Chapitre 10 : My stupidity will kill me one day

Chapitre 10
































Ma peau me piquais et je me dégoutais à présent d'avoir laisser Jungkook me toucher de cette manière. On a eu notre première baiser dans cette havre de paix et en y repensant, une larme perlait sur ma joue. Mes cuisses me brûlaient dû à l'effort que je leur affligeais, mon ventre me creusais comme je n'avais rien mangé depuis trois jours et je me sentais congelés par le froid.

Je ne sais pas depuis combien de temps je cours, mais je souhaite juste ne plus sentir cette douleur au cœur. Mais malgré la brûlure insupportable que me provoquais mes poumons en feu, la douleur était encore présente et même encore plus forte, écrasant de plus en plus mon organe vital.

Comme je l'avais vaguement prémédité , quelque chose de tranchant me rentrait dans le pied, me déchirant et me faisant trébucher. Mes genoux rentrèrent brusquement en contact avec le sol dur ainsi que mes mains. Un craquement puis une brûlure se fis sentir sur mon poignet gauche, et je grimaçais douloureusement en avisant maintenant mon poignet prendre des teintes bleu.

Affaiblis, je m'asseyais sur le sol en essayant de reprendre ma respiration tandis que je levais mon pied droit pour le regarder. Un haut-le-cœur me pris en voyant un bout de verre rentrer profondément dans ma peau.

Voilà ce qui arrive quand on en fait qu'à sa tête. J'ai l'impression d'être dans une film sérieusement. Je ne savais pas que des choses aussi clichés pouvaient m'arriver comme ça. Et bien, c'est encore plus douloureux que ce qu'on décris dans les livres, pensais-je en sentant ma gorge se nouée.

Je pris une profonde inspiration et de ma main valide touchais nerveusement le morceau de verre. Une vive douleur aïgue me traversais et en serrant les dents, tirais d'un coup. Un gémissement de douleur sortis de ma bouche alors que sentis le sang sortir de ma blessure maintenant ouverte.

Devenant de plus en plus faible, j'enlevais l'ourlet gauche de mon jogging et rapidement, pris mon élastique à mon poignet et entourais mon pied du chouchou en mettant bien par dessous mon jogging pour ne pas que cela s'infecte. Une fois cela de fait, je m'adossais sur un tronc d'arbre à côté de moi en levant mes mains vers moi.

Elles étaient égratignées et je sentais mon poignet m'élancer quand j'osais le bouger. Ma vue se brouillait, mais je me secouais la tête pour me ressaisir. Je ne dois pas rester là, je dois au moins rentrer à mon chalet et je sens que cela n'est plus loin.

Alors en prenant une grande inspiration, je me levais grâce a l'arbre derrière moi. Mes genoux me brûlaient et je devinais aussitôt que j'avais dû m'égratigner aussi à cette endroit. Je hais Jungkook.

Faiblement, et à l'allure d'un escargot, je me déplaçait en boitant vers le chemin terreux devant moi. Et mes efforts finissent par être récompensé quand j'eu vu la fin du chemin qui menait directement aux portes vitrés de ma chambre. En y repensant, il faudrait que j'aille visiter le reste de mon chalet tiens.

Et dix minutes plus tard, je m'allongeais de tout mon poids sur mon lit en gémissant. Tout mes muscles me tiraillaient et réclaimais repos.

- Luna !! Vous êtes-là !?

Oh merde. Jong-Sun.

Rapidement, j'allais m'enfermer dans ma salle de bain pour ne pas qu'elle me voye dans cette état. Je mis en route l'eau et quand j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, j'enlevais mes vêtements un à un tout en réprimant des larmes de douleur.

- Luna ? Vous vous douchez ?

- Oui, oui !! Criais-je en rentrant dans la baignoire.

- Bien. Je vous attends dans le salon.

- O-okay...Dis-je faiblement en sentant l'eau chaude mouiller ma blessure au pied.

Je me douchais rapidement d'une main et une fois sortit, enfilais un peignoir doux et fouillant dans les tiroirs à la recherche de bandage et de pansement.

- Bingo. Laissais-je échapper en prenant les pommades, crèmes, pansement, bandage présent dans une caisse.

Maladroitement, je mis de la pommade et une compresse sur mon poignet et difficilement, entourais celui-ci d'un bandage et d'un sparadrap. Puis vient mon pied qui subit le même sort mais je me mis à paniquer en voyant le sang tâcher de plus de plus le tissus blanc.

Ayant une idée, délicatement, j'ouvris la porte de la salle bain puis une fois la voie de libre, allait vers le placard près de mon lit en boitant. Je l'ouvris puis fus soulagé en trouvant des vêtements propres ainsi que des chaussettes et chaussons. Bien-sûr, les vêtements sentaient l'odeur de mon stupide âme-sœur. Je ne me posais pas plus de question et m'habillais de la même tenue que tout à l'heure en essayant de ne pas me faire mal tout en rajoutant des chaussettes pour cacher mes bandages.

Une fois cela de fait, je pris une grande inspiration puis me dirigeais vers la porte à côté de ma salle de bain. Je l'ouvris et je découvrais devant moi, un long couloir en bois sombre qui debouchaient sur deux grandes portes de la même matière au fond. Je fermais la porte derrière moi et je laissais échapper une exclamation de surprise en regardant la grande baie vitré à droite de moi qui remplaçait normalement un mur. Je traversais le couloir puis ouvris délicatement les lourdes portes en passant ma tête dans l'embrasure.

D'ici, je pouvais voir un spacieux salon ainsi qu'un escalier en verre qui menais, sûrement, vers un étage supérieur et qui faisait face à une porte. J'arrivais à apercevoir une grande cuisine au fond du salon et je trouvais l'aménagement du chalet, éblouissante. Quand on rentrait dans la maison avec la porte principal, la vu ne devait être que meilleure. Un escalier au fond en face de vous, avec à droite le salon et à gauche, la cuisine. Et dans le coin droit de l'escalier, ma chambre.

Je sortis de ma cachette pour faire ça à Jong-Sun qui était assise sur le canapé blanc large et qui regardais très certainement la télé. L'aménagement du salon était coconing tout comme ma chambre. À mon approche, elle levais la tête et je l'a vu froncer les sourcils en me détaillant. Ses narines reniflèrent l'air et je déglutis en repensant au fait qu'elle pouvait sentir mon sang.

J'érigeais rapidement mes barrières mentales en pinçant mes lèvres entres elles. Pourvu qu'elle ne flaire rien de louche.

Elle secouait finalement sa tête en esquisser une moue.

- Ça sent bizarre...Mais bon. Je vois qu'Alpha Jungkook à bien fait son travail.

- Oh-oh oui oui. C'était assez simple enfaîte. Répondis-je nerveusement en cachant mon bandage au poignet en descendant la manche de mon sweat.

Je souhaite juste qu'elle parte rapidement pour que je puisse me reposer. Jong-Sun voyant sûrement ma mine éreintée, souriait et se dirigeais vers la cuisine.

- Je vous ai préparé des pâtes au thon sauce tomate. Je ne sais pas si vous aimez mais en tout cas, j'ai fais les courses quand vous étiez avec Jungkook et j'ai pris plein de chose donc vous pourrez fouiller rapidement si vous avez encore faim.

Touchée par son geste, je l'a remerciais en esuqissant un sourire.

- Merci beaucoup Jong-Sun, tu n'étais pas obligé et tu devais être occupé.

- Oh.

Elle pouffais en balayant ma remarque d'un mouvement de main.

- L'attaque de ce matin à certe créé quelque petit soucis, mais mon équipe personnel s'occupe des blessés. Je me suis déjà chargé des plus graves donc ne vous en faite pas pour moi. Vous pour l'instant, vous allez manger et vous reposer par la suite. Je ne veux pas que ma Luna ressemble à un Zombie, nous sommes d'accord ?

- Oui ! Rigolais-je en la regardant, oubliant totalement Jungkook.

- Bien. Je vais y aller et je vous dis à demain.

- A demain...

Elle pris ses affaires puis me souria une dernière fois avant de claquer la porte d'entrée. Aussitôt, mon sourire se fanais en entendant le silence présent dans le châlet. Je me dirigeais vers la cuisine et je pris délicatement mon assiette de pâte ainsi que des couverts. J'ai dû ouvrir tous les tiroirs présent dans la cuisine pour les trouver.

Toujours en boitant et en portant ma nourriture d'une main, je passais devant les escaliers puis m'asseyais sur le canapé du salon en posant mon assiette sur la table basse en face de moi fait de verre. Je pris la télécommande, et allait vers Gullioi++ qui passais le vieu programme Zig et Charko. Un classique.

Quand j'eu finis dix minutes plus tard, je posais mon assiette puis m'allongeais sur le canapé alors que le ciel s'était assombris, rendant la luminosité du salon obscurcis. Trop fatigué pour aller allumer les lampes.

Inévitablement, et sous la fatigue du mon corps qui encaissait depuis trois jours les douleurs incessantes provoquer par Jungkook, mes paupières se fermèrent et je m'emdormis, les jambes repliés sur moi-même, et mon poignet blessé contre moi.




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Un frisson me parcourait quand une main rêche me touchais soudainement délicatement la joue. Elle partit aussitôt que j'eu bougé et je laissais échapper un gémissement plaintif, voulant retrouver cette douce chaleur ambiante. Je sentis un magnétisme puissant à côté de moi et imperceptiblement, je me rapprochais de cette source de chaleur en déplaçant mes mains sous ma tête. Une vive douleur me traversais le poignet dans cette position, et je papillonais des yeux en grimaçant tout en ré-ajustant mon poignet endoulouris.

Mes yeux fatigué se fixèrent sur la table basse en face de moi, et je partis dans mes pensées en regardant dans le vide. Pourquoi je pense tout le temps à lui ? C'est donc ça le lien d'âme-sœur ? Être emprisonné par ses sentiments et être soumise devant ce lien ? Être obliger de pleurer son absence, et ne pas être heureuse quand il n'est pas là ? Vouloir se blottir dans ses bras même quand on le déteste de tout notre cœur ?

Je réprimai un soufflement devant toute ses questions sans réponses. Inéluctablement, je repensais à cette tension que j'avais ressentis dans mon sommeil ainsi qu'à cette main au toucher si familier. Une râle sortit de ma gorge. Il occupait même mes rêves ce sale petit-

- Continu ta phrase ma louve.

Je sursautai violemment en tournant ma tête vers le dossier de canapé, et faillis mourir d'une crise cardiaque en ancrant mes yeux dans ceux sombre de mon âme-sœur, penché au dessus de moi, derrière le canapé.

- Même si le râle sortis de ta bouche était très mignon, je déteste qu'on m'insulte et...

Il se penchait encore plus vers moi, frôlant ses lèvres des miennes, murmurant d'un timbre de voix rauque.

- Je ne crois pas que tu souhaite entendre ce que je te réserve si j'entends une insulte sortir de ta mignonne et innocente bouche.

Ma respiration s'accélérais aussitôt à sa phrase, et je m'empêchais intérieurement d'imaginer divers scénarios de lui, me punissant perversement.

- J'aime bien tes pensées ma louve. Mais il faudra que tu attende la cérémonie pour que je te punisse perversement.

Je mis mentalement mes barrières mentales en m'empêchant de rougir.

- Pourquoi tu me surnomme ta louve ? Je suis humaine...murmurais-je gênée en baissant les yeux.

Un rire s'échappait de sa bouche et je levais les yeux vers lui en fronçant les sourcils.

- Et bien...ce surnom est normalement ironique mais...Il te conviens parfaitement.

Déboussolée par sa logique, j'hochais doucement ma tête en pinçant mes lèvres entres elles. Toujours en me fixant intensément, il fit lentement le tour du canapé en laissant traîner son doigt sur le tissus du divan et aussitôt, je me redressais en m'appuyant sans faire exprès sur mon poignet gauche.

- Aïe-

Je sifflai de douleur en crispant mes yeux alors que le bas de ma main me lançait amèrement.

- Iris ?

- Hein ? Répondis-je comme si de rien n'était en cachant mon poignet.

- Qu'est-ce que tu as ? Iris.

Il arrivait à ma hauteur, et se baissait pour poser ses grandes mains sur mes cuisses et malgré le tissus de mon jogging, la chaleur de ses mains me brulèrent la peau.

- Tu as mal quelque part ? Ne me ment pas.

Ma respiration se coupait à sa menace alors que ses yeux me fixaient, avec une lueur d'inquiétude que je crû avoir imaginer. Devrais-je lui mentir ? Car si je lui disais la vérité, il saurait que je me suis blessée gravement au pied car je suis tombée comme une merde dans la forêt après son-

Mes pensées divaguèrent en me souvenant de cette après-midi et la mine attristée, je dégageai ses mains de mes genoux en reffoulant mes larmes. Ses sourcils se froncèrent devant mon geste avant que sa bouche ne se crispe dans un rictus.

- C'est quoi ton problème ? Et où tu as mal !?

- Je dois aller me coucher Jungkook. Je suis fatigué.

Déstabilisé par son magnétisme, je me levais à l'aide de mes mains et posais mes pieds à terre faisant écarter mon âme-sœur de mon passage. Quel idiote. Idiote. Idiote. Je le hais de me perturbé. De tout mon cœur.

- Aïïiiiiie punaise !!

Je levais rapidement mon pied droit pour le tenir de ma main valide en respirant par petit coup. Oh punaise, ça fait hyper mal ! Je crois que ma blessure s'est ré-ouverte.

Les bras de Jungkook agrippèrent avec force mes jambes pour les reposer sur le canapé.

- Ne bouge plus. Me dit-il fermement en grinçant des dents, ses cheveux noir ébène ondulés devant les yeux.

Je déglutis nerveusement devant son regard et me carrais dans le canapé en le regardant baisser le regard vers mes jambes qu'il commençais à caresser pensivement. Une vive excitation montait en moi à mesure que ses mains descendais dans une caresse érotique vers mon pied, enfermé dans ma chaussette. Il en enlevait le tissus et j'essayais de me ressaisir.

Il ne va plus être doux dans ses gestes quand il va voir la blessure. Et c'est ce qu'il arriva quand il eu vu le bandage ensanglanté. Ses yeux s'ouvrirent en grand devant mon pied et je détournais le regard en mordant ma lèvre inférieur. Ses mains serrèrent avec force mon talon alors que je savais qu'il serrait les dents.

Il enlevait les bandages d'une main expert en continuant de me fixer. Le tissus blanc imbibé de sang tombait au sol et il baissait son regard vers la coupure avant de laisser sortir un sourd grognement de sa bouche.

- Comment tu t'es fait ça !? Iris. Répond moi immédiatement. Laisse-t-il échapper en continuant de serrer ses dents.

- En courant dans la forêt...Avouais-je timidement. Je me suis couper avec du verre tranchant et en tombant, me suis casser le poignet.

- Comment !?

Avec une vitesse hallucinante, il prit dans ses mains rocailleuses mon poignet en question et relevais ma manche. Ses gestes étaient brusques et malgré le silence présent autour nous, brisée à certain instant par les grognement qui sortais de son torse, je regardais admirative, la lueur persistante qui ne quittait plus son regard.

De l'inquiétude.

Le bandage partit aussitôt en fumée et je sentis un malaise s'intaller en moi quand il bougeait mon poignet de droite à gauche pour l'examiner doucement, sous toutes les coutures imaginables et inimaginables.

- Idiote...murmure-t-il en baissant le ton. Idiote. Idiote. Idiote. Idiote !

Il partit chercher dans un placard près de l'entrée un bandage et revient à sa place en déchirant d'un geste brusque le tissus blanc avant de l'enrouler sur mon pied.

Il se relevait gracieusement, et sans que je m'y attende, il ramenais mes jambes sur le côté avant de me porter, un bras sous le dos et sous mes genoux.

- Jung-Jungkook !? Qu'est ce que tu fais !? M'écriais-je d'une voix aigu en agrippant son cou de mes bras, frôlant du visage ses cheveux.

Ils sentent bon...pensais-je en fermant un instant les yeux pour les sentir.

On entrait dans ma chambre et aussitôt, il me lançait sur mon lit en craquant son cou. Je retombais mollement sur le matelas en rebondissant. Je m'enfonçais dans les draps soyeux blanc et je tournais mon visage vers Jungkook qui enlevait d'un geste brusque son tee-shirt noir, me dévoilant un torse musclé tenu par une fine taille.

Ses cheveux ebouriffés volèrent dans tous les sens quand il enlevais avec empressement son pantalon ainsi que ses chaussures et bottes, le laissant juste en caleçon. Quelque chose de scintillant illuminais un instant la pièce, et je remarquais pour la première fois, un collier gris en fer.

Il s'approchait du lit et montait dessus et s'approchant de moi

- Y-ya ! Qu'est ce que tu fais ?! C'est mon lit !!

- Et mon châlet. Maintenant ferme là et déshabille toi.

- Il en est hors de question. M'exclamais-je outrée en mettant mes bras autour de ma poitrine.

Il fermait subtilement les yeux avant de les ré-ouvrir.

- On ne va pas coucher ensemble ma louve. Je-

Il inspirait profondément avant de me regarder, adoucis.

- Je veux juste sentir ta peau nu contre la mienne pour m'apaiser. Tes blessures me stressent énormément et mon loup est nerveux. J'ai juqte envie de te fessé et de t'emmener ilico chez Jong-sun mais il est tard. On discutera demain mais s'il te plaît. Et c'est rare quand je demande.

Pourquoi je devrais céder déjà ? Il m'a fais souffrir et je sens que je ne suis pas au bout de mes surprises avec lui. Alors pourquoi j'ai envie de me blottir dans ses bras malgré tout ce qui s'est passé depuis notre rencontre ?

Alors faiblement, cédant naïvement et bêtement à lui, j'enlevais d'une main tremblante son sweat pour me déshabiller complètement. Essayant de passer outre le fait que je ne ressentais pas réellement de gêne vis-à-vis de ma nudité, j'enlevais mon jogging en cachant ma moitié ne dénudée ainsi que ma première partie intime.

Je pliais ses affaires et je rougis entendant l'élastique de son caleçon. Il est en train de l'enlever...pensais-je en refrénant mon excitation montante.

Aussitôt finis, je rentrais dans les draps blancs en frissonnant. Il fait froid quand même. Jungkook entrait à son tour dans les draps et il éteignais la lumière, nous plongeant dans l'obscurité. Je lui tournais le dos, et pinçais mes lèvres entres elles en entendant la respiration lourde et calme de mon âme-sœur à mes côtés.

Le sentir aussi proche de moi me fais chavirer. Sentir son aura s'enrouler tout autour de moi me déboussole et me tient réveiller. Mon dieu...comment je vais dormir ?

Mais sans que je m'y attende, je sentis Jungkook bouger avant de sentir un de ses bras s'enrouler autour de ma taille tandis que l'autre, passait sous ma tête pour se replier enfin de toucher mes cheveux. Son torse se collait à mon dos, et je rougis en sentant quelque chose de long, gros et dur se coller à mes fesses.

Oh.
My.
Godness.

Son souffle chaud tapait sur mon oreille et je déglutis nerveusement en sentant sa chaleur corporel me réchauffer.

- Dors ma louve. Une longue journée nous attends.

Et bizarrement, je m'endormis aussitôt et serrant dans mes mains, ses bras qui me tenaient et me protégeaient.










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