→ 𝐖𝐨𝐥𝐟𝐬𝐭𝐚𝐫 𝟒 - Aɴɴɪᴠᴇʀsᴀɪʀᴇ ᴍᴏᴜᴠᴇᴍᴇɴᴛᴇ́
Un petit one-shot rapide, où je n'ai pas cherché à développer la naissance des sentiments de nos deux Maraudeurs amoureux où à être particulièrement grandiloquent dans mon écriture. Voyez plus ça comme une tranche de vie, en espérant que ce texte vous plaira :)
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10 mars 1977.
⸺ Queudver, arrête ça immédiatement ! Pose-moi par terre tout de suite !
Un nouveau jour venait de se lever sur l'Écosse, et le château de Poudlard se réveillait doucement. La majorité des élèves se trouvant encore dans leur chambre, la marque de l'oreiller imprimée sur la joue, il allait de soi que les quatre Maraudeurs soient déjà debout, pleins d'énergie à revendre. À d'autant plus juste titre qu'en ce jour de fin d'hiver, ils fêtaient un évènement non sans importance : le dix-septième anniversaire de l'un d'entre eux ! Remus savait bien que ce serait une journée chaotique, à plus juste titre que ses trois amis avaient champ libre pour laisser cours à leur imagination délirante : c'était un samedi, et les professeurs ne seraient pas incessamment dans leur dos pour les rappeler à l'ordre. S'imaginant qu'il aurait le loisir de les fuir dès le matin étant donné qu'il avait toujours été le plus matinal des quatre, il fut tiré de son sommeil à sept heures du matin, heure où, habituellement, James, Sirius et Peter se laissaient encore bercer par les bras de Morphée. Il avait senti qu'on lui sautait sur le ventre, qu'on le prenait dans ses bras, qu'on lui ébouriffait les cheveux : il aurait tout donné pour avoir la liberté de se reposer ! Mais les Maraudeurs en avaient décidé autrement.
⸺ Patmol ! Si tu ne me lâches pas, je te promets que je balance à McGonagall que vous avez copié sur moi pour le dernier devoir écrit de Métamorphose !
Sa menace n'eut d'autre effet que de provoquer un fou rire chez son meilleur ami, qui s'amusa à tendre les bras pour éloigner Remus du sol. Ce dernier, encore affublé de son pantalon de pyjama, se débattait de toutes ses forces pour se libérer de la poigne des jeunes Black et Pettigrow, qui le maintenaient à une raisonnable hauteur du parquet de leur dortoir. James s'amusait à lancer des cotillons au-dessus du jeune lycanthrope en chantant horriblement faux.
Ce calvaire dura un bon quart d'heure, et lorsque les pieds du jeune Lupin touchèrent terre, il repoussa ses amis en grommelant.
⸺ Il serait temps de grandir un peu ! Vous êtes de vrais gamins ! s'écria-t-il en déboutonnant son gilet, moite de sueur de s'être époumoné sans effet.
Il jeta l'habit sur son lit et s'appuya contre l'armoire, croisant les bras, un sourire en coin peint sur le visage. L'esprit enfantin qu'avaient gardé ses amis l'étonnait parfois, et, même s'ils pouvaient être réellement énervants lorsqu'ils s'y mettaient, cela n'effaçait en rien l'affection qu'il avait pour eux. Surtout pour l'un d'eux, à vrai dire. Ses cheveux en bataille donnaient l'impression qu'une décharge électrique avait parcouru l'entièreté de son corps, et ses joues étaient encore rouge pâle. Sirius s'avança d'un pas, battit ostensiblement des cils et frôla la nez de Lunard avec le bout de son index, l'air espiègle.
⸺ Et c'est justement ça qui fait notre charme !
Il sembla réfléchir.
⸺ Enfin, surtout mon charme.
Il se recula sous l'air scandalisé du jeune Potter, et haussa les épaules.
⸺ Quoi ?
⸺ Je suis bien plus beau que toi, Sirius ! Comment oses-tu prétendre le contraire ?
Il prit une expression offensée, et, de là, Remus lança un regard découragé à Peter, qui arborait la même expression. Le jeune Pettigrow haussa les épaules, l'air impuissant mais amusé. James remonta la manche de son t-shirt afin de montrer ses muscles de joueur de Quidditch – il avait du mérite, au vu de ses entraînements réguliers d'apparence bien épuisants. Sirius ouvrit des yeux ronds, et quelques secondes de réflexion s'écoulèrent avant qu'il ne lâche :
⸺ Je n'en reviens pas !
Il se recula de quelques pas et sourit.
⸺ Sais-tu que les personnes aussi vaniteuses que toi sont en voie de disparition ? Tu es un phénomène rare. On devrait te décerner un prix !
Ledit James empoigna un coussin.
⸺ Dis plutôt que tu es jaloux, Black !
Peter attrapa à son tour un oreiller, zyeutant à droite et à gauche pour se lancer dans la bataille dès qu'elle commencerait. Sentant le capharnaüm arriver à grands pas, Remus leva les yeux au ciel, se saisit de ses habits – un sweat gris et un jean tout ce qu'il y avait de plus simple – et s'éclipsa dans la salle de bain pour se changer sans être dérangé. L'image de lui que renvoyait le miroir ne cessait jamais de l'étonner : en jetant un œil à ses blessures, il ne pouvait s'empêcher de se remémorer tout ce que ses amis avaient accompli pour lui, rien que pour lui, pour l'aider, au nom de l'amitié qui les unissait tous les quatre. Depuis sept ans, les sept ans qu'il avait passés dans cette école, il ne se remémorait pas une seule seconde passée sans eux.
⸺ Remus ? J'peux entrer ? demanda une voix de l'autre côté de la porte, qui fit sursauter le jeune Gryffondor et le tira de sa contemplation anxieuse.
⸺ Pourquoi ? demanda-t-il, suspicieux.
⸺ S'il te plaît ! reprit Sirius d'une voix teinte d'une tristesse factice.
Remus leva un sourcil. Quelle bonne raison, si bien expliquée, si bien argumentée ! pensa-t-il ironiquement.
⸺ J'ai juste envie de prendre les dentifrices de Cornedrue et Queuvder pour leur lancer dessus. Ça me donnerait un avantage stratégique indéniable.
Remus n'eut même pas le temps de répondre qu'un cri scandalisé ressemblant à « Patmol, espèce de tricheur ! » retentit à l'autre bout du dortoir, et qu'un bruit mat retentit, signe que le jeune Black venait de se faire à demi assommer par un oreiller.
Remus soupira. Les dix-sept heures à venir promettaient d'être longues, très longues.
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⸺ Quelle journée ! s'écria Remus en se laissant tomber dans le canapé de la salle commune. Vous m'avez épuisé, tous les trois !
Il était vingt-deux heures, et il ne restait plus qu'une dizaine d'élèves dans la pièce où les Maraudeurs se trouvaient, parmi lesquels on pouvait compter Miss Edgecombe, Alice Fortescue, Mary McDonald et Lily Evans. Voyant que les quatre Maraudeurs se trouvaient dans la salle et que Sirius tenait une bouteille à moitié pleine dans la main, les quatre jeunes femmes décidèrent de monter se coucher, laissant les quatre amis seuls autour de la table. James baillait, et, même si ses grimaces paraissaient forcées, il se frottait les yeux machinalement. Il commença à dodeliner de la tête, expliquant qu'il était réveillé depuis trois heures du matin, ayant fait une insomnie après un cauchemar où Lily prenait Severus dans ses bras avant de lancer une horde d'hérissons en furie aux trousses de l'attrapeur – situation ô combien traumatisante pour lui. Parfois, la manière de penser de James échappait complètement à Remus, on aurait parfois dit que son esprit habitait une autre dimension que la sienne.
Peter, les bras quelque peu tremblants lui tendit un paquet maladroitement enveloppé dans une écharpe de soie, et le lycanthrope le remercia pour les nombreux paquets de bonbons qu'il découvrit. Le cadeau de James était semblable, le jeune Lupin eut un sourire sincère, mais deux ces énergumènes ne pensaient-ils donc qu'à la nourriture ? Le jeune lycanthrope leur sourit, heureux de voir leurs faciès resplendissant de malice. Le cadeau de son meilleur ami différait quelque peu des deux précédents, et Remus étouffa un rire lorsqu'il le découvrit. Dans ses mains, un fin volume intitulé « Comment devenir aussi beau que Sirius Black en 10 leçons, par le célèbre Sirius Black lui-même » le fit fermer les yeux quelques instants.
⸺ Eh bien, Sirius, tu reproches à James d'être narcissique, mais tu n'es pas en reste !
⸺ Le fait que je sois beau n'est que la vérité, non ? ricana le brun en rejetant ses longs cheveux ébène en arrière. Ouvre le livre, tu y trouveras des conseils de qualité.
Le jeune Lupin obtempéra, et son regard tomba sur l'introduction : son ami avait collé de nombreuses photos de lui-même, regard charmeur, qui prenaient des poses quelque peu hautaines, mais terriblement séduisantes. Remus étouffa un rire nerveux. Il sentit sa respiration s'accélérer et tenta de paraître découragé, ce qu'il ne parvint à faire qu'à moitié seulement. En face de lui, Sirius pouffait à plein poumons. Lorsqu'il reprit son sérieux, ce fut pour demander :
⸺ Alors, j'suis beau, hein ? J'ai rédigé des paquets de conseils pour réussir à me ressembler un minimum – oui, Remus, le titre n'est que du marketing : un assemblage de mots criant des promesses sans les faire, personne ne pourra jamais égaler ma beauté, seulement s'en rapprocher. Enfin, peut-être toi, mais tu es bien loin d'avoir le même type de physique que ma merveilleuse personne. Ce qui n'enlève rien à ton indéniable beauté, je te l'accorde. Tu es un être rare, mon cher Remus John Lupin.
Ledit Remus bégaya, ne sachant exactement que répondre. Il soupira pour tenter de clore la discussion, mais Sirius lui ébouriffa les cheveux.
⸺ T'es trop mignon quand t'es mal à l'aise, c'est tellement drôle !
⸺ Mais ça va pas bien, de dire des trucs comme ça ? J'en reviens pas ! s'exclama Remus d'une petite voix, jetant le livre à la tête du jeune Black, qui le réceptionna au vol.
Les quatre amis riaient, riaient tant et tant que quelqu'un, quelque part dans un dortoir, leur cria de la fermer. Mais la tentation de l'interdit est bien trop forte, et les quatre jeunes hommes ne s'arrêtèrent plus pendant de nombreuses minutes. James était épuisé, si bien qu'il fut le plus difficile à calmer, mais une fois qu'il fut redescendu sur terre, il manqua de piquer du nez sur le fauteuil.
⸺ Peter, amène-le dans le dortoir pour qu'il dorme, finit par asséner Sirius avec un sourire devant l'épuisement de son meilleur ami.
Le blondinet n'hésita pas une seule seconde, lui-même soudainement épuisé. Il sauta sur ses jambes, chancela grossièrement, puis tira le jeune Potter pour qu'il le suive jusqu'à leur chambre d'étudiants. L'attrapeur geignait comme un enfant capricieux, c'en était quelque peu pathétique, mais pas si différent de d'habitude. Sirius entamait déjà les paquets de bonbons de Remus, ravi de pouvoir se goinfrer, et il finit par aller s'asseoir juste à côté du lycanthrope, lui proposant une gorgée de bière, catégoriquement refusée. Il était tard et Remus sentait sa tête devenir lourde. Sirius avait passé un bras dans son dos, appuyé sur le dossier du canapé, et leurs genoux se touchaient. De là à savoir si c'était intentionnel ou pas, le jeune Lupin ne s'en souciait pas.
⸺ Dis, Remus ?
⸺ Oui ?
⸺ J'ai un cadeau pour ton anniversaire, pour toi.
⸺ Je croyais que c'était ton livre ?
Remus haussa un sourcil, et Sirius se mit doucement à rire.
⸺ Tu pensais réellement que c'était ça, mon cadeau ? Voyons, Remus, je ne suis pas vaniteux à ce point.
Il marqua une pause.
⸺ Bon d'accord, je suis vaniteux à ce point, oui. Mais ce livre n'est pas mon seul cadeau.
Il inspira.
⸺ Quoique je ne sais même pas si tu vas considérer mon cadeau comme un véritable cadeau.
⸺ Sirius, Sirius, Sirius. Je t'arrête tout de suite. Depuis tes dix-sept ans d'existence, tu n'as jamais autant prononcé le mot cadeau en aussi peu de temps. Cesse de tourner autour du pot : qu'est-ce que ton cad... ta surprise ? Appelle ça comme tu le souhaites, mais cesse de répéter le mot cadeau à tout bout de champ, ça me donne mal à la tête. Et pour te répondre, cesse de tergiverser, d'accord ? C'est d'abord l'intention qui fait plaisir, pas le cade... le présent.
Sirius hocha la tête, n'ayant écouté qu'un mot sur deux. Il semblait à des années-lumière d'ici. Puis, brusquement, il releva les yeux, les plongea dans ceux de son ami, et, tâchant d'ignorer les battements un peu trop rapides de son cœur, se recula pour bloquer ses mains sous ses jambes, ne voulant pas se mettre à faire de grand gestes à cause du stress.
⸺ Alors, Remus, écoute, hem... je ne sais pas vraiment quoi dire, ni comment, et je n'ai qu'une certitude en cet instant, c'est celle d'être ridicule. Laisse-moi parler s'il te plaît, c'est déjà suffisamment étrange comme ça, alors laisse-moi tenter de m'exprimer. Comme tu le sais, j'ai toujours été un orateur né, et je me suis souvent servi de cette facilité naturelle d'élocution pour séduire les gens, que ç'ait été pour conquérir le cœur de belles filles ou de beaux garçons durant notre scolarité, ou bien pour manipuler les gens pendant certains débats d'opinions. J'ai donc du mal à comprendre la raison pour laquelle m'adresser à toi équivaut à soulever une montage à l'aide de mes bras seuls. C'est peut-être parce que ce que je veux te dire est la chose la plus difficile à exprimer qui existe. Remus, je ne sais pas vraiment pourquoi, ni comment, ni d'où ça sort, ni où ça aboutira, mais quand je te vois, quand je te parle, quand je te touche, je n'arrive jamais à contrôler les battements de mon cœur. J'ai à chaque fois l'impression que mon moi intérieur s'affole. Je n'ai longtemps pas compris ce que ça voulait dire, et puis ça a fini par s'imposer à moi. J'crois bien que j'suis amoureux de toi, Lunard.
Il marqua une pause dans sa déclamation effrénée, rougit fortement, puis continua :
⸺ Et je vais te laisser cinq secondes pour me repousser. Sinon, je t'embrasse.
Il ferma les yeux, le cœur battant à tout rompre. En face de lui, Remus s'était avancé dévisageant son meilleur ami comme s'il s'agissait d'une curieuse créature. Son esprit s'étant momentanément mis sur pause, il n'arrivait plus à réfléchir correctement. Bien sûr, qu'il avait rêvé de ce moment, et ce chaque nuit depuis plus de sept ans. Bien sûr qu'il avait passé des nuits blanches à observer Sirius, à s'imaginer avec lui, embrassant le creux de son cou. Bien sûr qu'il s'était fait du mal en tenant de tout intérioriser, de ne rien laisser paraître et de faire taire le feu ardent qui lui tordait les entrailles. Bien sûr qu'il avait versé des larmes en entendant son ami se vanter auprès de James de chacun des noms de ses conquêtes, filles et garçons confondus. Bien sûr qu'il était fou de lui. Bien sûr qu'il l'aimait aussi. Mais là, là, tout ce qu'il avait tenté de taire pendant cinq and venait de lui exploser à la figure, et ça lui faisait mal. Et cinq secondes encore le séparaient de tout ce qu'il avait toujours voulu... comment résister au charme de Sirius Black, après tout ?
De son côté, le cœur du jeune Black n'était pas en reste. Bien sûr qu'il avait toujours aimé Remus, et ce depuis les premiers jours de leur amitié. Bien sûr qu'il avait sauté de joie lorsqu'il avait découvert et assumé pouvoir aimer les garçons, ce qui rendrait à tous les coups fous de rage ses snobinards de parents. Bien sûr qu'il avait ensuite douté et s'était demandé s'il ne le faisait pas exprès, si ce n'était que son instinct qui le poussait à tout faire pour contrarier sa famille. Bien sûr que le fait que le jeune Lupin le rende complètement fou avait fini par s'imposer à lui. Bien sûr que ses innombrables conquêtes n'avaient été là que pour tenter de lui faire oublier Remus, sans jamais rencontrer de succès. Comptant cinq secondes un peu trop rapides dans sa tête, le jeune Black finit par rouvrir les paupières, le visage cramoisi de crainte.
Il approcha lentement son visage de celui de son ami, puis s'arrêta. Merlin, est-ce qu'il était réellement en train de faire ça ? Est-ce qu'ils étaient réellement en train de faire ça ? Il se recula, sans parvenir à sortir un son pour combler le silence. Il repencha sa tête, et prit quelques temps pour sentir le souffle chaud d'un Remus immobile et les yeux aussi brillants que les étoiles échouer et mourir sur sa bouche.
Puis il déposa chastement ses lèvres sur les siennes, les effleurant à peine. Il baissa la tête, passa sa langue sur ces mêmes lèvres sèches de stress, puis releva les yeux. Et là, là, une feu d'artifice de sentiments explosa dans sa tête, si bien qu'il en souffrait. Alors, sans réfléchir, il passa son bras derrière le dos de Remus, l'embrassant comme jamais il n'avait osé s'imaginer, les joues rouges d'abord de honte, puis d'amour.
Cette nuit-là, les deux jeunes hommes ne remontèrent pas dans leur chambre, ils restèrent assis à la fenêtre, les jambes pendant dans le vide, emmitouflés dans leurs gilets polaires, serrés l'un contre l'autre pour se tenir chaud. Ils fumèrent les mêmes cigarettes, se soufflèrent la fumée dans le nez, s'embrassèrent entre deux clopes. Ils s'aimèrent à en faire pâlir des étoiles, jusqu'au petit matin.
Ce jour resta gravé dans la mémoire de Remus comme son plus bel anniversaire. Un anniversaire très mouvementé, certes, mais surtout la plus belle journée de sa vie.
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Bonjour à tous·x·tes ! Comment allez-vous ?
J'espère que ce p'tit OS vous a plu, même s'il est simple, sans artifices, émotions fortes ou poésie, juste un texte simple pour vous faire voyager le temps de quelques mots à Poudlard, sans prise de tête. N'hésitez pas à me faire vos retours dessus, parce que les avis de mes lecteur·ice·s sont ce qui me permet d'avancer et de m'améliorer continuellement : à vos claviers ! :)
Et parce que vous devez commencer à me connaître, voici un p'tit regroupements de FanArts Wolfstar que j'aime beaucoup, je crédite les auteurs à la fin de la liste.
Passez une excellente journée/soirée, n'oubliez pas que vous êtes les meilleur·e·s ! ♡
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𝐂𝐫𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐅𝐚𝐧𝐀𝐫𝐭𝐬 :
Le FanArt en média, le premier, le troisième et le quatrième de la liste appartiennent à hupthehillart sur DeviantArt (au passage, allez checker son compte, c'est une mine de FanArts fabuleux) ; le second appartient à lunalovegoodart sur Instagram (merci, likeweeds, pour la source :)), et le dernier de la liste appartient à promittens sur DeviantArt.
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