012

Himari ryoto 🍧

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❝𝐏𝐑𝐄𝐓𝐓𝐘 𝐆𝐈𝐑𝐋 ❞

𝑐𝑢𝑟𝑣𝑦 𝑟𝑒𝑎𝑑𝑒𝑟 𝑥 𝑡𝑜𝑘𝑦𝑜 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒𝑟

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《 grosse cuisses, lèvre pulpeuses, gros boobs, grosse joue, que demander de plus ?》

FEMME GARNI FEMME BÉNI❞


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Himari était assise tranquillement dans le grand salon du Tenjiku, un livre ouvert devant elle. Elle se détendait après la journée mouvementée, appréciant un peu de calme. Le bruit des conversations et des rires en arrière-plan ne l'empêchait pas de se concentrer sur sa lecture.

Soudain, elle entendit des pas légers derrière elle. Elle tourna la tête et aperçut Ran qui s'approchait, un sourire en coin sur le visage, visiblement déterminé à l'engager.

- Hé, Hima, commença Ran avec un air malicieux. Tu sais, j'ai remarqué que tu n'as pas l'air de t'ennuyer ici... Mais il y a une question qui me trotte dans la tête.

Himari leva un sourcil, un peu surprise mais aussi amusée par son attitude.

- Et quelle est cette question ? répondit-elle, feignant l'innocence tout en refermant doucement son livre.

Ran s'assit à côté d'elle, son regard fixé sur elle avec une intensité qui la fit légèrement rougir.

- Quel est ton type de garçon ? demanda-t-il en souriant, un brin taquin.

Le silence tomba un instant autour d'eux, attirant l'attention des autres membres du Tenjiku qui, de loin, observaient la scène avec curiosité. Sanzu et Kakucho étaient tous les deux installés un peu plus loin, échangeant des regards intrigués. Rindou, qui était aussi dans la pièce, avait un sourire amusé sur les lèvres, attendant de voir la réaction d'Himari.

Himari rougit sous le regard insistant de Ran, gênée par la question mais ne voulant pas laisser un tel moment sans réponse.

- Eh bien... commença-t-elle, cherchant ses mots, tout en essayant de ne pas paraître trop gênée. J'aime... les grandes mains veineuses. Elle baissa les yeux, puis reprit timidement, C'est... c'est impressionnant, et ça donne une sensation de... protection, tu sais ?

Un léger sourire se dessina sur le visage de Ran, tandis que Sanzu et Kakucho échangèrent un regard amusé. Rindou, quant à lui, éclata de rire, son amusement étant évident.

- Des mains veineuses, hein ? dit Ran, avec un air moqueur, tout en levant une main et en la montrant à Himari. Tu penses que mes mains sont assez... grandes et veineuses pour toi, alors ?

Himari rougit davantage, et elle détourna légèrement le regard, gênée.

- Euh... Peut-être. Elle rit timidement, ses joues prenant une teinte plus rouge. Mais... ce n'est pas seulement ça. Je pense que les hommes avec un dos large, un peu musclé, ça donne un côté protecteur. Je trouve ça rassurant.

Cette fois, Rindou éclata de rire encore plus fort.

- Hahaha ! Tu es sérieuse ? Il secoua la tête avec un sourire en coin. Alors, tu veux un mec avec des bras comme des poutres et un dos d'armoire à glace ?

Himari se sentit un peu plus gênée, mais elle esquissa tout de même un petit sourire. C'était la première fois qu'elle parlait aussi ouvertement de ses préférences, et même si la conversation la mettait un peu mal à l'aise, il y avait quelque chose de rafraîchissant dans cette liberté.

- Je... je ne dis pas ça comme ça ! répliqua-t-elle, riant légèrement. C'est juste que... j'aime quand les gars ont un air protecteur, tu vois ?

Ran fit un petit sourire entendu et se leva en s'étirant.

- T'as un sacré goût, Hima. Il lança un clin d'œil. Mais je vais m'en aller avant de te rendre encore plus rouge que tu ne l'es déjà.

Himari secoua la tête, le rouge sur ses joues s'estompant enfin. Elle se remit confortablement dans son siège, tout en sentant les regards des autres membres du Tenjiku sur elle.

Sanzu, de son côté, s'approcha doucement de Ran.

- Tu es vraiment en train de la charmer, toi, hein ? murmura-t-il, un sourire en coin. Tu crois qu'elle va craquer pour ton style ?

Ran haussait les épaules, un sourire décontracté sur les lèvres.

- Qui sait ? Mais c'est amusant de la voir se débattre un peu. Il jeta un dernier coup d'œil à Himari, un regard malicieux dans les yeux. Mais tu sais quoi, Sanzu ? Si un gars comme moi avait des bras assez gros pour impressionner, je crois qu'elle pourrait bien changer d'avis.

Kakucho, qui était resté en retrait, secoua doucement la tête, un léger sourire sur les lèvres.

- Faites attention, les gars. On ne sait jamais où cette conversation pourrait nous mener...


Ce matin, en me levant, j'avais pris une décision : aujourd'hui serait une journée dédiée à moi-même. Je m'étais levée tôt, l'esprit encore engourdi par le sommeil, et j'avais annoncé à Izana que je devais rentrer chez moi pour récupérer quelques affaires.

- Izana, je vais faire un saut chez moi. J'ai besoin de prendre des vêtements et... d'autres trucs.

Il m'avait simplement répondu d'un hochement de tête, visiblement plus préoccupé par un plan ou une stratégie quelconque.

- Fais vite, Hima. Pas question que tu traînes.

Évidemment, il n'avait pas oublié d'ajouter une petite menace déguisée, comme d'habitude. Mais je savais qu'il était surtout protecteur. Alors, après avoir quitté le bâtiment du Tenjiku, je m'étais dirigée chez moi, bien décidée à m'occuper de moi pour une fois.

Arrivée à la maison, je n'avais pas perdu de temps. J'avais fait un rapide tri dans mes affaires et rassemblé mes essentiels : ma trousse de soins, ma cire pour m'épiler, mes crèmes hydratantes préférées. En gros, tout le nécessaire pour une journée "princesse".

De retour au QG, je saluai rapidement les gars dans le salon avant de filer vers ma chambre pour m'installer. Une bonne douche s'imposait après le trajet. Dès que l'eau chaude commença à couler sur ma peau, je soupirai de bonheur. Je pris mon temps, massant doucement mon corps avec un savon parfumé qui laissait une odeur sucrée derrière lui. Mon esprit vagabondait, loin des plans chaotiques d'Izana et des bêtises habituelles des gars.

J'attrapai ensuite mon rasoir, glissant la lame doucement sur mes jambes jusqu'à ce qu'elles soient parfaitement lisses. Je rinçai la mousse avec soin, appréciant la douceur de ma peau sous mes doigts. Après ma douche, je m'enveloppai dans une serviette moelleuse et appliquai une généreuse couche de ma crème hydratante à l'odeur délicate de vanille.

Ensuite, je choisis une lingerie rose pâle - une de mes préférées. Juste ce qu'il fallait pour me sentir bien dans ma peau. Je la complétai avec un débardeur blanc orné d'un petit nœud au centre et un short gris en dentelle. Simple mais mignon. Un peu de parfum et me voilà prête.

Lorsque je sortis de ma chambre pour aller chercher quelque chose à boire, je sentis instantanément les regards se poser sur moi. Ce n'était pas nouveau que les gars me regardent, mais aujourd'hui... c'était différent. Peut-être que ma peau qui brillait légèrement grâce à ma crème ou mon parfum sucré avait attiré leur attention.

- Wow, Hima, t'es rayonnante aujourd'hui, lança Kakucho en s'approchant pour me prendre dans ses bras. Il déposa sa main sur le haut de ma tête. T'as fait quelque chose de spécial ?

Je ris légèrement, encore un peu gênée.

- Rien de fou, juste une journée pour prendre soin de moi, tu sais.

Mochi se rapprocha à son tour, un grand sourire sur son visage.

- T'es sérieuse ? Hima, tu sens comme... un gâteau ! Genre, du caramel et de la vanille. C'est quoi ton secret ?

- Beaucoup de soins et une bonne crème, répondis-je avec un sourire amusé.

Ran et Rindou, eux, n'étaient pas en reste. Ran se pencha légèrement, plissant les yeux pour examiner ma peau.

- Attends, attends... Tu brilles, là. Genre, littéralement. C'est quoi, de la magie ? Ou bien t'as trouvé une fontaine de jouvence cachée dans le QG ?

- Ran, arrête tes bêtises, dis-je en riant. Ce n'est qu'une simple crème hydratante !

Rindou, lui, éclata de rire.

- Franchement, Ran, laisse-la tranquille. C'est juste que, comparé à toi, n'importe qui aurait l'air lumineux. Sérieux, t'as vu ta tête ce matin ?

Ran lui donna un léger coup dans l'épaule, mais je pouvais voir qu'il était amusé.

Puis, sans prévenir, Izana entra dans la pièce. Il s'arrêta net en me voyant, ses yeux se posant sur moi avec une expression indéchiffrable. Pendant un instant, tout le monde se tut, attendant sa réaction. Finalement, il haussa un sourcil.

- Qu'est-ce que t'as fait, Hima ? On dirait que t'as débarqué d'un magazine.

Je sentis mes joues rougir légèrement.

- Rien de spécial, Izana. Juste une douche et un peu de soins.

Il hocha la tête, toujours aussi impassible.

- Reste comme ça. Ça te va bien.

Et comme toujours, il tourna les talons, laissant derrière lui un silence un peu gêné. Rindou fut le premier à éclater de rire.

- C'est quoi cette réaction, sérieusement ? Il essaie de faire genre, mais je suis sûr qu'il est impressionné.

Je roulai des yeux et attrapai ma boisson.

- Vous êtes incorrigibles, les gars, marmonnai-je en secouant la tête.

Mais au fond, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. Parce qu'aussi exaspérants qu'ils soient, ils avaient tous réussi à rendre ma journée un peu plus lumineuse.

Ce soir-là, tout semblait étrangement calme au QG du Tenjiku. Les rires et les bavardages des garçons avaient progressivement diminué, et chacun s'était retiré dans son coin. Moi, j'étais restée dans le salon, confortablement installée sur le canapé, un livre entre les mains. Le parfum léger de ma crème flottait encore dans l'air, et mes pensées vagabondaient.

C'est alors qu'Izana entra dans la pièce, ses pas silencieux comme à son habitude. Il portait une chemise sombre légèrement ouverte, et son regard, intense comme toujours, se posa immédiatement sur moi. Je sentis une étrange tension s'installer dans l'air. Il ne disait rien, mais il s'approchait, son aura captivante me rendant presque nerveuse.

- Tu ne dors pas encore ? demanda-t-il finalement, sa voix calme, mais avec une pointe de curiosité.

Je fermai doucement mon livre, levant les yeux vers lui.

- Non, pas encore. J'aime bien ce moment de tranquillité, répondis-je, essayant de garder un ton détendu malgré son regard perçant.

Izana s'assit à côté de moi, mais beaucoup plus près que d'habitude. Nos genoux se touchaient presque, et je sentis un frisson me parcourir. Il ne disait rien, observant simplement mes traits avec une intensité qui me faisait presque perdre mes moyens.

- Tu es différente, ce soir, murmura-t-il finalement, son regard se perdant sur mon visage. Plus... lumineuse.

- Peut-être que c'est parce que j'ai pris du temps pour moi aujourd'hui, répondis-je doucement, le cœur battant un peu plus vite.

Izana esquissa un léger sourire, ce genre de sourire rare qui semblait réservé à des moments bien particuliers. Il leva une main et effleura une mèche de mes cheveux, la replaçant derrière mon oreille avec une lenteur calculée. Mon souffle se coupa légèrement face à ce geste inattendu.

- Ça te va bien, confia-t-il, sa voix un peu plus basse qu'à l'accoutumée.

Je ne savais pas quoi répondre. Il était si proche que je pouvais sentir la chaleur de son corps et la légère odeur boisée de son parfum. Puis, sans prévenir, il se pencha vers moi, sa main venant se poser délicatement sur ma nuque. Mon cœur rata un battement.

- Izana... qu'est-ce que tu fais ? murmurai-je, ma voix presque inaudible.

Il ne répondit pas tout de suite. Au lieu de cela, ses lèvres effleurèrent doucement la peau de mon cou. Je sentis la chaleur de son souffle, suivie par un baiser léger, presque hésitant. Un autre suivit, un peu plus appuyé cette fois, laissant une trace brûlante derrière lui.

- Tu sens si bon, Hima, murmura-t-il, sa voix grave résonnant contre ma peau.

Mon esprit semblait flou, incapable de comprendre ce qui était en train de se passer. Ses lèvres continuèrent leur chemin, déposant des baisers sur mon cou, de plus en plus intenses. Je pouvais sentir la légère pression de ses dents par moments, et une chaleur envahissante monta en moi.

- Izana... attends, soufflai-je, ma voix tremblante.

Il s'arrêta un instant, levant les yeux vers moi, mais il ne recula pas. Son regard était sérieux, presque possessif.

- Pourquoi attendre ? dit-il doucement, son ton laissant planer une ambiguïté qui me déstabilisait complètement.

Je n'arrivais pas à répondre, et il sembla prendre mon silence comme une permission. Ses lèvres retournèrent sur ma peau, marquant cette fois mon cou avec une intensité qui me fit frissonner. Je savais que ces marques seraient visibles, mais à cet instant, je ne pouvais pas m'en soucier.

Ses mains, jusque-là restées immobiles, se posèrent doucement sur mes épaules, exerçant une légère pression. Je ne savais plus où poser mon regard, complètement submergée par la proximité de son corps, par cette chaleur qui semblait émaner de lui.

- Tu n'as aucune idée de l'effet que tu me fais, murmura-t-il, sa voix emplie d'une sincérité désarmante.

Ces mots, combinés à ses gestes, faisaient battre mon cœur à une vitesse effrayante. Je pris une profonde inspiration, essayant de retrouver un semblant de contrôle.

- Izana... c'est... trop soudain, murmurai-je enfin, ma voix à peine audible.

Il recula légèrement, mais pas trop, ses yeux toujours fixés sur les miens. Il sembla réfléchir un instant avant d'esquisser un sourire en coin.

- Peut-être, mais je n'aime pas attendre, Hima. Tu devrais le savoir.

Puis, comme si de rien n'était, il se redressa et recula d'un pas, rompant l'intimité du moment. Je restai figée, le cœur battant à tout rompre, incapable de comprendre ce qui venait de se passer. Izana, lui, semblait étrangement détendu.

- Va te reposer, dit-il simplement, son ton redevenu calme. Et prends soin de toi, encore.

Il quitta la pièce aussi silencieusement qu'il était arrivé, me laissant seule, confuse et un peu troublée par ce moment inattendu.

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