ᴿᴱᴹᴱᴹᴮᴱᴿ ᵀᴴᴱ ᵀᴵᴹᴱ
✨️ᴿᴱᴹᴱᴹᴮᴱᴿ ᵀᴴᴱ ᵀᴵᴹᴱ🌙
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Tu te souviens ?
Il y a fort longtemps, dans un pays peuplé de grains de sable, où le soleil brillait avec force et ardeur.
C'est dans ce climat qu'es né la ville mystique de Taiyo, une ville aux doux parfums d'épices et de fruits qui vous prend aux narines, l'eau y coule également, à travers des pistes spécialement conçu pour son déplacement.
Les palmier fonts poussés des dates sucrés et goûteuses, un homme et d'ailleurs entrain d'en récolté. Une troupe de femmes danse vêtu de leurs plus beaux habilles, légers et colorés, au song des tambour.
Plus loin les marchands vendent leurs produits, leurs épices, leurs fruits, mais aussi des bijoux, des vêtements, des tapis de tout les motifs et même des plantes médicinales.
Il s'arrêta à ce stand y jete un œil, puis continue sa route.
Cette homme a la longue cape noire, qui ne laissait rien voir , personne ne connaît son nom. Très peu l'on déjà vue.
II faut dire qu'il est assez puissant pour s'effacer les souvenirs d'autrui.
Marchant encore et encore, sa cape commence à ce faire usée en son bout.
_ Arrêtez vous !
Deux gardes déployaient leurs lances sur lui .
_ Du calme messieurs, je viens en ami .
_ Et qui êtes-vous ?
Dernière sa capuche un rictus grandit.
Il tend sont poings doigts face au ciel, puis les déplie avant de souffler de la poussière doré à leur visage déboussolés.
Les deux colosses ce décales.
Il était enfin rentré dans le palais , il sait pertinemment où aller, il connaît cette endroit comme sa poche.
A chaque regard posé sur un objet, une pièce ou un mur décoré de sculptures de peintures et d'or, un souvenir lui remontait.
Finalement le voilà dans un large couloir à droite de la salle du trône, devant lui une troupe d intermittent du spectacle ( comme on dirait aujourd'hui).
L homme à capuche à eux vent que ces derniers temps, la reine du royaume était plongée dans un ennuis mortel.
Pour lui remonter le moral ( et pour répondre à ses provocation) le grand pharaon faisait venir des nouveaux talents présenté leur spectacle.
Un homme était en train de jongler avec des branches , d'autres jouaient de la musique ou exécutaient de petites prouesses.
A chaque fois la réponse était la même, la reine faisait signe à son mari qu'elle était ennuyer ,et les pauvres artistes ce faisaient tué un par un .
Elle était cruel et de mauvaise humeur, pour cause les regards insistant de son mari sur la jeune et belle servante qui lui apportait son breuvage.
Sans le moindre doute sur sa future victoire l'homme à la capuche s'avance. Tous restent silencieux, complètement perturbé par son accoutrement et son propre mutisme.
Il tend sa mains et en deverce de la poudre noire comme par enchantement.
Il ce place ensuite au centre du cercle qui avait été formé et disparu comme par enchantement. Alors que la poudre était devenue doré elle ce mémétamorphose en un liquide doré, puis en un homme.
Il était vêtu d un sublime haut dorés , paré d'ornements du même matériel tendit que son pantalonet d un simple noir, recouvert d'une courte jupe en dentelle très fine et blanche,alors que cheveux noirs et frisés lui tombait sur la nuque.
_ Cléo, ma chère Cléo je suis enfin revenu te voir.
Dit il une main sur le cœur.
_ Bon sang qui êtes-vous ! Tu le connais ?
Cris le pharaon, brisé dans son orgueil.
Sa femme ce contente de murmurai un petit oui ,les yeux rivés sur son ancien amant et ami d enfance .
_ Oh je sais que tu te souviens, quand on était ensemble, sur les plages des pays lointain , quand on voyageait sans compter.
Il s'avançait marche par marche le regard déterminer.
Le rois ce sentait alors exclu de la conversation, complètement furieux il hurle à ses gardes de poursuivr ce fou qui a osé parler à sa femme.
C'est alors qu'une troupe de gardes musclé débarque à toute allure.
L'homme à la poudre pris la poudre d'escampette en direction de l'extérieur du palais.
Il regarde à droite puis à gauche, ce faufilant à travers les galeries marchandes ,passant en dessous des dromadaire et bousculant quelques vases d'argiles, ce qui lui vos des mécontentement des vendeurs.
Les soldats à ses trousse font preuve d'une maladresse encore bien pire.
Il finit par arriver dans un coin peuplé de femmes en robes et voile presque transparent, dans lesquelles elles dansaient avec grâce.
Envoûtante, elles croient son regard.
_ où vas tu étranger ?
_ Je fui les gardes royaux .
_ oh vraiment ?
_ c'est un criminel ?
_ qu'à t il fait ?
Ce pose t elles comme questions.
Précipitamment il leur raconte être venu pour Cléo. Les femmes en voyant ses poursuivant arrivé décide de la cacher et de lui faciliter la fuite à travers leurs tissus volatiles.
Toutes les femmes savent que la reine actuelle a été victime d'un mariage arrangé avec l'odieux pharaon.
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Pendant ce temps ce même souverain ce disputait avec sa femme.
_ Qui était il Cléo ?!
_ En quoi cela te regarde ?
_ En tout ! Tu es ma femme je te rappelle.
_ Ce n'est ni un choix ni un honneur que tu respecte.
_ Égoïste que tu es , je fais tout pour toi !
_ Qui est l Égoïste ici ? Ce n'est pas de ma faute si il m'aime.
_ Et toi , l'aimes tu ?
_ ...
Ses lèvres rouges ce pressent l'une contre l'autre et son regard mortel devient hésitant.
_ Vas dans la chambre, je rattraperai ce voyous et tu verras que je suis le plus fort.
Il savait lui parler, elle adorait les défis et les jeux .
_ Si tu y parvient ton mon amour sera uniquement pour toi .
Son mari a un sourire en coin, et elle part dans sa chambre, épuisé.
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C'est là qu'il finit par entrer .
Il l'avait réussi à la regoidre dans sa chambre.
Il claque la porte derrière lui , leur regard ce croisent tendit qu'elle est allonger, grignotant une grappe de raisin.
_ Tu en as mis du temps.
_ Je te trouve un peu dur.
Dit il en souriant .
Il s'approche d elle et la saisie par la main, la traînant jusqu'au balcon.
_ Regarde on allait rater le coucher de soleil.
Elle ce rappelle alors les nombreux paysage engloutis par les derniers rayons de soleil, qu'elle a pu voir en sa compagnie.
_ depuis quand es tu reviens ?
Son cœur bat fort.
_ on s'en fiche non ? Je ne peux rester que pour un court labs de temps donc profitons très chère Cléo.
Il la sait par la taille et aproche son visage, le souveraine de Taiyo en été rouge, leur lèvres ce rencontre enfin et l'un comme l'autre peu sentir le cœur de son partenaire battre.
_ Reste je t'en supplie.
Elle s'accroche à lui une fois le baiser fini.
_ Je -
Mais les gardes on interrompu ce moment.
Complètement coincé l'homme à la poudre essaya de s'enfuir de tout les côtés, mais cette fois ci rien à faire.
Il porta un dernier regard à sa bien aimé, lui offrant un sourire pour la dernière fois.
Puis disparu, réduit à de poussière d'or.
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