✧14✧ Deuxième disparition
𝟔 𝖔𝖈𝖙𝖔𝖇𝖗𝖊 𝟏𝟗𝟕𝟑
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Le dernier des fils de la famille Black avait toujours aimé le réconfort qu'apportait la volière. Et pour cause, personne ne s'y rendait jamais - excepté peut-être quelque attrapeur de Gryffondor particulièrement agaçant. La plupart des gens étaient rapidement incommodés par l'amoncellement de fientes et se contentaient de croiser leur hibou le matin, au petit déjeuner. Mais l'odeur, on s'y habitue. La constante sollicitation sociale cependant, il avait du mal. Le vent, s'engouffrant par les fenêtres sans carreaux, le revigorait. Son corps tout entier semblait gonflé, vivant, comme il ne l'avait jamais senti auparavant. Il sentait ses émotions plus fortes, plus vraies. Ses sentiments, d'ordinaires anesthésiés se décuplaient. La garçon n'alla pas jusqu'à s'asseoir à même le sol, s'il tâchait son costume il le regretterait amèrement. Au lieu de cela, il s'appuya dans l'encadrement de l'une des fenêtres. L'embouchure donnait vue sur la forêt interdite. Le garçon aimait contempler cette forêt renfermant précieusement ses secrets entres ses branches épaisses et ses larges feuillages.
Pendant un instant il songea à la dernière fois qu'il était venu, lorsqu'il avait croisé James Potter et sa foutue gentillesse. Sa façon de se comporter était-elle un piège ? Ou bien était-il sincère ? Regulus en doutait. Il chassa ces pensées de son esprit. Songer trop longtemps à James Potter risquait de lui pourrir sa cervelle. N'était-ce pas ce qui était arrivé à son frère aîné ?
Le dernier fils des Black s'efforça de ne songer à rien. Le temps passait, les convocations avec Dawlish s'accumulaient, les feuilles des arbres brunissaient et au même rythme il lui semblait que son corps tout entier s'enfonçait dans la bouse de dragon. Il était terrifié. La nuit, il lui arrivait de se réveiller, tremblant, après avoir rêvé du poing de McLaggen s'abattant inlassablement sur la paroi de verre en hurlant que la faute incombait un jeune garçon. Chaque fois que la face tremblante et rougie de rage de McLaggen lui revenait à l'esprit il se trouvait pris d'un violent frisson et ses ongles s'enfonçaient dans ses paumes comme pour tenter de l'arracher à ces dangereuses divagations.
Un violent frisson le traversa. Songer à rien lui était impossible. Tentant de contrôler le flot d'images dérangeantes qui lui venaient à l'esprit, il inspira longuement l'air frais de l'automne approchant. Il ferma les yeux et concentra son esprit sur ce que son nez percevait. Le vent apportait avec lui l'odeur du sous bois et celle de la roseraie de Mr. Chamomile, le professeur de Botanique. Regulus en adorait secrètement les parfums.
Soudain, une vive douleur lui traversa le mollet droit. Regulus sursauta et fit fasse à son agresseur. On lui picorait la jambe ! Aussitôt, il reconnut la chouette hulotte de sa sœur. Le garçon fronça les sourcils ; il était rare de recevoir du courrier en pleine journée à Poudlard. Il leva son bras gauche pour que la petite chouette vienne s'y percher, ce qu'elle fit sans une hésitation. Regulus détacha délicatement la lettre qui lui avait été confiée et la fourra dans sa poche dont il ressortit quelques graines.
— Tiens, Athéna, tu as fait du bon travail, félicita-t-il la petite chouette en la gratifiant d'une légère caresse.
L'animal ferma brièvement les yeux de contentement. Regulus sourit et retourna à sa contemplation. Il attendit quelques minutes pour entendre les battements d'ailes d'Athéna pour sortir l'enveloppe de sa poche.
Cher Regulus,
Viens me retrouver pendant le dîner, derrière le château, à la lisière de la forêt interdite. Je dois te parler d'urgence.
Ta sœur bien aimée,
Calista Black.
Regulus fronça les sourcils. Quoique sa sœur ait voulu lui dire, cela n'augurait rien de bon. Il jeta un dernier coup d'œil à travers les meurtrières de la volière et descendit les marches quatre à quatre ; son premier cours de la journée allait débuter.
Sa journée fut plongée dans un brouillard dont il peinait à se sortir. Ces derniers temps d'ailleurs, il avait du mal à se concentrer en cours... Cette histoire de malédiction et de procès lui faisait tout remettre en question. Et maintenant sa sœur se mettait à faire des mystères. Après avoir perdu dix points pour Serpentard en Sortilège - Le professeur lui avait répété trois fois la même question et il n'avait sut que sursauter et répondre "Hein ?!" - et manqué de faire exploser sa mixture en cours de potion - Linda, aussi exceptionnel que cela puisse paraître, l'avait sauvé sur ce coup - il avait finalement traversé le hall bondé d'élèves pour se rendre dans le parc.
À mesure que septembre s'écoulait, les jours s'accourcissaient et Regulus ne pus que le constater lorsqu'il se senti mourir de froid sous le soleil couchant. Il s'approcha discrètement du bosquet d'arbres décoratif, dont les feuilles jaunissaient à vue d'œil, le plus proche de la lisière de la forêt interdite. Là, il trouva Calista. Elle avait l'air plus éveillée que jamais malgré ses épaisses cernes.
— Salut, qu'est-ce qu'il y a de si grave pour me faire venir dans un endroit pareil ? Questionna Regulus.
— Chut ! Fit Calista. On attend Sirius.
Les yeux pâles de la jeune fille s'agitaient partout autour d'elle, comme si elle s'inquiétait qu'on puisse l'apercevoir ici. Était-elle devenue folle ? Elle ne serait pas la première dans leur famille.
Elle eut l'air d'un suricate à l'affût lorsque les pas de Sirius approchèrent.
— Tu vas m'expliquer pourquoi tu fais tous ces mystères, Cali ? J'avais des choses de prévues moi ce soir ! Lança Sirius.
Regulus leva les yeux au ciel. Quoi que ce frère eu prévu il pouvait parier qu'il s'agissait de la chose la plus puérile possible.
— Dites moi les garçons, vous vous souvenez bien de vos cours de généalogie ?
Regulus hocha brièvement la tête et Sirius afficha une moue pleine de dégoût.
— J'ai découvert quelque chose dans la bibliothèque, expliqua Sheliak. Un livre qui pourrait bien nous permettre de désigner le coupable. Simplement, si cela prouve votre culpabilité j'aimerais autant brûler ce livre avant quelqu'un d'autre ne le découvre.
— Viens en au fait, intima Sirius.
Calista révéla enfin sa main droite qu'elle cachait dans son sac à bandoulière. Elle tenait un épais grimoire duquel elle marquait une page avec son pouce. Elle ouvrit l'ouvrage à la dite page et se mis à lire.
Dame Rowena avait toujours aimé la compétitivité et lorsqu'il s'agissait d'entrer en concurrence avec le Seigneur Salazar elle ne manquait aucune occasion de faire briller sa formidable intelligence. Alors, quand on vint lui rapporter que le Seigneur Salazar préparait quelque chose sous le château - elle refusa de me confier quoi exactement -, elle se mis en tête d'attenter un projet similaire. Dame Rowena avait un attrait pour les mystères, les énigmes et les métaphores... Et rien qu'au nombre de miroirs dans son atelier on pouvait deviner sa passion pour ces objets. Ainsi, elle décida d'enchanter chacun des miroirs du château. Poudlard, me déclara-t-elle dans le plus grand secret, deviendra un sanctuaire pour mes héritiers. Alors que je me penchais sur ces papiers, je finis par comprendre ce qu'elle avait fait à ces miroirs. Les ennemis de Serdaigle n'auraient qu'à bien se tenir s'ils ne voulaient pas finir par passer de l'autre côté du miroir.
Regulus avait la nausée. Il croisa le regard de sa sœur. Il comprenait maintenant l'agitation de sa sœur aînée.
— Nous ne sommes pas les héritiers de Serdaigle, se contenta d'affirmer Sirius, brisant ainsi un long silence gênant.
— Et si nous l'étions répliqua Calista. Une famille descend bien de quelque part dans l'histoire des sorciers. Et si nous descendions de Serpentard nous le saurions à coup sûr ! Mais Serdaigle...
— Je ne sais pas Calista, c'est beaucoup tout ça...
Regulus ferma les yeux. Les fils de pensées s'enroulaient, s'enlaçaient les unes dans les autres comme une épaisse et confuse pelote de laine.
— Nous devrions demander à Mère, conclut le cadet.
Ses aînés affichèrent une mine sombre mais ne bronchèrent pas. Ils étaient également arrivés à cette terrible conclusion : Walburga était leur meilleure chance de se sortir de ce pétrin.
— Il y a autre chose dans ce livre ? Demanda soudain Sirius.
— Non. Coupa sèchement Calista. Le reste est inintéressant.
— Je ne dirais pas ça d'une biographie de Rowena Serdaigle. Même moi, je sais reconnaître la valeur d'un tel ouvrage.
— Je te dis qu'il n'y a rien d'autre à voir. En plus tout est écrit en runes, tu ne pourrais pas le déchiffrer.
— Je pourrais le proposer à Lily, suggéra son jumeau.
— Je t'ai dit non, Sirius !
Regulus et Sirius observèrent leur sœur, confus. La panique envahissait le visage de la jeune fille comme si l'idée même de prêter ce livre lui faisait horreur. Regulus fronça les sourcils, quelque chose clochait chez sa sœur et cela n'augurait rien de bon. Seulement, elle ne semblait pas prête à leur livrer la moindre information.
— C'est bon, Siri, faisons confiance à notre sœur, lança Regulus d'un ton traînant.
Voilà longtemps qu'une telle chose n'était pas arrivée ; les deux frères Black unis dans une même conversation face à un adversaire commun.
— J'ai envoyé Athéna depuis la forêt interdite pour avertir les parents qu'on devait les voir de toute urgence. J'ai proposé la date de notre prochaine sortie à Pré-au-Lard – oui, Sirius, j'ai codé la lettre –, je leur ai demandé si on pouvait se voir du côté de la cabane hurlante, il n'y a jamais personne là-bas, expliqua rapidement Calista.
Regulus hocha lentement la tête. Il se demanda brièvement quelle tête ferait Walburga en recevant une telle lettre.
Sirius eu un petit rire sceptique mais il n'en dit pas plus. Peut-être avait-il noté lui aussi que Calista n'était pas dans son état normal.
*
Dans la salle commune des Serpentard, Regulus ressassait. Il tournait et retournait les mots de sa sœur comme des pancakes – ces derniers devait avoir le goût amer de la peur. Ses fesses enfouies dans le cuir du canapé le plus proche de la cheminée, ses jambes fines ramenées contre sa poitrine, il se servait de son manuel de potions, calé sur ses cuisses pour écrire sur son parchemin, à l'encre invisible, quelques notes sur les révélations du jour.
Miroir.
Invention de Rowena Serdaigle.
Lien avec Salazar Serpentard ?
Malédiction.
Sang-pur.
Sirius à Gryffondor.
Calista à Serdaigle.
Regulus à Serpentard.
Apprenti de Rowena.
Grimoire.
Victimes : 1, McLaggen.
Il s'apprêtait à écrire quelque chose sur les inscriptions sanguinolentes lorsque des mains masquèrent ses yeux.
— Devine qui c'est ! Lança une voix amicale.
— Mmh.. Je ne sais pas... À tout hasard... Linda ?
Les mains libérèrent ses yeux et deux lèvres vinrent s'écraser sur sa joue. La jeune fille se laissa tomber à ses côtés sur le canapé et Regulus tenta de répondre à son sourire enjoué. Pour toute réponse elle grimaça.
— Ne fait pas ça, grogna-t-elle. Sourire pour me faire plaisir. Ça ne te va pas bien.
Regulus leva les yeux au ciel et reporta son regard sur ses notes.
— Tu sèches sur le devoir de Sluggy ? S'inquiéta-t-elle.
— oui, un peu, mentit-il.
Elle fronça les sourcils, comme si elle savait qu'il mentait.
— Dans tous les cas, ce n'est pas une raison pour sécher le dîner.
— Qu'est-ce qui te rend si enthousiaste, détourna Regulus.
— J'ai bousculé Flitwick par inadvertance tout à l'heure, et lorsque je l'aidais à ramasser ses papiers j'ai peut-être par inadvertance aperçu le sujet du devoir de demain.
Le devoir !
— Par inadvertance, hein ? Ricana Regulus avec un demi sourire.
C'était dans ce genre de moment qu'il réalisait à quel point cette fille avait sa place à Serpentard, pas seulement par son nom de famille mais également par sa ruse.
— On peut réviser ensemble, si ça te dit. Mais pas ici, dès que le dîner sera achevé, des tas de gourmands aux oreilles indiscrètes débarqueront ici. Une chance pour toi que je mange vite !
— Une chance ! Railla Regulus. Je vais chercher mes affaires, on va se trouver une salle.
*
Alors que Regulus se prenait le choux avec la prononciation du sortilège de chatoullis, Linda semblait distraite.
— Rictusempra ! Essaya encore Regulus.
Mais Linda ne bougeait pas d'un poil. Livrée à ses pensées elle regardait tout ailleurs que ses notes.
Regulus soupira et se laissa tomber sur une chaise en face d'elle.
— Tu vas me dire à quoi tu penses à la fin ?
Linda sursauta.
— C'est juste que... Non oublie...
— Parle, Linda.
— J'ai une théorie, en ce qui concerne cette histoire avec McLaggen.
Regulus se figea. Il ne devait surtout rien révéler de ce qu'il avait appris ce soir.
— McLaggen ne s'en est pas pris qu'à toi et ton frère ce soir-là, si j'ai bien compris.
— Qu'est-ce que tu sous entends ? S'inquiéta le garçon.
— Il a insulté ta sœur. Elle était là. Elle a pu entendre. Et elle était l'une des premières présente sur les lieux.
Le dernier des fils Black réagit avec un temps de retard tant la suggestion de Linda lui paraissait lunaire.
— Ma sœur a peur du sang. Elle s'est évanouie.
— La belle affaire ! Répliqua Linda. Tu sais ce qui peut également provoquer un évanouissement ? L'usage d'un sortilège particulièrement puissant !
— Tu te rends compte de ce que tu dis ? S'agaça Regulus.
— Ce n'est pas agréable à entendre, je le comprends aisément. Ce n'est pas plus simple à suggérer. Mais il faudra un jour que tu réalises que tous les enfants de sang pur de sont pas comme nous. Certains deviennent exactement comme nos parents, prêts à tout pour garder leur honneur sauf.
— Qu'est-ce que tu sais de la façon dont je suis, Linda ? Que sais tu de moi et de ce que je serais prêt à faire pour mon honneur ou celui de ma famille ?
Une colère sourde pulsait contre ses tympans. Il ne s'était pas senti aussi enragé depuis la soirée de Gryffondor. Sa mâchoire se crispa et ses poings se serrèrent alors que les yeux de Linda s'écarquillaient sous la surprise.
— C'était une simple suggestion ! Se défendit son amie. Je dis juste qu'on devrait se méfier de Calista ! Pas forcément l'envoyer en pâture au magenmagot immédiatement !
À cet instant, Regulus réalisa qu'il ferait tout pour garder sa sœur en sécurité, Linda continuait à parler mais il ne l'écoutait plus. Même avec la possibilité que l'un d'entre eux trous soit coupable, ce soir, à l'orée de la forêt interdite ils avaient pris la décision implicite de se serrer les coudes. Le petit dernier n'était pas prêt à briser la confiance de ses aînés. Une immense panique envahit ses veines ; Linda ne devait jamais répandre ses hypothèses, jamais. Il en allait de l'avenir de sa sœur.
— Regulus, tu es là ? Je te cherchais ? Lança une voix chantante.
La porte de la salle de classe abandonné s'ouvrit et aussitôt, il sentit le monstre d'angoisse et de rage s'apaiser au fond de lui. James. Et sur ses talons, Calista.
Linda était livide, figée dans son mouvement. Regulus tenta de se composer un air neutre.
— Qu'est-ce que tu veux, Potter ? Lança-t-il le menton en avant.
— On voulait te demander d'aller voir Dawlish tous ensemble, mais c'est inutile, tu as du travail, répondit Calista sans laisser James répondre.
Regulus acquiesça et pria pour qu'ils aient autre chose à lui dire. L'idée même qu'ils quittent la pièce lui faisait horreur.
— À plus, Reggie ! Lança James en refermant la porte derrière lui.
Le Serpentard eut envie de pleurer.
— T- Tu crois qu'elle m'a entendue ? Bégaya Linda.
— Je sais pas, et si c'est le cas tu ne peux t'en prendre qu'à toi même.
— Tu ne comprends pas ! Si elle m'a entendue je vais finir derrière un miroir, comme McLaggen !
— Ne commence pas, gronda Regulus.
Les yeux froids de Regulus heurtèrent le regard humide de Linda. Il attrapa ses affaires, les fourra dans son sac et pris la porte.
Le pas rempli de fureur, il s'étonna de ne pas voir le sol se fissurer sous ses pieds.
*
— Regulus, réveille toi ! S'écria une voix.
Une demie-heure avant son réveil, Andy avait décidé de s'introduire dans son dortoir pour l'attirer loin de ses rêves.
— Qu'est-ce que tu fous là ? Ronchonna Regulus.
— C'est à propos de Linda. Viens, il faut que tu te lèves.
L'esprit encore embrumé, il sentit son cœur s'emballer. Qu'était-il arrivé ? Il tenta de sortir de ses draps mais la seule chose dont il fut capable fut de s'emmêler dedans.
— Détends toi, je vais t'aider, fit Andromeda.
Elle lui retira ses draps tandis qu'il ajustait son pyjama. Sa cousine attrapa sa main et l'entraîna dans la salle commune. Une fois n'est pas coutume à cette heure-ci, elle était bondée. Des murmures parcouraient la pièce et on s'écarta sur le chemin du garçon. Des regards de peur mêlés de haine et parfois même - à sa grande horreur - d'administration le suivaient. La main d'Andromeda alors qu'il s'avançait vers le grand miroir de la salle commune de Serpentard.
Des larmes silencieuses coulaient sur le visage de Linda alors que la paume de ses mains s'écrasait sur la vitre.
Une frisson parcourut l'échine du garçon.
Que dire ? Que faire ? L'angoisse lui tordait le ventre. Vomir. Respirer. Courir loin d'ici sans jamais revenir. Voilà tout ce qu'il désirait.
— REGULUS ARCTURUS BLACK VOUS ÊTES EN ÉTAT D'ARRESTATION POUR LA MALÉDICTION DE LINDA PARKINSON ! Tonna la voix d'un auror qui entrait en trombe dans la pièce, suivit de près par Dawlish, Slughorn et Dumbledore.
Regulus se figea. Il tenta de chercher du réconfort dans le regard de Dawlish mais celui-ci conservait un air parfaitement impassible. Il appréhendait tant les prochaines secondes qu'il ne vit pas Marcus Parkinson foncer sur lui. Le coup de poing qu'il lui envoya en plein visage, lui, Regulus le repéra à la douleur foudroyante.
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Coucou !
J'espère que ce chapitre vous a plu si c'est le cas n'hésitez pas à laisser une petite étoile et à commenter (je ne réponds pas toujours mais je lis tout)
J'ai fais un peu de travail de mise en page (il y a eu quelques bug il y a plusieurs mois ça m'avait gonflé et j'avais abandonné mais nous y voilà !)
Si jamais vous vouliez discuter, ou avoir des updates comme : Mais quand sort le prochain chapitre ?! N'hésitez pas à aller me rejoindre sur mon insta : horrora_autrice
Kiss, Kiss
- Horrora
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