→ 𝐇𝐚𝐫𝐫𝐲 𝐏𝐨𝐭𝐭𝐞𝐫 - Fᴀᴍɪʟʟᴇ
Demande de Luciemalefoy0504.
Ce one-shot est un peu particulier. En effet, j'ai voulu essayer de me baser sur un travail d'intelligence artificielle pour l'écrire. J'ai demandé à Chat GPT de m'écrire un one-shot sur la relation entre Harry et Sirius si Sirius n'était pas mort, avec pas mal d'autres contraintes, et l'IA m'a généré un texte.
Il y avait des fautes de langue, des éléments qui n'étaient pas du tout conforme au canon ni à ce que j'avais demandé précisément, des phrases placées là uniquement pour répondre à mes contraintes mais qui étaient très peu subtiles, des répétitions à gogo, mais ça m'a offert une base pour rédiger ce one-shot. Bien évidemment, le texte que vous allez lire n'a pas été rédigé par une intelligence artificielle, ce n'est qu'une base que j'ai utilisée pour le rédiger et l'étoffer, corriger les fautes, ajouter des éléments, si bien que le texte rédigé par l'IA a quasiment été noyé par ce que j'y ai apporté.
Le concept même de l'IA me fait un peu flipper pour l'avenir des artistes, mais j'estime plus ou moins que si on ne s'en sert que comme base pour nous aider dans notre travail, ça reste dans les limites de l'acceptable. Bref, quoiqu'il en soit, j'espère que ce texte vous plaira autant que j'ai aimé l'écrire ; bonne lecture à vous, j'ai hâte d'avoir vos retours dessus :)
(le fanart en média appartient à alessia.trunfio sur Instagram, les deux fanarts de Harry en fin de chapitres, à Fausto-Giurescu sur DeviantArt, le premier de Sirius, à lunopal sur Twitter/X, et enfin, le deuxième de Sirius, à lunopal sur Tumbl (même si, bon, je suppose que ça doit être la même personne et que les deux fanarts se trouvent ET sur Twitter/X ET sur Tumblr))
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Le soleil se couchait derrière les collines, repeignant le ciel d'une myriade de couleurs éclatantes, tandis que Harry s'asseyait sur le perron de la maison des Potter, perdu dans ses pensées. Le calme de la soirée n'était troublé que par le léger souffle du vent qui effleurait la peau et le doux chant des oiseaux. L'été s'installait petit à petit, et les soirées se faisaient de plus en plus étouffantes.
Sirius, pensa-t-il, sa gorge se serrant douloureusement. Il avait tant de choses à dire à son parrain. Il avait tant de choses à lui dire, et pourtant, il n'y arrivait pas. Le jeune sorcier ne savait pas par où commencer et craignait de se lancer sans vraiment y avoir réfléchi en amont. Et s'il disait quelque chose de stupide ? Non, il ne valait mieux pas. Sa relation avec son parrain était bien trop précieuse pour qu'il pût la risquer d'un quelconque moyen. C'était une bénédiction qu'il n'avait jamais osé imaginer, la chance d'avoir Sirius Black à ses côtés, vivant, et, surtout, libre.
Le dilemme qui pesait sur lui depuis que le meilleur ami de son père lui avait fait la proposition de déménager chez lui, au Square Grimmaurd, n'était pas à prendre à la légère. Habiter chez Sirius était une tentation irrésistible, mais il savait que les Dursley étaient sa meilleure protection contre Voldemort. Sirius avait beau être la promesse d'un accueil chaleureux et d'amour familial, il ne pourrait jamais remplacer le sortilège de protection du sang de la famille Evans. Avec la montée en puissance du Seigneur des Ténèbres et de ses sbires, les préoccupations de l'Ordre du Phénix et de ses amis quant à sa sécurité étaient de plus en plus sérieuses.
Sirius s'approcha doucement, à pas légers, sur le gravier du jardin. Il s'assit à côté de Harry, son regard scrutant le ciel orangé à la recherche d'une quelconque réponse à ses questions. Les vacances d'été commençaient officiellement le lendemain, et l'Élu n'arrivait toujours pas à faire son choix. Que faire, après tout ? Vivre dans le danger perpétuel, mais être considéré et aimé, ou bien se savoir en sécurité, mais cohabiter avec des gens détestables qui l'avaient maltraité pendant toute son enfance ? Y avait-il une décision meilleure que l'autre ?
— Tu sais, Harry, c'est à toi, et à toi seul, de prendre cette décision, commença Sirius, sa voix empreinte de son habituelle douceur. Je ne veux pas t'influencer, mais je veux que tu saches que tu es le bienvenu ici, à tout moment, peu importe ce que tu décideras.
Les mots de Sirius résonnaient dans l'âme de Harry. Ce n'était pas la première fois qu'il les lui répétait. Il sentait la profondeur de l'affection et de l'engagement de son parrain envers lui. Les liens du sang n'étaient rien comparés à la connexion qu'ils partageaient.
Harry était infiniment reconnaissant envers Remus d'avoir réagi à temps et réussi à dévier le sortilège de la Mort de Bellatrix, pendant cette horrible bataille, au Ministère de la Magie. Il se demandait chaque jour s'il aurait pu tenir, si Sirius lui avait été arraché par son horrible cousine Mangemort. Sans doute que sans ce point de repère dans sa vie, sans cette source de confiance et ce lien affectif unique qui l'unissait à son parrain, il lui aurait semblé avancer dans les ténèbres.
— Je le sais, Sirius, murmura Harry en laissant échapper un soupir lourd de sens. Je veux rester ici avec toi, avec ma famille. C'est évident. Mais je ne peux pas ignorer ce que m'a dit Dumbledore au sujet de la protection que m'offre le sang de ma tante. Je ne peux pas non plus les avertissements de l'Ordre concernant ta sécurité. Ils ont peur pour moi, et moi, j'ai peur pour tous ceux que j'aime.
Sirius hocha la tête, considérant la lourdeur de la situation. Il le savait, au fond de lui, qu'il était bien plus prudent, aussi bien pour Harry que pour lui, qu'il retourne chez les horribles Moldus qui l'avaient fait dormir dans un placard pendant onze ans. Mais était-ce pour autant égoïste de préférer qu'il reste à ses côtés ?
— Je ne peux pas t'en vouloir pour ça, Harry. La sécurité est la priorité. Mais n'oublie jamais que tu es aimé, ici, et que cette maison est la tienne autant que la mienne.
Le crépuscule s'assombrissait, et Harry sentait l'ombre de la nuit grandir autour d'eux. Les contours d'un fin croissant de lune commençaient à se dessiner dans le ciel rougeoyant. Les deux sorciers se taisaient, laissant les non-dits flotter dans l'air. Ils avaient du mal à l'admettre, mais ils savaient, aussi bien l'un que l'autre, quelle était la bonne décision à prendre.
Harry fut le premier à prononcer l'évidence à voix haute, le lendemain matin. Il retournerait chez les Dursley pour un autre été, respectant les avertissements de l'Ordre et protégeant sa famille adoptive. C'était plus prudent. Il ôterait ce poids à Sirius. Mais à chaque retour à Privet Drive, il ressentait le manque de la chaleur et de l'amour de la maison de son parrain. Ici, il n'existait, pour son oncle, sa tante et son cousin, qu'au travers des « Harry, debout, réveille-toi, espèce de paresseux ! » et les « Dépêche-toi, va faire la vaisselle, gros fainéant ! », ce qui offrait une nette différence en termes de relations humaines. Ce fut donc le cœur lourd de regrets qu'il reprit le chemin de la maison de son enfance.
La communication entre Harry et Sirius était un fil ténu, des lettres cachées envoyées par hiboux interposés durant la nuit, et des rencontres secrètes dans la cheminée du salon. Ils partageaient leurs pensées et leurs inquiétudes, se soutenant mutuellement dans l'ombre. Sans ça, Harry savait qu'il aurait disjoncté rapidement.
Je donnerais n'importe quoi pour être à Poudlard avec toi, Harry, écrivit Sirius un jour, l'encre noire bavant sur le parchemin. Cela m'inquiète de savoir que je ne peux pas être là pour te protéger, quand bien même je sais que tu seras bien plus en sécurité là-bas que chez moi. Étrange comme le cerveau humain peut-être empli de paradoxes, n'est-ce pas ? Je me fais tant de souci pour toi.
La lettre de Sirius était empreinte de tristesse, mais aussi de détermination. Leur lien était devenu plus fort que jamais, malgré la distance. Le lien entre parrain et filleul s'était presque métamorphosé en relation père-fils, tant Sirius insistait pour offrir à Harry tout ce que James n'avait pas pu lui donner.
La sixième année de Harry à Poudlard approchait rapidement, et il se préparait pour l'année scolaire, sachant que de grands défis l'attendaient. Il pouvait toujours sentir la menace de Voldemort, toujours présente, toujours insaisissable. Mais il avait aussi le soutien de ses amis et de l'Ordre du Phénix. Loin de tout le monde magique, à Privet Drive, il se sentait coupé de la réalité. Il savait que cela faisait partie de sa protection, mais il se sentait injustement mis à l'écart. Après tout, il aurait un rôle à jouer, dans cette Guerre, tôt ou tard ! Il ne pouvait pas être retenu loin de toute cette affaire indéfiniment. Pourtant, Harry était conscient que ce n'était pas le bon moment. Pas encore. Cependant, l'impatience grondait tout au fond de lui, se faisant plus vive chaque jour.
La relation entre Harry et Sirius était le pilier de sa détermination. Ils se savaient liés par quelque chose de plus puissant que le sang, un amour profond qui surmontait toutes les distances. Harry savait qu'à chaque pas sur la route tortueuse qui les attendait, Sirius serait là, dans son cœur, le guide et le protecteur qu'il avait toujours été. Leur amour était un bouclier contre l'obscurité, une lumière dans les ténèbres de l'obscurantisme des Mangemorts.
La rentrée arriva finalement, après huit semaines d'attente, puis les jours passèrent, et le temps semblait s'étirer, s'étirer, s'étirer. La vie à Poudlard, les batailles contre les forces du mal, l'histoire avec le manuel de potions annoté et le souvenir que Slughorn ne voulait pas montrer à Dumbledore, les moments de joie et de peine – tout cela les liait encore plus étroitement. La connexion entre Harry et Sirius n'était pas physique, mais spirituelle, émotionnelle, et elle résistait à toutes les épreuves.
Je donnerais n'importe quoi pour être à Poudlard avec toi, Harry, répéta Sirius dans une autre lettre. Je compte les jours jusqu'à ce que nous puissions à nouveau nous revoir, pour les vacances, pour une nouvelle réunion de l'Ordre, pour de grandes retrouvailles au Terrier. Je ne me sens pas tranquille, quand je sais que tu peux à tout moment te faire attaquer par les Mangemorts. Sans compter que cette école me manque. Profite bien de ces dernières années à Poudlard. Cette école change la vie de tout sorcier qui y met les pieds, c'est une certitude.
Harry lisait ces mots avec une émotion intense. À travers les lettres de Sirius, il pouvait sentir sa nostalgie, mais également le désir brûlant de son parrain d'être là avec lui, de le protéger, de le guider. Sirius avait une réelle volonté de donner vie à la relation paternelle qu'Harry n'avait jamais connue, il souhaitait tant rattraper tout ce temps perdu, c'était si flagrant, dans ses lettres. Le jeune Potter partageait ce désir, mais savait que la situation ne le permettait pas, tant qu'il était à Poudlard. Il attendait les prochaines vacances avec impatience.
La communication se poursuivait, leurs mots étant la seule source de réconfort dans ces temps troublés. La sixième année de Harry à Poudlard s'accompagna de découvertes surprenantes sur Voldemort et ses partisans : les horcruxes étaient un début de piste, et cela lui permettait de garder le cap. Les amis de Harry, Ron et Hermione, étaient toujours à ses côtés, comme une lumière de phare guidant un bateau perdu au milieu de la nuit. Leur soutien, et celui de son parrain, lui rappelait constamment pourquoi il se battait : pour le triomphe de la lumière sur le règne du Seigneur des Ténèbres.
À chaque fois que le jeune Potter revoyait son parrain, une joie indéfectible l'envahissait. Si les choses changeaient autour de lui, celle-là ne changeait jamais avec le temps. Les mois passèrent, remplis de diverses péripéties, toutes plus dangereuses les unes que les autres, toutes plus complexes les unes que les autres. Tout était rempli d'émotions diverses, de buts qui changeaient à chaque lever de soleil, d'urgence qui pressait chaque cœur. Enquêtes, épreuves, batailles, fuites, deuil, révélations, colères, disputes, fuites.
La septième année à Poudlard culmina avec la bataille finale à Poudlard. Le château fut le théâtre d'une lutte épique entre les forces du bien et du mal, et Harry savait que tout était en jeu. Absolument tout. Il était prêt à tout risquer pour mettre fin à Voldemort une fois pour toutes.
La bataille fut féroce, les pertes nombreuses. Mais finalement, comme le dit l'histoire, Harry triompha. Lord Voldemort fut vaincu, laissant un monde magique enfin libre de la menace qui le tourmentait depuis des années.
Cependant, la victoire était amère. Les pertes étaient douloureuses, laissant des cicatrices qui ne se refermeraient jamais complètement. La perte de Fred Weasley avait fait s'écrouler ses frères et sœurs, en particulier George ; celle de Remus Lupin avait impacté Sirius, celle de Tonks avait laissé un bébé orphelin, et la mort de tant d'autres était un rappel constant de la nature cruelle de la guerre.
Harry était épuisé, émotionnellement et physiquement. Mais il savait que la paix était enfin à portée de main, et que les sacrifices en valaient la peine. Son cœur s'était regonflé de détermination, teintée d'un peu d'espoir. Ce sentiment était si précieux.
La première chose qu'il fit après la bataille fut de retourner à Godric's Hollow, à la maison des Potter. Il avait besoin de réfléchir. Sa vie entière était reliée à cet endroit, même s'il n'en avait plus aucun souvenir. Il s'assit sur le perron, regardant le ciel qui s'embrasait avec le coucher du soleil. Les cicatrices de la guerre étaient partout, mais il se sentait enfin libéré de la menace de Voldemort.
Sirius, pensa-t-il, avec un sourire triste. Il regrettait de ne pas pouvoir partager ce moment avec son parrain, qui était en convalescence à Sainte Mangouste, et déchiré par le deuil de Remus. Harry repensait à tous les moments qu'il avait passé avec ses amis, avec l'Ordre, avec son parrain, à chaque lettre reçue, chaque conseil, chaque encouragement.
La communication entre Harry et Sirius était un fil d'argent qui traversait les ténèbres, les reliant dans les moments les plus sombres. Les lettres de son parrain étaient devenues une bouée de sauvetage, une source de réconfort dans la tempête. Il les gardait toutes dans une boîte, bien au chaud dans la valise qu'il avait posée à côté de lui. Sauf une.
Alors, le jeune Potter sortit de sa poche une lettre qu'il avait gardée pendant toutes ces années, une lettre de Sirius que le sorcier lui remise avant la bataille finale avec la promesse de ne l'ouvrir qu'à son issue, s'il ne pouvait pas lui parler avant. Il l'ouvrit et lut les mots de son parrain, les yeux embués de larmes.
« Harry, si tu lis cette lettre, cela signifie que la bataille est finie, que tu as triomphé. Je suis tellement fier de toi, mon filleul, de la personne extraordinaire que tu es devenu. Même si je ne peux pas être là avec toi physiquement, sache que je suis toujours à tes côtés, comme une présence constante.
La vie est faite de lumières et d'ombres, de victoires et de défaites. Mais quoi qu'il arrive, n'oublie jamais que tu es aimé, que tu as des amis qui te soutiennent, une famille qui sera toujours là pour toi, et que l'amour est la plus grande force qui existe – même si tu le sais déjà. Ta mère et ton père seraient si fiers de toi, je peux te l'assurer.
Maintenant que tu as vaincu Voldemort, je veux que tu vives ta vie pleinement, que tu profites de chaque moment, que tu laisses l'amour et la joie t'envahir. Sois heureux, mon Harry. Je serai toujours avec toi, quoi qu'il arrive. Je serai là n'importe quand, quand tu le voudras. Ma maison sera toujours la tienne.
Avec toute mon affection,
Sirius. »
Les larmes coulaient sur les joues de Harry alors qu'il serrait la lettre contre son cœur. Il savait que Sirius était là, dans l'obscurité, dans la lumière, dans chaque moment de sa vie. Leur amour était éternel, une force qui ne pouvait être brisée, une histoire qui ne prendrait jamais fin. La relation entre Harry et Sirius était une ode à l'amour qui pouvait transcender n'importe quoi, même la mort, une histoire qui continuerait à briller comme une étoile dans le ciel, pour toujours.
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