- 𝐈 𝐰𝐚𝐧𝐧𝐚 𝐭𝐚𝐬𝐭𝐞 -

Tom x reader 

Tom travaille tard sur un tournage et s'arrête dans son café préféré. 

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Il était tard et la nuit tombait déjà sur la ville. Tom marchait dans la rue, se dirigeant vers son hôtel. Le studio n'était pas loin et il aimait se promener à l'air frais de la nuit, se détacher de tout. Il connaissait les rues par cœur, passant souvent par là depuis qu'il avait commencé à filmer sa nouvelle production il y a trois mois. C'était calme. La rue était vide, il n'y avait pas une seule voiture ou un seul piéton. Le seul son que Tom pouvait entendre était l'ambiance de la ville. 

Tu regardais ton téléphone, les coudes posés sur le comptoir, déjà en train de t'ennuyer. Ton dernier client était sorti il y a quelques minutes et maintenant ton café était vide. Mais tu ne pouvais pas rentrer chez toi, tu faisais le service de nuit et tu sentais que la nuit allait être très longue. Les gens ne venaient pas ici la nuit pour prendre un café... Pas ces jours-ci en tout cas... 

Tu soupiras encore, tu remis ton téléphone dans la poche de ton short et tu regardas par la vitrine. La nuit était déjà là, mais ce n'était que le début de ton service. Soudain, la cloche au-dessus de la porte sonna et un homme entra. Tu te redressas et tu afficha un grand sourire en voyant qui c'était. 

— Bonsoir, M. Hiddleston, tu saluas avec un grand sourire. 

Il se dirigea vers toi avec un sourire éclatant, le genre de sourire qui fit trembler tes genoux. 

— Bonsoir, Y/N, répondit-il. 

Ton nom sur sa langue te fit frissonner. Tom était un client régulier depuis qu'il avait commencé à filmer son nouveau film non loin d'ici. Il vennait toujours chercher son café et un peu de pâtisserie. Il les aimait beaucoup, comme tu avais pu le remarquer. Le destin avait décidé que tu étais presque toujours là pour le servir et avec le temps, tu avais commencé à lui parler. Il finit par t'appeler par ton nom, le voyant sur ton badge et tu le taquinais en l'appelant M. Hiddleston, même s'il t'avais dit plusieurs fois de l'appeler Tom. 

— Tu travailles seule ce soir ? demanda-t-il, en s'appuyant légèrement sur le comptoir, son visage se rapprochant du tien. 

Tu essayas de ne pas te perdre dans ses beaux yeux et tu hochas la tête en répondant à sa question. 

— Oui, Alice est malade. Il n'y a que moi. 

— C'est bien pour moi, alors, ajouta-t-il, ses yeux transperçant ton âme. 

Tu te mordis inconsciemment la lèvre inférieur. Cet homme était magnifique. Tu le savais déjà avant qu'il ne rentre dans ta boutique, mais maintenant que tu pouvais le voir de près, tu ne voulais plus jamais regarder un autre homme. 

Toutes les fois où Tom est venu dans ton café, vous avez eu de petites conversations, vous avez appris à vous connaître. Il te racontait toujours ses voyages autour du monde et tu étais suspendu à ses lèvres à chaque mot qu'il disait. Cet homme était si intéressant, si poli et si bien éduqué. En échange, il voulait que tu parles de toi, de ce que tu aimais dans la vie, de ce que tu voulais faire dans le futur. Il était le premier client à s'intéresser sincèrement à toi et tu appréciais cela.

— Qu'est-ce que je peux t'offrir ? demandas-tu, en prenant déjà une tasse. 

— Un Galão, s'il te plaît, dit-il, en s'asseyant sur le tabouret devant le comptoir. 

— Galão, tout de suite, tu imitas un chef sévère comme si tu dirigeais toute une cuisine. 

Tom rit et se débarrassa de son manteau, le laissant dans une chemise serrée. Tu essayas d'être discrète quand tu observas ses muscles bouger sous le textile. En te mordant à nouveau les lèvres, tu te retourna vite avant qu'il ne puisse te surprendre à le regarder et fis face à la machine à café. Tu mis la tasse dans la machine et tu laissas l'espresso se déverser dans la tasse. Pendant que tu lui tournais le dos, Tom mit son coude sur le comptoir et te regardas librement. Tu avais attiré son attention dès le premier jour où il t'avait vu. Il se souvenait de tes yeux innocents qui le regardaient, du choc quand tu avais réalisé qui il était et de ta timidité par la suite. Tu t'étais habitué à lui après cela et il en était content. Tu étais belle et il savait qu'après le troisième jour, il ne viendrait plus ici seulement pour les pâtisseries. C'était l'été et tu portais toujours ces shorts serrés, tes jambes le hantant dans ses rêves. Ton tablier était la chose la plus sexy qu'il avait vu sur toi, et il avait souvent rêvé que tu ne portais que ça, sans rien d'autre en dessous.

Il laissait ses yeux descendre le long de tes épaules jusqu'à tes hanches, qui dansaient en attendant que le café cesse de couler dans la tasse. Il regarda alors plus bas vers tes fesses et il se mordit les lèvres inconsciemment. Ses mains se crispèrent tant il aurait voulu les attraper et serrer ta chair, en entendant tes doux gémissements.

Un cri de surprise l'arracha à ses pensées défendues et il leva les yeux vers toi. Le côté de la machine qui faisait de la mousse de lait avait soudainement dysfonctionné, faisant le bruit d'une vieille moto, et le lait t'eclaboussa en plein visage. Tom était sur ses pieds aussi vite qu'il le pouvait et se précipita derrière le comptoir pour t'aider. Le lait tombait sur le sol par vagues et vous paniquiez tous les deux, en essayant de trouver le bouton qui pouvait arrêter la machine. Quand le chaos s'arrêta finalement, tu regardas le désordre, essayant de reprendre ton souffle, avant de lever les yeux vers Tom, riant soudainement de la situation. 

— Quel désordre ! ris-tu. Je suis désolé, mais je ne peux pas faire ton café...

— Pas de soucis, dit-il, en riant un peu. Tu vas bien ?

— Oui, ça va. Tu hocha la tête, en faisant un pas pour attraper une serviette mais tu glissas sur le sol mouillé. 

Tom te rattrapa, enroulant ses bras forts autour de ta taille, te stabilisant sur tes pieds. Tu ris encore devant toute la situation, et tu remercias Tom. Mais ensuite tu regardas dans ses yeux et tu vis quelque chose qui te fit frissonner. De l'envie. Du désir. 

Tu devins alors consciente de ses bras forts autour de toi, de la chaleur irradiant de son corps et de ta poitrine pressée contre son torse. Ses yeux scrutèrent intensément ton visage avant de regarder plus bas, s'arrêtant sur ta poitrine. Tu baissa les yeux à ton tour et tu remarqua des gouttes de lait mousseux glisser sur ton décolleté. Tu te sentais excité et plus ambitieuse que jamais, alors tu pris la goutte avec le bout de ton doigt et le mis lentement et langoureusement dans ta bouche. Les yeux de Tom suivirent tes mouvements et tu juras avoir vu ses pupilles se dilater lorsque tu suçais lentement ton doigt. La tension était palpable dans la petite boutique, tu pouvais sentir tous les sourires, les regards et les petites caresses des derniers mois te revenir en pleine vague d'excitation. Quand ton doigt quitta ta bouche avec un 'pop', Tom grogna, te faisant frissonner une fois de plus. Et puis il craqua.

D'un geste rapide, il attrapa ton visage et écrasa ses lèvres sur les tiennes. Tu haletas, surprise, et sa langue entra aussitôt dans ta bouche, s'emmêlant avec la tienne. En gémissant, tu attrapas ses cheveux, en les tirant légèrement et tu l'embrassas avec autant de ferveur que lui. Il était impatient, il était maladroit, mais c'était ce que tu voulais. Mettant son front contre le tien, Tom laissas ses mains glisser sur tes côtés, explorant tes courbes, savourant la forme de ton corps. Ses mains voyagèrent derrière toi , dans le creux de tes reins et défirent le noeud qui tenait ton tablier, le laissant tomber sur le sol. 

— Tom...Tu murmuras dans un gémissement, et il captura tes lèvres une fois de plus dans un baiser urgent. 

Tu saisis ses épaules, tes ongles raclant le tissus de sa chemise, ayant besoin de quelque chose à quoi s'accrocher. Tu sentais que tu étais en feu, tu avais chaud et tu sentais l'humidité se former dans tes sous-vêtements. Cet homme te rendait folle et tu étais accro à ce sentiment. Tu avais besoin de plus. 

Tom semblait être dans le même état que toi parce que ses mains glissaient sous l'ourlet de ton t-shirt et caressaient ta peau chaude, provoquant une chair de poule sur son passage. En quelques secondes, ton t-shirt s'envola de l'autre côté du café, te laissant dans ton soutien-gorge. 

— Depuis le premier jour où je t'ai rencontré, j'ai rêvé de faire ça, Tom gémit, en te regardant à moitié nue. 

— C'est drôle, j'ai fait le même rêve, tu lui souris entre tes essoufflements. J'ai besoin de toi, maintenant, tu ajoutas, en déboutonnant sa chemise. 

Il t'aida à le débarrasser de sa chemise, le laissant torse nu dans la boutique. Tu admiras ses muscles et tu te mordis les lèvres avec impatience. Tu le voulais tellement. Il saisit alors le devant de ton short et le déboutonna ; le tissu tomba autour de tes chevilles. 

— Tu es si belle. 

Sans prévenir, il attrapa tes hanches et te souleva, te plaçant sur le comptoir. La froideur du marbre te fit haleter et il sourit. Mais alors, tu réalisas soudainement où tu te trouvais. Au milieu de ton café qui était encore ouvert. Même si les gens venaient rarement la nuit, tu n'étais pas sûr que personne ne viendrait. Tom allait t'embrasser, mais tu l'arrêta, soudainement inquiète. 

— Attends, et si quelqu'un entrait ? demandas-tu en regardant nerveusement la porte. 

Tom haussa les épaules et t'embrassa dans le cou, descendant lentement vers ton épaule puis vers tes seins. 

— Non, Tom, je suis sérieuse. 

— Ne t'inquiète pas, personne ne nous verra. Il t'assura, en regardant dans tes yeux, en souriant calmement. 

— Comment peux-tu en être aussi sûr ? 

— Parce que, tu es si belle, si sexy... Je ne pourrai pas tenir assez longtemps pour que quelqu'un nous voie, dit-il en riant. 

Toi aussi, tu gloussa et tu rougis un peu au compliment. Ses lèvres retournèrent dans ton cou, et tous tes soucis disparurent. Tu fermas les yeux, profitant de ses lèvres sur ta peau chaude, quand soudain, il se mit à genoux. Tu ouvris les yeux et tu le regardas, surprise, mais tu ouvris la bouche de surprise lorsque tu compris ce qu'il allait faire. 

— Oublie le café, je veux te goûter, murmura-t-il entre tes jambes. 

Il mit ta culotte de côté et caressa lentement ton clitoris. Tu frissonnas et te mordis les lèvres, en essayant de garder tes gémissements sous silence. Mais Tom avait d'autres plans en tête. Il avait besoin de t'entendre crier son nom. Sans plus attendre, il posa sa bouche sur ton intimité et laissa sa langue entrer en toi, t'explorant, te goûtant. 

— Ha, Tom ! Tu gémissais, appuyée sur le comptoir, les jambes se refermant involontairement sur lui. 

Sa langue entrait et sortais, lentement au début, puis allant plus vite, en te goûtant et en fredonnant avec appréciation. Il te rendait lentement folle. Tu saisis fortement le bord du comptoir et tes jambes tremblaient déjà. Tom leva les yeux vers toi et se pencha un moment en arrière pour te sourire. 

— Délicieux, murmura-t-il. 

Avant que tu ne puisses répondre, il mit un doigt en toi, entrant et sortant, lentement, en frottant à cet endroit qui te faisait voir des étoiles. Un deuxième doigt suivit et il posa de nouveau ses lèvres sur ton clitoris, en suçant fortement. 

— Ah! Tu haletas, en te cambrant un peu. 

Tu sentais un nœud dans ton ventre, prêt à se rompre. Un troisième doigt et quelques secondes plus tard tu criais son nom, tes muscles se contractant autour de lui. Il suça ton clitoris pendant que tu subissait ton orgasme, puis il se leva, pendant que tu essayais de reprendre ton souffle.
Il te regarda avec un sourire suffisant, il était si fier de lui et cela t'excitait encore plus. Tu ne pouvais pas attendre, tu avais besoin de lui en toi, maintenant. Tu saisis son épaule avec force et tu le tira vers toi, en écrasant ses lèvres sur les tiennes, en te goûtant. Tes mains descendirent alors plus bas et ouvrirent son pantalon. Sans rompre le baiser, ta main plongea dans son caleçon et tu saisi son pénis en érection. 

Il gémit. Et ce simple son t'excita à nouveau. 

— J'ai besoin de toi maintenant, Tom. Tu murmuras contre ses lèvres. Prends-moi.

Il prit son membre et s'appuya contre toi, frottant la tête de son pénis contre ta vulve de haut en bas. Il t'embrassa une fois de plus, fébrilement, avant de poser son front sur le tien. 

— Tu es sûr ? demanda-t-il en te regardant dans les yeux. 

Tu souris. Même dans cette situation, il était l'éternel gentleman. Tu fis un signe de tête, en te mordant les lèvres et c'était tout ce dont il avait besoin pour continuer. Dans un mouvement rapide de ses hanches, il entra en toi. Vous haletez tous les deux à la sensation, vous vous sentiez finalement entiers. Il se déplaça lentement au début, sentant tes muscles serrer son pénis, le faisant frissonner, puis il accéléra. 

— Tu es merveilleuse, gemissa-t-il dans ta bouche, vos langues s'emmêlant. 

Il serra tes hanches fortement et te tira vers lui, tes fesses étaient presque suspendu au bord du comptoir. Ayant besoin de plus de lui, tes mains glissèrent de ses épaules à ses fesses, sous son pantalon. Tu attrapas les deux joues et tu serras fortement, le faisant gémir. 

Ses mouvements devenaient lentement erratiques et tu savais qu'il était proche. Tu l'étais aussi, tu pouvais à nouveau sentir la chaleur dans ton ventre, cette tension prête à se rompre, il te fallait juste un peu plus. Comme s'il lisait tes pensées, la main de Tom retrouva ton clitoris et frotta de petits cercles. 

— Tom, Tom, tu gémissait sans cesse, ton orgasme était proche. 

— Laisse-toi aller, Y/N, gémi-il dans ton oreille. 

Il ne fallu que sa voix pour que tu exploses. Tu ferma les yeux, criant son nom, le serrant fort comme si tu tombais. Tu serras tes muscles autour de son pénis et quelques coups de hanche plus tard, Tom éjaculait, gémissant ton nom. 

Vous restez tous les deux immobiles, essayant de reprendre votre souffle. Tu étais toujours accrochés à Tom, ta tête reposant sur son épaule. Après un moment de silence confortable, profitant de la brume post-orgasme dans ses bras, vous vous redressez tous les deux et vous vous regardez. Avec un dernier baiser, Tom quitta ton corps et referma son pantalon. 

— C'était incroyable, dit Tom en te regardant dans les yeux. Tu es incroyable.

Tu rougis au compliment. C'était idiot, sachant ce que tu venais de faire avec lui, dans un lieu public. Il t'aida à sauter du comptoir et vous vous rhabillez en silence, volant des regards de temps en temps. Une fois tous les deux habillés, vous vous mettez maladroitement en face l'un de l'autre, ne sachant pas quoi faire.

— Je dois nettoyer le désordre, dis-tu en regardant le lait qui couvrait le sol. 

Alors que tu étais sur le point de partir à la recherche d'un chiffon pour nettoyer, Tom t'attrapa le poignet et te força doucement à lui faire face. 

— Je ne veux pas que ce soit un coup d'un soir, déclara-t-il soudainement.

— Qu-Quoi ? Tu lui répondis. 

— Je ne suis pas ce genre d'homme. J'ai des sentiments pour toi et j'aimerais les explorer. Peut-être renouveler cette expérience ? demanda-t-il, avec un peu d'espoir. 

Tu pouvais voir qu'il était gêné, mais tu voyais aussi qu'il était sincère. Tu souris, ton cœur battait fort à l'idée qu'il te voulait. 

— Je te dois toujours un café, tu souris. 

Tom sourit, comprenant que ce soir n'était que le début de quelque chose de grand. 

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