« à la fin chacun meurt »

j'ai la crainte du temps qui file,
des sentiments houleux.
une élocution volubile,
mais des idées en camaïeux.

nature humaine,
désillusion de novembre,
larmes couleur ambre,
où ce chemin me mène ?

j'ai la crainte du temps qui file,
je m'éloigne de mon ère juvénile,
de celle que j'étais ;
la reverrais-je jamais ?

en vérité, l'avenir fait peur,
riche d'imprévus ;
à la fin chacun meurt
dans un vacarme de vie confondu.

[C]

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