★ 𝐃𝐮 𝐜𝐨𝐭𝐨𝐧 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞́ 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐚𝐢̂𝐭𝐫𝐞... (épisode 34)

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━━ L'univers « The Puppeteer » ainsi que ses personnages m'appartiennent

━━ Je rappelle que ceci est un univers horrifique au style TPN ou Fnaf. Si le genre de contenu horrifique, mystérieuse ou gore vous dérange, cette histoire n'est pas faite pour vous

━━ Maintenant et jusqu'à la fin de l'univers, les italiques représenteront les flashbacks

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Tout va bien ma belle ?
#Bradley#

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— Tu dis n'importe quoi! », rétorqua Victorine, foudroyant son interlocuteur dans les yeux.

— Y'a pas 57 ou 75 milles solutions hein », répliqua Gameur. « D'ailleurs, j'ai aussi trouvé ça »

À ces mots, le garçon montra à la fille une affiche semblable des autres, mais ayant comme photo...

— C'est moi ? », demanda l'amnésique, surprise.

— Nan c'est Bertrand. MAIS BIEN SÛR QUE C'EST TOI, tu ne te reconnais pas peut-être ?? »

— Nan mais j'avais pas capté », soupira Victorine, en levant les yeux au ciel. « Et donc, je suis sensée mourir ? »

— Bah ouais, si Gama est morte c'est que forcément tu vas l'être hein »

Étrangement, la brune se mit à sourire d'une façon bien étrange.

C'est lorsqu'il réussit à finir de creuser un trou suffisamment large, et qui traversa le tunnel creusé pour arriver au Quartier des Questions qu'il comprit.
Il comprit enfin.

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Rémon et Klee continuèrent d'avancer, jusqu'au moment où ils croisèrent alors un autre groupe de personnes. Ils espéraient bien évidemment qu'ils s'agissent de personnes innocentes. Mais dans tout les cas, ils les évitèrent.

— Salut vous deux ! », fit une fille blonde, à l'intention des deux amis, ce qui les obligèrent à se stopper.

— Euh oui salut ? », demanda Klee, de manière hésitante.

— Dites, on a du mal à retrouver la sortie de ce labyrinthe, et j'aimerai bien arrêter d'y jouer car je dois aller aux toilettes », expliqua une autre fille mais brune.

Les deux filles se ressemblaient énormément. Si elles auraient eu la même couleur de cheveux, la rousse et le noiraud les auraient confondues.

— Vous êtes jumelles ? », questionna Rémon, curieux.

— Haha, on pourrait le penser ! », fit la blonde. « Mais on est en réalité des sosies ! On se connaît depuis notre plus jeune âge et on a donc après ça très tôt : on s'échangeait très souvent de place entre Harper et moi ! »

— Je suis Harper ! », fit la dite "Harper". « Et elle, c'est Madison ! »

— Enchanté vous deux », fit la protagoniste, affichant un sourire. « Vous avez quel âge ? »

— On a toute les deux 14 ans ! », déclarent les deux sosies.

— Okay. On est désolé mais malheureusement, on ne connaît pas la sortie. On essaye même de la chercher actuellement », expliqua Klee, d'un air désolé.

— D'ailleurs, comment ça se fait qu'on ne vous a jamais vu ? », demanda Rémon, étonné. « Vous ne venez ni du Pensionnat, si de l'école de la ville alors, d'où venez-vous ? »

— On vient de l'Université de Galice ! », répondit Madison.

— Mais c'est pas sensé être pour les élèves du Pensionnat, lors qu'ils ont 17 ans ? Je ne comprends plus rien », questionna la rousse, perdue.

— Effectivement mais cette université accueille également les élèves qui ont passé l'Exam des 3 ans et qu'ils l'ont raté avec un zéro pointé ! »

— Quoi ?! », s'écria Klee, s'étouffant presque. « Mais j'ai également raté l'Exam des 3 ans ! Comment ça se fait que je n'y suis pas allée ?? »

— Peut-être à cause de ta mère », supposa Rémon. « N'oublie pas qu'on la suspecte toujours »

— C'est vrai », fit la protagoniste, en soupirant. « D'ailleurs, ça fait super longtemps que je ne l'ai toujours pas revue.. c'est super étrange »

— Vous parlez de quoi ? », demanda Madison, curieuse.

— Non rien », répondit la rousse. « De toute façon, vous ne comprendrez pas »

— Ne pas comprendre quoi ? », demanda Harper.

— Laissez tomber », fit le noiraud, les souriant gentiment.

— Oh », répondit Madison. « Mais si c'est à propos de La Marionnettiste ou autre, n'hésitez pas à nous le dire. On est au courant »

La protagoniste manqua une nouvelle fois de s'étouffer, tandis que Rémon garda son sourire et demanda :

— Au courant de quoi ? »

— De tout ce qui se trafique ici, dans cette ville, de ce qu'il s'est passé au Désastre, à l'Évènement du Parapluie, et de ce qu'il va se produire dans cet événement », dit la brune.

Les deux meilleurs amis se regardèrent : comment étaient-elles au courant ?

— Comment ? », demanda Klee. « Comment vous savez tout ça ? »

— C'est La Marionnettiste elle-même qui nous l'a dit », expliqua la blonde. « Vu qu'elle nous voyait comme des « bonnes à rien » vu nos notes à l'Exam des 3 ans, elle a décidé de tout nous dire. Elle l'a dit à tout les élèves qui l'ont raté »

— Ma mère a donc fait en sorte que je ne sache rien ?! », s'écria Klee, désormais furieuse de savoir ce que lui avait fait subir sa mère.

— C'est pas non plus mieux », fit tristement Madison, les yeux pleurants. « L'Évènement des Jeux est là pour se débarrasser des élèves ayant eu un zéro... Vous n'aviez pas remarqué que vous étiez les seuls participants à ne pas venir de l'Université de Galice ? Le but de cet évènement est d'exterminer beaucoup d'élèves, en les faisant croire aux spectateurs, qu'ils ont disparus ou qu'ils sont partis. Et ça marche à tout les coups... »

— La Marionnettiste désigne au sort les élèves qui y participeront », continua d'expliquer Harper. « C'est la cinquième fois qu'on se fait choisir, mais là je crois qu'on n'arrivera pas à survivre.. C'est pour ça qu'au début, on a tenté de quitter le jeu en vous faisant croire qu'on voulait aller aux toilettes.. Enfaite, c'est tellement stressant et horrible de savoir qu'on a une chance sur un million de survivre ici... »

Klee les regarda, les yeux mouillés.
Ces élèves avaient vécu dans des situations horribles, et en se rappelant que ces filles n'avaient que 14 ans, cela lui fit encore plus mal.
Au final, sa mère avait peut-être tenté de la protéger.

Elle se tourna vers Rémon : lui aussi avait les larmes aux yeux. Elle le comprenait : pendant qu'il vivait une belle vie au Pensionnat, des élèves vivaient une horrible vie dans cette Université.
Mais ce qui lui faisait encore plus mal, c'était le fait qu'il y ait des personnes comme Rain qui vivaient dans le même établissement, et qui vivaient eux aussi paisiblement, probablement sans se soucier de ces élèves.

— Vous connaissez une fille nommé Rain ? », demanda Klee, pour en avoir le cœur net.

— Bien sûr! », répondit joyeusement Madison. « C'est une élève qui nous a, à plusieurs reprises aider! Elle nous a d'ailleurs apporter plus d'éléments sur la ville et ses mystères, et soutient tout les élèves en difficulté comme nous deux! »

La rousse laissa échapper un soupire de soulagement. Apparemment, Rain était bel et bien une sympathique personne qui aidait des personnes.

— On va battre La Marionnettiste », déclara Rémon, séchant ses larmes légères. « Après avoir entendu votre histoire, ça me donne juste envie de la battre »

— Oui ! », ajouta Klee, avec plus de détermination. « Elle va voir. D'autant plus que si on gagne cette épreuve, on pourra rencontrer le Sous-Président et lui demander de l'arrêter. Une de nos amies est sa fille, donc il pourra ! Elle va vraiment le regretter, on la butera s'il le faut »

— On la butera tout court », répliqua Rémon. « Après tout ce qu'elle a fait... »

Ils regardèrent leurs nouvelles amis mais ils virent qu'elles étaient dans un état étrange.
On dirait qu'elles étaient surprise, voire sous le choc, même pire.
Leurs visages étaient horrifiés, leurs yeux étaient exorbités, et elles restèrent ainsi bouche bée.
C'est lorsqu'ils décidèrent de se retourner qu'ils comprirent.

La Marionnettiste était là, assise sur un rocher, les regardant comme intéressée.
Elle était assise de façon totalement détendue.
C'était évident qu'elle avait entendu la discussion, cependant elle gardait toujours son sourire.
Avec son apparence, elle était vraiment camouflée : normal que les quatre amis ne l'aient pas remarqué au début.
Mais là, il était un peu trop tard.

— Continuez votre discussion si intéressante », fit simplement La Marionnettiste, les regardant droit dans les yeux, les souriant toujours aussi sereinement. « Faites comme si je n'étais pas là. Vous pouvez même imaginez que je suis un arbre ou un rocher »

Klee la regarda, horrifiée.
Non seulement elle était désormais au courant de leur plan à propos du Sous-Président, mais en plus elle se foutait clairement d'eux.
Rémon était du même avis qu'elle.
Ils avaient l'impression de revivre cette même scène au Point des Eaux.

— Qu'attendez-vous pour continuer votre discussion ? », demanda Mary, gardant toujours la même expression faciale.

Et elle ajouta :

— Peut-être que vous avez peur de continuer maintenant ? Bah alors, vous n'étiez pas dans cet état y'a même pas quelques secondes. Ah oui c'est vrai : vous venez tout juste de comprendre que j'étais là »

Personne n'osait prendre la parole.
Elle se foutait une nouvelle fois d'eux.
Ils se sentaient ridicules, surtout Klee et Rémon qui promettaient aux deux fillettes qu'ils allaient la battre. Les voilà en train de rester ainsi, horrifiés, ne savant pas quoi faire, ni dire.

La Marionnettiste se leva alors et s'avança vers le groupe.
Ils étaient si terrifiés qu'ils n'osèrent même pas reculer, ni faire aucun geste.
Surtout qu'ils se rappelèrent de ce qu'avait dit Rain par rapport à leur antagoniste : qu'elle était bien plus dangereuse qu'ils ne pensaient.

Bon cette discussion, elle va continuer ? »

La bande sursauta.

— Euhm... », pu simplement dire Klee, tremblante.

La Marionnettiste étaient désormais toute près d'elle. La protagoniste avait vraiment peur d'elle.
Au fond, elle savait qu'elle ne pourrait jamais battre cette femme.

La femme fatale soupira, avant de s'éloigner de la bande et de leur dire :

— Ce n'est pas si grave si vous ne continuez pas, puisque vous allez tous mourrir »

Sur ces mots, elle tira un levier caché par le décors et la trappe cachée où se trouvait actuellement la bande, s'ouvrît.
Ils tombèrent alors, hurlant de surprise.

Leur chute les mena à un radeau, sur une eau de couleur violacée dégradée en gris blanchâtre.
Mais ce n'était pas ça ce qui les choquait.
Malgré le fait que le tunnel était sombre, ils pouvaient apercevoir des ombres menaçantes et horribles.
Après quelques secondes, Klee arriva à parfaitement distinguer les ombres en question.

C'était des cadavres, mais complément décomposés et semblant morts sous d'atroces souffrances puisque leurs visages (du moins, ce qu'il en restait) montraient une expression horrifiée, d'une grande souffrance, semblant avoir hurler pendant des heures.

— AAAAHHHHH, ON EST OÙ BORDEL ?? », hurla Klee, terrifiée.

— Vous êtes au Quartier des Questions », répondit simplement La Marionnettiste, les souriant d'en haut (étant à la surface). « Vous voulez une anecdote ? Ces cadavres sont tout récents : ils sont morts durant ces épreuves, en tombant dans des différentes trappes secrètes comme celles-ci »

La rousse se souvint alors de ce que Madison leur avait dit tout à l'heure, à propos de ce qu'il se passait réellement dans les jeux.
C'était ça alors ?

— Vous voyez l'eau sur laquelle vous êtes ? », demanda Mary. « C'est de l'acide cyanhydrique. Je l'ai "légèrement" modifié pour qu'il soit tout bonnement l'acide le plus douloureux, toxique et le plus dangereux. Je vous conseille fortement de vous serrer les uns des autres : comme vous pouvez le voir, il y a de l'acide également sur les parois, mais aussi sur le plafond. Mais il y'en a encore plus sur les portes de la trappe et quelle chance, vous vous trouvez tout juste en dessous des portes de la trappe. Ce qui fait que si je ferme les portes de la trappe, une chute d'acide s'abattra sur vous »

— C'est pas vrai... c'est pas vrai... c'est pas vrai... c'est pas vrai... c'est pas vrai... c'est pas vrai... », paniqua à nouveau la protagoniste, avant que des larmes ne coulent.

— D'ailleurs, il me semble que Billy est actuellement dans une mauvaise posture », fit La Marionnettiste, souriant toujours aussi sereinement. « C'est quand même bizarre que vous l'ayez laissé participer, c'est pas de vrais amis ça. Vous commencez sérieusement à m'énerver, vous me faites perdre du temps, à force de devoir tout le temps vous retrouver »

Elle ne voulait pas mourir maintenant, elle ne voulait pas que ses amis ne meurent, elle ne voulait pas. Elle en avait marre de vivre cela, et sur le coup elle ne savait pas comment se sortir de cette situation malheureusement.

La rousse jeta un coup d'œil vers Rémon : lui aussi pleurait. Klee se sentit mal : c'était elle qui l'avait mît dans cette histoire.
Elle jeta ensuite un coup d'œil vers les deux sosies : elles se serraient, en pleurant elles aussi.

La Marionnettiste rigolait de son côté, en fermant petit à petit les portes de la trappe.

Tout était désormais fini.

Mais c'est alors qu'une chose inattendue se passa.

Elle se passa d'ailleurs si rapidement que tout le monde était sous le choc.

La Marionnettiste avait cessé de rire, elle était silencieuse. Il n'y avait juste qu'un léger bruit, comme si la noiraude avait craché quelque chose.

Klee leva sa tête pour voir la raison du pourquoi.

Et elle fut choquée, avant de sourire et de pleurer de joie.

Mei était là, une branche très pointue à la main.
Elle avait plantée son "arme" au haut du dos de La Marionnettiste, et descendait l'arme jusqu'au bas du dos, toujours en gardant la branche plantée dans le dos.

La Marionnettiste crachait du sang, mais il n'y avait pas que ça : il y avait également ce qui semblait être du coton.

L'antagoniste était désormais à terre, et Mei était tout juste au dessus d'elle, la branche toujours plantée. La blanchâtre utilisa d'ailleurs cette opportunité pour remuer le "couteau dans l'énorme plaie".
Étrangement, La Marionnettiste ne disait rien, elle était sous un état de choc, peut-être parce qu'elle ne pensait pas se faire avoir de la sorte, surtout par une ancienne élève du Pensionnat.

— Je me disais bien que le couteau que tu m'avais planté l'autre fois me rappelait quelque chose », rétorqua la blanchâtre, d'un ton très furieux et glacial. « N'est ce pas Clara ? »

La noiraude ouvrit encore plus ses yeux, face à cela :

Qu'est-ce que— »

— Je me disais bien que ton comportement me disait quelque chose. Tu sais pourquoi ? Parce que je suis Lucinda », lui coupa la dite "Lucinda".

Impossible— », commença dite "Clara", avant de cracher à nouveau du sang, suite à sa grave blessure.

— J'arrive pas à croire que t'as pu faire ça à Riley.. Je voyais bien qu'il y avait une ressemblance entre toi et elle. Mais je ne pensais pas que tu pouvais aller jusqu'à découper son corps pour y récupérer le "tien", et utiliser le corps de Julia pour la garder en vie. Je ne te pardonne pas, je ne te pardonnerai jamais. »

Sur ces mots, elle remua encore plus profondément la branche.

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Actuellement, Klee ne savait pas si elle devait se réjouir ou si elle devait paniquer, car malgré tout les portes de la trappe se fermaient au fur et à mesure.

— On fait quoi maintenant ?? », demanda la rousse, à Rémon, Madison et Harper.

— Aucune idée ! », s'écria Rémon. « Mei ou plutôt Lucinda ne peut pas nous aider : elle est beaucoup trop occupée avec La Marionnettiste, enfin Clara »

— Vous étiez au courant de ça ? », demanda Klee aux deux fillettes.

— Non pas du tout », répondit Madison, terrifiée. « On savait que La Marionnettiste venait juste du Désastre, mais on ne savait pas du tout que c'était Clara »

— Okay », fit la protagoniste. « Elle a dit qu'on était au Quartier des Questions, non ? Gameur et Victorine ne doivent pas être très loin. Rémon, Madison et Harper, faut qu'on souffle et qu'on fasse du vent pour que le radeau avance sinon on va mourrir comme les autres.. »

La bande approuva, tandis que La Marionnettiste, malgré la douleur, les écoutait toujours :

Oui oui, continuez votre discussion, pendant que j'envoie une équipe chercher vos amis qui vous attendent », pensait-elle avant de sortir discrètement une petite télécommande, ne contenant qu'un bouton.

Mais avant d'y appuyer, une personne arriva et d'un coup de pied, lança la télécommande dans la trappe où il y avait l'acide.

La Marionnettiste leva sa tête (plus ou moins) pour voir de qui s'agissait-il.

C'était Billy.

— C'est pas vrai... Mei, faut à tout prix aller sauver Klee et les autres », paniqua la violette, essoufflée.

— Ils s'en sortiront : Gameur et Victorine les attendent probablement. La meilleure chose que tu puisses faire, c'est au moins de sortir du labyrinthe pour gagner l'épreuve et rencontrer ton père, sinon on aura fait tout cela pour rien », expliqua Mei, tenant toujours La Marionnettiste.

— Mais.. on en fait quoi de la course ? Et de Klee et Rémon ? Et des élèves du Pensionnat ? »

— On n'a pas le temps. Et puis, regarde comment tu es blessée : tes mains et bras sont en sang ! Allez Billy, il faut vraiment qu'on arrive à gagner une des deux épreuves au moins »

Oh tu veux revoir ton père et ta belle-mère ? Oh, je pensais pourtant que tu ne voulais plus les revoir haha », fit La Marionnettiste souriante mais tremblante, sûrement à cause de la douleur.

Mei enfonça encore plus la branche dans le dos de la noiraude, pour la faire taire. Elle savait qu'elle tentait une manipulation.
La violette soupira et courut pour retrouver la sortie du labyrinthe.

Tu vas te taire oui ? », déclara Mei, d'un ton menaçant. « Je ne vais pas te tuer car, je sais que ce sera pas avec une simple blessure que tu mourras »

Hahaha.. tu veux me tuer d'une autre façon ? Vas-y, de toute façon qui te l'interdit ? Personne ne m'aime de toute façon »

La blanchâtre prit une profonde inspiration, avant de répondre :

— Ton fils cadet t'aimait énormément pourtant »

Soudain, quelqu'un la poussa. Cette personne poussa Mei si fortement qu'elle perdu le contrôle de La Marionnettiste, même si la noiraude ne bougea pas.

— Mary ?? Ça va ?? Qu'as-tu fais Mei ?? Pourquoi tu lui as fait du mal ?? Je t'avais pourtant dis de ne pas la toucher ! »

C'était Riley. Actuellement, elle enlevait la branche plantée au dos de la défunte Clara, avant de lui appliquer un bandage.

Avant que Mei ne puisse faire quoique ce soit, la blessée et sa sauveuse avaient déjà disparu.

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Du côté de Klee, c'était également la panique.
Apparement, ils avaient oublié le fait qu'il y avait également de l'acide dans les parois et le plafond, donc souvent de grosses gouttes du poison tombaient et ils étaient à deux doigts d'en recevoir sur la tête, et d'en mourrir.
Il y avait également plusieurs cadavres des différentes victimes, complètement décomposés à cause des effets de l'acide.

Ils avaient juste l'impression que le chemin était infini, et qu'ils n'y auraient jamais de sortie.

C'est alors qu'ils virent une terre au loin. Et là-bas, se trouvaient Gameur et Victorine.

— Ils sont là ! », hurla Klee. « Hé oh ! Gameur ! Victorine ! On est là ! »

Mais quelle fut leur surprise, en voyant que la terre était pratiquement recouverte de cadavres, mais bien plus anciens.

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— Y'a un des cadavres qui ressemblent à Klee. C'est sûrement sa mère », fit Gameur, en examinant le cadavre.

— C'est quoi cette eau ? », demanda Victorine. « On peut s'y baigner ? Tu veux bien y aller pour moi ? »

— T'es folle ?! Elle est violette ton eau, trop bizarre », s'écria le vert, en la foudroyant.

— Pff, n'importe quoi! Allez, vas-y s'il te plaît ! Je ne sais pas nager »

Le joueur soupira, avant de prendre un récipient qu'il trouva à terre, qu'il prit, et se rapprocha de l'extrémité de l'acide.
Il mit le bocal dans l'"eau", mais le fit tomber, ce qui fit des éclaboussures sur ses bras. Même s'il portait une veste, des trous commencèrent à se former et les brûlèrent commencèrent à apparaître.

AHHHHHHHHHH », hurla-t-il.

Il vit alors un reflet sur l'acide : celle de Victorine, mettant ses mains en avant comme pour essayer de le pousser dans l'acide. Mais, il esquiva de justesse et se releva rapidement.

L'amnésique de son côté, faillit perdre l'équilibre et tomber elle aussi.

T'AS ESSAYÉ DE ME FAIRE QUOI LÀ ?! T'AS ESSAYÉ DE ME BUTER ?! C'EST ÇA ?! EXPLIQUE-TOI CONNASSE », hurla Gameur, à Victorine. « SI JE SERAI ALLER ME "BAIGNER" COMME TU ME L'AVAIS DEMANDER, ÇA VEUT DIRE QUE JE SERAI ACTUELLEMENT MORT COMME CES PERSONNES ?! »

— Non, c'est pas ce que tu crois », plaida innocemment la jeune fille, en reculant.

TU MENS J'AI MAL AUX BRAS AAAAAAAHH TU VAS VOIR, J'VAIS DIRE AUX AUTRES QUE T'ES QU'UNE TRAÎTRESSE », hurla toujours Gameur, en reculant de la jeune fille.
En reculant, il toucha un cadavre, celui de XXXXXXXXX

Il pâlit alors, hurlant encore plus :

AHHH C'EST PAS VRAI, C'EST PAS POSSIBLE JE VAIS LE DIRE À TOUT LE MONDE »

— Sois tu te tais et tu ne dis rien, sois je te jettes tout de suite dans l'acide et je ferai la même chose à tes potes »

J'M'EN FOUS, J'VAIS TOUT DIRE, TU PEUX RIEN FAIRE », répliqua-t-il, en reculant encore plus, tenant ses bras, ayant toujours mal.

Ses yeux étaient légèrement mouillés.

Okay, tans pis pour toi connard »

Elle se jeta sur lui, lui tira les cheveux pour le ramener vers le bord de l'acide et lui tremper son visage.
Il tenta de se débattre, et réussit à lui tirer ses cheveux en retour. Mais elle réussit à le mettre à terre, et à le pousser tout juste au bord de l'acide.

Il était en mauvaise posture : elle pouvait très clairement mettre sa tête dans l'eau, vu qu'elle était clairement au dessus de lui.

— Okay OKAY LÂCHE-MOI », supplia en hurlant le garçon.

— Promets que tu ne vas rien dire et je te lâche »

Il hésita, donc Victorine rapprocha encore plus sa tête du liquide.

— PROMIS MAIS LÂCHE-MOI »

La brune soupira avant de l'aider à se remettre debout. Directement debout, le garçon recula d'elle.

— Quoi ? T'as peur maintenant ? Alors Gameur, on fait moins le malin ? Hahahahaha », se moqua Victorine. « Dans tout les cas, t'as perdu. T'as clairement compris que je ne faisais pas partie de votre équipe mais, il est clairement trop tard là hahahahaha ! Alors, t'es triste ? Énervé ? Frustré de ne rien pouvoir dire à tes amis ? »

Gameur ne répondit pas, il avait juste horriblement mal et voulait simplement que ses amis voient cette scène horrible.
Malheureusement, ils n'arrivèrent que plus tard.

Gameur fit d'ailleurs en sorte que Klee ne voit pas le cadavre de sa mère, de peur qu'elle soit triste.
Victorine et Gameur firent la rencontre des sosies.
Ensuite, la bande sortie par le tunnel que le joueur avait creusé.

Tout le monde était heureux par rapport à ce qu'ils avaient découvert sur La Marionnettiste.
Seul Gameur restait silencieux.
Il avait mal, mal aux bras mais également mal de voir ses amis heureux alors que Victorine rôdait et tentait de les tuer.
Et qu'il ne pouvait rien leur dire.

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1. Président du Commerce : Nathan
2. Présidente de l'Éducation : Gama
3. Présidente de la Cuisine : Carla
4. Président de la Médecine : Stan
5. Président de la Sécurité : Hack
6. Président(e) de ??? : ???
7. Président de la Création : Bradley
8. Président(e) de ??? : ???
9. Président(e) de ??? : ???
10. Présidente de la Présidence : Mary/La Marionnettiste

Ministre : Money

3 Présidents à découvrir l'identité.
0 Ministre à découvrir l'identité.

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— Et l'heureuse gagnante est Priscilla ! », déclara le présentateur, lorsque Billy réussit à sortir du labyrinthe.

Malgré ses blessures, elle avait réussit et était clairement heureuse.
Elle alla chercher sa récompense, avant de sortir rapidement du quartier et de rentrer chez Klee, essoufflée, ayant très mal aux bras, aux mains tout les quatre ensanglantés, mais également à son œil aveugle qui lui faisait très mal. Peut-être parce qu'elle avait négligé la guérison de ce dernier.

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━━ À suivre...

━━ Cette scène était très douloureuse.

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