Angel
Satan s'éclipsa dans les ténèbres, disparaissant avec la fluidité d'une ombre qui s'efface sous la lueur de la lune. Les jours passèrent, et son absence se fit sentir, aussi pesante que le vide d'un abîme. Puis, ce soir-là, comme une apparition surgie des ténèbres, Angel l'aperçut. Satan avançait d'un pas calme et presque las, mais dans ses yeux dorés brillait une lueur malicieuse, une promesse de quelque chose de bien plus sombre. Sa présence semblait alourdir l'air, chaque souffle du vent devenant lourd, chargé d'une énergie qui oscillait entre le charme et la menace.
Sa voix s'éleva alors, douce et sucrée, brisant le silence d'une manière presque intime, comme une caresse effleurant la peau :
- Bonsoir, jolie rose... Tu te rappelles de notre dernière conversation, n'est-ce pas ?
Angel, pris de court, faillit s'étouffer avec la fumée de sa cigarette. Son esprit s'embrouillait, son cœur battant plus fort sous l'effet de l'inattendu. Mais alors qu'il croisa le regard de celui qu'il croyait être Lucifer, il ressentit une étrange sensation, un malaise qu'il ne pouvait définir. Il y avait quelque chose de différent. Ce n'était pas tant le Diable lui-même, mais plutôt une nuance de... changement, une subtile altération dans sa manière d'être. Il chassa rapidement cette pensée, se rassurant. Après tout, Satan était un être complexe, sujet à des sautes d'humeur et à des caprices imprévisibles. Peut-être n'était-ce rien de plus qu'un effet passager.
- Euh... ouais, pourquoi ? répondit-il, tentant de dissimuler sa nervosité sous un masque de nonchalance qui n'était que trop fragile.
Satan esquissa un sourire, un rictus à la fois joueur et menaçant. Mais ce qui frappa Angel, ce n'était pas tant le sourire que l'intensité brûlante des yeux du Diable, qui semblaient transpercer l'âme. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale.
- Eh bien... j'ai ce désir irrésistible de ressentir à nouveau ce frisson. Cela fait des siècles que je n'ai pas pris quelque chose de véritablement... marquant. Et toi, Angel, tu m'as laissé goûter à quelque chose la dernière fois... quelque chose que j'aimerais bien redécouvrir.
Angel sentit son cœur manquer un battement.
Était-ce réel ?
Angel sentit son cœur manquer un battement. Lucifer, le Diable lui-même, lui proposait-il sérieusement une nuit de débauche et d'excès ? C'était exactement pour ce genre de situations qu'il vivait ! Et pourtant, un frisson d'appréhension parcourut son dos. Une bribe de conversation avec Lucifer remonta soudain à la surface de sa mémoire :
"Le Diable ne doit jamais se laisser aller. Si cela arrive, tout peut s'effondrer."
Mais il était trop tard. L'éclat dans les yeux de Satan ne laissait aucun doute : les choses étaient déjà en train de déraper, et Angel, en bon compagnon de chaos, n'était pas sûr de vouloir freiner cette descente.
Ils finirent par débarquer dans un club select du cercle de la Luxure, un établissement dirigé par Asmodée. L'entrée du Diable dans l'endroit fût suivie d'un silence abasourdi, aussi lourd qu'une menace suspendue. Les regards des démons se figèrent sur lui, comme s'ils étaient incapables de saisir ce qu'ils voyaient. Angel, quant à lui, se retenait difficilement de rire. Il n'y avait rien de plus jouissif que de voir le grand roi des Enfers, celui qui avait dicté des siècles de souffrance, installé dans l'un des salons privés d'un tel lieu. Cela semblait irréel. Une vision improbable, même pour lui.
Le responsable du club, visiblement pris au dépourvu, vint en personne les accueillir, accompagné de ses meilleurs hommes. C'était un privilège rare, même pour Angel, qui se délectait de l'attention et du malaise palpable dans l'air. Il n'avait jamais vu ces créatures aussi déstabilisées. Cela n'avait rien d'habituel, rien d'attendu. Et pourtant, tout semblait étrangement à sa place.
- Alors, Votre Altesse, c'est la première fois que vous venez ici ? hasarda le démon, sa voix hésitante malgré son apparente décontraction.
Satan haussa un sourcil, un éclair d'ironie dans ses yeux dorés, et leva sa bouteille d'un geste fluide avant de la vider presque d'un coup.
- Ça fait... longtemps, répondit-il en ricanant, un rire bas et sinistre, comme s'il venait de raconter une vieille blague qu'il était le seul à comprendre.
De son côté, Angel peinait à suivre le rythme effréné du Diable, son esprit déjà quelque peu brouillé, mais il s'efforçait de tenir bon. Satan le toisa un instant, un sourire espiègle jouant sur ses lèvres.
- Allez, ne me dis pas que tu es déjà hors course ? La nuit ne fait que commencer ! lança-t-il, sa voix rauque résonnant dans l'air saturé de fumée.
- Ah ! Sûrement pas ! répondit Angel, un éclat dans les yeux, avant de sniffer une ligne de poudre blanche sur la table, ses gestes pleins de défi et de provocations.
Angel avait méticuleusement préparé son plan, se promettant d'emmener faire planer ce qu'il croyait être Lucifer au-delà de tout ce qu'il avait pu imaginer depuis des siècles. L'atmosphère s'alourdissait, la fumée épaisse emplissait la pièce, transformant le salon en un enchevêtrement de vapeurs envoutantes, une ambiance presque surnaturelle. Une excitation palpable s'élevait dans l'air.
Désormais totalement déchaîné, Angel n'hésita plus : il se dirigea vers la piste de danse, son corps se mouvant avec une sensualité calculée, chaque geste une invitation irrésistible. Dès qu'il toucha la barre de pole dance, tous les regards se tournèrent vers lui. Il se déhanchait avec une grâce magnétique, ses mouvements hypnotisant la foule. Les murmures se mêlaient, entre admiration et désir, tandis qu'Angel se donnait totalement à la scène, savourant chaque instant sous les feux des projecteurs. La tension électrique qui régnait dans la salle ne faisait qu'ajouter à la puissance de son spectacle, alors qu'il se perdait dans la frénésie de la nuit.
Satan, bien que visiblement captivé par le spectacle, commençait à perdre patience. Tout cela n'était, au fond, qu'un divertissement temporaire, une distraction futile. Il y avait quelque chose qui lui échappait, quelque chose qui manquait cruellement à l'atmosphère. Un vide qu'aucun excès ne semblait pouvoir combler. Avec un geste presque absent, il porta la main à la petite poche laissée par Angel et, sans même se soucier de la nature de la substance, en inspira une grande bouffée. Immédiatement, un flot de sensations l'envahit, chaque pulsation, chaque lumière devenant plus vive, plus intense. Mais la frustration, loin de s'apaiser, se transforma en une énergie frénétique, une agitation nerveuse qui commença à le consumer. Pourtant, malgré l'effet puissant de la drogue, l'ennui, cette bête vorace, le rattrapait déjà, plus affamé que jamais.
Il secoua la tête, une lueur d'impatience dans les yeux, comme si la nuit entière, avec ses jeux et ses artifices, ne valait rien face à ce qu'il recherchait. Ce qu'il cherchait... il ne le savait même pas lui-même, mais il était clair que ce n'était pas une simple fête, aussi débridée soit-elle, qui pourrait combler ce vide qui le rongeait.
S'il n'y avait personne pour injecter un peu de véritable chaos dans l'air, Satan s'en chargerait lui-même. D'un claquement de doigts, toutes les lumières s'éteignirent brusquement, plongeant l'ensemble de la salle dans une obscurité totale, semant l'incompréhension parmi les invités. Mais avant même que la panique ne puisse s'installer, des bougies s'allumèrent en un éclair, s'élevant dans un brasier saisissant qui illumina la pièce d'une lueur bleutée, presque surnaturelle. La lumière dansait et vacillait, créant un halo mystérieux, envoutant, une atmosphère de plus en plus chargée de tensions non dites.
Un sentier incandescent se dessina dans la lumière vacillante, une traînée de flammes menant directement à Angel, qui se tenait là, au bout, un sourire énigmatique aux lèvres, comme une invitation silencieuse et irrésistible. Un jeu, un piège, ou quelque chose de bien plus intense... Angel semblait attendre quelque chose de plus, tout comme Satan. La musique, quant à elle, s'intensifia d'un coup, se transformant en une fusion hypnotique de sonorités classiques et électroniques, un tourbillon de notes vives et percutantes qui emplissait l'air d'une tension vibrante. Le rythme s'accéléra, comme si l'ensemble de la pièce résonnait au même tempo effréné. L'air lui-même semblait vibrer, saturé de promesses et de dangers.
Satan s'avança vers Angel avec l'élégance d'un souverain qui n'a jamais connu d'égal, chaque mouvement empreint de la majesté naturelle qui le caractérisait. Dans un geste à la fois théâtral et calculé, il s'inclina légèrement et, avec une lenteur précise, tendit la main vers Angel, comme s'il l'invitait dans un jeu bien plus complexe que la danse qui s'apprêtait à commencer. Angel, toujours aussi audacieux et effronté, lui offrit sa main sans hésiter, comme une proie se soumettant volontiers au chasseur.
La danse débuta, et la pièce entière sembla se suspendre autour d'eux. Leurs corps se rejoignirent avec une fluidité parfaite, comme si leurs âmes elles-mêmes s'étaient reconnues. Chaque mouvement, chaque geste semblait irréel, un enchevêtrement de puissance et de sensualité, de défi et d'attraction. Satan, implacable dans sa beauté glacée, guidait le rythme avec une maîtrise absolue, sa posture fière et souveraine, alors qu'Angel, dans un contraste brutal, répondait par une audace débridée. Leur danse n'était pas simplement une valse, mais un dialogue silencieux, une lutte subtile pour l'emprise, une exploration des limites de l'autre, de l'équilibre précaire entre domination et soumission.
L'air se chargea de tension alors que la foule, hypnotisée, observait ce spectacle presque surnaturel. Ce soir, c'était Satan, l'incarnation même du Diable, qui dirigeait la scène avec une autorité tranquille et une présence presque divine. Chaque regard se portait sur lui avec une fascination qui frôlait l'adoration, tandis qu'Angel, dans son insolence joyeuse, commençait à défaire le costume du Diable couche après couche. Il dégraffait la veste avec une malice espiègle, suivit de la cravate, les gants, et enfin le cardigan, qui disparut dans la foule. Satan ne protesta pas. Il se tenait là, impassible, sa chemise blanche tendue contre sa peau d'une pâleur glacée, qui semblait capter la lumière avec une pureté presque angélique, tout en dégageant une aura irrésistible de tentation.
Sa silhouette aristocratique, magnifiquement sculptée, mélangeait la fragilité d'un ange déchu et la puissance d'un être hors du commun. Dans cette lumière vacillante, il apparaissait presque innocent, et pourtant, chaque geste était une invitation à la chute. Les spectateurs ne pouvaient détacher leurs yeux de lui, dévorant chaque mouvement avec une avidité déconcertante, leur regard traçant son corps, absorbé par cette transformation divine et diabolique qui se déroulait sous leurs yeux. À ses côtés, Angel, l'incarnation même de la démesure, resplendissait dans son audace provocante, son corps en parfaite harmonie avec l'ambiance enflammée. Ensemble, ils formaient un contraste hypnotique, une combinaison de douceur et de vice, de pureté et de corruption, d'innocence et de perversion, qui défiait toutes les conventions.
Leur complicité, loin d'être une simple danse, se transformait en une lutte silencieuse pour le pouvoir, une épreuve de volonté où chacun cherchait à imposer son propre rythme à l'autre. Le public, suspendu à chaque mouvement, était transporté dans ce jeu de pouvoir où la séduction et la domination se confondaient, captivé par la magie noire qui s'opérait entre les deux. Comme pour souligner l'intensité de ce moment, la chanteuse improvisa une mélodie, sa voix cristalline s'élevant comme un hommage à cette union étrange, presque mystique, qui se tissait dans l'air.
Sous l'influence de Lucifer, la piste de danse se transforma en un espace sacré, un cercle intangible où seuls eux deux pouvaient pénétrer. Des flammes bleues dansèrent autour d'eux, créant une barrière invisible, mais puissante, que personne n'osait franchir. Leur lien, tissé dans la tension et la sensualité, était devenu une force pure, irréversible, un chant de rébellion et de plaisir sous les yeux de tous.
La chanteuse commenca son chant d'une voix douce et envoûtante, avant de s'élever avec force :
Notre roi est de retour...
Ô flammes éternelles, éclairez sa venue,
Le roi des abîmes reprend son dû.
Son pas résonne, un écho dans la nuit,
Le trône s'éveille, la peur le suit.
(Refrain)
Notre roi est de retour
Souverain des ombres et des jours.
Un murmure, un cri, un frisson,
Il danse avec l'éternité, sans prison.
Les cieux s'assombrissent sous son regard,
Chaque étoile ploie, brille trop tard.
Le monde s'incline, suspendu à son souffle,
Sa force brûle, chaque âme s'étouffe.
(Refrain, plus puissant)
Notre roi est de retour !
Souverain des ombres et des jours.
Un murmure, un cri, un frisson,
Il danse avec l'éternité, sans prison.
(Pont)
Sur la piste, leurs regards se croisent, un souffle suspendu,
Les corps se frôlent, le rythme effréné.
L'un, maître des ombres, insaisissable,
L'autre, éclatant, d'une lumière implacable.
Un pas trop proche, un défi muet,
Notre souverain, son regard planté.
L'autre, audacieux, sans peur ni fard,
Cherche à troubler son rempart.
Les mains s'effleurent, la tension monte,
Dans ce ballet, l'ombre et la lumière s'affrontent.
La danse devient lutte, sans douceur ni clémence,
Un duel où se mêlent désir et présence.
Sous des lumières vacillantes, ils s'affrontent sans bruit,
Dans cette scène où tout se joue, tout se détruit.
(Refrain final, presque triomphant)
Notre roi est de retour !
Souverain des ombres et des jours.
Son règne brûle, enflamme l'horizon,
Il danse avec l'éternité, sa passion.
Enfin, la musique ralentit, et, à bout de souffle, leurs corps s'immobilisèrent, vibrant encore de la fièvre de leur danse. Angel, le souffle court, contempla Lucifer, ébloui par sa beauté sauvage. Ses cheveux blonds, désormais décoiffés, encadraient son visage angélique, tandis que sa chemise ouverte laissait entrevoir sa peau diaphane, ses boutons arrachés révélant la courbe délicate de son cou et le haut de son torse.
Et ce regard... Ce regard magnétique qui semblait contenir toute la sagesse, la douleur, et l'arrogance de millénaires passés. Lucifer avait toujours été fascinant, mais ce soir, il était une vision incarnée du désir et du vice, une promesse silencieuse des plaisirs les plus inavouables. Ses yeux, aussi profonds que l'abîme, brillaient d'un éclat envoûtant, un mélange d'ironie, de puissance, et d'une étrange mélancolie, comme s'il portait en lui un poids invisible que seul Angel pouvait deviner.
Angel n'aurait jamais cru vivre un tel instant, encore moins avec le Diable en personne. Pourtant, il se tenait là, face à lui, le cœur battant à tout rompre, comme s'il était au bord d'un précipice, hésitant entre s'y jeter ou reculer. Sous les flammes vacillantes et les regards fascinés des spectateurs, ils n'avaient pas simplement dansé. Ce qu'ils avaient partagé transcendait la simple physicalité : c'était un rêve brûlant, une vision interdite, une invitation à goûter l'éternité dans ce qu'elle avait de plus beau et de plus terrible.
Pour Angel, ce moment était une offrande, un fragment volé d'un mythe trop beau pour être vrai, gravé à jamais dans l'éphémère d'une nuit.
Les ailes de Satan se déployèrent avec une lenteur majestueuse, comme pour affirmer sa souveraineté incontestée parmi les démons. Immenses, elles dominaient l'espace, et, ce soir, leur couleur avait changé. Habituellement marquées de rouge et de blanc, elles étaient désormais d'un rouge profond, presque incandescent, une nuance si intense qu'elle semblait vibrer sous les lumières vacillantes. Ce détail, subtil mais significatif, trahissait la présence de Satan en lieu et place de Lucifer, une distinction que seuls les plus attentifs pouvaient percevoir.
Angel, face à cette vision écrasante de puissance et de grâce, resta figé, bouche bée, incapable de détourner le regard. Il sentit son souffle se couper, non pas par peur, mais par une fascination presque douloureuse. Satan, un sourire amusé flottant sur ses lèvres, tendit une main vers lui, un geste chargé d'une symbolique bien au-delà d'un simple contact.
Droit, impeccable malgré la fièvre de la danse qui venait de s'achever, Satan inclina légèrement la tête, son geste empreint d'une élégance provocante. Il lui offrit son bras, le mouvement précis et contrôlé, comme s'il était orchestré pour hypnotiser. Angel hésita une fraction de seconde, troublé par l'intensité du moment. La chaleur du regard doré de Satan semblait pénétrer au plus profond de lui, brouillant ses pensées. Puis, d'un geste presque instinctif, il attrapa ce bras tendu.
Le contact entre eux avait une formalité étrange, mais l'étincelle de connivence dans les yeux de Satan lui fit frissonner la colonne vertébrale. Alors qu'ils avançaient ensemble, leurs silhouettes illuminées par les flammes bleutées qui dansaient autour d'eux, un silence presque sacré s'abattit sur la salle. Les murmures qui remplissaient l'espace s'évanouirent, comme étouffés par une force invisible.
Les démons présents, qu'ils fussent grands ou modestes, s'inclinaient respectueusement à leur passage. Leurs visages reflétaient une admiration presque révérencieuse, teintée d'un mélange de crainte et de fascination. À cet instant, Angel comprit qu'il marchait non seulement aux côtés du Diable, mais aussi dans l'ombre de la légende elle-même. Une légende vivante, magnétique, et terrifiante.
Cette soirée devint une légende, gravée dans les mémoires de tous ceux qui y assistèrent, et, comme une traînée de poudre, elle se propagea à travers les Enfers grâce aux vidéos capturées par des démons furtifs, avides d'immortaliser l'instant. Ces images révélèrent au peuple un visage inédit de leur roi : une figure d'une beauté éblouissante et d'une audace saisissante, empreinte d'un mystère envoûtant. Satan, habituellement distant et inatteignable, s'était mêlé à la foule avec une apparente légèreté, défiant les conventions et renversant les attentes.
Sa danse avec Angel, à la fois électrisante et provocante, devint le point culminant de la soirée, une performance qui enflamma les cœurs et fit frémir les âmes.
Chaque mouvement, chaque échange de regard, portait une intensité presque surnaturelle, une alchimie qui transcendait le simple divertissement. Les murmures admiratifs se transformèrent en cris d'émerveillement, et les images capturées firent le tour des Enfers, s'insinuant dans chaque recoin du royaume infernal. Mais la portée de cet événement ne s'arrêta pas là. Les vidéos franchirent bientôt les frontières de l'Enfer, atteignant les oreilles et les yeux des résidents de l'Hazbin Hotel. Ce n'était pas seulement une soirée c'était un message. Satan avait montré à tous, même au-delà des Enfers, qu'il restait une force inébranlable, une énigme flamboyante, et surtout, une figure capable de rallumer la flamme dans un monde où tout semblait figé.
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