Chapter 16


Valencia, fais moi confiance.


Il referme la porte et se retrourne vers moi.
Je déglutis, glissant lentement mes yeux pour rencontrer les siens. Je laisse échapper un petit gémissement, mes genoux se sentant soudainement faibles. La chaleur dans son regard était si intense. 
Et puis soudain il passe à mes côtés, je regardais son dos pendant qu'il s'éloignait.

__ Je vais prendre une douche, si ça ne te dérange pas. Dit-il simplement.

Je le suis silencieusement jusqu'à ma chambre. Il continue vers la salle de bain et ferme la porte entre nous. J'attend un instant debout devant la porte avant d'entendre le bruit de l'eau qui était allumée. Puis je baisse mes yeux avalant péniblement.  Pendant un moment, je retiens ma respiration, étudiant la poignée pendant que mon cerveau traitait les avantages et les inconvénients de la tourner. Est-ce que je devais le rejoindre ? Finalement je laisse tomber et va m'asseoir sur le bord de mon lit. Ne sachant pas quoi faire, une idée me vient en-tête et j'attrape mon ordinateur avant de l'allumer.

__ Carlos Lux a nous deux !

Je n'avais jusqu'à présent jamais fais des recherches sur quelqu'un et surtout pas sur quelqu'un de très connu. Même si avant de le connaître je lisais quelqu'un des articles que publiais les journaux. Jusqu'à présent Carlos Lux restait un mystère pour moi. Je ne savais pas grand chose sur lui alors que lui en savait plus sur moi que n'importe qui. J'attrape ma boite à lunettes et met mes lunettes en feuilletant quelques articles qui parlaient de lui. Comme vous vous en serez douter ce qui revenait était le nombre de ses conquêtes. Je deglutis en voyant un article qui venait juste de sortir. Finalement les paparazzis avaient réussi à nous prendre en photo sortant de l'hôpital. On y voyait Carlos qui me tenait fermement contre lui. J'étais dans un état épouvantable mais heureusement qu'on ne voyait pas trop mon visage. Je ferme la page et regarde une autre article sur Carlos cette fois ci je m'attarde sur la photo qui a été prise sur lui, il semblerait que c'était des photos pour une association. Je le regardais tout souriant alors qu'il était entouré d'un grand nombre d'enfants.

Je fixais son beau visage avec ses yeux marrons et ses cheveux noirs. Ses lèvres entrouvertes s'étirèrent en un sourire diabolique mais invitant. Je me lèche les lèvres en continuant ma recherche. Il était d'une beauté envoûtante, je me demande encore comment j'ai fais jusqu'à présent pour oublier cela. Comment il pouvait être attiré par moi ?
Et pour une raison idiote je commence à fantasmer sur le fait de porter son nom. Valencia Lux, sa sonnait très bien. Je n'avais jamais fais la ressemblance mais nos nom étaient composé de trois lettre et se terminaient par un x. D'un côté Carlos Fox n'étais pas mal non plus.
Je me mis à rougir en regardant sa photo.

__ J'ai demandé à george de me ramener des vêtements. Il ne devrait pas tarder.

La voix de Carlos me fait hurler et sauter du lit, me cognant le genou. Je me retournai, haletant. 

__ Tu m'as fait peur !

Au lieu de s'excuser, il se dirige silencieusement vers l'endroit où je me tenais en me frottant la jambe.

Mes yeux passèrent de ses cheveux humides à sa poitrine. Sa poitrine nue, où les gouttelettes d'eau s'accrochaient encore par endroits. Quand je suis les lignes définies de son abdomen et rencontré la ceinture de son jean avec sa ceinture à boucle, je rougis encore plus en me reculant. Bon sang on dirait une enfant prise sur le fait.

Mes jambes vacillaient. Je tend la main pour m'accrocher au bord du lit.

Il jette un coup d'il à l'ordinateur, puis à moi, un sourire niché au coin de sa bouche. Quand il a leve la main pour l'attraper, je me mets à tremblé. Ses doigts frôlèrent légèrement mon front puis ma joue, envoyant la chair de poule picoter dans mes bras et un frisson parcourant mon corps.

__ Alors tu la vraiment fait. Tu as trouvé des informations intéressantes sur moi?

__ Pas vraiment.

__ Ah oui. Ça m'étonne. Dit-il sarcastique.

__ À part ce que je savais déjà.

__ Valencia ?

Je ferme les yeux quelques secondes mais mes paupières s'ouvrent à la sensation de ses doigts sous mon menton, l'inclinant vers le haut. Je laisse échapper un léger  gémissement quand il s'est rapproché, son corps touchant le mien maintenant. Cuisses contre cuisses, poitrine contre poitrine. Sa main glisse sur ma mâchoire, ses doigts s'enroule sous et autour de mon oreille.

__ Il y a quelque chose chez toi...Il frotte mon cou et je soupire lorsque ses doigts bougèrent à nouveau.

__ Je veux te faire l'amour. Mais ...

Je retins mon souffle. Mais quoi?  Dois-je aussi lui dire à haute voix que je voulais sa bouche sur la mienne? Ses mains partout à la fois? Que je voulais que sa bite soit enfouie au plus profond de moi pendant que nous nous tortillions sans réfléchir ? Baise moi jusqu'à ce que ...
Bordel mon esprit divaguait beaucoup trop loin.

__ Jusqu'à ce que quoi Valencia ?

Merde je l'avais pensé haut, je remarque que son regard s'était intensifié.

__ Jusqu'à ce que j'oublie tous ce qui s'est passé cette semaine. Que Héléna est allongée sur un lit d'hôpital. Que ma tante est au plus bas.

__ Le sexe ne résoudra rien Valencia.

__ Je sais. Mais c'est ce dont j'ai besoin, la maintenant.

Carlos presse ses lèvres sur mon front et me frotte le dos. 

__ Puisque nous sommes en plein dedans avant d'aller plus loin.

__ Et bien techniquement on est déjà loin.

__ Je veux dire beaucoup plus loin, je pense que c'est le bon moment pour aborder quelque chose d'important.

__ Euh .. D'accord... Je lève le regard vers lui avant de dévier sur sa bouche.

__ Jusqu'où est tu prête à aller dans notre relation ? dit-il sérieusement, comme si ma réponse était la décision la plus cruciale de ma vie à ce jour.

J'avais une petite idée de ce à quoi il faisait référence. Sa mère m'avait avoué la semaine dernière que Carlos se projetait beaucoup dans l'avenir et qu'il voulait des enfants. Pourtant, j'ai décidé de jouer la naïve. 

__ Je-je ne suis pas sûr de ce que tu veux dire par-là.

__ Je veux m'engager sérieusement dans notre relation Valencia. C'est toi que je veux et personne d'autre. Je veux faire ma vie avec toi et tu sais ce que sa implique. Je t'aime et je veux que tu deviennes ma femme.

Je deglutis alors que ma respiration commençait à s'accélérer, il se recule et me regarde dans les yeux profondément avant de reprendre. Qu'est-ce que je devais faire ? Comment je devais réagir ? J'allais me décomposer devant lui. Oui c'était ça. Il m'aimait. Il voulais que je devienne sa femme. Un engagement à long terme. Ma plus longue relation à duré cinq mois et encore. Et maintenant... Avant que je puisse commencer à discuter du pour et du contre avec ma conscience, j'ai lentement hoché la tête, chuchotant, un "Oui." Oui j'étais prête. Et au fond de moi je le sentais.

Il méritait une chance. Je méritais une chance. Après ce qu'il avait fait pour moi pendant le peu de temps où nous nous étions connus, je lui devais au moins cela. Et je le devais à moi-même. Pour prouver qu'il n'était pas comme les autres gars que j'avais connu. Il était celui que j'attendais et je crois qu'au fond de moi je l'aime.

__ Je t'aime. Soufflais-je en relevant mon visage vers lui.

__ Qu'est-ce que tu viens de dire ? Reprent-il

__ J'ai-jai dis que t'aimais bien. Chuchotais-je en reculant alors qu'il me rattrapait.

Je laissais très rarement mes émotions prendre le dessus, mais à présent je devais être aussi rouge qu'une écrevisse.

__ Regarde moi. Dit-il

Bien que son ton soit resté calme, il exigeait que j'obéisse, il avait un léger froncement de sourcils, malgré la lumière qui brillait toujours dans ses yeux.

__ Est-ce que tu me fais confiance ?


Sur le point de lui répondre que je lui faisais totalement confiance il ajoute:

__ Mais tu devrais savoir que peut importe ta réponse, j'ai l'intention de te toucher. Te donner un plaisir extrême. Et finalement, je te ferai l'amour.

Je hoche la tête.

__ Bien. Il m'embrassa doucement puis me retire mon peignoir. Il se déplaçe pour s'asseoir sur le bord du lit, me demandant de le rejoindre.

J'étais sur mes mains et mes genoux avant de comprendre ce qu'il voulait probablement. Je me figeai à mi-parcours, deux pensées s'inscrivant dans ma tête. Tout d'abord, le regard affamé dans ses yeux alors qu'il me regardait me faisait me sentir comme la femme la plus sexy de la planète. Et deuxièmement, j'allais lui donner la meilleure fellation de toute sa vie.

J'étais à l'aise dans ma peau malgré quelques imperfections physiques, chaque femme a des façons dont elle souhaite être différente ou meilleure. Je l'imaginais en train de voir les courbes de mon corps nu et en forme posé comme s'il traquait une proie.

Mon souffle s'est arrêté à la seconde pensée. J'ai dit que je lui faisais confiance. Je ne pouvais pas nier que ma curiosité était piquée, avec mon excitation.

Je m'installais dans la position la plus confortable une fois près de lui entre ses jambes. J'entends sa ceinture s'ouvrir avec un tintement et le bruit de sa fermeture éclair qui s'abaisse. Il enveloppe ses deux mains dans mes cheveux, j'ouvre la bouche et commence à le sucer doucement pendant un certain temps.

Mais il finit par s'impatienter et tire ma tête en arrière pour pousser sa bite désormais au fond de ma bouche. Alors que je ne bouge pas, il me tire à nouveau les cheveux et grogne. Mes lèvres se séparent instinctivement et je le sens pousser, ma mâchoire commençait à s'étirer pour s'adapter à son épaisseur. Il tient ma queue de cheval pour me garder immobile. Puis je le sens pousser plus profondément et toucher le point serré au fond de ma gorge. J'essaye instinctivement de m'éloigner. Il est trop gros. Il grogne à nouveau, avant de me relâcher.

Pendant un instant je ne pouvais plus respirer. Il nous maintient dans cette position pendant quelques secondes avant de gémir et de se retirer alors que sa bite était imbibée de ma bave.

Il se relève et je m'écarte de justesse alors que sa bite me frôlait le visage. Il vient m'attraper au sol et me relève.

__ Qu'est-ce que tu veux Valencia ? Dis moi ce que tu veux. Dit-il la respiration dure.

__ Je veux que tu m'embrasses. Dis-je haletante.
Alors qu'il rapproche de moi je le stop en attrapant sa tête en l'incitant à s'abaisser. Il me regarde alors que je vois une lueur danser dans ses yeux avant de s'agenouiller devant moi. Je passe la main dans ses cheveux en gémissant alors qu'il m'embrassait.
Je relève mon genoux et écarte mes jambes.

__ Oh, putain ! Criais-je

Carlos rit puis continu ses caresse. Puis il se relève et nous emporte dans le lit. Il se met au-dessus de moi et continue ses caresse avec ses doigts, chaque fois ses poussées étaient lentes et profondes. Et à chaque fois, mes sons résultants devenaient plus forts.

Je déglutit, essayant de trouver ma voix. Un orgasme soudain me fait crier et je me débat sous lui pour qu'il me lâche.

Putain de merde! j'allais mourir en ayant un orgasme.
Il ralentit et que je commence reprendre le contrôle de mon esprit, je sent sa bouche sur ma poitrine, sa langue tourbillonner autour de mon mamelon.

Je cligne des yeux en attrapant sa tête pour le ramener vers moi.

Il me regarda soudainement, la chaleur dans ses yeux envoyant un frisson directement dans mon cur.

__ Je t'aime Valencia. Souffla t-il alors que je l'embrassais.

Tous mon corps se cambra et un cri se coinça dans ma gorge  quand ses doigts jouèrent sur mon clitoris. Tout en continuant à caresser en moi.

__ Prend moi Carlos. Je veux que tu me fasse l'amour. Chuchotais-je contre son oreille.

Et c'est ce qu'il fit.
J'étais venue presque aussitôt qu'il était à l'intérieur de moi, haletant, gémissant et criant. Sa bite était plus dure qu'elle ne l'avait jamais été, et elle était chaude. Il est venu aussi, haletant et gémissant d'une manière qu'il n'avait jamais fait auparavant  me susurrant des mots à l'oreille.

Je m'installe dans ses bras, ma poitrine contre son torse, puis je m'endors.

Le lendemain, j'étais recroquevillé dans son étreinte chaleureuse avec un sentiment de vide à l'intérieur. J'ouvre lentement les yeux et jette un regard dans sa direction. Il dormait toujours mais me tenait fermement contre lui. Il avait les yeux fermés et une légère barre sur le front. A quoi est-ce qu'il devait penser ? Je lève la main et touche sa joue et toute de suite son visage devient plus détendue. Encore fatiguée referme les yeux et m'endors pour la deuxième fois.




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