mais à part cela, le noiraud n'allait jamais plus loin. En fait, il le supervisait toujours après l'avoir malmené, histoire d'être sûr qu'il avait toute ses aptitudes physiques et mentaux.
- Smart mouth huh ? Better put that to use well.
Le brun frissonne profondément lorsqu'il entendit ses mots, avant même qu'il n'eut le temps de rétorquer, une puissance main attrape sa mâchoire pour le jeter à genoux devant lui. Ou plus précisément entre ses jambes écartées.
- Here you go doll, open up for your owner... good boy.
Il penche sa tête en arrière, le retenant par le front tandis que peu à peu, timidement, les molaires du garçon étaient de plus en plus visibles.
- Tongue out.
Un nouveau frisson de dégoût saisit son corps, il savait ce qui allait suivre ce n'était qu'un circuit de sensations étourdissantes jusqu'à la fin. Où il sera laissé haletant, épuisé et honteux.
- Fantastic.
Le noiraud cracha sans aucun scrupule sur sa langue, observant son torse haleter par la surprise et la frayeur. Ah ! Il s'y était pas attendu à cette là hein ?
La salive glisse dans différentes directions suivant le cours de la gravité, glissant le long de son cou ou tombant directement sur le sol pour le tâcher.
- Tu es sec comme un cul de bouteille, ça te fera du bien de te lubrifier un peu. Se justifie t'il avant d'en rire, une rire machiavélique non partagé. Maintenant voyons voir si tu as retenu ce que je t'ai appris la dernière fois.
Une main empoigne les cheveux derrière sa tête, le mobilisant complètement tandis que l'autre débouclait la ceinture de son pantalon.
- De toute façon, t'es un bon à rien. À chaque fois que je te donne une leçon tu l'oublies en moins de deux, à croire que t'as le cerveau troué.
Il enfonce son index sur sa tempe, un geste inconscient qui avait sûrement pour but de boucher le trou qui provoquait la fuite d'information.
Sa tête part en arrière avec mais il se dépêche de le rattraper pour le remettre à sa place.
- Oh, Christopher, don't look at your owner like that.
Une tape sèche l'incite à baiser le regard tandis qu'il reprenait son déshabillage. Soigneux, il sortit son membre gorgé de sang, de son pantalon, le plantant droit devant le nez. Le soumis eut presque envie de vomir rien qu'à sa vue, il le sentait déjà descendre dans sa gorge, impitoyable, sauvage et très brutal.
Changbin remarque ses pupilles grossit par l'effroi, il y voyait sa peur et son appréhension. Deux émotions qu'il adorait s'en délecter dans ses prunelles, et qui abreuvait son corps et son cœur de délicieuses sensations.
Après la longue minute de préparation, Chris se retrouve contraint d'avaler son membre jusqu'à ce que son nez touche l'aine du mafieux. Changbin adorait le recouvrir de sa salive entièrement, marquer son passage du premier coup et pourquoi pas repeindre sa gorge.
- What a whore, débute t'il ensuite sa dégradation verbale, taking me like it's nothing. That's all you're good at, huh ? Sucking dicks.
Il l'immobilise en attrapant ses cheveux de part et d'autres de son crâne, ses doigts agrippant le crâne plutôt que la chevelure pour une fois.
- Bet you were sluting around while I was away. Grogne t'il, son sang bouillant dans ses veines à l'idée qu'on ait touché à sa propriété.
Bien sûr qu'il aurait pu coucher avec d'autres gens en deux ans, il allait à la fac, rencontrait plein de monde, avait des amis. Il avait tout un monde en dehors de ce manoir, un monde qui s'y arrêtait à son entrée puisqu'il ici, il revêtait ce ridicule accoutrement pour jouer la jolie serveuse et le vide couille de cet homme odieux. Plus d'une fois, Changbin s'était surpris de lui laisser autant de liberté, plus d'une fois, il s'était demandé comment ça se faisait que ce garnement lui répondait avec insolence, le regardait dans les yeux, se servait dans son porte-monnaie sans permission ? Comment pouvait t'il aller et venir dans une maison où même les têtes rivales qui y mettaient les pieds restaient sur leur qui-vive ?
C'était simple.
Il aimait Chris. D'un amour de mafieux, rude, un amour qui n'était pas les registres de la norme ou du code social. Mais au plus profond de lui, il l'aimait. Et Chris le savait.
Sans même s'en rendre compte, Changbin s'était mis à marteler sa bouche avec puissance. La rage et la colère montant au lui l'avait aveuglé l'espace d'un instant. Le brun prenait maintenant des grands souffles, le visage injecté de sang et les veines ressortis.
Chris était un bel homme, dans la fleur de l'âge, blanc comme neige. Il ne méritait pas de connaître les coups bas et la crasse de cette vie de folie. Il ne méritait ni les coups ni de mettre chaque jour son intégrité en danger. Non, ce qui lui siait lui, c'était les soubrettes et le chariot de thé. Les études à la bibliothèque, une séance de jambe en l'air entre les deux.
- Humm ...proteste t'il en posant une main sur son genou.
À nouveau, Changbin tombe en extase à la vue de ses mains, ses doigts longs et minces, les os de ses phalanges courbant la peau au-dessus, ses ongles étaient si clairs que l'on voyait les veines passer à travers.
- Filthy bitch, don't whine at me.
Joignant le geste à la porte, il place une claque cuisante sur sa joue, faisant sursauter son vis-à-vis. Il regrette aussitôt, mais son corps avait accumulé un excès d'amour qu'il devait évacuer. Il ne pouvait ni embrasser ni roucouler, il pouvait frapper. Il voulait lui faire mal pour lui prouver à quel point ce qu'il plantait en lui était profond, et que ça n'avait pas de la place dans son cœur se pierre.
- Not even able to take it, such a useless little piece of shit. Why am I spending so much of you then ? A human pillow could do better.
Chris tente de suivre la cadence, faisant fi de tout ses mots qui lui tombaient tout droit sur son entrejambe. Il était dur, incroyable mais vrai, et dès que Changbin s'en rendrait compte il se ferait tellement humilier qu'il ne s'en remettra jamais.
Un gémissement suivit d'un flot de grossièreté s'échappe de sa bouche alors qu'il diminuait un peu la cadence. Après tout, il ne voulait pas étouffer son amant.
Ce dernier prit quelques secondes pour reprendre son souffle avant d' officiellement débuter sa fellation.
Pourquoi autant d'entrain d'un coup ? Son oreille avait capté des bruits de pas dans le couloir et si Changbin avait un entrevue, ce n'était pas la peine qu'il se retrouve à quatre pattes devant une foule d'homme venu pour négocier.
Il pompe sur son pénis, le traitant avec autant de dureté que lui le faisait quelques minutes plus tôt. Il n'avait pas besoin d'être doux de toute façon, c'était pour les gonzesses, les bisous et les niaiseries.
- Tu aimes ça huh ? Lui demande t'il avec un petit sourire en coin.
Chris ouvre ses yeux, tombant sur son nez à quelques centimètres du sien, sourire mesquin aux lèvres, il n'allait pas se laisser faire. Alors, regroupant tout le courage qui lui restait, il le regarde d'un air moqueur, les yeux étirés en une expression de défi.
Il était proche, il le sentait.
Changbin tire sur ses cheveux à nouveau mais le brun lui résiste, sa poigne devient rapidement faible, restant comme une caresse imperceptible sur sa tête.
Il était proche, très proche.
Mais alors qu'il croit le voir capituler pour cette manche, il se sentit relever du sol par le col.
- Cumslut, dont think that you deserve to taste it now. Bend over the desk and let me fill that useless hole of yours.
Christopher lui sourit avec entrain avant d'entreprendre de défaire les quelques boutons de ses portes jarretelles. Il grimpe sur le bureau, les jambes écartées et offert à son amant.
S'il n'était pas trop doué pour les fellations, il fallait admettre une chose, Changbin était absolument doué avec sa queue.
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Très court et superficielle je vous l'accorde, mais j'ai tout concentré sur le dialogue par manque de temps et d'énergie TwT #journee chargée.
Mais je tiens le rythme et c'est enfin le week-end lol, je vais pouvoir avancer.
Peut-être que je vais le corriger et le continuer après ça ?
Anygays j'espère quand même que c'était potable. Hbd a Leadernim au passage XDDD
Stay tuned<3
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