𝐗𝐗𝐗𝐈𝐕. Rᴇϙᴜɪᴇᴍ ᴅᴇ ᴠɪᴇ
écœurché par l'inexorabilité du temps qui file et se défile
écorpsché par l'invincibilité des démons qui nous surveillent et nous submergent
la vie laisse des marques
trace dans la peau des sillons de frissons
ou grave dans l'âme des aurores noires
elle esquisse dans nos écorces
des souvenirs
millénaires
et moi, je la hais autant que je l'aime,
cette infinité éphémère
et bientôt, on chantera son requiem
(ode au macabre ou à la lumière, je ne saurais le dire
il s'agit d'un peu des deux, sans doute
vils palabres ou inutiles manières que je ne saurais maudire
vis, aime, danse, et puis trace et suis ta route.)
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