013
Himari ryoto 🍧
______________________________________
❝𝐏𝐑𝐄𝐓𝐓𝐘 𝐆𝐈𝐑𝐋 ❞
𝑐𝑢𝑟𝑣𝑦 𝑟𝑒𝑎𝑑𝑒𝑟 𝑥 𝑡𝑜𝑘𝑦𝑜 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒𝑟
🌷
《 grosse cuisses, lèvre pulpeuses, gros boobs, grosse joue, que demander de plus ?》
❝FEMME GARNI FEMME BÉNI❞
___________________________________________
♡♡♡
Je m'étais réveillée ce matin-là avec une nouvelle idée en tête : aujourd'hui, je voulais vraiment profiter du moment, me détendre et peut-être me rapprocher de certains gars du Tenjiku. Izana m'avait encore donné des instructions, mais aujourd'hui, j'avais décidé de laisser de côté les règles et de faire ce qui me plaisait.
Dans le salon, la lumière passait par les fenêtres, illuminant l'espace comme une douce caresse. Je m'étais levée lentement, profitant du silence autour de moi. Après tout, la journée promettait d'être calme et sans obligation.
Je pris un moment pour m'habiller, choisissant un crop top ajusté qui mettait en valeur ma silhouette et un bas en laine blanc cassé qui épousait mes formes tout en restant mignon et confortable. Ce n'était pas le plus pratique, mais j'aimais la manière dont il donnait une touche douce et chaleureuse à mon look. Mes cheveux tombaient en vagues douces sur mes épaules, et je pris un instant pour les démêler.
En sortant de ma chambre, je sentis tous les regards sur moi. C'était presque devenu une habitude, mais aujourd'hui, ça me faisait sourire un peu plus. Il fallait dire que mes formes, mes gestes, même ma manière de marcher semblaient toujours attirer l'attention des garçons. Mais c'était Mochi qui m'accueillit en premier, sa tête émergeant du canapé comme un chat curieux.
- Eh, Hima, t'es jolie aujourd'hui, dit-il en souriant.
Je ris légèrement, me sentant toujours un peu gênée par ses compliments.
- Rien de spécial, juste moi, répondis-je en me penchant pour lui donner un léger câlin. Tu as bien dormi, mon petit Mochi ?
Je sentis ses bras se refermer doucement autour de moi, et son parfum doux m'envahit. Mochi était un peu comme un grand frère pour moi, et j'aimais la façon dont il me traitait toujours avec une douceur évidente.
- Toujours mieux quand tu es là, Hima, me murmura-t-il en me relâchant lentement.
Je lui adressai un sourire, mon cœur léger. Mais à ce moment-là, Ran fit son entrée, comme toujours avec ce sourire en coin qui me faisait souvent sourire malgré moi.
- Alors, Hima, t'as l'air d'avoir pris un bain de soleil ce matin ou quoi ? T'es encore plus éclatante que d'habitude, dit-il en s'approchant, ses yeux glissant sur moi.
- Eh, tu vas me faire rougir à force, Ran, répondis-je en haussant les épaules, bien que je sentais déjà mes joues s'empourprer sous ses compliments.
Il éclata de rire et s'installa à côté de moi sur le canapé.
- C'est pas ma faute si tu brilles de mille feux, Hima, répliqua-t-il avec un sourire malicieux. Mais sérieusement, t'as un secret pour nous ?
Je haussai les sourcils, amusée.
- Peut-être juste un peu de temps pour moi, rien de plus, répondis-je en me mordillant la lèvre, consciente du regard insistant qu'il me lançait.
À ce moment-là, Rindou entra dans la pièce et se posa sur le fauteuil près de nous, un sourire moqueur sur ses lèvres.
- Hima, t'es vraiment une star aujourd'hui, dit-il avec un ton espiègle. Mais sérieusement, t'as dû voler un peu de lumière à la lune, c'est pas possible.
Je levai les yeux au ciel, en plaisantant, bien consciente qu'il plaisantait. Mais avant que je puisse répondre, j'entendis une voix familière derrière moi.
- T'as vraiment un truc qui fait briller tout ce qui t'entoure, Hima.
Je tournai la tête, surprise, pour voir Sanzu s'approcher, toujours son masque en place. Je savais qu'il ne l'enlevait jamais, mais aujourd'hui, l'envie de savoir pourquoi m'envahit.
- Sanzu, t'es toujours aussi mystérieux avec ce masque, lançai-je en souriant, m'approchant de lui. Pourquoi tu le portes tout le temps ? Ça te va bien, mais je me demande... tu veux pas me dire pourquoi ?
Il s'arrêta et me fixa, toujours aussi impénétrable, avant de répondre d'une voix calme.
- Je préfère le garder, Hima, répondit-il sans émotion, comme si c'était une simple règle qu'il ne remettait jamais en question.
Je souris, même si je sentais que ça n'était pas une réponse que j'allais obtenir facilement.
- T'es vraiment têtu, tu sais, dis-je en lui tapotant doucement le bras, un petit geste amical mais tactile. Mais bon, je respecte.
Je me levai alors et allai chercher un peu à boire, mais en passant près de Kakucho, je ne pus m'empêcher de lui caresser doucement l'épaule en signe de complicité.
- T'es là, toi aussi, Kakucho, toujours aussi solide, dis-je avec un sourire en coin.
Il me lança un regard presque amusé, puis répondit en me tapotant la tête, une habitude qui m'était familière.
- T'es un rayon de soleil, Hima, dit-il calmement.
Je me sentis réchauffée par ses mots, et tout en me dirigeant vers le frigo, je remarquai que Hanma était là, un sourire en coin. Je savais qu'il ne manquait jamais une occasion de me lancer des répliques qui me mettaient mal à l'aise.
- Hima, tu brilles encore plus ce matin, dit-il en s'approchant de moi, son regard fixé sur ma peau. Tu sais, si tu veux vraiment briller, je peux t'offrir plus que des compliments.
Kakucho qui se trouvait près de lui, leva immédiatement les yeux au ciel.
- T'as vraiment aucune limite, Hanma, gronda-t-il, un peu agacé. Laisse-la tranquille.
Je sentis la tension monter légèrement, mais je n'étais pas prête à me laisser intimider. Je me tournai vers Hanma, lui adressant un sourire.
- Tu peux garder tes compliments, Hanma, mais merci quand même. Je suis assez bien toute seule.
Il haussait les épaules, comme si de rien n'était, mais je sentais bien que Kakucho n'était pas du tout content de cette proximité. Il se rapprocha, plaçant une main sur mon épaule d'un geste protecteur. J'appréciais ce geste, même si je savais qu'il ne le faisait que pour me défendre.
- T'inquiète, Hima, il ne te fera rien, dit Kakucho d'un ton calme.
J'étais touchée par sa proximité, par sa manière d'être toujours là quand j'avais besoin d'un soutien.
Cette journée se poursuivit ainsi, entre discussions légères, moments tactiles et petites taquineries. Mochi, Kakucho, Ran, et même Sanzu semblaient tous trouver une manière de me faire sourire. Mais c'était surtout avec eux que je me sentais réellement bien, sans pression, dans une confiance presque silencieuse.
Quand le soir tomba, je me retrouvai seule un moment dans le salon, repensant à toutes ces interactions. Je savais que la journée n'avait pas encore dit son dernier mot, mais pour l'instant, j'étais juste là, à respirer, en profitant de ce moment.
Après cette petite pause, je me retrouvai à marcher dans le hall de la maison. Le bruit des rires et des voix de mes coéquipiers se faisait entendre dans le salon, mais je savais qu'il était temps pour moi de passer un moment un peu plus calme, un moment juste pour moi et quelques-uns des gars qui m'entouraient. J'avais besoin de me sentir encore plus proche d'eux, de créer un lien plus intime.
C'est alors que je croisai Kakucho dans le couloir. Il était là, à chercher quelque chose dans une étagère, sa posture décontractée mais toujours impeccable.
- Eh, Kakucho, tu m'ennuies, non ? dis-je en m'approchant de lui.
Il tourna son regard vers moi, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres.
- Je n'ennuie jamais personne, Hima, répondit-il, mais tu sembles vouloir dire quelque chose, non ?
Je m'approchai de lui, un petit sourire malicieux aux lèvres, et avant même qu'il ne puisse réagir, je lui déposai un baiser léger sur la joue. Ce n'était pas la première fois que je faisais un geste comme celui-là avec lui, surtout qu'il était un peu plus jeune que moi, et je l'aimais bien pour sa maturité. Il se figea un instant, puis éclata de rire, mais ce rire semblait sincère, comme si je venais de le surprendre.
- T'es vraiment insupportable, Hima, dit-il en se frottant la joue où je l'avais embrassé. Mais j'aime bien quand tu fais ça. C'est... surprenant.
Je souris, me sentant un peu plus proche de lui. J'appréciais ces petites marques de tendresse qu'il semblait accepter sans problème. Après tout, j'étais sa cadette, mais ça ne l'empêchait pas d'être si attentionné et respectueux envers moi.
Quelques instants plus tard, alors que je me dirigeais vers le salon, je tombai sur Rindou, qui était en train de faire quelques étirements. C'était un spectacle assez commun, étant donné à quel point il était souple, mais je n'avais jamais eu l'occasion de m'y essayer sérieusement avec lui.
- Tu veux faire un peu d'étirements avec moi, Hima ? me proposa-t-il en me lançant un regard amusé.
Je souris, un peu hésitante mais curieuse. Mes muscles étaient un peu tendus après une longue journée, et une petite session de stretching pourrait être agréable.
- Pourquoi pas, je vais tenter de suivre, répondis-je en m'installant à côté de lui.
Il commença par un étirement assez simple, et j'essayai de suivre, mais dès que je tentai de toucher mes orteils, je ressentis une douleur immédiate dans le bas de mon dos.
- Aaaah ! Ça fait mal ! Je crois que je vais mourir là, Rindou, dis-je en grimaçant et en me repliant sur moi-même.
Il éclata de rire en me voyant souffrir de cette façon, mais il semblait avoir une méthode bien à lui pour rendre les choses un peu plus... amusantes. Il me prit doucement par les hanches et me guida dans une position d'étirement plus profonde, me forçant à m'étirer encore plus.
- T'inquiète, ça va aller, mais tu dois vraiment essayer de relâcher tout ça, Hima, dit-il en me repliant doucement dans une nouvelle position.
Je fus surprise par la facilité avec laquelle il me manipulait. Il n'y allait pas trop fort, mais suffisamment pour que je ressente chaque étirement dans ma colonne vertébrale.
- Aaaah ! Rindou, t'es trop fort pour ça, je vais mourir ! criai-je, ma voix trahissant un mélange de douleur et d'amusement.
Rindou se marrait en me voyant souffrir.
- T'es tellement bruyante, Hima ! Mais t'es vraiment pas souple, hein ? Il faut que tu travailles plus sur ça !
Je le regardai, les yeux écarquillés, légèrement frustrée mais amusée.
- C'est pas de ma faute si je suis pas faite pour les contorsions, me défendis-je, tout en essayant d'atteindre mes pieds.
Il rit encore, une sonorité légère et contagieuse qui me fit sourire malgré la douleur.
- Allez, encore un petit effort. Tu vas t'habituer à la douleur, après tu seras super souple, me dit-il en me relâchant enfin. T'es une vraie warrior, Hima, même quand tu râles !
Je me laissai tomber en arrière, allongée sur le tapis, soufflant fort pour récupérer, mais j'étais contente d'avoir partagé ce moment avec lui. Ça m'avait détendue d'une manière que je n'avais pas anticipée, même si j'étais presque tombée en morceaux pendant les étirements.
À peine avais-je respiré un peu que je vis Sanzu entrer dans la pièce, toujours avec son masque, comme à son habitude. Mais aujourd'hui, je n'avais pas le courage de lui poser des questions sur ce masque, même si une partie de moi voulait encore savoir pourquoi il ne l'enlevait jamais.
- Vous avez l'air de bien vous amuser, dit-il en s'asseyant près de nous.
Je levai les yeux vers lui, un sourire en coin.
- On s'amuse, mais pas de la manière dont tu t'attends, répondis-je en lui jetant un regard espiègle.
Il répondit par un sourire amusé, puis se tourna vers Rindou.
- T'es vraiment gentil avec elle, Rindou. T'es sûr que tu ne veux pas l'aider à te battre dans un match de souplesse ?
Rindou haussait les épaules, indifférent, et me lança un dernier regard avant de se lever.
- Allez, Hima, ça suffit pour aujourd'hui. T'as plus que ton dos à détendre à ce stade.
Je rigolai, le remerciant d'un signe de la main. Et même si mes muscles criaient toujours de douleur, je me sentais bien. J'avais créé des liens plus profonds avec ces gars, et chaque moment passé avec eux était comme une petite victoire sur la solitude.
Le lendemain, je m'étais levée tôt pour me préparer à une nouvelle journée. J'avais opté pour un haut rose pâle à manches longues légèrement moulant, qui mettait en valeur mes formes sans trop en faire. J'avais ajouté une jupe longue blanche, fluide, qui tombait élégamment jusqu'à mes chevilles. Le tout me donnait un look à la fois simple et féminin, parfait pour aujourd'hui.
Je me dirigeai vers le salon où Ran se trouvait déjà, assis sur le canapé. Il semblait perdu dans ses pensées, mais j'avais l'impression que quelque chose le préoccupait.
- Alors, Ran, quoi de neuf ? lui demandai-je en m'installant à côté de lui.
Il leva les yeux de son téléphone et me sourit légèrement, un sourire à la fois calme et rassurant.
- Pas grand-chose, mais toi, Hima ? Tu sembles de bonne humeur aujourd'hui, dit-il, en me lançant un regard complice.
Je haussai les épaules et souris en retour, mes yeux pétillant.
- Ça va, comme d'habitude. J'ai juste envie de profiter de la journée, répondis-je en m'affalant un peu sur le canapé.
À ce moment-là, la porte s'ouvrit brusquement et Izana entra, son masque toujours en place. Il se dirigea rapidement vers moi sans crier gare, et avant même que je puisse réagir, il s'installa entre mes jambes et posa sa tête sur mes seins. Un frisson de surprise parcourut mon corps. Je n'avais pas vu ça venir.
Je n'avais même pas le temps de dire quoi que ce soit, car il semblait complètement à l'aise. Il ferma les yeux un instant, comme s'il cherchait à se détendre, et je sentis une étrange chaleur envahir mon corps. J'étais à la fois choquée par son geste, mais aussi un peu perplexe. Qu'est-ce qui lui prenait ?
Je me mordis doucement la lèvre et, réalisant que c'était probablement juste un moment de relâchement de sa part, je passai ma main dans ses cheveux, le caressant doucement. En y réfléchissant, il semblait plus fatigué que d'habitude, comme si sa journée n'avait pas été facile. Peut-être qu'il avait eu une mauvaise journée, comme moi parfois. C'était Izana, après tout, il pouvait être imprévisible.
- Ça va ? lui murmurai-je doucement, toujours en caressant sa tête. Il ne répondit pas immédiatement, mais j'avais l'impression qu'il appréciait la tendresse de mon geste.
Je fus un peu surprise, mais je ne voulais pas laisser la situation devenir trop gênante. Il finit par relever légèrement la tête, un petit sourire en coin.
- T'as de beaux seins, Hima, lâcha-t-il de manière désinvolte, comme si ce n'était rien.
Ndna: je sais 🥰
Je rougis légèrement, mais je ne répondis rien, me contentant de lui passer une main dans les cheveux pour le détendre. Il ferma à nouveau les yeux, comme apaisé par ce geste, et je pus sentir la tension s'évaporer peu à peu.
Tout le monde observait la scène, mais ils ne disaient rien. Je pouvais sentir les regards de Ran et Kakucho sur moi, mais je les ignorai, me concentrant sur Izana qui semblait vraiment chercher à se détendre après une journée difficile.
Je caressais doucement les cheveux d'Izana, observant la pièce autour de moi, un peu perdue dans mes pensées. Je n'avais pas vraiment réfléchi à ce qui se passait. C'était juste Izana, comme d'habitude, cherchant un peu de réconfort à sa manière. Mais avant que je ne puisse m'habituer à la situation, une voix familière brisa le silence.
- Eh bien, je vois que je ne suis pas le seul à vouloir poser ma tête, lança Madarame en entrant dans la pièce.
Je tournais la tête vers lui, surprise. Sans vraiment attendre de réponse, il se dirigea vers moi, s'installa à côté d'Izana et, dans un geste délibéré, posa sa tête... sur mes jambes. La scène était surréaliste. Madarame, un sourire narquois aux lèvres, semblait complètement à l'aise, comme si rien de tout ça n'était étrange. Et moi, je restais là, un peu figée, ne comprenant pas vraiment ce qui se passait.
- Mais... pourquoi tout le monde fait ça aujourd'hui ? murmurai-je, plutôt innocente. Je n'avais pas du tout l'intention de créer une situation aussi... étrange. C'était juste que, bon, Izana semblait avoir besoin d'un peu de calme.
En réponse, Izana haussait légèrement les épaules, comme si ce genre de geste n'avait rien d'exceptionnel. Mais je pouvais sentir une tension monter autour de nous. Les regards des autres, en particulier de Kakucho, m'étaient de plus en plus pesants.
Je tournais doucement la tête vers Kakucho, et je vis ses yeux se plisser. Il ne disait rien, mais son air était clairement marqué par une pointe de jalousie. Kakucho, malgré son calme habituel, semblait mal à l'aise. Il était jeune, un peu plus que les autres, et il avait toujours montré un certain attachement envers moi. Mais là, sa gêne était évidente.
Je n'avais pas compris tout de suite pourquoi Kakucho réagissait ainsi, et je lui adressai un sourire, espérant apaiser un peu la situation. Je caressai la tête d'Izana une dernière fois avant de relever les yeux vers lui.
- C'est bien, tu peux rester un peu, Izana. Mais Madarame, vraiment, tu veux faire pareil ? demandai-je, un peu confuse mais amusée.
Madarame répondit avec un clin d'œil.
- Pourquoi pas ? Tu es si douce, Hima. C'est agréable ici, répondit-il avec son sourire en coin.
Izana, qui semblait avoir complètement ignoré le malaise de Kakucho, se leva alors pour faire un geste en direction de Madarame.
- Si tu veux poser ta tête aussi, il y a de la place, lança Izana, d'une voix presque moqueuse. Après tout, Hima est là pour nous détendre, n'est-ce pas ?
Le ton d'Izana n'aidait pas vraiment à faire redescendre la tension. Kakucho, lui, semblait de plus en plus agité, et j'avais bien compris qu'il n'aimait pas vraiment cette situation. Pourtant, il ne disait rien, se contentant de secouer la tête, agacé mais toujours aussi silencieux.
Je m'empressai alors de changer de sujet, ne voulant pas que ça devienne plus gênant.
- Bon, vous êtes tous là, mais moi, je vais finir par m'endormir si je reste dans cette position trop longtemps, dis-je en riant légèrement, en espérant briser l'atmosphère pesante.
Madarame rit et se redressa, me lançant un sourire amusé.
- C'est bien parce que tu es si mignonne, Hima. Mais bon, je ne veux pas te déranger plus longtemps, répondit-il, se repliant un peu.
Kakucho, toujours un peu sur la réserve, murmura quelque chose que je ne compris pas tout à fait, mais il se leva finalement, visiblement plus calme, bien qu'un peu tendu.
- On dirait qu'on dérange tout le monde ici... soupira Kakucho, avant de se tourner vers moi et de m'offrir un léger sourire. Mais bon, c'est toi qui décides, Hima.
Je le regardai, intriguée, mais avant que je ne puisse répondre, Izana s'étira légèrement et se leva.
- Allez, ne nous embêtions pas plus. Vous êtes trop drôles, tous, lança-t-il avec un sourire malicieux.
Tout le monde se détendit peu à peu, mais la situation restait un peu tendue. Madarame, toujours aussi décontracté, se leva sans un mot et se dirigea vers la porte.
La scène avait été un peu étrange, et je n'avais pas bien compris toutes les réactions des garçons, mais je les laissai faire, espérant que ça finirait par se calmer. Quant à Kakucho, je pouvais voir qu'il n'appréciait pas vraiment cette attention partagée, mais il n'avait pas voulu l'exprimer. Il avait cette fierté silencieuse, et je savais qu'il n'avait pas besoin d'être trop démonstratif.
🍒🍒🍒
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top