406 | PIETRO MAXIMOFF

- Eh oh ? Il y a quelqu'un ? t'écries-tu

Il te semble que c'est au moins la dixième fois que tu poses cette question, ce qui veut dire que ça fait tout autant de fois qu'un long silence suit ta question. Bien déterminée à trouver un signe de vie, tu continues de vérifier chaque couloir, chaque recoin, chaque chambre, chaque salle en quête d'un de tes amis.

- C'est bon, cette blague a suffisamment duré. Vous pouvez sortir de vos cachettes, c'était hilarant ! tonnes-tu alors que tu penses tout le contraire

Au bout d'une vingtaine de minutes qui t'ont paru affreusement longues, tu as parcouru en long, en large et en travers l'intégralité de la Tour Stark. Et pas une seule réponse à tous tes appels, ni le moindre mouvement ou le moindre son qui supposeraient que tes collègues te font une blague de mauvais goût. Pour couronner le tout, avoir chercher dans tout le bâtiment t'a fait faire ton sport pour au moins une semaine !

Tes pas te ramènent à ton point de départ initial, à savoir le salon où tout le monde se réunit habituellement. Mais cette fois, personne n'occupe le canapé, aucune blague aux accents de moquerie n'est lancée, aucun plan de sauvetage n'est évoqué ... rien, le calme plat. À l'exception d'un seul individu. Et pas des moindres. Ton cœur et tes nerfs vont être mis à rude épreuve.

- Alors, tu n'as trouvé personne ? te demande Pietro à l'instant où il refait son apparition dans la pièce, laissant des filaments bleus flotter dans son dos

À en juger par ta mine renfrognée et tes épaules basses, ta recherche n'est pas plus fructueuse que la sienne.

- Personne, grognes-tu. On dirait qu'ils se sont volatilisés, comme par magie !
- Tu crois qu'ils se sont dissous dans l'air et dans l'espace ? te questionne-t-il en plissant les yeux

Ça y est, nous y voilà. Il ne t'aura pas fallu longtemps pour ressentir la première pointe d'agacement qu'éveillent en toi les remarques très inspirées du sokovien.

- Si tu as d'autres questions stupides comme celle-là, fais-moi plaisir en les gardant pour toi, répliques-tu
- Quoi ? Je cherche des hypothèses à notre problème, se marre-t-il

Tu secoues la tête en levant les yeux au ciel, tu te tournes légèrement sur toi-même pour ne plus avoir l'optimisé dans ton champ de vision et lèves la tête vers le plafond.

- Jarvis ? Tu peux nous dire ce qu'il se passe ?

S'il y a bien quelqu'un qui sait tout et qui contrôle chaque centimètre carré de cette Tour, c'est bien l'intelligence artificielle de Tony. Malheureusement pour vous, Jarvis semble être parti prendre des vacances pour les fêtes de fin d'année.

- Jarvis ? retentes-tu

Ce silence vient s'ajouter à la longue liste de vent que tu t'es reçue dans la figure depuis que tu essayes de comprendre ce qu'il se passe.

- Ne me dis pas que tu nous as lâché, toi aussi ?! t'agaces-tu en fusillant du regard le plafond comme si c'était de sa faute
- Oh au fait, n'essaye pas de sortir de la tour sauf si tu veux rester avec une poignée de porte dans la main, t'informe Pietro
- Quoi ?!
- Toutes les portes sont verrouillées, on ne peut pas sortir. On dirait que le système de sécurité de la Tour a flanché, ce qui expliquerait pourquoi Jarvis ne répond pas

Plusieurs émotions se mettent à bouillonner en toi, mais c'est la panique qui dépasse bien vite les autres.

- Attends, si je comprends bien : les autres nous ont oublié ici alors qu'une mission était prévue pour aujourd'hui. Ils ont eu le temps de sortir de la Tour juste avant que le système de sécurité rende l'âme et nous enferme ici ?! t'exclames-tu
- Yep, tu as tout saisi ! On dirait qu'on est coincé ici, rien que toi et moi ma belle, sourit Pietro en te faisant un clin d'œil

À cette idée, ton traître de cœur manque un battement. Bien décidée à ne pas lui montrer ton trouble, tu croises les bras en ne laissant aucune émotion filtrer à travers ton masque. Au lieu de ça, tu préfères arborer des traits durcis par l'indifférence et la lassitude, cherchant à prouver que le simple fait de devoir passer du temps avec Pietro te coûte.

- Ne fais pas cette tête, je suis sûr qu'on va s'amuser ! s'exclame-t-il

Usant de son habileté, il apparaît brusquement à tes côtés et passe un bras autour de tes épaules.

- Par quoi on commence ? te lance-t-il
- Comment ça ? lui demandes-tu, confuse
- Si on est coincés ici, il faut bien qu'on s'occupe ! répond-il comme si c'était évident
- Wow wow, doucement

Tu te dégages de son bras et t'éloignes de lui, en secouant la tête.

- Être enfermé ici ne nous oblige pas à être l'un sur l'autre, rétorques-tu. La tour est assez grande pour qu'on se laisse de l'espace et-
- Roh aller ! Il n'y a que nous deux, autant qu'on se tienne compagnie, te coupe-t-il en réapparaissant collé à toi, son bras de retour sur tes épaules

Sentir son corps pressé contre le tien allume une flamme dans le creux de ta poitrine, tu étouffes ce début d'incendie avec une bonne dose de détachement feint. Les sourcils haussés, tu le dévisages silencieusement tandis qu'il t'adresse un sourire absolument rayonnant pour te faire céder.

Et ça finira par fonctionner, tu ne veux pas te l'avouer mais ça fonctionnera. À vrai dire, il y a pas mal de choses que tu n'arrives pas à t'avouer ...

- J'ai toujours rêvé de faire une maison en pain d'épice mais je n'en ai jamais eu l'occasion. Et ça tombe bien, il paraît que tu es une experte des maisons en pain d'épice ! Mais tu sais, je ne crois que ce que je vois alors ... ça te dirait qu'on en fasse une ensemble ? te propose-t-il
- Tu cherches une excuse pour qu'on passe du temps tous les deux, parce que tu ne peux pas te passer de ma compagnie, avoue-le, railles-tu
- Oui c'est vrai, j'aime passer du temps avec toi, te répond-il honnêtement

Dans ses mots, il n'y a aucune trace de plaisanterie, de taquinerie habituelle ou de tentative de persuasion. Tu le vois à son regard sérieux et à sa manière franche d'affirmer ce qu'il dit. Rares sont les fois où le sokovien fait parler son cœur sans artifice, ça met le tien dans tous ses états. Cette fois, tu dois avoir du mal à dissimuler le désordre qui règne à présent dans tes émotions. Il t'a touché, a trouvé la manière de faire tomber la barrière que tu t'efforces à ériger entre vous.

- C'est d'accord, acceptes-tu
- YES ! Ça va être génial !

Le voir aussi surexcité, très heureux que tu acceptes de faire de la pâtisserie de Noël avec lui, ça fait se soulever tes lèvres d'un fin sourire que tu ne peux pas masquer. Ton estomac se contracte pendant que tu le regardes sauter partout dans le salon pour manifester sa joie de la plus humble des manières.

Sentant que le contrôle de tes émotions est en train de t'échapper, tu te ressaisis en te râclant la gorge pour capter son attention par la même occasion.

- Aller viens, je vais te dire tout ce dont on a besoin

Tous les deux, vous regagnez l'immense cuisine de la tour. Tu fouilles dans les placards et en sors plusieurs ingrédients utiles. Sous tes indications, Pietro rassemble tout ce qu'il faut afin de construire la plus belle - et succulente - maison en pain d'épice.

- Tu sais, faire une maison en pain d'épice, c'est un travail long et minutieux. Tu es sûr de toi ?
- Bien sûr que j'en ai envie, acquiesce-t-il
- La question, c'est plutôt : est-ce que tu en es capable ? te moques-tu gentiment
- Je ne suis pas à un gamin qui n'arrive pas à rester tranquille plus de cinq minutes au même endroit ! se défend-il
- Ben si, c'est carrément toi ! ris-tu

Le sokovien donne un petit coup de tête sur le côté qui veut clairement dire « ce n'est pas faux ». Amusée, tu te mets à rire avant de lui demander de sortir les poches à douille rangées dans le tiroir à côté de lui. Cette demande te fait assister au plus beau bug qu'il t'ait été donné de voir, Pietro ne connaissant visiblement pas cet objet. Il te confie même qu'il pensait qu'une poche à douille servait à faire du plâtre. C'est trop pour toi, tu éclates de rire et lui expliques pourquoi vous allez utiliser cet instrument de pâtisserie pour votre maison.

Cette once d'ignorance innocente, il la conserve à chaque instant que vous passez à pâtisser. Avec patience, tu prends le temps de lui montrer les gestes à faire, les techniques à adopter, tu prends plaisir à lui donner des conseils et des explications sur chacune de tes actions. Fasciné de voir avec quel facilité tu suis chaque étape de votre recette, Pietro ne te quitte pas des yeux pour n'en manquer aucune miette. Et ça te plaît, savoir que tu es son centre d'attention fait s'embraser une flamme dans ta poitrine.

Mais ce qui te plaît aussi, c'est d'être en sa compagnie. Ça devient indéniable, une évidence qui crève les yeux et à laquelle tu ne veux plus résister. Les battements rapprochés de ton cœur en attestent, ça fait bien longtemps que tu refoules ce que tu ressens alors que c'est bien inutile.

C'est très certainement parce que le début de votre relation n'a pas été au beau fixe que tu es sur la retenue avec lui. Tout le monde le sait, Pietro peut se montrer très énervant quand il en a envie. Ta patience et tes nerfs n'ont pas été épargnés par les petites remarques, les coups de folie, ou bien les attitudes parfois immatures de l'optimisé. Mais au fur et à mesure, ce qui t'agaçait avant a fini par grandir en toi, jusqu'à te plaire. Tu as trouvé du charme à toutes ces petites choses qui font de lui ce qu'il est, et tu en es la première surprise. Après avoir eu un début de relation aussi contrasté, ce n'est pas simple d'abaisser les barrières pour se laisser aller.

C'est pourtant ce que tu sens arriver, tandis que tu le regardes pâtisser avec un doux sourire aux lèvres.

Votre atelier maison de pain d'épice se passe à merveille, chaque étape se déroule sans accrocs. Ça ne vous empêche pas de cuisiner dans la bonne humeur, dans la joie apportée par cette période de fêtes de fin d'année et par toutes les plaisanteries que vous partagez. Quand enfin vous sortez l'intégralité de vos biscuits du four, les choses sérieuses commencent. Les crèmes, les bonbons, les colorants et autres décors sont tous de sortis pour entamer l'étape cruciale.

- Bon, maintenant qu'on a toutes les fondations ... passons au montage, dis-tu
- Et ça, c'est le moment qui fait le plus peur, pas vrai ? te demande Pietro visiblement inquiet
- Ne t'inquiète pas pour ça, on va gérer d'une main de maître ! J'ai fait suffisamment de maisons en pain d'épice dans ma vie pour ne pas avoir peur de quelques biscuits à coller avec de la glace royale, assures-tu en faisant un geste désinvolte de la main

Tu te tournes pour attraper l'instrument utile lors de cette étape.

- Et en plus, on va utiliser une poche à douille qui ne sert pas à faire de la maçonnerie, ris-tu
- Non mais franchement, qui pourrait croire une chose pareille ? ironise-t-il en roulant des yeux

Tu lui tends la poche à douille et vois immédiatement son expression changer.

- Tu es sûr de toi ? s'étonne-t-il en haussant les sourcils
- Tu ne crois quand même pas que je vais faire tout le boulot, répliques-tu

Pour le motiver, tu le rassures et lui expliques comment bien tenir la poche, comment disposer le glaçage royal sur les bords des biscuits. Tu n'es pas en reste, tu t'occupes de lui tenir les faces de la maison tout en veillant à ce qu'il ne déborde pas trop. Et honnêtement, il fait un très bon travail, tu es plus que satisfaite !

- Regarde ça, tu t'es bien débrouillé ! le félicites-tu
- Les quatre murs tiennent debout ! La maison n'est pas encore effondrée, c'est déjà une victoire pour moi, rit-il

Tu te retournes pour aller chercher les deux parties manquantes qui formeront le toit de la maison.

- Je ne sais pas à quoi va ressembler cette maison à la fin mais en tout cas, je suis bien content que tu sois celle qui s'est retrouvée enfermée avec moi aujourd'hui, t'avoue-t-il

Ton cœur fait un bond dans ta poitrine, ton estomac se tord et des papillons te traversent de toutes parts. Tout ça te percute en seulement une seconde, une sensation d'euphorie grisante se met à couler dans tes veines. Peut-être que cet instant est le bon pour arrêter les faux semblants, pour faire tomber le masque et se jeter corps et âme dans l'aventure des sentiments qui te submergent.

Ne s'attendant pas à ce que tu répondes à sa confession, Pietro se reconcentre avec beaucoup de sérieux sur l'esquisse de votre maison en pain d'épice.

- Moi aussi, je suis contente d'avoir été enfermée à double tour avec toi. En fait, ça fait un moment que j'aime de plus en plus passer du temps avec toi ...

Un peu surpris par tes propos pleins de sentiments, Pietro repose le regard sur toi sans comprendre de suite cr que tes mots ne disent pas.

- Attends ... est-ce que tu es en train de dire ce que je crois que tu veux dire ? te demande-t-il en plissant les yeux
- Ça dépend de ce que tu crois que je veux dire, ça veut peut-être dire autre chose que ce que tu crois que je dis, répliques-tu

En un rien de temps, Pietro te prend par surprise et se retourne nez à nez avec toi. Il te scrute de son regard intense qui te fait frissonner de la tête aux pieds, essayant de te déchiffrer d'un coup d'œil.

- Tu veux que je te dise à quoi je pense ?
- Essaye toujours

L'optimisé se rapproche encore davantage de toi, tu ne fais rien pour mettre de la distance entre vous. Bien au contraire, cette proximité réveille le moindre de tes sens.

- Je crois que tu es en train de m'avouer que ma compagnie ne t'est plus aussi insupportable qu'avant, sourit-il
- C'est ton hypothèse ? lances-tu en haussant un sourcil
- Si ce n'est pas ça, ça y ressemble beaucoup ...

Ce moment suspendu où vous vous tournez autour sans plus vous en cacher ne fait qu'accentuer la tension entre vous. Tu ne vois rien d'autre que le beau sokovien face à toi, et son visage à quelques centimètres du tien.

- Embrasse-moi et on verra si tu as raison, souffles-tu avec un sourire en coin

Il n'en faut pas plus à Pietro pour qu'il t'attrape par la taille et qu'il dépose ses lèvres sur les tiennes. Tu réponds avec impatience à son baiser en laissant tes doigts se perdre dans ses mèches argentées. Vous vous embrassez avec une ardeur dévorante, pas étrangère aux feux qui brûlent en vous en ce moment. Enfin tu as fait voler en éclats tes barrières, enfin tu ne joues plus l'indifférence et tu t'abandonnes pleinement à Pietro.

- Depuis le temps que j'attends ça ... tu aurais pu me dire ça avant, on aurait gagné du temps, plaisante-t-il
- Attends ... tu savais que j'avais des sentiments pour toi ? t'étonnes-tu
- Ton petit jeu de la fille froide et distante n'a pas fonctionné longtemps, je voyais bien dans ton regard que je te faisais complètement craquer, se vante-il

Évidemment, le sokovien reste fidèle à lui-même et aujourd'hui, tu es bien trop amoureuse pour lui en tenir rigueur. Ça te fait même sourire mais tu n'oublies pas que vous avez une mission à compléter.

- Bon ... on a une maison à terminer, lui rappelles-tu
- Tu es sûre de ça ? J'ai bien envie de continuer à t'embrasser là tout de suite. Il faut bien profiter qu'on soit tranquille pour une fois !

Attendez d'apprendre que l'équipe a monté ce stratagème infernal en vous enfermant tous les deux dans la tour juste pour que vous puissiez passer la seconde ...

*****
Comme prévu, il faut qu'on parle de Black Panther : Wakanda Forever !

Depuis le temps, nous y voilà enfin 😂

Attention aux spoilers /!\


D'abord, je vous avais donné mon avis rapide et il n'a pas changé : je suis mitigée. En fait, il y a eu des choses que j'ai bien aimé et d'autres qui m'ont déçu. Pourtant, j'allais voir ce film sans rien attendre mais j'ai quand même été déçue 😔

Pour commencer, je trouve que le début du film est très bon. L'hommage à Chadwick Boseman est poignant, magnifique et bien imaginé. Ça nous fait monter les larmes immédiatement, c'est sûr 😢

Après ça, j'ai beaucoup aimé voir Ramonda en tant que reine du Wakanda. Quelle classe a cette femme 😍
Et autre point positif : la rencontre de Shuri et Ramonda avec Namor. Cette scène est intense et nous donne envie d'en savoir plus.

Oui mais voilà, c'est après ça que je trouve que le film s'endort un peu. Le film est trop long pour pas grand chose. Je pensais qu'on verrait plus Namor, ou que son histoire et celle de son pays sous-marin serait moins vite expédié. J'ai trouvé ça un peu bâclé et c'est dommage.

Tout le milieu du film est lent je trouve, même si on rencontre Riri - que je trouve assez transparente d'ailleurs - et puis tout s'emballe un peu trop.

Je n'ai pas trop aimé l'idée que Ramonda destitue Okoye de son grade de générale, et je n'ai pas aimé non plus que Ramonda se fasse tuer. C'est gratuit, pas nécessaire à l'intrigue et une grosse déception pour moi parce que j'aurais aimé qu'elle reste reine du Wakanda.

Heureusement qu'après ça, Shuri se décide enfin à endosser le costume de Black Panther et cette scène est une pépite 🤩

En revanche, j'ai eu des envies de claquer Shuri quand elle fait son caca nerveux en nous faisant croire qu'elle va tuer Namor. Déjà, on n'y croit même pas deux secondes et en plus non, hors de question qu'elle tue un personnage intéressant.

Par contre, le combat entre eux deux est bien réussi et palpitant 😌

Mais excusez-moi, est-ce qu'on peut parler deux secondes de l'armure de Riri ? 😂😂😂😂😂😂😂

Elle est affreusement laide, j'en ai ri en la voyant arriver. Et les armures de Nakia et d'Okoye ne font pas mieux, elles sont vraiment ratées.

De manière générale, j'ai trouvé que les effets spéciaux étaient moyens eux aussi.

Par contre, j'ai bien aimé revoir Everett Ross 🥰

En revanche, quelqu'un a compris l'utilité de mettre le personnage de Valentina dans ce film ? 🤔

Évidemment, la fin du film nous replonge dans l'émotion avec Shuri qui fait ses adieux à son frère. Et surprise - ou pas, c'est selon - mais T'Challa a eu un enfant avec Nakia !

Pour résumer, je pensais que ce film serait plus percutant, mieux mené mais ça reste un bon film. Ça dépend des sensibilités de chacun mais je l'ai trouvé trop long pour si peu. Et j'ai peur qu'à l'avenir, l'histoire de ces personnages soit un peu vide.

Enfin, j'espère qu'on reverra Namor et Talokan parce que clairement, on n'en a pas vu assez d'un pays qui a lui aussi des ressources en vibranium.

Ce n'est que mon avis, ne me tuez pas s'il vous plaît 😭

Et vous, vous en avez pensé quoi ?

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