《 𝔪𝔞𝔩𝔢 𝔯𝔢𝔞𝔡𝔢𝔯,,, 𝔗𝔬𝔟𝔦𝔬 𝔎𝔞𝔤𝔢𝔶𝔞𝔪𝔞 ; 𝖍𝖆𝖎𝖐𝖞𝖚!!, 𝖑𝖊𝖒𝖔𝖓 𝖆𝖓𝖉 𝖋𝖑𝖚𝖋𝖋, 𝖘𝖊𝖝 𝖔𝖚𝖙𝖘𝖎𝖉𝖊, 𝖚𝖆 𝖚𝖓𝖎𝖛𝖊𝖗𝖘𝖎𝖙𝖞, -YUMISAN- ❞❞

𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒 𝓍 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒

Tobio et T/p s'étaient engueulés toute la journée, ils n'avaient fait que ça, le noiraud se plaignait de la piètre défense de T/p.

— « Bon tu me gonfles Kageyama, va faire chier ailleurs. »

— « En plus la défense de T/p est bien. »

Et lui, le grand blondinet, il ne ratait pas une occasion d'embêter Kageyama.

— « On t'as pas sonné Tsukki. »

Il lui fit un doigt d'honneur que le blond ignora totalement. Il n'en avait strictement rien à faire.

— « Bon, T/N, Kageyama, vous sortez de la salle et vous revenez quand vous vous serez réconciliés. »

— « C'est une blague ou tu fais la même chose qu'à Hinata et moi quand on était en seconde. »

— « Non ce n'est pas une blague, maintenant dehors. »

— « Non mais on est plus des gamins, on a vingt ans ! »

— « Dehors. »

Ils allèrent chercher leurs affaires et leurs sacs et sortirent en soufflant fort. T/p bouscula Tobio pour passer par la porte en premier.

— « Enfoiré laisse moi passer. »

— « Tu rêves Kageyama. »

Et il sauta les marches pour sortir plus vite. Il marmonnait des choses incompréhensibles, mais on pouvait entendre des « putain de connard » ou d'autres insultes. 

— « Suis moi Tobio. »

— « TU CROIS VRAIMENT QUE JE VAIS TE SUIVRE SANS RIEN DIRE ?! »

— « Oui, allez viens maintenant. »

Et oui, il le suivit en silence, ils se dirigeaient vers les buissons, et ce n'est qu'à ce moment là que le grand noiraud remarqua que les fesses de T/p bougeaient beaucoup quand il marchait. Il rougit en se rendant compte de ce à quoi il pensait. Il avait vraiment envie de s'en foutre une parfois.

Ils s'assirent contre le mur du bâtiment, l'un à côté de l'autre.

— « Tu vas arrêter de t'énerver contre moi maintenant ? »

— « Tss, ouais... »

Il tourna la tête vers l'endroit où T/p n'y était pas, il était soudainement gêné par la situation. Le c/c saisit la main tremblante du noiraud et ce dernier sursauta. Il avait les joues cramoisies. Et T/p éclata de rire devant sa réaction.

— « Regarde moi Tobio. »

Il s'exécuta et planta son regard dans celui de son camarade. Il avait beau avoir les joues rouges, ses yeux étaient pleins de détermination. Ils se rapprochèrent doucement et collèrent leurs lèvres. Et c'est Tobio qui osa glisser sa langue dans la bouche de T/p.

Leurs langues se rencontrèrent, et se découvraient. Leurs baisers étaient toujours comme ça, ils étaient timides, mais la suite était toujours plus chaude.

Ils se sentaient quand même cons de s'être engueulés toute la journée, ça faisait longtemps que la bande ne s'était pas retrouvée. Leurs études les occupaient beaucoup, mais ils se rassemblaient le plus souvent possible pour jouer au volley.

Ils passèrent leurs mains derrière la nuque de l'autre et se rapprochaient encore plus, T/p s'installa sur les cuisses de son amant et l'embrassa fougueusement. Il pouvait sentir l'érection naissante contre ses fesses. Il sourit contre les lèvres de son partenaire.

— « Tu veux bien arrêter de rire ? »

— « T'es excité si facilement, ça me fait rire. »

Il lui attrapa le bout du nez et le secoua un peu, en souriant. Les grandes mains du passeur passèrent sous le tee-shirt noir du central. Il caressait son corps musclé, et il pinça brusquement ses tétons.

— « Aïe ça fait mal ! »

— « J'étais trop tenté, je le fais plus, promis. »

— « Merci. »

T/p baissa la braguette du pantalon de son amant, une bosse était maintenant bien visible, mais il s'abstint de faire un commentaire, car il n'était pas dans un meilleur état. Installé comme ça sur les genoux de son partenaire, à chaque mouvement qu'il faisait, l'érection du noiraud s'empirait. Et le c/c ne se gênait pour frotter ses fesses contre cette dernière.

Tobio laissa échapper un grognement quand T/p plongea dans sa nuque pour y laisser des baiser papillons, il soufflait à son oreille, et ça, le passeur n'arrivait pas à y résister. Il était parcourut de frissons à chaque souffle du central. Son oreille rougissait et T/p se délectait de ça.

Les mains du passeur passèrent sous le tee-shirt du c/c, caressèrent son dos musclé, et ilé tremblait doucement sous les douces caresses de l'expert. Il faisait le tracé de sa colonne vertébrale, arrivé en haut, s'attaquait à faire le contour de ses omoplates, et descendit sur les flancs. T/p se tortilla sous lui, ça le chatouillait et il n'arrivait pas à l'arrêter.

Ils s'échangèrent un baiser sulfureux, leurs langues se battaient gentiment. Un filet de salive coulait de leur menton, il se dévorait l'un l'autre. Avide de leurs caresses, de leurs amour, ils étaient avides de tout ça.

Ils baissèrent leur pantalon et leur boxer pour laisser sortir leurs sexes dressés, un liquide s'en écoulait. Ils entrèrent en contact et les deux hommes collèrent leurs mains à ces derniers pour les rapprocher.

Leurs doigts se baladaient sur leurs sexes, cherchant le point sensible de l'autre, et quand leur index passèrent sur leurs glands, T/p bascula sa tête en arrière et ferma les yeux. Laissant Tobio gérer son plaisir comme il l'entendait. Et il en était de même pour le noiraud, son plaisir n'était procurait que par le c/c, il pouvait choisir d'arrêter ses caresses à tout moment.

T/n n'arrêtait pas de passer sur l'extrémité de Kageyama, il frémissait et gémissait à chaque passage, et il ne sut pas retenir sa jouissance plus longtemps. En revanche son partenaire n'avait toujours pas jouit, et il comptait bien l'emmener au septième ciel. Une main sur le sexe de T/p, une autre à son entrée, Tobio comptait lui faire perdre la tête.

Mais avant de le pénétrer de son index, il apporta ses doigts à la bouche du central, il les prit en bouche et fit tourner sa langue autour. Plongeant son regard dans celui de Kageyama, une lueur provocatrice dans les yeux. Et en un rien de temps, le pénis qui était descendu de Tobio se dressa. 

Le c/c afficha un air triomphant et le noiraud grogna dans sa barbe. Il retira ses doigts et en entra un dans l'antre de T/p, il gémit d'inconfort, mais la main de son partenaire lui fit bien vite oublier la douleur. Il s'occupait des deux côtés en même temps, et T/p ne savait plus où en donner de la tête. Un autre doigts entra et il ne sentit presque pas, trop concentré sur le plaisir que lui donnait son sexe. Les doigts s'enfoncèrent encore plus loin, et touchèrent la prostate du c/c.

Il s'en trouva si surpris qu'il se lâcha dans la main de Tobio.

— « Bon ça va mieux tous les deux ?! » cria une voix dans le gymnase.

Les deux se relevèrent et s'habillèrent rapidement, gênés d'avoir été presque surpris. Heureusement que l'érection de Kageyama s'était calmée pensa T/p.

Ils se présentèrent devant la salle de sport et ils purent entrer car Daichi estima qu'ils étaient réconciliés.