𝐍𝐈𝐉𝐈𝐑𝐎 𝐌𝐔𝐑𝐀𝐊𝐀𝐌𝐈 𝐈
THE OTHER SIDE
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𝒑𝒂𝒓𝒕 𝑰
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☆☆
𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒂𝒚𝒍𝒊𝒔𝒕 ━━━
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______Je suis exactement comme mon prénom. Prudence. Le fait d'agir en prenant des précautions avec sagesse sur les tenants et aboutissants d'actions. Je réfléchis toujours un bon moment avant de me lancer dans quelque chose, que ce soit pour mes études que pour une simple paire de chaussettes ou pour un garçon...
Ma propre voix résonne sur le lieu du tournage, sur laquelle nous devons caler nos mouvements. Ce n'est que la première scène, l'introduction des deux personnages principaux, mais je suis deja fatiguée de ce film, je n'attends qu'une chose la fin de la journée.
Mon masque d'actrice sur le visage, dans la peau de l'innocente prudence, je marche, la tête légèrement inclinée, de gros classeur de cours dans les bras, fonçant en direction du bout du couloir. Dans cette scène l'héroïne est en retard pour son premier cours au lycée, elle est obnubilée par le fait d'arriver à l'heure et ne fait donc pas attention à ce qu'il y a autour d'elle.
______ Mais lui... j'en oublie ma prudence.
C'est le moment.
Je glisse sur la flaque d'eau, comme l'indique mon script, en perd mes classeurs qui s'envolent, la production envoie du plafond une pluie de feuilles, je me concentre sur elles, lorsque Murakami me rattrape in-extrémiste. Comme l'indique le script, je reste là sans bouger dans ses bras, à le regarder dans les yeux. Ses deux pupilles noirs banals, néanmoins qui ont causé un coup de foudre à l'héroïne.
______ Si je faisais preuve de prudence, lui était un vrai con.
Second signal.
J'ouvre la bouche pour lui parler, bégaie, intimidé par cet homme si mystérieux qui me tient moi la petite vierge qui n'a été touché que par le bout de ses doigts. Hélas, je suis tombé sur le méchant loup.
______ Oups !
Il ricane avant de me lâcher comme une merde. Pour la dixième fois de la journée, je chute sur le coussin posé hors caméra. Celle-ci se coupe, accompagné du clap du producteur. Immédiatement Murakami change de tête, arborant son sourire habituel, il l'offre à l'équipe qui nous félicite ainsi qu'à moi. Je lui offre un petit sourire hypocrite en retour. La première scène du film a enfin été touché ! Ma première scène au Japon, waw. Ce n'est donc pas le moment de faire déraper les chose, une sale réputation pourrait gâcher ma carrière.
______ C'est dans la boîte, parfait ! Jaen s'approche de nous. Nijiro c'était une perfection comme d'habitude. Il fait la grimace dans ma direction. Beaucoup de prise ont loupées car tu n'étais pas à l'aise, travail ça. Ce n'est pas possible que tu sois gêné pour si peu.
« Ce n'est pas possible que tu sois gêné, des millions de personnes vont nous détester sinon " mon échec est le leur, si je suis une déception, tout le monde ici sera haï. Un seul pas de loupé et c'est l'effet papillon qui nous fera tous tomber.
______ D'accord. Je réponds simplement.
______ On va continuer après la pause, on continue avec la scène des chaussettes Ok ? Donc, rendez-vous au plateau vingt avant midi.
La remarque fait rire Murakami, d'un rire qui me fait crisser des dents. Je ne supporte pas de l'entendre, ça ne fait que quatres heures que le tournage a commencé que j'ai envie de le secouer. Lui sa niaiserie, son attitude joviale barbante et lui tout court. Il faut que je tape dans quelque chose ou mon stress ne se dissipera pas. Comment peut-il être si calme alors que je frôle la panique !?
______ Midi et pas une minute de plus monsieur, c'est noté.
Monsieur Jean semble satisfait par sa réponse, pas moi, assez éloigné, je me permets de retirer mon masque un instant. Il tombe en même temps que ma perruque blonde.
______ Arrive à l'heure.
Je tourne les talons, prête à me jeter dans le canapé de ma loge sauf qu'un « Eh » me retient.
______ Tu te comportes comme une star avec moi alors que tu n'as pas le quart de mes abonnés. est-ce que tu ne me supportes pas, car tu es jalouse ? Dit-il de cette expression déterminer à ne pas se laisser marcher dessus aujourd'hui.
Bien qu'il soit le cerveau d'un enfant de cinq ans, j'admets qu'il a une bonne repartie. Un enfant rusé qui profite que la production s'éparpille pour riposter.
Il est loin du narcissisme - loin de moi - lui qui est la bonté incarnée, il est peut-être gentil et tous pleins d'autres choses positives, mais il n'est pas sans défense, je l'ai appris bien rapidement.
Depuis notre rencontre lors des auditions. J'étais dans la salle d'attente de la une, lui presser, il m'a renversé son café dessus, la boule de nerf que j'étais là mitraillé de reproche, plutôt mérité, en sachant que le rôle aurait pu m'échapper à cause de lui. En dédommagement, il m'a donné un de son t-shirt, un large au centre une grosse tête de Mickey - parfaite pour une audition - il s'est excusé au moins trois fois pour sa bêtise, a dit aux casteur que mon retard était sa faute, grâce à son influence - que je ne connaissais pas jusqu'à là - j'ai pu passer l'audition.
Après c'elle ci, nous nous sommes recroisés, à ce moment-là, j'étais persuadée que je ne serais pas prise, sous la colère je lui ai dit qu'il n'aurait rien de moi pour l'aide qu'il m'a apporté. Il m'a gentiment répondu avec un ton mesquin que je n'arriverai à rien si j'étais mal éduqué.
Ce qui est totalement vrai.
Et, ça m'a encore plus énervé.
Attendez. S'il connaît mon nombre d'abonnés, c'est qu'il a stalker mon insta.
D'accord njr_mk.
______ Si cette réponse te fait plaisir. Je lui offre un grand sourire quand monsieur Jaen nous menace du regard. Bye, j'ai des stories à faire.
Ce film, c'est la chance de ma vie pour faire décoller ma carrière ainsi qu'en entamer une nouvelle dans le pays du soleil levant. À but d'être diffusé au cinéma ainsi que sur la plateforme Netflix, The other side est l'un des futur film de l'été, une future icône qui va marquer son public, la pression est donc énorme depuis que l'annonce du début de tournage a été dévoilé.
Je suis stressé, j'ai les nerfs et mon thé n'arrange rien, la faute à qui ? Elle est tranchée en deux entre l'équipe exécutive et Murakami. L'un comme l'autre me mène la vie dure, l'un exige de moi la perfection, car l'attente est énorme et l'autre me met des bâtons dans les roues m'empêchant d'être pleinement a l'aise dans mon rôle.
T/p ma grande, tu n'as pas quittée la France pour t'apitoyer sur ton sort, tu es là pour conquérir le public japonais. Un peu de motivation et de courage et Murakami ne sera plus un obstacle entre moi et la perfection. C'est décidé, je vais en mettre plein les yeux à tout le monde avec la scène de la tartine, tout le monde sera impressionné !
Dans la peau de Prudence, perruque blonde et ruban de soie dans les cheveux, cils relevé, lèvres labellisées d'une adorable couleur framboise, je contemple la fille dans le miroir, c'est moi et pourtant avec tout ce maquillage, on dirait une parfaite inconnue. Le travaille qu'a fait la maquilleuse est phénoménal, rien à voir avec le maquillage de mes feuilletons en France. Je suis métamorphosé ! Passant d'une adulte accomplie à une adolescente en pleine découverte d'elle-même, cette innocence sur mon visage me donne quelques années en moins, l'idéal pour une actrice âgé qui joue une lycéenne. C'est clairement un autre monde, un autre niveau. Je respire, approuve d'un geste de la tête à monsieur Jaen qui récupère mon texte. Il disparaît au fond de la pièce, prenant possession des caméras.
_______ Dès que la musique se lance tu te mets en full concentration, comme aux répètes et c'est nickel. Ok ?
_______ Ok ! Dis-je les pouces levés.
Cette scène, là dix-huit. Importante, car elle marque tournant dans l'histoire entre Prudence et Tatsuya. C'est aussi celle que j'appréhende par la préparation qu'elle m'a demandée en amont. Trois jours, deux heures par matinée a révisé cette petite scène, mais énorme pour une nouvelle comme moi dans la cinématographie japonaise.
C'est la scène dix-huit ou appeler entre nous, la scène des chaussettes, a pois vertes et noires, les affreuses sont bien aux bouts de mes pieds, je remue des doigts de pieds, me canalise et attends le clap de commencement.
Clap !
Circus de Britney Spears commence et mes pas de danse avec elle, fluide et sans défaut, je ne songe à rien d'autre qu'à la perfection de mes gestes. Sans défaut, sans défaut.
All eyes on me in the center of the ring
Tous les regards tournés vers moi, au centre de la piste
Just like a circus
Comme dans un cirque
When I crack that whip, everybody gon' trip
Quand je donne un coup de fouet, les gens tombent...
Dans son élan fougueux, Prudence ce mets à danser entraîné par l'émotion de la journée, elle roule des hanches, frotte ses bras contre elle d'une frivolité que le personnage a commencé à découvrir la veille, malheureusement pour elle est à oublier que sa fenêtre était ouverte.
De l'autre côté de c'elle ci son voisin la regarde agiter ses pieds dans le vide alors qu'elle est indécente sur son bureau.
Murakami se tient là son panier de course factice dans les bras, les provisions tombent au sol non pas par surprise par la soudaine présence de Prudence devant lui, mais pour retenir la vitre quand elle tente de la refermer.
J'enfonce mon doigt sur mon téléphone pour arrêter la musique, elle ce stoppe aussi en arrière-plan. Les bras repliés sur la poitrine, je joue la gêne d'un regard évitant. Reculant d'un pas de la fenêtre, Murakami l'ouvre d'un geste et vient si accoudé.
______ Sympa tes chaussettes.
La veille les deux personnages ont couché ensemble, il s'agit de leurs retrouvailles, plutôt tumultueuse en vue de la surprise que Prudence a eue au matin, elle était seule, sans Tatsuya et sans virginité,
Prudence en veut à Tanaka de l'avoir abandonné pendant la nuit, la laissant seule au réveille sans compagnon et sans virginité - Qui n'est d'ailleurs qu'un concept, elle en a pleurée ignorant qu'elle n'avait rien perdu, surtout Tatsuya qui n'est qu'un élément perturbateur dans sa vie.
Prudence en colère serre le poing devant un Tatsuya qui n'en a visiblement pas grand-chose à faire de la manière dont il a traité, ce qui déclenche en la jeune femme une rage fulgurante.
______ Sympa mes chaussettes ? C'est tout ce que tu as à dire ? Est-ce que tu te rappelles ce qui s'est passé hier où je dois te rafraîchir la mémoire ! Pourquoi tu m'as abandonné !? Je joue en secouant les mains.
Elle ne sait pas que Tatsuya a du foncé à l'hôpital, car sa mère a eu un accident cette nuit, elle est entre la vie et la mort, dans un coma qui tourmente le garçon depuis la sonnerie du téléphone. Dans le livre, son point de vue est très touchant, surtout en sachant l'importance qu'à sa mère pour lui. Elle représente - comme dans tout livre d'adolescent qui a besoin de toucher le public - sa sensibilité, sa nature douce ainsi que sa vulnérabilité. Elle est là pour montrer le meilleur de lui à Prudence, qu'elle sache qu'il n'est pas le mauvais garçon qu'elle pense. Ça elle ne le saura qu'après lavoir suivi à l'hôpital.
Prudence n'a jamais eu à cacher ses émotions pour ne pas paraître vulnérable aux yeux du monde, elle a vécu une enfance parfaite, accompagné de deux parents parfaits également, son père boulanger et sa mère peintre, ce qui n'est pas le cas de Tatsuya. De plus elle ne sait pas que Tatsuya est mauvais, car son père le maltraite lui et sa mère, elle est donc pour lui le plus beau joyau du monde, c'est comme ça qu'il l'appelle dans le livre.
Convaincu que Tatsuya s'est moqué d'elle depuis le début afin de coucher avec elle, la blonde se retient de lui bondir à la gorge en serrant la mâchoire. Murakami me regarde, je crie, porte à ma bouche mes doigts pour essuyer le sang. Je viens de me mordre la langue assez violemment.
______ J'ai un mouchoir.
Murakami est soudainement très proche, son papier dans la main, je sursaute et le chasse d'un geste sauvage. Quand je me rends compte de mon geste, il est déjà trop tard, je suis sorti de mon rôle et est entaché mon image. Un instant passé en un millier de secondes entre nous.
______ Prudence, prend ce mouchoir. Prudence ? Il tend le paquet à mes mains. Si tu le prends ça ne veut rien dire, je sais a quel point tu m'en veux.
Comprenant qu'il est entrain d'improviser, je me replonge dans mon rôle, prenant du bout des doigts un mouchoir du paquet. La caméra zoom sur nos doigts qui se frôlent.
______ Je t'en veux et j'ai besoin d'explication. Parce que je ne comprends pas pourquoi tu as fait ça et pourquoi tu fais ça maintenant Murakami.
Pourquoi m'avoir aidé alors que je t'ai engueulée et ait été méprisable quand tu as tenté de tous arrangés pour le café renversé et pourquoi tu m'aides encore aujourd'hui en improvisant. Murakami change d'expression passant de la plainte de Tatsuya à la déception, il passe de moi à monsieur Jaen qui déboule comme une flèche vers nous. Il a le poing serré, la rage dans les yeux, une colère qui m'est destinée qui m'effraie au plus au point, je fais un pas derrière mon partenaire.
______ La scène était parfaite ! Une improvisation nickel, si tu n'avais pas tout gâché.
J'ai foiré ? C'est impossible, j'étais parfaite ! La colère, c'est ce que j'acte de mieux.
______ Les erreurs ça arrive, on peut toujours refaire ce passage, vous savez. Me défend-il.
Jaen s'adoucit, pris dans les filets du noiraud.
______ Je ne comprends pas ce que j'ai fait. Désolé. Priant pour qu'il n'ait pas encore plus envie de me faire la peau.
______ Tu l'as appelé par son nom. Tu peux me dire ce qui t'es passé par la tête ? Est-ce que tu réfléchis avant de parler au moins ?
Je ne suis pas une imbécile, c'est le stress qui m'a fait faire ça et c'est lui qui l'a provoqué par son comportement imprévisible. Le fait est que quand il m'a aidé, la surprise m'a fait sortir de mon rôle, oubliant que nous tournions une scène coûteuse autant pour le budget que pour le timing.
Le stress s'évacue sur mes joues, coulant à flot sans se retenir, dans ma poitrine, cette déception amère qui me brûle, me faisant ressentir cette sensation de fin du monde.
Je voulais vraiment bien faire, j'avais réussi, j'avais assuré même plus avec cette improvisation, mon objectif était atteint, je les avais improvisés, mais non, il y a fallu que son nom traverse ma bouche.
______ Les rushs ne sont pas tous à jeté, si ? Je me suis mélangée, mais je ne le referai plus.
Mon japonais déraille avec les pleure, les deux hommes ont du mal à saisir ce que je tente de dire. Il est le premier à reprendre les reines de la situation.
______ Il y a un grand fossé entre ta carrière en France et c'elle que tu commences ici, c'est normal que tu fasses des boulettes. Pourquoi tu es si gentil, je ne mérite rien !? On va faire une pause et je m'occupe d'elle. Ça marche ?
______ Ok ok. En secouant la tête, ne sachant pas trop s'il dit oui, non, il est tout simplement désarçonné par le fiasco qu'est ce tournage.
Tout le monde me regarde tout le monde me juge, tout le monde me trouve merdique, tout le monde doit remettre en question le choix des casteurs. D'un pas pressant et la poitrine pesante, je sors du plateau, la porte ne claque pas derrière moi, il me suit. Elle ne claque pas également quand j'entre dans la salle de classe dans laquelle je me jette sur le premier pupitre.
______ Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu agis comme tu agis.
Je souffle, ma tête brûlante est soulagée par la froideur du bureau. Mon souffle se coupe par la découverte de Murakami qui m'a imité, la tête également posée sur celui-ci.
______ C'est toi le problème. Il plisse les yeux, je hausse les sourcils. Et moi aussi. J'ai du mal à composer avec toi et ta personnalité si particulière. Ça me perturbe. Je vois ses yeux dans le reflet des larmes qui coulent sur la table. Ne le prends pas mal, mais tu me mets mal à l'aise.
Là où tout le monde aurait une réaction négative, mon aveu fait rire Murakami qui laisse ses lèvres s'étirer d'un grand sourire. Je relève les yeux.
______ C'est que le début du tournage, on ne se connait pas très bien et on est parti sur de mauvaises bases toi et moi.
______ Pas faux. Ça ne te vexe pas, que je dise que tu me gênes ?
Il glisse furtivement le paquet de mouchoirs sur ma table.
______ Ce n'est pas ton intention, non ?
______ Non. Dis-je en me redressant, le paquet entre les doigts. Pourquoi tu es si gentil ?
Il hausse les épaules.
______ Je ne sais pas. Il y a un blanc, il se relève. Quand tu m'as incendié l'or des auditions, j'ai vu ton bon fond à la place de ta méchanceté. Je veux dire que ça ce voit que tu n'ai pas réellement mauvaise.
______ Je suis juste stressée. Passant un mouchoir sur mon visage. Je reste cachée un instant de plus dernière le papier pour ne pas le regarder.
______ Je connais un exercice sympa pour ça.
Il se cramponne à son bureau et se met soudainement à hurler de pleine voix "Maria". Sa voix n'est empreint d'aucun malaise à l'idée d'être entendu par le monde qui passe dans le lycée et sur les plateaux. Il s'arrête après plus de vingt secondes de cris. Je le regarde bouche bée, lui est fière.
______ À toi.
______ Non.
______ Si. Vas-y. Tu vas voir. C'est le meilleur moyen pour toi d'évacuer.
Il est hors de question que je fasse ça, devant lui en plus. C'est tellement gênant.
______ Si on faisait connaissance, ce serait mieux. C'est quoi ta couleur préférée ?
______ Rouge foncé. Quand j'ai hurlé, personne n'est venu me gronder. Vas-y. Tu te prends la tête pour rien.
Je plaque mes paumes à la table, hurle à mon tour.
______ JAAAAUUUUUNE ! Ma voix se tue quelques seconds passés. Merci d'avoir dit et toi, j'apprécie.
Murakami applaudit avec un petit sourire que je lui rends, cette fois ci qui n'est pas hypocrite. Je tourne la tête un peu honteuse de l'avoir malmené.
______ Et merci aussi de m'avoir aidé. J'apprécie ta gentillesse.
Sa gentillesse a été une marche qui m'a empêché de tomber de nombreuses fois et de perdre énormément.
______ De rien. Je peux t'appeler par ton prénom ?
______ Tu as mon autorisation Ni-ji-ro.
☆☆☆
The other side est un mélange entre Xo Kitty (Qui est incroyable) et After (Qui est un film d'horreur patriarcale)
Ce sera sûrement un tri-shot !
Encore merci pour les 24k de lecture sur Heartless !!
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