,,LE SECOND VERRE : le Soleil Malheureux

Tanjiro était l'aînée de sa fratrie. Il faisait partit de 6 enfants pour une mère veuve, ayant perdu son mari dans un tragique agression.

Tanjiro avait 12 ans quand il a perdu son père.

Sa mère pleurait tous les soirs, elle n'arrivait pas à s'en remettre même si elle se devait d'être forte pour ses précieux enfants, elle craquait quand elle croyait que ils étaient tous endormis.

Tanjiro l'avait vu larmoyer sur la mort de son bien-aimé mais il n'avait rien fait. Avant, il l'aurai pris innocemment dans ses bras en disant que ce n'était rien mais il savait bien que c'était peine perdu, le décès de Tanjuro était un vide qui se formait dans le cœur de tous les membres de la grande famille des Kamado. Et le bordeaux en avait bien conscience, et sans prêter attention il s'était mit en tête d'être le prochain pilier de sa famille pour retrouver la chaleur que leur foyer émanait d'antan. Il s'était mis en quête d'être parfait, d'atteindre le sommet tout en étant le plus bon possible comme son paternel.

Tanjiro n'avait su que très tard la raison de pourquoi son géniteur était mort. Même si il reçu l'annonce par le commissariat le lendemain, la raison restait très flou à ses yeux avant que sa mère ne le lui dise enfin.

Tanjuro était un ancien policier, un très brillant qui ferai tout pour sa patrie mais qui a du démissionner suite à des problèmes respiratoires. Il a décidé de faire un métier plus tranquille qui était de tenir une boulangerie, lui qui adorait tant l'odeur du pain tout frais sortir du four. C'était un beau rêve qui venait de se réaliser pour lui, même si il aimait aussi beaucoup son métier de flic.

Un soir, il rentrait tout juste des courses qu'il avait fait tout seul puisque sa femme devait s'occuper de leurs enfants en les aidant à faire leurs devoirs tous de niveaux différents. Avoir une femme aussi merveilleuse que Kie et des enfants aussi mignons que ceux qu'il a actuellement était aussi un rêve qu'il avait tant convoité étant enfant, comme la plupart des gosses me direz-vous.
Bref, cela c'était passé un soir d'hiver où dès 18heures, une nuit noir tombait. Seuls les rares lampadaires de l'allée du raccourci qu'il avait prit l'éclairait. Des cris d'une femme avait retentit et par réflexe, il y était aller pour secourir celle qui se faisait agresser. Sauf qu'il avait oublié que ses problèmes de santé était problématique, et un des ravisseurs en avait profité pour le planter au niveau du ventre, touchant un de ses organes internes.

La seule chose qu'il avait pu entendre et voir avant son sommeil était un message vocal de sa femme qui l'attendait à la maison avec ses précieux enfants tant chéris avant qu'il ne ferme les yeux et s'endormir dans un sommeil sans fin.
Il avait souris en l'entente de la douce voix de sa bien-aimée mais ne pu s'empêcher de regretter tant de chose, mais le destin l'a voulu ainsi.

Ainsi se termina l'histoire de Tanjuro Kamado, un vaillant homme ayant sacrifié sa vie pour une parfaite inconnu, un père aimant  et exemplaire.
Voilà comment s'est fini l'enfance de Tanjiro, il n'y avait plus aucune éclat d'émerveillement dans ses yeux malgré le sourire qu'il laissé paraître. Le bordeaux s'est rendu compte bien assez tôt quel était l'horrible monde qui l'entourait. C'était chacun pour sois, la gentillesse n'était plus une qualité mais une faiblesse. La générosité et le courage n'étaient plus remercier, on crachait juste sur ce genre de gens, les traitant de moins que rien en manque d'attention. Dans une société qui se dit égalitaire, c'était la loi du plus fort qui comptait. Le plus fort, le plus beau et le plus riche était populaire, les faibles, les moches et les pauvres étaient tabassés et n'était jamais accepté dans la société exiguë. Les humains étaient mesquins et avares, ils profitent des avantages des autres, les jalousent et parlent derrière leur dos sans une once de regret. Il faut mentir pour survivre dans un monde corrompu par seulement l'argent et où l'avis des autres sur nous est plus important que celui qu'on porte nous même sur nous.

Tanjiro se rendait compte de toutes les atrocités que l'humanité pouvait faire à sa propre race, se qu'elle pouvait faire à n'importe qui pour pouvoir accéder au pouvoir. C'était même pire que l'instinct de survie chez les animaux, l'humain était bien plus horrible prêt à tout pour survivre, même devenir fou à lier.

Tout le monde avait soutenu la famille des Kamado quand le mari fut décédé. Les voisins, les clients de la boulangerie et même la victime de l'agression ainsi que la famille des agresseurs étaient venus s'excuser auprès de la mère veuve. C'était commun d'avoir à faire à des meurtres pourtant, l'aîné c'était demandé pourquoi sa mère et ses frères et sœurs avaient tant d'attention alors qu'il voyait bien qu'ils mentaient tous. Il se demandait pourquoi étaient-ils tous aussi hypocrite, ils voulaient juste une bonne conscience en s'excusant et en soutenant sa mère chéri. Sauf la victime de l'agression, c'était la seule a être honnête avec la vieille femme veuve Hisa qui semblait se reconnaitre à travers Kie. Les clients, la soutenait juste car ils avaient pitié de la femme, ça en était dégoutant.

Il ne pouvait s'empêcher de trouver ça triste, pourquoi sa famille devait enduré tout ça et de plus n'avoir que des menteurs autour d'eux qui ne profitait que de leur gentillesse. Mais il ne voulait plus y penser, le plus important était ailleurs.

Le jeune garçon qu'il était avait pleuré toutes les larmes de son corps quand il avait su que son père ne reviendrait jamais. Mais il savait qu'est-ce que ça signifiait comparé à autres membres de sa famille, alors il avait tenté d'être fort. Non sans être cruel avec les autres, pour protéger sa famille il était prêt à tout depuis ce jour-là où il avait pris conscience de la pourriture qu'était sa propre race. Même si une partie de lui gardait un espoir enfouie au fond de son cœur meurtri.

Il était devenu peut-être un peu trop surprotecteur, il s'était créé une carapace où même l'amour d'une mère, d'une sœur ou d'un frère ne pouvait l'atteindre. Tanjiro avait créé une bulle de bonheur pour sa précieuse famille sans y être inclus, enfin il était semi-présent comme un ange gardien. Tant qu'ils étaient heureux, celui à l'étrange cicatrice était lui même empli de positivité.

Quitte à avoir une mauvaise réputation d'obsédé de devenir meilleur, de dépasser tout le monde pour sa propre satisfaction et ne jamais aider les gens avec son soi-disant "talent" pour apprendre, il était prêt à recevoir toutes les pics menaçants de transpercer son cœur. ça ne l'attendra pas, il devenir quoi qu'il en coute un pilier solide pour ses proches, quelqu'un qui ne s'arrêtera jamais d'avancer pour mener les autres à bien, un leader auquel ils seront dépendants avant de trouver leurs propres voix.

Même si ce n'était pas la bonne manière de pensée. Ainsi Tanjiro se détruisait petit à petit, les pansements qu'il se créait ne suffisait plus à réparer son pauvre petit cœur d'enfant tailladé qu'il essayait tant bien que mal de maintenir en forme alors que les bouts n'étaient plus que poussière. Tout la pression qu'il s'était lui même mis l'avait ronger petit à petit, brûler à petit feu, le dévorant sans aucune hésitation et il ne pouvait que se blâmer lui même de s'être mis dans cette situation avec aucune main pour l'aider, le roux avait créé un cercle vicieux où personne ne pouvait l'en sortir à cause de sa stupidité à protéger sans se protéger lui même. Il était un peu comme un tank avec seulement un vieux bouclier dans un jeu vidéo en équipe, il n'était d'aucune utilité et même si il n'en avait une, plus les joueurs d'attaques devenaient forts, plus il devenait sans aucune valeur.

Renfermé sur lui même, Tanjiro s'était encore plus isolé des autres, n'étant qu'aimable que quand on lui adresser la parole. Il ne se mêlait plus à rien, les cours étaient plus importants, avoir un bon avenir était son seul objectif dans la vie. Il avait finis ses années de scolarité avec cette mentalité à deux balles, surveillant seulement de loin sa famille qui ne le considérait que comme un inconnu maintenant.

Et puis il avait grandis encore. Jusqu'à en arrêter et entrer pour de bon dans le monde des adultes, même si il avait déjà franchi la ligne comparé à certains.

C'est là qu'il avait regretté tous se qu'il avait vécu jusqu'à présent, pendant plus de 5 ans, il s'était privé tout simplement de moments heureux, de bons moments et de présences chaleureuses. Il était devenu si seul, tellement seul qu'il essayait maintenant d'oublier tout cela dans les aventures d'une nuit pour combler ce manque d'affection qu'il avait lui même voulu.

Tanjiro était juste débile. Il avait détruit sa vie. Et maintenant c'était trop tard, enfin avant qu'il ne rencontre un specimen intéressant, un humain aussi triste que lui.

Tomioka Giyuu était une homme étrange, mystérieux et mélancolique. C'était quelqu'un de taciturne qui prenait que la parole si c'était nécessaire, qui semblait essayer de parler le moins possible. Il avait un regard si morose, un air si pitoyable que Tanjiro en avait pitié. Mais il n'était pas mieux de Giyuu malheureusement, au moins le plus âgé ne cachait pas sa peine même si il essayait de la déguiser sous son silence qui ne trompait personne. Le roux était même pire que lui, il était tout le temps souriant, il espérait que quelqu'un remarque enfin son désespoir mais il faisait tout pour ne pas montrer ce même noir. Ça en était misérable, à quelle point pouvait-il être égoïste alors qu'il avait juste tout foiré. Et encore avec hypocrisie, sans s'en rendre compte, Tanjiro avait approché celui aux yeux d'un vide bleu océan, en sympathisant avec lui.

Rapidement leur relation était devenu très amical, ils avaient aussi l'activité commune d'aller en boîte à chaque fin de semaine pour y oublier leurs problèmes mais jamais ils ne se l'étaient mutuellement raconter avant ce jour-là.

"Tomioka-san" comme le roux aimait l'appelait, l'avait inviter à boire plutôt qu'à danser car il voulait discuter. Tanjiro avait mal compris, pensant qu'il était en fait comme les autres, voulant le draguer mais c'était juste une phrase balancé comme ça car il avait mal à la tête. Quand il avait rougi, le cicatrisé l'avait trouvé avec étonnant incroyablement mignon. Il ne s'était jamais posé la question sur sa sexualité, n'étant jamais vraiment attiré par quelqu'un, trop obsédé par la première place pendant tout ce temps.

Tanjiro avait enfin osé posé la question sur l'air mélancolique que son collègue, et supérieur dans la boîte où il était travaillait, affichait à longueur de journée.

"Dit Tomioka-san, pourquoi à l'air-tu toujours aussi déprimé ? Je sais que la travail dans la boite est super dur, mais tu fais de bonne chose mais tu a l'air toujours aussi ... triste ? "

Il n'aurait jamais dû posé cette question pourtant la tentation était trop forte, la curiosité n'était pas le seul défaut de Tanjiro, mais c'était quand même un gros problème quand il s'intéressait à quelqu'un.

C'était vraiment une mauvaise idée. Surtout que maintenant, Giyuu avait des larmes salés qui tombait sur le bois du comptoir du bar. Avec un air encore plus déprimé que d'habitude sur son visage, notre cher «soleil» paniqua, prenant une mine inquiète et embarrassé. Mais l'adulte avait bien bien compris qu'il voulait vraiment savoir et avait décidé de tout lui raconter.

" Tomioka-san, si tu ne veux pas parler, je ne t'obl-

- Non c'est bon. Pardonne-moi d'être sensible. Je vais t'expliquer, j'aimerai que tu n'en parle à personne vu comment ma vie est merdique, on va se foutre de moi. "

Il avait alors commencer doucement son récit, entre ses larmes et ses soupirs, pas un seul hoquetements ni un éclat de vie dans ses yeux.
Seulement un maigre espoir qui pouvait être brisé à tout moment.
Son histoire était si malheureuse, Tanjiro n'avait pas pu s'empêcher de verser des larmes pour son collègue tellement il était touché. Il n'avait absolument pas vécu la même chose que lui, il ne comprenait pas, mais il larmoyait sur lui.

" En bref, ne prend pas ça comme une phrase de drague mais, tu as mis un peu de lumière et l'aiguille se remet peut-être lentement à tourner après que tu es fait un peu attention à moi. "

Tanjiro avait l'impression d'avoir enfin de la valeur pour quelqu'un. Comme si son aiguille à lui avait recommencer à trouver également au moment où Giyuu avait dit qu'il avait enfin éclairé au moins une vie dans la sienne. Il était heureux, à travers ses larmes, il avait fait un fin sourire sincère. Ses mots lui avaient touché droit au coeur.

Après une courte discussion, le brun-bordeau avait bu sa boisson alcoolisée sous le coup de l'émotion. Il semblait qu'il se lâchait vraiment avec Giyuu. Il avait même fait une métaphore pour coucher avec lui, si ce n'était pas audacieux ça ?
Même si il savait que l'adulte de 25 ans n'accepterai jamais, c'était quelqu'un d'un peu plus responsable que lui au final. Et ainsi que la soirée c'était achevé, Tanjiro sur le dos de son confident qui le raccompagne chez lui à moitié dans les vapes.

Tanjiro croit qu'il est tombé amoureux. Vraiment amoureux. Pas une simple attirance envers lui depuis le début. Maintenant il est sûr que ce sentiment de bien être avec le noiraud était de l'amour. Et c'était un incroyable sentiment, Tanjiro pense ne plus pouvoir s'en passer même si il devra bien se retenir d'être trop proche de Giyuu...

" Tomioka-san, je crois que je ne vous ai pas tous dis sur moi... Mais je pense que ça devra se faire dans une autre soirée hehe. "

2333 mots

UN VERRE ET L'HISTOIRE DE TA VIE PT.2

HELLOW ! Comment vont-je ?
C'est le premier truc que je poste en 2021 waw !

Après je ne sais combien de semaine d'attente de la suite de ce three-shots, bas le chapitre deux sors enfin ! D'ailleurs c'est une des fanfictions que je veux le plus rapidement finir car elle ne contient que 3 chapitres lol
Comme mon Inotan qui ne contiendra que 6 chapitres, mais vous vous en fichez un peu du Inotan puisque vous êtes là pour le Giyuutan

Le prochain chapitre sera TRES fluffy ok ? J'aime le fluff.
Ça sera court aussi sûrement, je suis déjà très fatiguée d'écrire plus de 2000 par chapitre car j'arrive pas à m'arrêter donc chut hein ;-;

Brefouille, j'espère que la chapitre vois à plus, mon imagination pars vraiment en couille total surtout quand je lis des webtoons.

Je vous dis BONNE JOURNÉE ou BONNE SOIRÉE, car moi il est 6h23 chez moi actuellement quand je poste et je dois me lever pour aller au collège yes
J'ai pas fait mes devoirs, je vais le faire défoncer en plus aujourd'hui j'ai une éval d'anglais et je connais pas mes mots lmao 😂

_Genya_Honey_
06/01/21

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