° première partie °
_Son dernier soupir a eu lieu au levé du soleil...
Je rester la bouche ouverte, aucun son ne sortait de celle-ci. Pourtant je voulais crier, exprimer ma rage, ma tristesse.
Je ne voulais pas la croire, je ne pouvais pas la croire. C'était tous bonnement impossible, pas lui... Pas Jimin.
Je me mis à courir, courir vers la Maison de Dieu. Le vent fouettait mon épiderme mouillée par mes larmes, ma vue était flouetté par celles-ci. Je ne sais pas comment et quand, mais me voilà en face de deux grandes portes en bois bloodwood qui enfermaient mon bien-aimé.
J'étais là, essoufflé, les mains poser sur le bois. Des gouttes de sueurs s'écoulaient de mes tempes, mon torse se soulevait au même rythme que ma respiration, je fixais le sol.
Une peur s'apparait soudainement de mon corps, j'étais comme paralysé. Je n'osais même pas ouvrir les portes, j'avais trop peur de voir la réalité en face.
Et si la nourrice avait raison. Que ferais-je ? Que devrais-je ? À quoi ma vie servirait t-elle à présent ?
Je maltraitais ma lèvre inférieur de mes dents. Le stresse, la peur, la colère, la tristesse, tous c'était emparé de mon être.
Dans un élan de courage, je poussa les portes en grand. Un grand claquement résonna dans la grande pièce, je pouvais apercevoir les rayons du soleil couchant traverser les vitraux colorés.
Quant à moi, j'avançais tous droit, vers les bouquets de fleurs blanches et les bougies de différentes tailles.
Mes jambes flagelaient, je n'arrivais à peine à marcher. La peur, la peur de voir mon Jimin sans vie, sans âme, sans son sourire d'ange.
Les larmes ne cessaient de couler, je voyais à peine où se trouvait le cercueil. Ma respiration bruyante résonnait dans le lieu sacrée, arrivé devant le cercueil vernis mes jambes me lâcheraient et je retomba lâchement sur le sol dur.
Les paumes de mains étaient plaquées contre le cercueil, ma tête était baissé et fixait le sol. Et pour la première fois de ma minable existante, je me mis à prier Dieu. Je priais pour que tous cela soit un horrible cauchemar, que j'allais me réveiller au bras de mon bien-aimé sous les draps blancs et l'embrasser des ses douces lèvres rosées.
_Ô Dieu... Je vous en p-pries... Aidez-moi Seigneur...
_Pourquoi pries-tu mon amour ?
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