𝐆𝐖𝐀𝐘𝐍𝐄 𝐇𝐈𝐆𝐇𝐓𝐎𝐖𝐄𝐑
┃𝙏𝙒 : 𝘚𝘤𝘦̀𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘩𝘦𝘶𝘳𝘵𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘴𝘦𝘯𝘴𝘪𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴
┃𝙃𝙖𝙪𝙣𝙩𝙚𝙙 𝙙𝙚 𝘽𝙚𝙮𝙤𝙣𝙘𝙚́ 𝘦𝘴𝘵 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘮𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦́ 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦 𝘰𝘯𝘦-𝘴𝘩𝘰𝘵.
𝘴𝘰𝘳𝘵𝘪𝘳 𝘥𝘶 𝘤𝘩𝘦𝘮𝘪𝘯 𝘴𝘢𝘯𝘴 𝘴𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘥𝘳𝘦
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Le donjon rouge. Vous aimiez à penser qu'il se nommait comme cela car c'était non seulement la maison des Targaryen, et de surcroît un endroit refermant énormément de secrets.
Il se passait des choses atroces entre ses murs, entre des gens qui allaient se serrer la main le lendemain...ou qui allaient être porté disparu, ce fut le cas du seigneur main de l'actuel roi Aegon : sir Criston Cole, étrangement disparu pendant son service alors que vous étiez à sa recherche.
Vous étiez une dame de compagnie de la majesté douairière Alicent Hightower. Vous et les autres filles de sa cours personnel parliez beaucoup, pas en mal comme de vils sournoises bien sûr. Non vous parliez pour faire la conversation rien de plus. naturellement, vos discussions ont un jour dérivé sur les hommes. Dont Criston Cole.
Beaucoup avait un faible pour le seigneur main, il était beau garçon, serviable, poli et incroyablement musclé. D'après vos analyses communes sur la personnalité de monsieur, vous aviez conclu qu'il ne serait pas du genre à disparaitre sans prévenir pendant son service.
L'intelligence, l'une de vos plus grandes qualités. Vos méninges adoraient tourner toutes la journée même pour des petits choses, même si cela vous donnait la migraine. Mais, il ne vous fallut pas longtemps pour éludé le mystère Cole. Un soir la reine douairière vous convoqua dans sa chambre.
Rien d'étonnant jusqu'e la puisque vous aviez toujours été proche, vous étiez même sa meilleure amie. Alicent aimait votre personnalité, tailler dans l'arbre du respect et de la chasteté, votre sens de l'honneur votre perspicacité. Une fois de plus elle ne fu pas étonnée lorsque vous la demasquiez.
La rouquine baissa les yeux sur ses mains ne sachant pas ou commencer.
______ Vous et Cole...c'est dans votre chambre qu'il avait disparu... Vous vous êtes baisser pour pouvoir croiser son regard. Il fallait la confronté. Et si quelqu'un l'avait vu entrer dans votre chambre ? Est-ce que perdre votre réputation ne vous fait rien ?
Alicent était tailler dans le même bois que vous, dans l'honneur et l'image parfaite de la femme exigé par la société. Non Alicent ne se moquait pas sa réputation . Surtout à sa place de reine douairière. Si son image était entachée c'était toute la réputation de la royauté qui en patirai.
Néanmoins même si elle avait des motivations, prendre des telle risque ne pouvais pas être possible.
______ Alicent... pourquoi tu ne réponds pas... Vous saviez pourquoi elle gardais le silence. Vos yeux s'écarquillèrent. Qui vous à vu ?
______ Un soldat, c'était...tu sais il à les cheveux grisonnant et cette espèce de balafre sur le front. Cole va partir à sa recherche ce soir en revenant de mission...
Alicent du se retenir pour ne pas vous dire que vous lui rappeliez son frère, Gwayne. Dans votre manière d'être protectrice envers elle, de la sermonner comme si vous aviez une place plus haute que la sienne dans la hiérarchie. En vous observant faire les cent pas dans sa chambre, la reine se dit que votre amitié avec lui n'avait rien d'étonnante : Gwayne aimait les gens qui partageait ses valeurs, avec qui il ouvrait parler de tout et de rien. De même pour vous.
Comme on était soldat et qu'il résidait à vieille-ville, lorsqu'il venait à port-real
vous n'aviez que de rares occasions pour passer du temps ensemble...si le temps le permettaita avec ses missions. Malgré tout,
les rares moments que vous passiez ensemble restaient inoubliable. Oh oui, quand vous étiez seule dans l'obscurité de votre chambre, le souvenir de ce soir de fête venait jouer dans votre tête.
Lui, vous et ce slow un soir d'hiver.
______ Macqualle...on ne peut pas attendre, il faut qu'on le retrouve. Immédiatement. S'il parle Cole sera tué et toi...enfin. Je vais me charger de le convaincre de ne pas parler.
La solution au problème quand vous étiez riche. Les plus riches puisqu'il s'agit de la royauté. N'est pas dure à trouver : L'argent.
Avec un bon discours Macqualle allait garder le silence. Une fois qu'Alicent vous à donnée son feu vert, vous avez quitté le château à la recherche du soldat.
D'après des gardes l'homme à été vu quelques minutes auparavant sortant en ville.
Le secret ne doit pas quitter le donjon, quoi qu'il en coûte. Cette phrase tourne en boucle pendant vos recherches en écumant taverne après taverne.
Malheureusement vos recherches furent infructueuses.
Alors vous marchiez bien cachée sous votre cape en argent, agitant chaque mécanisme de votre cerveau pour trouver l'endroit le plus probable où la balafre puisse passer sa soirée. Vous entrèrent en collision avec un passant. Le choc fit tomber votre capuche, dévoilant votre visage ainsi que vos yeux écarquillés.
Gwayne Hightower se tenait devant vous après des mois sans l'avoir vu.
______ Comme on se retrouve mademoiselle. Vous salut t'il en relevant rapidement votre capuche sur votre tête. Il poursuivit plus bas. Que faite vous hors des murs du château en pleine nuit ?
La dernière fois que vous l'avez vu, c'était en coup de vent. Il venait et repartait immédiatement en mission. Vous aviez tout juste le temps d'échanger un "Bonjour comment vas tu ?".
______ Je suis contente de vous voir. Votre mission s'est bien passé ?
Mais surtout, est-ce qu'il allait bien ? Son regard était lourd de fatigue, sa peau abîmée par de multiples cicatrices.
Gwayne roula des yeux à votre changement de sujet. Le quoi du comment concernant sa mission lui importait peu. L'idée que vous puissiez juste être inquiète pour lui n'avait pas effleuré son esprit tant il était fatigué et inquiet en vous croisant au milieu de la nuit dans les rues doré et malfamer de port-real.
______ Une calamité. Mais ce n'est pas la question. C'était votre question. Et son sixième sens de gentleman lui disait que sa question était plus importante que la votre. Je vais vous reconduire à bon port.
Il y avait une chose que vous partagiez avec Gwayne qui n'était pas une bonne chose : Votre côté borné. Vous aviez une mission et à présent il en avait une. Aucun de vous n'allait laisser l'autre le mener dans sa barque.
______ Inutile merci. Je vais juste...
C'est a ce moment que l'homme à la balafre décida de se montrer. À chaque pas il s'éloignait de vous, alors vous n'avez pas perdu de temps et amorcier une course. Que Gwayne arrêta à la seconde ou elle commença en vous bloquant le chemin de sa carrure.
______ Je ne pense pas non. Bat t'il sèchement bien décidé à ne pas vous laisser partir si facilement.
Donner moi une réponse. Peut-être pourrais-je vous aidez ?
Expliquer à Gwayne que sa soeur avait un amant ? Ce serait comme précipiter Cole vers une mort certaine. Non. Le secret ne devait pas quitter le donjon. Mais... l'aide et la protection que Gwayne pouvait vous offrir n'était pas à ignorer. "Tant pis pour le respect, il n'en saura rien." Vous songez avant de lever les yeux vers les siens afin d'instaurer un climat de confiance.
______ Macqualle à quelque chose qui appartient à Alicent, il faut que je le récupère. Il est là-bas.
Gwayne suiva la direction du doigt que vous avez pointer dans son dos. Macqualle était encore à vu. Naturellement vous avez commencé à le suivre. Avec encore plus de naturel vous avez glisser votre bras sous celui de Gwayne.
______ Il a osé voler la reine douairière ? Qu'est-ce qu'il à prit ? Je vais me charger d'aller le chercher à votre place. Il lança un regard noire droit devant lui. Je n'arrive pas à croire qu'il est fait ça.
Définitivement, mentir n'entrait pas dans le registre de vos qualités. À présent il fallait profiner votre bêtise. Et bien le faire parce que Gwayne n'était pas bête. À la seconde ou il réaliserait la supercherie vous alliez devoir lui révéler la vérité. Ensuite il ferait tuer Macqualle pour protéger Alicent et se débrouillerai pour lui même tuer Cole.
______ Il à prit un parchemin important, un plan du désarmement du blocus.
Bravo votre mensonge était convainquant. Gwayne mis les deux pieds dans votre barque prêt à vous suivre. Sauf qu'à présent, lorsqu'il trouverait Macqualle il le tuerait sans hésiter pour trahison.
À la seconde ou vos mots franchirent vos lèvres le rouquin coince votre bras sous le sien avec plus de fermeté, marchant d'un pas plus rapide.
______ J'imagine que si je vous demandais de rentrer vous ne m'écouteriez pas ?
Sa question est rétorique puisqu'il vous emportait déjà sous son aile à la poursuite du bavard. Avec un ton sarcastique vous avez répondu :
______ Jamais Hightower.
Il souffla du nez, toujours autant amusé par votre insolence.
______ Vous n'avez pas changé depuis la dernière fois. Il vous regarda de côté. Garder votre insolence pour vous ce soir. Le ton employé pour vous parler n'avait plus rien d'amicale. Il ralentit un peu le pas pour que vous puissiez mieux l'entendre.
Vous allez suivre mes ordres. Si je vous dis de ne pas parler vous ne parlez pas. Si je vous dit de fuir vous fuirez. Compris ?
C'était la moindre des choses de suivre ses ordres quand vous lui aviez menti droit dans les yeux. Et puis... C'était plus rassurant, avec Gwayne vous étiez sur d'être à l'abri du danger.
______ Compris.
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Pour échapper au stress de la réalité vous vous réfugié dans votre tête, il ne fallut pas longtemps pour plonger dans se souvenir d'hiver. La fête battait son plein. Comme d'habitude Aegon ne dansait pas, contemplant tout ses sujets, Gwayne à ses côtés, ils abordaient un sujet sans importance au vu de leurs expressions, ils échangeaient parfois quelques rires.
De même pour vous et quelques une de vos amies. Invisible aux yeux des autres puisque vous n'étiez "que" des dames de compagnie au milieu des seigneurs, des lords de tout ses gens riches et titré. Au moment où la discussion tournait à l'ennui vous avez commencé à observer la neige tomber derrière les fenêtres.
Vivement que la fête ce termine avez vous pensez, jusqu'à ce que Gwayne Hightower vous invite à danser.
D'abord pour une danse. Puis une autre et le courant passa tellement bien que vous avez passés des heures à danser tout en discutant.
Gwayne avait toujours quelque chose à répondre lorsque vous évoquiez un sujet. Cela allait dans les deux sens, surtout quand il vous a demandé votre avis sur un poète populaire du moment. Vous vous souvenez de l'avoir entendu parlés poète, en revanche, pas de ce qu'il en avait dit. Non, votre esprit était captivé par la manière dont Gwayne vous faisait valser. Dont ses mains vous tenait avec politesse et respect. La manière dont ses lèvres sarquaient en un sourire quand le sujet débattu l'intéressait particulièrement. La manière dont il vous fixait...d'une telle intensité. Son regard plongeait dans le votre à vous donnez l'impression qu'il cherchait à sonder votre âme.
Au moment de vous séparer, à la fin de la fête quand il vous à raccompagner à votre chambre. Qu'il embrassa votre main avec respect pour vous dire au revoir. C'est à ce moment-là que vous avez compris que si vous ne vous rappeliez pas ce qu'il avait dit sur le poète c'est parce que vous étiez tombée sous son charme.
Et lui aussi. Mon dieu oh que oui, Gwayne Hightower était tombé à genoux pour vous. À ses yeux vous n'étiez pas invisible comme l'avait souligner Aegon, vous décrivant comme un "élégant pot de fleur décoratif." Oh non, vous étiez brillante, dorée, un diamant brute, toutes sortes de choses qui attirait l'oeil. Votre beauté n'était qu'un plus car c'est votre personnalité qui lui fit mettre genou à terre. S'il était cinglé comme son neveu, c'est sans hésitation que le soldat Hightower vous aurait kidnappé toute la nuit pour pouvoir apprendre à vous connaître en détail.
Au fil des jours, des mois, des années à discuter, marcher et plaisanter, l'interet qu'il à fait naître chez vous c'est transformer en sentiments fort. Ce sont devenus des moments attendus, des rires inoubliable à jamais gravé dans votre mémoire. En vous retrouvant avec l'élu de votre cœur au milieu de la nuit dans la crasse, la bassesse de port-Real et du mensonge, le stress vous bouffait le corps. Encore plus fasse à l'expression de Gwayne après que la balafre soit entré dans un établissement.
Dissimuler derrière des barriques de bois, humides, pendant que Gwayne levait les yeux au ciel vous avez entrepris d'inspecter la devanture du bâtiment. La chose qui sautait aux yeux fut le l'absence de fenêtre. Tout était barricadé. Et ce sur plusieurs étages. Ensuite, quand la balafre est arrivé il à du se faire identité à l'entrée par le judas. Votre conclusion fu simple : Tout le monde ne pouvait pas entrer ici, et ce qui ce passait la devait rester ici. De la même manière que le donjon.
De retour à Gwayne, vous le surprenez entrain de vous observez. Il ne détourna pas les yeux même pris la main dans le sac.
Il aimait bien vous regarder quand vous analysez des choses, que vos méninges était en action. Hélas la gravité de la situation l'empêchait de prendre pleinement à cœur son observation. L'heure n'était pas à la tentation...enfin...pas totalement.
______ Est-ce qu'il vient d'entrer dans un bordel ?
En réponse, premièrement, Gwayne hocha la tête. Ensuite il souffla.
______ Je vais entrer seul. Vous n'avez rien à faire la dedans. En amorçant un geste pour vous faire rebrousser chemin.
Ses mots sont juste. Vous n'aviez rien à faire dans un bordel au milieu des prostituées et de toutes cette dépravation. Vous devriez être au château dans vos draps propre et soyeux en train de dormir.
Évidemment, votre côté borné n'avait pas disparu depuis tout à l'heure. Peux importe à quelle point l'obstacle pouvait être dure, s'il s'agissait de le surmonter pour Alicent alors il serait surmontable. Faisant volte-face, vous avez relevé votre menton fièrement, bombé la poitrine et répondu au regard noir que vous lançait le soldat.
______ Non. Cette fois votre route s'arrête vraiment ici. Il souffle en sentant votre regard devenir plus dure. Vous m'avez donner votre parole en disant que vous alliez suivre mes instructions.
______ Je ne peux pas vous laisser faire ça seul !
Vous pourriez mais comme vous lui aviez menti plus tôt, cette affaire ne pouvait être réglé que par vous et vous seul. Sauf si vous disiez à Gwayne la vérité. Ce qui était impossible.
Le soldat détestait se montrer dure mais il le fallait. Il connaissait votre tempérament. S'il ne vous intimidait pas un minimum vous n'allez pas lâcher l'affaire. Il fait un pas en avant se rapprochant dangereusement de vous.
______ Je vous dis de rentrer. Alors rentrer.
Gwayne est un guerrier, lutter faisait partie de son quotidien. Si une dame sans force ni arme décidait de ne pas être d'accord avec lui, cela n'avait pas d'importance. Il serait capable de vous balancer sur son épaule pour vous ramener au palais si vous insistez. Une idée vous venu. Il était un soldat, capable de vous ramener jusqu'au palais par la force mais vous, vous étiez une dame capable de jouer la comédie pour faire bonne figure.
Il fut surpris lorsque votre regard s'est adoucit, que vous avez hochée la tête en signe d'acceptation. Immédiatement il baissa la garde, ce qui ajouta des remords dans votre cœur et du stress dans votre corps.
______ D'accord. Je suppose que je n'ai de toute manière pas le choix.
______ C'est plus sage...ne faites pas cette tête je vais avoir des remords. C'était le cas mais il n'allait pas le dire. Rentrez au château, allez vous coucher demain cette histoire sera réglé. D'accord ?
______ D'accord...je vais partir la première pour éviter d'attirer l'attention.
______ En voilà des bonnes paroles mademoiselle.
"Bonne paroles de comédienne." La pression des remords devenait trop forte que vous n'avez pas pris le temps de correctement le salué pour mettre le point final à votre supercherie. Vous êtes sortis de la cachette la première, faisant mine de prendre le chemin du château, à l'instant où la porte fut à porté vous vous précipitiez dessus, la martelée de votre âme jusqu'à ce qu'elle s'ouvre. Il ne fallut pas longtemps pour vous retrouver à l'intérieur.
Un homme imposant et barbus vous accueillir vous jugeant d'un oeil inquisiteur. Qu'es-ce que faisait une fille comme vous, seule, aussi propre, avec une cape aussi coûteuse sur le dos dans un bordel ?
Le mensonge est apparemment devenu une habitude pour vous. Sans un seul instant d'hésitation même fasse au martèlement pressé derrière la porte. Vous avez menti au lieu de retourner sur vos pas et de réparer la situation.
_______ Je suis en retard.
Le videur écarquilla les yeux. Apparemment il savait qui vous étiez. Peux importe vous vous êtes dit, tant que le mensonge a marché. Il appela une femme en la claquant des doigts et celle ci vous traina en silence derrière un rideau. Pendant que Gwayne faisait irruption dans le bordel à votre recherche.
"Sorcière" bredouillait t'il, pensa t'il, tout en bousculant les gens pour se frayer un chemin dans la foule. Entre deux insultes passives agressives à votre encontre, il se dit "Ou suis-je censé mettre mes yeux pour ne voir personne nue ?". À gauche derrière les rideaux les ombres dansaient, des gens forniquaient dans ses salles privées. Privée seulement si les rideaux n'étaient pas grands ouverts. Gwayne detourna le regard sur la droite, la ou des hommes buvait entouré de femmes, certaines assises sur les tables, d'autres qui faisait office de table. Au centre de la pièce principale, des plateformes étaient installées, sur lesquels des femmes dansaient. Le plus souvent non vêtu. Si les bouts de tissus qu'elles portaient pouvaient être appelés vêtements.
Au milieu de cette foule Gwayne se senti mal. Pas pour lui, mais pour vous. Il vous imagina dans l'incompréhension fasse à tout ses hommes, à leurs regards, leurs paroles, leurs demandes irrespectueuses et sans morale et à leurs mains baladeuses. Mon dieu. Si quelqu'un vous touchait il ne se le pardonnerait jamais. Il devait vous protéger c'était son devoir d'homme, c'était sa faute s'il vous arrivait quelque chose ici. "Sorcière" combien de fois allez vous encore le rendre fou ? Lui infliger de la douleur et du tourment ? La prochaine fois il ne prendrait pas le temps de vous écouter, vous prendra sur son épaule pour vous ramener dans votre lit, là où il vous bordera si fort que vous ne pourriez jamais vous échapper de vos draps.
La torture que lui infligea toutes ses pensées lui fit battre la foule avec plus d'efforts, ses yeux balayant les silhouettes à la recherche de votre cape argentée. Aucune trace de votre cape, pourtant il avait fouillé dans tout les recoins sans se ménager.
Il s'arrêta, suffocant à cause de la chaleur naturelle du bordel et des efforts qu'il avait donnés. "Bon". Pensa t'il. Il n'était plus à ça prêt. Il retira sa chemise qu'il porta en ceinture.
Tu grimpas sur l'une des plateformes pil à l'instant où sa chemise glissait sur son corps. Dévoilant ses muscles, ses cicatrices de bataille. Il était bien trop proche de vous pour ne pas être reconnu s'il regardait dans votre direction. Le videur vous avais confondu avec une danseuse, la femme vous avait amené dans une pièce pour nous changer. Vous faisant revêtir de léger voilages verts émeraudes. À la couleur de la maison Hightower. Le tissu cachait vos principaux atouts, ça évitait la misère, même si votre dignité en prenait un coup sévère. Un très gros. Surtout lorsque vous avez commencée à danser sous les acclamations des bêtes affamées à vos pieds. C'était un sacrifice nécessaire et personne ne le saurait jamais sauf si vous étiez repérée par Gwayne. La plateforme offrait une vue parfaite sur la foule et ses alentours, vous permettant de rapidement trouver l'homme que vous cherchiez.
La balafre vous repéra à son tour, il vous reconnu et s'approcha de votre plateforme.
Tout en remuant du bassin vous vous êtes abaissé afin de lui parler.
______ Qu'est-ce que vous faite ici ?
Pas le temps de prendre de pincettes. Il fallait aller droit au but et partir rapidement.
______ Je sais que vous êtes au courant du secret de Cole et Alicent. Elle m'a envoyé vous trouvez. Vos jambes se balançaient dans le vide alors que vous étiez sur le dos. Vous trouvez pour marchander. Elle vous paiera une somme généreuse pour que vous gardiez le silence.
L'homme garda le silence. Tritura sa balafre avant d'ouvrir la bouche d'une manière qui vous donna des frissons partout dans le dos.
______ Si je dis oui tu vas arrêter de danser et t'enfuir n'est-ce pas ?
______ Naturellement...
Si Gwayne Hightower mettait la main dessus, dans cette tenu dansant comme cela, il ne vous adresserait plus jamais la parole. Pensez vous convaincue de cette véracité.
______ Alors danse pour moi et je ne parlerai jamais de ce que j'ai vu. Je le jure sur les sept couronnes. Je vous en fait le serment.
Les soldats n'avaient qu'une parole. S'il disait garder le silence alors il allait le garder. Et puis...s'il avait osé mentir, la couronne le ferait assassiné, ça devait être inscrit dans sa tête. Cole n'hésiterait pas un instant pour le couper en petit dès et le donner aux cochons. Acceptant votre sort vous avez hochée la tête, vous êtes relevée et avez continuée de danser.
Vous vous êtes retrouvés dans cette situation à cause d'Alicent et de ses imprudentes envie. Vous ne compreniez pas pourquoi elle avait pris autant de risques pour ce que le jeu en valait. Pourquoi ne pas suivre le droit chemin comme c'était demander, pourquoi désobéire ? La réponse vous frappa immédiatement à l'instant où vos iris furent saisis par celles de Gwayne.
Désobéir, faire des choses dangereuses, c'était terriblement excitant.
Le droit chemin vous disait, non, il vous hurlait de descendre de cette plateforme et d'aller tout expliquer à Gwayne pour arranger la situation qu'il ne devait sûrement pas comprendre en vous voyant au côté de la balafre.
Pour la première fois de votre vie vous ne comptiez pas être "un jolie pot de fleur faisant décoration." Mais bien une de ses filles qu'on regarde et qu'on envie. Tout en plantant vos yeux dans celui du soldat vos hanches ondulent dans un mouvement diablement lent et sensuelle qui empêche votre interlocuteur de répondre à votre regard.
Il ne savait pas à quoi vous jouiez mais une chose était sûre : vous lui aviez menti. Vous vous étiez joué de sa personne, l'aviez mené en bateau avec cette histoire de vol de plan et de trahison. À présent il devait pour attraper et vous emmenez loin de tout cela. Hors de se monde qui n'était pas le votre. Seulement, il resta cloué sur place face à votre danse. Incapable de faire autre chose que de vous regarder bouger. "Sorcière." Souffla t'il la bouche entrouverte pour mieux respirer. C'est vous qui étiez sur le bûcher entrain de vous pavaner sous les yeux de tous, de plus, en portant les couleurs de sa maison. Mais c'est lui qui recevait les flammes, lui dont la peau brûlait.
Le code d'honneur des Hightower lui interdisait de faire ce genre de chose, jugé entachant pour la dignité. Pourtant, même en connaissance de cause il ne se décida pas à bouger. Vous aviez semé le trouble dans sa tête avec le sort de votre charme, le cerveau de Gwayne trouva finalement la fin de la torture qu'il s'infligeait.
Tout le monde a des secrets. Personne ne suivait son chemin sans en sortir au moins une fois. Ce soir il deriverait, et ce, sans aucun regret.
Gwayne resta immobile au milieu de la foule, sachant que vous l'aviez remarquée, tout comme vous saviez qu'il vous avait remarqué en retour. Il ne te fallut pas longtemps pour comprendre que le rouquin venait de faire un choix. Le choix de ne pas vous faire descendre de la plateforme. Mieux encore, il gardait les yeux sur vous pour vous protéger pendant que vous faisiez votre show. D'aussi loin que vous connaissez Gwayne Hightower l'homme et vous n'avez jamais eu aucun rapprochement physique (hormis lors de cette nuit d'hiver) vous considérez que le chevalier n'avais pas d'attrait pour l'amour physique, que cela ne l'intéressait pas. Qu'il gardait ses yeux sur vous uniquement pour vous protéger des vautours.
Oh non, vous aviez tort. Vous n'étiez pas la princesse dont en bon prince chaste et respectueux il devait garantir la sécurité. Le prince n'avait pas d'intentions pure et juste en vous regardant. Si les méninges de son imagination sont entrain de fondre tellement ils avaient chauffés, sachez que la cause ne se rapportait pas à son devoir de secourir et protéger.
Hightower vous avait d'effleurer un million de fois dans sa tête. Dans chacun de ses scénarios aucun ne se déroulait avec respect. Il vous touchait, vous prenait de manière brutale et animale à peu près partout et n'importe où, ce quand il en avait l'envie. Un autre point commun entre ses scénarios, c'est que tous commençaient par un chevalier qui avouait ses sentiments. Il fallut que vous vous fassiez passer pour une prostituée pour qu'il comprenne que son intérêt avait germé en sentiments.
Son souffle se faisait de plus en plus court, respirer devenait de plus en plus difficile, chacun de vous mouvement, chaque acclamations que vous obteniez lui coupait le souffle, l'étouffait. Le rendait fou de jalousie. En entendant un énième homme commenter vos formes, il fendit la foule, les poussant sans retenue jusqu'à parvenir à vos pieds.
______ Le moment est venu de descendre de la, vous ne croyez pas ? Questiona t'il retoriquement d'un ton contrôlé pour ne pas vous montrer l'impacte que vous aviez sur lui.
Votre spectacle avait assez durer à présent il fallait être raisonnable et regagner le château. Hochant la tête vous vous êtes assise devant Gwayne afin de descendre de la plateforme. Cette soudaine promiscuité et les cris de vos fans firent enrager votre protecteur au point où sans réfléchir, il vous balança d'un coup sec sur son épaule.
La seconde qui suivit il vous avait extrait de l'epaisse foule. Il marmonait des "pousser vous" ou encore " On est pressé dégager le passage." Votre cerveau innocent pensa que le soldat avait hâte de rentrer. Sauf que Gwayne ne vous guida pas dehors. Non, il vous emmène sur la gauche, dans l'une des petites pièces privées et referma les rideaux derrière vous.
Il mit un genou à terre pour vous faire descendre mais resta à terre, la tête baissée devant vous.
______ Je peux tout expliquer. Avec vous commencer. Si j'ai menti si cette histoire c'est pour protéger un secret inavouable. Macqualle n'a jamais trahi la couronne, il n'a jamais volé Alicent.
Évidemment qu'avant de rentrer vous alliez par la case des remontrances. Peut-être vous avait t'il laissé faire votre petit numéro mais ce n'était pas sans en payer les conséquences. Qu'est ce qu'il devait penser de vous ? De vos valeurs ? De votre respect à son égard à présent ? Vous aviez menti, vous vous étiez sali vous l'aviez trahi.
______ Je n'avais pas l'intention de faire toutes ses mauvaises choses. De me comporter comme quelqu'un que je ne suis pas. Je prête toujours autant d'importance aux valeurs et à ma dignité. Vous me connaissez voyons !
En voyant qu'il ne répondait pas, qu'il gardait sa tête baissée vous avez commencé à sentir votre poitrine se serrer. Vous le dégoûtiez tellement qu'il ne savait plus quoi dire.
______ Je vous pardonne, est ce que vous arriveriez à me pardonner ? Vous vous attendiez à de la colère, à de la haine, du rejet. Tout sauf à la détresse qu'il vous adressait. Pardonner moi toutes ses pensées impure qui ne sont pas digne de vous. Je vous ai manqué de respect.
"Qu'es-ce que vous racontez Hightower ? Vous n'avez rien fait de mal."
Vous ne compreniez pas ce qu'il ce reprochait, pourquoi il était en détresse et pourquoi il implorait votre pardon de la sorte alors que c'était lui qui avait été trahi.
______ De quoi est-ce que vous parlez ? Vous ne m'avez en aucun cas manqué de respect. Si des pensées haineuse à mon sujet vous on troublé je peux les comprendres, je vous ai fait énormément de mal ce soir.
______ Et je vous pardonne. Repeta Gwayne en posant son front contre votre ventre. Je sais que je suis sortie du droit chemin ce soir en ayant eu toutes ses pensées abjecte à votre encontre... l'expiration qui sortie de lui fit virevolter vos voilages. Je n'ai aucune excuse à donner. Pas la moindre défense, j'assume pleinement ce que j'ai fait. Mademoiselle, mes sincères excuses pour ne pas avoir résisté devant vos charmes.
Et enfin, vous compreniez. Et pour la première fois votre cerveau fut incapable de trouver une réponse à offrir. Non. Gwayne vous à laisser bouche bée avec sa déclaration. Ce n'était pas là première fois qu'un homme était attiré par vous, pour sûr. Mais c'était la première fois qu'un homme que vous aimiez pliait le genou devant vous en vous faisant sa déclaration. Que faire ? Que dire ? En vous remémorant ses paroles pendant qu'on long blanc passait entre vous. Vous dite :
_______ Je vous pardonne. Moi aussi...j'ai eu des pensées déplacer en vous regardant. Pourquoi est-ce que mon regard était sans relâche sur vous à votre avis ?
Gwayne c'était tellement noyé dans ses pensées, qu'il n'avait pas songé à votre regard répondant au sien. À vrai dire il ne pensait pas que vous puissiez avoir ce genre de penser, pas qu'il vous trouvait trop prude ou innocente mais parce que vous n'aviez pas l'air de prêter importance à tout ça.
Lorsque sa chemise a glissé sur son corps, vos yeux ont glissé avec elle, ne loupant pas un seul centimètres de sa peau, prêtant attention à chacune de ses cicatrices. Son corps ne devait pas être différent de ceux des autres hommes, seulement, comme il s'agissait de son corps, à vos yeux ça en faisait le plus excitant que vous n'ayez jamais vu. Il était parfait. Et maintenant il était à votre porté.
S'est au moment où vous avez décidez d'approcher votre main de sa clavicule, qu'il redressera la tête.
______ Alors il n'y a pas de problème entre nous puisque...nous avons les mêmes intentions envers l'autre.
Toutes son assurance était apparemment revenu. Il se releva, saisi doucement votre main de la sienne. Si nous allions plus loin, la maintenant...personne ne le saurait. Ça resterai ici. Derrière ses rideaux.
C'est vous à présent qui deviez lever les yeux pour le regarder. Et c'était intimidant. Les hommes n'avaient pas d'effet sur vous, sauf avec Gwayne, car c'était Gwayne. L'homme dont vous êtes amoureuse. Vous avez cligné plusieurs fois des yeux.
Faire cela avec lui sans etre marié était sévèrement reprensinle si ça ce savait...mais bon...même si la balafre pouvait deviner la raison de votre isolement avec Gwayne. Avec l'or qu'il allait toucher ca garantissait son silence. Et la menace d'être tuer par deux mercenaire également et honnêtement, votre décision était déjà prise peux importe la menace.
En réponse vous vous êtes juste laissée tomber sur le lit.
______ Par les sept. Jura Gwayne en grimpant sur le lit. Vous etes si belle avec les couleurs de la maison Hightower. Il se hissa au dessus de vous sans toucher votre corps néanmoins.
Ça remarque vous fit rire et il clos les paupières pour apprécier le son de votre voix. Divin. Vous étiez une divine sorcière. Même si vous avez donnée votre accord, cela n'a pas été dit explicitement. Il était donc hors de question pour Gwayne de vous toucher d'une quelconque manière sans la garantie de votre consentement. Attendre, un mot qui ne figurait pas dans votre dictionnaire. Étant bien plus farouche que lui, vous ne vous êtes pas gêné pour saisir son visage et l'embrasser. Non plus pour emprisonner sa taille entre vos jambes. La réponse ne tarda pas à venir, il prit le contrôle du baisé, agrippa ses doigts dans la chair de vos cuisses.
Vos lèvres, vos langues, vos dents, se heurtaient dans le processus de votre passion. Votre baisé était désordonnée, sans manière. Rien à voir avec vos précédentes expériences. Rien à voir avec les scénarios que vous aviez fait de ce moment. Dans votre imaginaire c'était doux, tendre et Gwayne portait une chemise, surtout, vous ne vous trouviez pas dans un bordel au milieu de la nuit. De toutes évidence, le fait que ça ce passe de cette manière vous plus encore plus.
C'était interdit, c'était dangereux et c'était immorale. C'était trois bonnes raisons pour prendre davantage votre pied.
Gwayne partageait votre avis. Il mit fin au baisé, toute fois il ne retira pas ses lèvres de votre peau. Il embrassa d'abord le coin de votre bouche, puis deriva sur votre joue, descendit sur votre mâchoire, à sa base et ensuite il dévora votre cou.
Vous sentiez affreusement bon, terriblement bon, inoubliablement bon. Si graver une odeur dans sa mémoire lui était possible il le ferait sans hésiter, ce qui n'était pas le cas alors il se contenta de humer votre cou tout en le couvrant de baisés. Ses mains vous exploraient, vous touchaient partout où ses pulsions lui disaient d'aller. Quand ses doigts trouvèrent votre poitrine, il vous arracha un petit crie.
______ Est-ce que je t'ai fait mal ? Demande l'homme inquiet en se redressant sur ses coudes. Tu veux qu'on arrête et qu'on rentre ?
______ Surtout pas. Il m'en faut plus...j'ai besoin de plus...avez vous gein en vous tortillant sous lui pour lui faire comprendre votre désir.
Gwayne vous stabilisa immédiatement en plaçant ses mains sur votre taille. Avec force, ce qui ne vous déplaisait pas. Gwayne chaste et respectueux était une personne agréable mais...cette facette la, était d'autant plus agréable.
______ Si c'est ce que vous souhaitez... Commença t'il en déplaçant ses mains en direction de votre point sensible.
Scratch, l'entrejambe de votre voilage fût déchirer en un instant. Gwayne sans félicita avec un sourire affreusement séduisant...avant de vous coller contre lui et de fondre contre vos lèvres...
「𝙵𝙸𝙽 」
✦ ☙ ✦
Trop contente d'avoir réussi à reprendre l'écriture après des mois ! J'espère que le one shot vous à plus. N'hésitez pas à faire des suggestions que ce soit de personnages ou de scénarios ! En privé ou dans les commentaires :)
See you soon.
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