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━━ ･ ❖ L'univers « The Puppeteer » ainsi que ses personnages m'appartiennent

━━ ･ ❖ Je rappelle que ceci est un univers horrifique au style TPN ou Fnaf. Si le genre de contenu horrifique, mystérieuse ou gore vous dérange, cette histoire n'est pas faite pour vous

━━ ･ ❖ Maintenant et jusqu'à la fin de l'univers, les italiques représenteront les flashbacks

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❝ Non, je ne veux pas ❞
#V3nUs#

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L'antagoniste se réveilla. Quelle fut sa surprise de constater qu'elle n'était plus attachée, et que la pièce était vide. Mais sa surprise fut encore plus, lorsqu'elle aperçu un miroir et qu'elle s'y contempla : elle n'avait plus ses cheveux noir de la nuit, ni ses yeux d'un rouge saignant. Non, elle avait des cheveux verts, dégradant vers du blond, et des yeux violets.

Sa beauté l'était plus qu'elle ne l'était déjà.

— C'est pas vrai... », se déclara Clara, en se retouchant le visage de ses deux mains. « Ainsi donc, je suis de nouveau Clara ? »

Elle sentit ses mains mouillées : des larmes coulaient sur son visage.

— Ça voudrait dire que deux personnes seraient venues ? Qui pourraient-elle être ? Quoique... »

En pensant à ce qu'elle s'apprêtait à se confier, La Belle se précipita vers la sortie et entra dans une chambre.
Celle de Riley, qui était vide. Aucune personne n'était là, alors que cette dernière était censée dormir et se reposer.
Seule une paire de chaussures trônaient la pièce.
La fenêtre était grandement ouverte.

— C'est bien, elle dort », dit simplement Clara, se remettant à prendre son sourire habituel.

— Je savais que tôt ou tard, t'allais refaire ton apparition », répondit une voix féminine.

Vénus se retourna : Money se trouvait devant elle.

— Et moi, je savais qu'au fond t'étais fausse », déCLARA la belle femme. « J'avais déjà dit mon plan à tout le monde, donc comment peux-tu poser cette réflexion si t'était déjà censée être au courant ? Hein ? »

La nouvelle venue, recula d'un air surpris.

— Et bien... J'ai juste dû oublier.. »

— Money, personne n'est ici. Tout les enfants dorment, et Riley dort profondément. Les Présidents sont à mon bureau. Klee et ses amis ont sans doute quitter l'établissement. Donc exprime-toi », fit simplement Clara, de son sourire serein habituel.

La Ministre paniqua, avant de soupirer et de commencer à parler :

— Pourquoi veux-tu être aussi parfaite ? »

— Moi ? Qui t'as dit ça ? Ce n'est pas ma faute si le monde me perçoit ainsi », répondit simplement Clara.

— Voyons Clara, la véritable perfection n'est qu'une illusion. Elle est trompeuse. Ça n'existe pas »

— Je pense que tu te trompes à propos de ça : jusque là je ne m'étais jamais trompée. Elle existe, il suffit de la connaître et tu as la preuve vivante devant toi »

— T'as forcément une imperfection Clara. Arrête de chercher des arguments. La perfection n'existe pas. T'en as fait l'expérience en étant La Marionnettiste »

La verte dégradée en blonde, fit quelques pas en arrière avant, de répondre philosophiquement :

— Il y'a un magnifique spectacle qui se déroule actuellement. Chaque acteur joue correctement son rôle, malgré des erreurs. Or, ces erreurs ne se voient pas, si le rôle attribué peut opter ces derniers. Cela étant dit, les acteurs savent la réalité des choses tandis que le public, non. Ils pensent alors voir un magnifique spectacle. Ça fait une belle représentation, tu ne trouves pas ? »

— Je ne vois pas où tu veux en venir honnêtement », répondit franchement Money, la regardant droit dans les yeux.

— On dirait que quelqu'un t'a remplacé et personne ne l'a vu, parce que le spectacle est parfaitement bien ficelé. Nous sommes dans l'illusion mais, dans la perfection tout de même »

— La perfection n'existe pas Clara. On te l'a tant dit mais, tu ne dois pas prendre tout à la lettre. Même si le public ne voit pas la réalité, les acteurs si. Et ils savent clairement que tout n'est que mensonge. Je suis sûre que si tes parents ou Scott seraient là, ils te diraient de façon plus claire : « Ma chère Venus, oui tu es vue de tous comme la perfection. Mais au fond, tout ça n'est qu'illusion. Tu n'es pas parfaite, parce que rien n'est parfait au fond ». Au fond, tu as des imperfections comme tout le monde »

— Au contraire, ils pensaient que j'étais la fille parfaite, au premier degré. Ne me dis pas que tu as oublié les innombrables "accidents" que vous m'aviez causé à l'époque ? J'y suis sortie sans aucune blessure. Là actuellement, mes blessures de poux sont partis »

— Depuis quand t'es allergique aux poux ? », demanda Money, surprise.

— Ne change pas de sujet. Le fait étant que, ne possédant pas de blessure, je n'ai donc aucune imperfection et, je suis donc parfaite. Money, moi aussi je l'ai refusé et ignoré. Je ne veux pas être parfaite, mais ainsi l'histoire du spectacle l'a décidé. Mais le contexte du spectacle a changé, et je l'ai accepté même si j'en suis contre. Je veux juste te montrer que tes propos sont faux, et que les miens sont simplement véridiques.
Et hormis moi, je sais que la perfection existe.

Je pense que la perfection transforme nos imperfections, en une forme d'art magnifique. Cette magnifique forme d'art doit inspirer, doit émouvoir et doit donner l'envie et le désir aux individus, de la contempler durant des heures, de façon inlassable. Le fait étant que cette perfection existe dans plusieurs objets, et en une personne qui est moi. Je respire en moi cet art.

Je suis parfaite, tu ne peux pas le nier.
Toute personne vit le bonheur absolu en me contemplant »

— Dans ce cas, donne-moi ce fameux bonheur, si tu en es tant capable », répliqua la blonde dégradée en rousse. « Non parce que depuis le début, je t'observe et aucune once de bonheur m'a traversé l'esprit »

— Tu crois vraiment que le bonheur vient de suite ? Continue d'observer le spectacle, et un bonheur finira bien par naître chez toi », répondit simplement Clara.

— Nan tu vois, moi je veux le bonheur tout de suite, dans l'immédiat. Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas l'avoir si t'es là, juste devant moi. Ça fait tant de temps que je suis public du spectacle, et que je t'observe. Si t'es si parfaite, tu devrais en être capable et surtout dotée »

— Je veux également goûter au bonheur dans l'immédiat. Mais je ne peux pas : tu vois, même en étant parfaite, le bonheur ne vient pas lui-même »

— Dans ce cas, quand le bonheur viendra ? Quand ces tristes jours cesseront et deviendront enfin heureux ? Je ne veux pas de la joie. Je veux du bonheur. Un bonheur pur, innocent, magnifique, magique, illimité et surtout parfait », demanda Money, devenue très sérieuse.

— Les engrenages sont mal-réglés sur l'horloge, les acteurs ne savent donc pas quand le spectacle prendra fin. Laisse-moi réparer l'horloge. Donne-moi du temps, et cesse de vouloir ce bonheur imminent. Continue de me regarder »

Money écarquilla des yeux, avant de reculer encore plus.

— Alors, es-tu en accord avec mes propos ? Money, je veux qu'on se pardonne. Pour tout les malentendus créés lors de [...], même si au final j'y étais pour rien et que tu étais coupable avec Scott, je ne t'en veux pas. Et je ne t'en voudrais jamais, car je te pardonne. Rattrapons le temps perdu, en réparant l'horloge du spectacle, et vivons le bonheur »

C'est là que la blonde dégradée en rousse, sorti un miroir, qu'elle fracassa contre le mur.
Elle ramassa ensuite le morceau de verre la plus grossière, la plus grande, la plus épaisse, représentant presque un couteau.
Elle serra encore plus le morceau, au point que ses mains saignaient, avant de se planter le morceau au poignet.
Elle déclara d'une dernière voix :

— Désolée mais moi, je veux un bonheur imminent sinon, tant pis, ce sera pour la prochaine représentation : je quitte le spectacle »

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1. Président du Commerce : X
2. Présidente de l'Éducation : X
3. Présidente de la Cuisine : X
4. Président de la Médecine : X
5. Président de la Sécurité : X
6. Présidente de ??? : ?
7. Président de la Création : ?
8. Président(e) de ??? : ???
9. Président(e) de ??? : ???
10. Présidente de la Présidence : CLARA

Ministre : X

¿? Présidents à découvrir l'identité.
¿? Ministre à découvrir l'identité.

« C'était une belle discussion. Elle me fait pensé à quelqu'un »

« REGARDE MOI »